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Le vendredi, deux bites permises

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Vendredi soir, besoin de lâcher la pression de la semaine.
Je décide d’aller au restau avec mon Chéri, en amoureux, avec une SEULE idée en tête : assouvir la pulsion sexuelle qui m’a envahie toute la journée.
En effet, j’ai reçu un client ce matin, plutôt beau garçon, mais ce qui m’a interpellée, c’est la bosse dans son pantalon qu’il a eu pendant tout notre rendez-vous. Je suis dans le domaine médical, et la première chose qui m’a sauté aux yeux, c’est cette déformation ! Il devait en avoir une très grosse, et j’ai eu l’impression que je devais lui plaire, au vu de la trique qu’il avait.
Il faut dire qu’aujourd’hui, j’ai mis le paquet : talons hauts, jupe patineuse, haut blanc transparent sans soutien-gorge (qui fait ressortir le bout de mes tétons quand ils pointent, j’adore ça, je trouve ça sexy), un peu de maquillage, et surtout, PAS de culottes !
C’est un nouveau truc avec mon mari, quand je veux annoncer à mon cher et tendre que le soir, je veux qu’il me défonce le cul, avant de partir le matin, je me mets devant la fenêtre et m’accroupis pour lui montrer que ma petite chatte est à l’air libre, je me rapproche de lui, et ce pervers passe ses doigts le long de ma fente, qui a le don de me faire mouiller toute la journée... je dois d’ailleurs avouer, que souvent, je ne tiens pas jusqu’au soir, et à peine je prends la route, je mets le régulateur, j’écarte mes cuisses, et me touche le minou en pensant à la dérouiller que je vais prendre en rentrant le soir pendant les une heure de route de mon trajet pour aller bosser.
Ce patient ne m’a fait que des allusions pendant notre rendez-vous, plutôt fine, mais bien placée, et a dû remarquer que je ne faisais que de lorgner sur son entrejambe bien dur.Pour exemple : je lui lance en examinant son oreille « vos conduits sont très profonds, on n’arrive pas à voir au fond, tellement ils sont longs » et de là me répond : « il suffit d’avoir le bon outil, et on peut toujours examiner le fond d’un conduit ».Sale pervers ! Ça m’a fait légèrement frétiller. J’aime cette sensation d’être désirée par un beau mâle, et voir que sa queue est dressée pour moi, sans pour autant aller plus loin.
Il est reparti comme il est venu, la queue entre les jambes, mais a quand même eu le pouvoir de me laisser chaude. J’ai donc décidé d’aller aux toilettes, et d’envoyer une photo de ma chatte humide en guise de sexto à mon mari, pour bien le chauffer, avec un petit message, « dans quelques heures, voilà ce que tu vas pilonner toute la soirée ! »
Sous mes airs de petite fille sage, je suis une vraie Salope !
La journée passe, et nous voilà enfin attablés à prendre l’apéro en bord de mer, le soleil caressant ma peau.
Marc me fait du pied sous la table, sachant que je n’ai pas mis de culotte, et cela a le don de me rendre folle ; sentir cette chaleur en moi, monter l’orgasme, alors qu’il y a tant de monde autour de moi, j’adore ça. Il pousse ses caresses jusqu’à me faire lâcher un soupir de plaisir, et me laisser joues rouges... humm le repas n’en est que plus délicieux.
Arrivée au dessert, je décide de passer aux choses sérieuses. On s’installe au coin-bar, avec son ambiance plus « fête », et je me mets confortablement sur un fauteuil, face au bar, à côté de mon mari. Il y a beaucoup d’hommes seuls ce soir, ce qui n’atténue pas mes chaleurs.
Marc passe doucement, sans se faire remarquer, sa main sous la table, et recommence ses caresses sur ma petite chatte rasée, en titillant mon clito, ramène ma mouille dessus pour bien le lubrifier, puis, m’insère un, deux, puis trois doigts dans ma cavité humide.
Pendant ce petit manège, je bouffe des yeux un des gars au bar, qui n’est pas dupe de ce qui est en train de se passer sous la table, et pour bien lui faire comprendre, je bois mon cocktail à la paille, tenant cette paille façon fellation, ramenant celle-ci toujours à ma bouche, délicatement avec ma langue, mes lèvres faisant office de collier, pour l’entourer, comme une grosse bite.
J’écarte d’autant plus les cuisses, laissant apparaître ma chatte bien ouverte par les doigts fouilleurs de mon homme.
Je commence à être bouillante, mon mari me susurre à l’oreille, « et si tu allais danser pour voir ce qui se passe >>
— Comment ça ? — Va sur la piste, je veux te voir remuer ton cul, je sais que tu aimes être désirée et tu es très désirable.
Un peu intimidée, je me dirige doucement sur un son de zouk, vers la piste. Il n’y a pas beaucoup de femmes, pour beaucoup d’hommes. Certains me regardent avec envie, et j’ai un sentiment à la fois d’excitation, de désir, et de honte. Je ne regarde que leurs entrejambes, et vois une bosse à chacun. Tous ses hommes me désiraient-ils ? Ils ont toutes leurs queues dressées pour me baiser comme une Chienne, enfin ils en ont envie du moins. Je me sens toute chose...Je me trémousse au son de la musique, basculant mes hanches de gauche à droite, remuant mon cul comme mon mari aime le voir, et le regarde au loin, je vois qu’il admire ce doux spectacle. Puis je sens d’un coup, une paire de mains agripper mes hanches, et une bosse se frotter à mon derrière.Je me retourne aussitôt, m’en allais retirer ces mains baladeuses, juste avant que je ne reconnaisse mon patient à la grosse bite de ce matin.
