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Vendue

Chapitre 2

Ce que veulent les hommes...

Erotique
Il fait jour et les caresses sur mes reins sont délicieuses. Le salaud magnifique sait si bien me faire revenir à la vie. Il est collé à moi sa poitrine contre mon dos, et sa main qui a accès à mon corps fait des passages doux sur mes seins. Nous ressurgissons à peine des limbes, de nos rêves nocturnes que je plonge déjà dans cette envie de le sentir en moi. Il le sait, en abuse pour mon plus grand plaisir. Alors en femme avisée et pour qu’il comprenne mon abandon… il me suffit de remuer ostensiblement la croupe.
La chose raide qui s’y trouve plaquée n’a guère d’effort et encore moins de chemin à faire pour tracer une route qui l’amène au bord de mes lèvres intimes. Une minuscule bourrade, un élan calculé du bassin de mon amant et voici sa bête de nouveau enfoncée jusqu’à la garde dans la gaine souple qui me fait gémir… de plaisir. Il ne rue pas comme un sauvage, se contentant de remuer très peu. Juste assez pour que toutes les sensations me soient perceptibles. Celles-là m’entrainent déjà vers une myriade d’étoiles qui défilent au fond de mon cerveau.
L’opération « sexe matinal » se déroule en deux temps bien distincts. Le premier me porte aux nues et m’oblige à réagir lascivement. Le second se fait plus violent parce que je ne supporte plus cette lenteur et que mon propre corps indépendamment de mon esprit réclame plus de rudesse. Jean suit sans sourciller mes réclamations et s’active maintenant au rythme que finalement je lui impose. Ses mots reviennent en surimpression dans mon crâne. « — Une seule fois… juste une fois que je te regarde, que je t’entende crier sous les coups de boutoir d’un autre… que j’admire ton visage lorsque tu jouis… »
Tout bascule en cet instant si murement choisi par mon compagnon pour me faire l’amour. D’un côté, je sais qu’il lui est impossible de me voir puisqu’il est dans mon dos et puis… je me souviens de n’avoir rien aperçu moi-même de sa dernière jouissance de la veille. La nuit porte conseil ? Un adage idiot bien sûr, mais mes réflexions sont teintées de soupirs et entrecoupées par mes râles. Lui aussi souffle plus fort, comme pour m’annoncer l’épilogue de ce « petit coup de brosse matinal ». Inutile de feindre ou de dissimuler, tout chez moi démontre que la baguette magique a encore fait son petit effet.
Je griffe les draps et mon hululement de chouette est là pour rappeler à cette chambre que je pars dans un univers parallèle. Lorsque nous nous calmons, la semence chaude qui coule sur mes cuisses, qui maculent le tissu reste la preuve que nous nous sommes bel et bien aimés. Jean ne s’attarde pas au lit. Nu il se lève et file vers sa cuisine d’où quelques minutes plus tard une alléchante odeur de café et de pain grillé vient chatouiller mes narines. Sa gueule d’ange apparait bientôt dans l’encadrement de la porte.
— Le petit déjeuner est prêt Miss Cécile !— J’arrive, j’arrive Jean… C’est… trop bien de paresser dans les draps. Je devrais le faire plus souvent…— Une manière de me dire que tu envisagerais une vie commune ?— Mmmm ! C’est à méditer, oui je crois que je vais y réfléchir…— Le choix t’appartient ma belle. Comme tous les autres du reste.— Tous les autres ? Tu me parles de quoi là ?— Allons ! Ne fais pas l’enfant et ne m’oblige pas à me répéter. Disons que notre nuit de sexe débridée n’est sans doute pas seulement due à mes câlins poussés. Je crois que lorsque je t’ai caressée hier soir, notre conversation avait déjà laissé quelques traces… comment dire ? Humides dans ta culotte si tu vois ce que je veux expliquer.— Salaud ! J’avais surtout envie que tu me prennes fort et tu t’es acquitté de ta tâche avec… brio !— Allons ! Tu ne voudras pas l’admettre, mais ce que j’ai évoqué a eu un certain effet sur ta façon de me recevoir en toi. J’en jurerais… donc c’est bien pour cela que je dis que tu as le choix pour cela aussi !—… ! Je vois… Ou plutôt, je n’ai rien vu ! J’ai essayé de te regarder lorsque tu allais ou que tu éjaculais en moi…— Et ? Dis-moi comment je suis pendant cet instant « T » ?— Tu as raison… j’étais trop absorbée par mon propre plaisir et me suis perdue dans mon envolée sexuelle.— Ah… tu réalises donc que je ne dis pas que des âneries ?— Ouais… mais de là à… me laisser faire par un autre… même devant toi… il y a encore un long chemin.
