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Un vendeur me met à nu

Chapitre unique

Gay
Une semaine, nous sommes allés mes amis et moi à Bali pour faire la fête. Une après-midi vers les 16h, je me promenais seul à la recherche de cadeaux à faire pour ma famille, je n’ai rien trouvé, mais pendant mes recherches, le quartier a subi une coupure de courant (très courante en Indonésie et souvent résolue au bout d’une heure).
Quand tout à coup un vendeur d’une cinquantaine d’années, un petit chauve métis m’a interpellé, il m’a demandé de venir voir les habits traditionnels balinais. Je me suis avancé vers lui, il avait l’air sympathique et avait un assez bon niveau d’anglais, puis je n’avais rien d’autre à faire Image IPB. Je suis donc allé dans son magasin assez petit, bien sûr grand ouvert et sans porte comme partout en Asie, il y avait deux rayons où se trouvaient toute sorte de souvenirs puis au fond, une marche avec la caisse un peu surélevée. Nous sommes donc allés devant la caisse où se trouvaient les habits balinais (le nom exact est Kamben).
Je regardais les différents habits et coloris qui se proposaient à moi, le vendeur m’a demandé si je voulais en essayer un. Je me suis dit que j’avais du temps à tuer et puis le courant n’était toujours pas revenu. Il m’a dit OK puis m’a dit d’enlever mes chaussures et chaussettes, ce que j’ai fait de suite. Il était très commercial, car je ne suis pas quelqu’un qui parle beaucoup, mais il arrivait toujours à capter mon attention en parlant et me posant des questions rhétoriques. J’étais donc pieds nus avec mon t-shirt, et mon short. Puis je le vois qui met un genou à terre devant moi et soudain il posa ses mains de chaque côté de mon short pour me le descendre. Je n’en revenais pas, nous étions dans le magasin à 3 mètres de la rue, dans la pénombre et j’étais en caleçon. Lui continuait à me parler comme si de rien n’était, il avait sûrement dû le faire à d’autres clients. Il m’a redemandé si je voulais essayer le Kamben et je lui ai dit oui, pensant que j’allais le mettre moi même.
Mais pris de court, il enleva mon caleçon sans me prévenir ou me demander.
J’étais donc le sexe à l’air dans un magasin sombre avec un Indonésien de 50 ans et des passants dans la rue qui pouvaient à tout moment nous voir ou entre dans le magasin. J’étais un peu en état de choc, je ne m’attendais vraiment pas à ça en entrant dans le magasin, je n’arrivais plus à dire un mot ou bouger, j’étais comme tétanisé. Sans y penser ou le vouloir, mon sexe a commencé à durcir, j’avais une belle demi-molle qui pointait le bout de son nez et je devenais de plus en plus gêné. Le vendeur lui était allé chercher l’habit qu’il voulait me faire essayer et quand il est revenu, je me suis de suite excusé. Il m’a dit que ce n’était pas grave, puis m’a posé la question de ma copine, si j’en avais une, je lui ai dit non, il m’a répondu qu’il fallait que j’en trouve une... Cela dit, cela faisait 6 jours que je partageais ma chambre, donc cela faisait 6 jours que je ne m’étais pas masturbé.
Revenons au magasin, j’étais dans le magasin avec seulement mon t-shirt et mon sexe qui grossissait, plus j’essayais d’arrêter de bander, le vendeur avec l’habit s’approchait de moi en continuant à me parler des caractéristiques de l’habit (ne me les demandez pas, je n’ai rien retenu du fait du moment). Le Kamben s’enroule autour de la taille comme un étui et se replie en frange. Il m’a donc enroulé l’habit autour de la taille en effleurant mon sexe plusieurs fois, après l’avoir attaché, il fallait le serrer et le replier, mais mon sexe qui était maintenant bien dur et droit gêné pour l’habillage, j’essayais donc de le décaler vers le bas, mais cela faisait une bosse.
Il a décidé de passer une main dessous le Kamben pour att****r mon sexe. Il avait ma bite dure dans les mains comme quand moi je la prends pour me masturber. J’étais tétanisé de ce qu’il se passait, mais je ne réagissais pas, comme si tout ce qui se passait était normal. Il avait donc mon sexe dans sa main et me la décalait à l’horizontale pour qu’il n’y ait plus de bosse. Bien sûr, mon sexe dans sa main est devenu encore plus dur sans que je le décide. Il a ensuite resserré le Kamben à la taille, mais mon sexe s’était échappé de son horizontalité pour se remettre droit. Il a donc replongé sa main par dessous pour caler mon sexe de nouveau sur la gauche horizontalement, mais cette fois-ci dans du tissu pour que mon sexe ne bouge plus. Avec sa main et le fortement du tissu sur mon sexe, j’étais à deux doigts d’éjaculer. Cette dernière action a duré, je pense bien une bonne minute sans que je ne bouge ou dise quoi que ce soit à part pour m’excuser de mon érection.
Il m’a dit que c’était bon, l’essayage était fini, il s’est relevé, je lui ai de nouveau dit que j’étais désolé, il m’a dit que ce n’était pas grave, puis il est parti dans un rayon pour revenir avec un autre Kamben plus long et d’un autre coloris. Il m’a demandé si je voulais l’essayer, avec toute cette gêne depuis que je suis rentré dans le magasin, j’ai enfin trouvé la force de lui dire non, c’est bon merci. Il m’a dit OK, a posé l’autre habit et s’est mis derrière la caisse. Je lui ai dit OK, je vais te le prendre, j’aime bien. Il m’a demandé si je voulais le garder ou pas, je lui ai dit non, je vais me changer. Je l’ai donc enlevé en vitesse, mon sexe était encore très dur et j’ai vite mis mon caleçon et mon short qui laissait transparaitre ma bosse. J’ai donc payé le Kamben sans même marchander le prix (ce qui est de coutume à Bali) et je suis parti, épuisé de toutes ces émotions.
La première fois qu’un homme m’a touché mon sexe était donc un vendeur à Bali.
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