— Alors Mme Julie, je vois que vous n’avez toujours pas remis votre culotte, ce n’est pas des manières pour une professionnelle comme vous.— Comment vous pouvez le savoir, et cela ne vous regarde pas !
Je sens ses doigts se faufiler de mes hanches à l’aine, contournant ma taille, de manière quasi invisible, car nous continuons à danser. Il passe un doigt sur ma fente, et se rapproche plus près encore de moi, et je sens son chibre collé à mes fesses, et contre toute attente, je ne dis rien, et me laisse faire ; quelle Salope je suis !
— Voilà comment je sais que tu n’as pas de culotte, tu crois que je n’ai pas compris ton manège avec ton mari depuis que vous êtes arrivés au restau ? — Je... nous... euhh...
Je n’arrive plus à aligner 3 mots.Il sait y faire, et parcourt mon intimité avec délicatesse et fermeté.Je vois Marc au loin, et ne sais plus quoi faire, je suis coincée entre excitation et honte.Mais mon choix a pu se faire quand je retrouve au loin, dans le regard de mon chéri, un acquiescement de son regard.Mon patient me dit « suis-moi, je vais te montrer ma chambre, tu ne vas pas être déçue » et moi, petite fille sage, je m’exécute, et suis cet inconnu. Quelle Salope je suis, je laisse mon mari en plan, pendant que je vais aller me faire sauter comme la dernière des putes.
Je n’ai jamais fait ça, et je n’en reviens pas. Je n’ose pas lui dire non, j’ai tellement envie de me faire baiser, je n’attends que ça depuis ce matin !
Nous prenons l’ascenseur pour monter au 16e étage. A peine la porte se referme, qu’il me prend la tête et m’embrasse à pleine bouche, ce qui à quoi je réponds en lui caressant sa grosse teub bien gonflée, à travers le tissu de son pantalon. Quelle Salope...
Ding, 16e étage.
Il ouvre la porte de sa chambre, met un oreiller au sol devant le miroir du dressing, et me lance « tu vas me sucer sale garce, tu vas gober ma queue, tu te souviens de ce que je t’ai dit ce matin ? Voilà mon outil pour combler les conduits, en l’occurrence on va commencer par ta bouche ».
Il baisse son froc, sort sa grosse queue, bien épaisse, qui fait eu moins 20 centimètres sur 5. Je vais me faire dérouiller.Je ne me suis pas reconnu quand j’ai, à ces mots, ouvert ma bouche pour avaler ce chibre tendu à mes lèvres. J’aime qu’on me parle sèchement de la sorte, et que l’on me traite comme une chienne. Dans quoi je me suis fourrée... enfin là, je crois que c’est moi qui vais me faire fourrer !
Je me regarde dans le miroir et me vois à genoux, une énorme et longue bite inconnue dans ma bouche, ma main qui n’arrive pas à faire le contour de son dar tellement ce mat est épais, et le pompe comme une pute, assoiffée de sexe.
Je sens qu’il aime ça par les râles qui sortent de sa bouche quand j’enfonce plus profond cette colonne dans ma gorge. Je bave autant que je mouille, et autant vous dire que c’est l’océan ! C’est la première fois depuis 10 ans que je goûte à une nouvelle queue, et ce n’est pas désagréable, ni pour me déplaire. Son odeur et sa texture ne sont pas la même que mon mari, plus âcre, mais avec une peau plus douce.
Mon amant m’attrape les cheveux, et me baise le visage à gros coups de reins dans ma bouche, les bruits de bouche résonnent dans toute la pièce. Je me fais littéralement défoncer la gueule ! Quelle Salope je suis ! (Mais j’aime tellement ça...)
Il retire sa bite, faisant couler un long filet de bave par la même occasion, et me dit : « retourne-toi ma cochonne »
Et là, Marc, mon mari, au bord du lit, froc baissé, la bite bien raide, qui me dévore du regard.
Est-ce qu’il était là depuis le début ? Quelle Salope je suis...
— Je suis désolée mon Amour, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis tellement excitée... On va...
Il me coupe la parole.
— T’excuse pas, j’aime ça, te voir bien chienne comme ça. Je connais une bonne manière de te faire pardonner ma petite Salope, tu vas nous bouffer la queue en même temps, deux bonnes queues dans ta bouche, et ensuite on va te baiser comme la grosse Salope que tu es, tu vas être embrochée entre deux queues.
A ces mots, je continue de sucer notre hôte, avec beaucoup de baves, voyant dans le regard de mon homme la satisfaction de voir sa femme gourmande de sa grosse bite.Je le regarde avec mon regard de Salope comme il aime, étant au paroxysme de mon art avec cette bite gonflée dans ma bouche, et attrape sa bite pour la foutre également dans ma bouche.

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