— Déjà, tu ne m’opposes plus un « non » franc et massif, c’est bien que les choses évoluent là…
L’index tendu de Jean qui s’est assis sur le bord de la couche me frappe le front. Je ris et il se sent dans l’obligation de faire une moue étrange. Les petits bonheurs se savourent avec parcimonie. Emportée par un élan de mon cœur, éclair d’euphorie, délire d’un moment, je lui rétorque toujours avec le sourire…
— Tu me raconteras comment c’est ?— C’est quoi ?— Ces soirées qui ont l’air de t’avoir tant marqué que tu es prêt à risquer notre amour pour l’une d’elles.—… ? Si tu me fais la promesse d’en partager une… pourquoi pas ?—… Petit malin ! Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’ai une faim de louve… et le café va refroidir.
Aussi à poils que lui, je file en riant aux éclats vers sa cuisine et ses bons effluves. Il me court après, faisant mine de me donner une claque sur le cul. Il rate de peu sa cible et je cavale plus vite encore autour de la table. Puis je fais volte-face et je me bloque sur place. Lui pris par son élan m’atterrit dans les bras. Nouveau baiser là, debout dans la kitchenette. Un vrai pâlot qui nous réunit, serré dans les bras l’un de l’autre.
Nos bouches se séparent au bout d’un long temps parce que le souffle vient à nous manquer. Contre mon ventre la petite chose molle du début d’embrassade a repris du volume. Je n’ai pas besoin de la sentir plantée entre mes cuisses. C’est donc très calmement que mes mains s’activent sur cette gaule palpitante. Je la masturbe délicatement et Jean se crispe sous les effets pervers de ma branlette. Pour se donner une certaine contenance, il vient du bout de la langue titiller mes pointes de seins.
Les effusions durent encore quelques instants avant que nous prenions place devant deux bols fumants. Entre deux bouchées, sur le tablier de la table rejaillissent ses demandes à demi voilées.
— Tu me promets que tu vas y réfléchir, Cécile ?— Tu me promets que tu me raconteras… Jean ?— Eh bien… un oui de ma part en appelle un de la tienne ?— D’accord… mais tu ne brusques rien, c’est bien entendu ?— Tes désirs sont des ordres. Je te connais suffisamment pour savoir que tu ne t’engages jamais à la légère et que tu sais respecter ta parole. Alors, écoute…
— xxxXXxxx —

Jean se met à parler, jusqu’à ne plus en avoir de salive. Je bois son récit, émaillé d’anecdotes. Bien sûr que c’est parfois difficile pour moi d’appréhender telle ou telle situation. Il est vraisemblable qu’il est plus complexe de les faire revivre après les avoir vécues. Mais apparemment, il semble prendre un incroyable amusement à me conter les cas les plus croustillants qui lui ont apporté un pied d’enfer. J’écoute et je dois admettre que quelques détails me donnent l’eau à la bouche.
Il n’est pas dupe et force le trait de positions que je juge mentalement acrobatiques. Mais il sait enrober la chose de calembours et malgré nos frasques matinales et nocturnes, mon appétit revient. Sexuel s’entend, il le devine et quand sa main par en exploration entre mes cuisses, il y a fort à parier que ce qui mouille ses doigts est bien dû aux images qu’il me distille. Est-il heureux de me voir venir à califourchon sur ses genoux ?
Il se tait enfin puisque son bec est occupé amoureusement par le mien. Et en homme bien élevé, il ne parle pas la bouche remplie. Le reste n’a pas de témoin et son dos va se souvenir de mes ongles qui y creusent des sillons pas forcément désirés. Lorsque mes soubresauts s’apaisent, que lui aussi en est à une petite mort inévitable, alors que sa bite se recroqueville après ses pleurs dispersés, il me murmure des mots doux.
— J’adore te faire l’amour Cécile ! Tu ne peux pas savoir combien j’apprécie que tu mouilles de la sorte. Ne me dis pas que ce que je t’ai raconté t’a laissée indifférente… j’ai bien senti !—… Pff ! On ne peut rien te cacher…— Et tu n’as rien à me dire… toi ? On avait conclu une sorte de marché tacite non ?— Je vois… monsieur a de la suite dans les idées ! Comment imagines-tu une conséquence « raisonnable » à cette affaire ?— Ben… ça dépend de ce que tu autorises ! Est-ce que j’ai carte blanche ? Ou bien veux-tu toi aussi, avoir le choix ?— Je n’en sais fichtre rien… le mieux serait que je sois mise devant le fait accompli. Mais tu vas m’en vouloir beaucoup, si éventuellement ça ne se passe pas vraiment comme tu le prévois ?— Mais non, pourquoi devrais-je t’en tenir grief ? Voyons, est-ce que ça veut dire que je suis ou serais le guide qui va te faire traverser la rivière de tes tabous ?— Essayons ! Après tout, ce que tu m’as raconté n’a rien d’effrayant de prime abord !— À la bonne heure ! Mais quelle limite mets-tu à nos jeux ?—… ? Franchement ? Je ne sais pas jusqu’où je suis capable d’aller, alors pour fixer des limites… je n’en conçois pas véritablement.— Alors… si tu veux, je prépare une soirée de ce style rapidement !— Pourquoi veux-tu aller vite, nous avons tout notre temps, tu ne crois pas ?— Il faut, dans ce domaine comme dans beaucoup d’autres, Cécile, battre le fer pendant qu’il est chaud et trop attendre c’est prendre le risque de te voir reculer et te braquer. Alors oui… je vais t’aider à sauter le pas…— Sauter… c’est drôle comme image non ? — C’est vrai que sorti de son contexte ce vocable a de quoi surprendre… et prête à confusion, encore que… c’est bien de cela qu’il s’agit.— Bon ! Eh bien, je te laisse faire comme tu veux. C’est sans doute la moins mauvaise des formules.— Oui ? Mais il y a bien des degrés dans les jeux…— Je ne connais rien de ce que tu veux me proposer… alors si je te donne le feu vert profites en… il est bien possible que je ne te renouvelle jamais mon accord.— J’ai bien reçu le message… donc tu auras droit au grand jeu dès le départ… au moins ne serais-je pas déçu et si ça ne fonctionne pas, je n’aurai aucun regret et encore bien moins de remords…— Voilà ! Et une seule tentative comme c’est convenu…— Reçu cinq sur cinq !
— xxxXXxxx —

Une semaine sans histoire durant laquelle je n’ai vu Jean que trois soirs. Et nous n’avons pas reparlé de sa fantaisie. Heureusement, car ça m’oppresse quelque part de lui avoir donné un peu rapidement une sorte de blanc-seing. Je constate donc qu’il n’abuse pas de la situation et ce jeudi soir, devant un bon feu de bois, dans mon salon, nous refaisons avec tendresse des galipettes qui me font monter au septième ciel. Un moment ordinaire où nous trouvons le moyen de nous donner un maximum de plaisir.
Tout est mis à contribution. La vue, l’ouïe, le toucher. Je goûte, tâte, savoure ce pénis qui bande presque à la demande. Jean n’est pas avare de câlins. Il les donne et les reçoit avec un égal bonheur. Nous reprenons nos souffles après des prouesses dont je ne me serais plus crue capable. Donc lorsqu’il me propose une sortie samedi soir, je n’y vois aucun inconvénient. Je tique seulement lorsqu’il a un désidérata plutôt incongru, lui qui me fait toujours confiance vestimentairement. Je lui pose la question qui me brûle les lèvres.
— Il va se passer quelque chose de spécial samedi soir ?
Pour toute réponse j’ai droit à un large sourire et son index qui vient verticalement clore ma bouche. Il ne veut rien me dire, se borne seulement à me donner quelques instructions.
— Tu te fais belle… tu portes une jupe, un corsage avec plein de petits boutons et des sous-vêtements les plus classe possible. Tu n’as pas besoin d’en savoir davantage. Une surprise reste une surprise !— Ouais ! J’aimerais savoir à quelle sauce je vais être… assaisonnée !— Tu as toujours le mot pour rire, Cécile. Sache juste que je suis là et que je suis le garant de ta sécurité. Par contre, tu devras me suivre et m’obéir tout au long de notre sortie…—… ! Ma foi, je dois donc te faire une confiance aveugle ?— C’est exactement ça… aveugle oui…— Pas moyen d’en savoir juste un minimum ?— Tu en sais déjà beaucoup… dis-toi que je ne laisserai jamais personne te faire du mal et surtout c’est moi qui te guiderai… ça devrait te rassurer.— Pas plus que ça, mais bon…
Sa patte est revenue sur ma cuisse et se faufile dans le couloir que les deux jambes forment. Elle sait bien où elle se rend. Il s’exclame encore une fois.
— Ben, dis donc… tu es incroyable toi…— Quoi encore… ?— Tiens ! Goûte-moi ça et dis-moi… si tu ne mouilles pas à cause de notre conversation, je me fais curé…— Défroqué… je ne veux pas voir ça, moi… Je n’ai rien d’un ange après tout.
Je lèche ses doigts dégoulinant de mes sécrétions. Il est content de lui. Qu’ai-je à rajouter ? Il est des situations qui ne mentent pas. Ça finit comme ça a commencé par une possession monstrueuse et je suis sur le flanc, au propre comme au figuré. J’en viens à me demander si c’est bien dans les règles d’avoir la trique de cette façon. On dirait qu’il est toujours prêt pour me prendre. Je me ravise à la dernière seconde. Pourquoi se monter la tête puisque j’en bénéficie largement ?
Tout mon vendredi est sacrifié à mon imaginaire qui déborde. Je suis en proie aux pires conclusions. Je vais sans doute devoir me laisser faire par je ne sais qui et ça me met dans un état proche de la congestion. Je m’en étrangle avec ma salive à force de songer à des trucs innommables. Mais ça ne stoppe en rien l’inexorable avancée des aiguilles et la nuit qui précède celle de la sortie officiellement programmée, je ne dors que très peu.
Il n’est pas faux de dire aussi que j’ai un nœud, une boule à l’estomac et qu’il m’est quasiment impossible d’avaler quoi que ce soit. Alors je passe toute la matinée de cette journée à me morfondre, à me tordre les doigts autant que mon ventre se serre. La seule issue possible est de chercher refuge sous ma douche. Un endroit qui me sécurise et me calme. J’y trouve une sorte de sérénité qui me permet enfin de desserrer l’étau qui me vrille les tripes.
C’est donc pimpante et presque fraiche, que je prends la direction de l’appartement de cet amant qui me fait faire n’importe quoi. C’est ce à quoi je pense sur le chemin qui mène à son immeuble. Dans sa cour, mon cœur fait des sauts de cabri dans ma poitrine à la seule vue d’une voiture inconnue, bien rangée à côté de la berline de Jean. C’est un vrai combat que de franchir les quelques mètres qui amènent mon index hésitant sur le bouton de la sonnette. Je me fais violence pour oser appuyer sur ce qui me parait être le fond du gouffre.
En bras de chemise ! C’est dans cette tenue qu’il m’accueille et que je me retrouve face à face avec celui qui me semble joyeux. Jean a un large sourire et il s’efface pour que j’entre. Puis après un vrai baiser, nous nous dirigeons, sans autre commentaire, vers le salon. Un type, sans doute plus âgé est assis et nous regarde avancer vers le fauteuil où il a pris place.
— Cécile, voici Monsieur Maxime ! Maxime, je te présente Cécile !— Bonsoir, Maxime, donc.— Bonsoir Cécile, et si ça ne te dérange pas je préfèrerais que tu gardes le Monsieur et que tu me vouvoies. —… ? Bien ! C’est comme vous le sentez.— Parfait ! Jean, ta compagne est splendide. De plus, elle est intelligente et ça, ça n’a pas de prix.
Au premier abord, le type me semble un tantinet snobinard. Me tutoyer, mais vouloir que je conserve le vous… ça me met déjà passablement mal à l’aise. Mais comme j’ai donné ma parole… il n’est pas question que je dise ou fasse quoi que ce soit pour déplaire à Jean. Celui-ci du reste s’empresse de me donner la main et m’invite à m’assoir en face du bonhomme. Je le détaille sans en avoir l’air.
Je lui donne entre cinq et dix ans de plus que mon amant. Il est bien vêtu, un peu massif, quelques kilos de trop. Ses tempes sont argentées et ça lui donne une sorte d’aura mystérieuse. Je contourne donc le siège où il est par l’arrière, pour ne pas passer entre lui et le canapé. Je débute donc un mouvement de fléchissement des jambes pour m’assoir et de la voix, l’inconnu me rattrape au vol.
— Non ! Tu dois en ma présence apprendre à t’assoir correctement ?— Pardon ?— Oui ! Jean m’a donné tous pouvoirs pour la soirée de présentation. Alors, autant mettre les pendules à l’heure de suite. Lorsque tu t’assois, seules tes fesses doivent poser sur l’assise du siège ! Donc tu relèves ta jupe et la maintiens jusqu’à ce que seul ton derrière soit sur le coussin.—… ? C’est…— Chut ! Tu ne parles que quand on te le demande. C’est aussi un des premiers préceptes que tu dois connaitre.
Sa voix est sèche, sans vraies violences. Les ordres, ou les paroles que je perçois comme telles entrent dans mon crâne. Ce n’était pas prévu au programme, qu’un type me dise ce que je dois faire. Pourtant quelque chose au fond de moi me dicte de ne pas me rebeller. Alors en tremblant légèrement, et les deux mâles doivent en être conscients, je prends entre mes doigts le bas de l’ourlet de ma jupe et le remonte sur mes reins. Ma culotte doit être bien visible à ce mec qui suit mes mouvements.
— C’est presque bien. Tu verras ! Tu vas t’habituer très vite. Encore une chose… tu ne croises jamais les jambes en ma présence et tu écartes tes genoux l’un de l’autre. As-tu compris ?
Je hoche la tête et il prend cela pour de la déférence.
— À la bonne heure ! Tu es vive d’esprit et ça, mon cher Jean… c’est un signe qu’elle est une bonne salope !
Je viens de sursauter. Ce Maxime s’en est rendu compte. Alors pour me montrer que c’est bien lui le maitre du jeu il se remet à me parler.
— Bien ! Puisque tu sembles être cool, relève-toi !
Bizarrement, j’obéis à ce qui se rapproche forcément d’une obligation.
— Parfait. Maintenant, retire ta culotte et pose-la sur la table basse. Ensuite tu vas nous servir l’apéritif. Tu es bien docile et c’est plaisant.—… ?
Mes yeux filent chercher un soutien moral dans ceux de Jean. Je n’y trouve pas l’appui que j’escomptais y dénicher. Il a l’air très sérieux. Alors… par bravade et puisque ça a l’air de lui faire aussi plaisir, je fais donc glisser le long de mes jambes le minuscule triangle de tissu qui me cache le cul. Je sens, je sais qu’il bande. Et je dois dire que le guêpier ou la situation floue dans laquelle je me suis fourrée me donne la chair de poule.
— xxxXXxxx —

À suivre…
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