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La vengeance du cocu mécontent, suite 3 réécrite

Chapitre 1

Divers
De BonnevilleEn rentrant du motel où ma femme compris comment je l’avais piégée, nous rencontrâmes le sieur De Bonneville sur notre pas de porte.
– Bonjour, je vous ai convoqué, car de ce que je sais, ma femme vous a fait un mandat sans mon autorisation. Je veux en discuter avec vous, si toutefois vous n’y voyez pas d’inconvénients.– Bien volontiers, d’autant plus que je n’ai rien trouvé sur vous, qui soit en regard avec le mandat qui m’avait été confié.– Je pense bien, vu que j’étais tellement pris par mon travail, à tel point que je ne m’étais pas rendu compte que ma femme en souffrait. Avez-vous du matériel à récupérer ?– Oui, deux minis caméras dont j’aimerais vous entretenir personnellement avec vous avant de les enlever.– Chérie, prépare donc des cafés comme tu en connais si bien le secret, en attendant que je finisse de discuter avec monsieur Debonneville.– Qu’avez-vous donc à discuter hors de mes oreilles si curieuses.
Une fois ma femme partie, il me confia qu’il m’avait vu placer certaines choses qui l’intriguait et qu’il aimerait bien observer.Je lui répondis que j’accéderais à sa demande s’il me fournissait la copie des enregistrements qu’il avait faits depuis longtemps.
– Du point de vue professionnel, je ne peux pas le faire, tout comme vous empêcher que vous saisissiez mon matériel et de copier les résultats.
Sur cette base, je crois que l’on peut s’entendre. À vous de trouver avant moi les instruments que j’ai mis en place et je ne vais pas me dépêcher à les démonter vous n’aurez qu’à m’observer pour les découvrir et une fois les avoir vidangés des informations qui vous intéressent, me les rendre.C’est ainsi que j’ai pu découvrir l’étendue des dégâts en réécoutant et visualisant les enregistrements de sieur Debonneville. Nous étions satisfaits l’un comme l’autre du déroulement, il se doutait bien que ce mandat, puisque je l’avais découvert, ne serait pas honoré et qu’au mieux il récupérerait ses billes. Nous nous quittâmes en bons termes, même si ma femme lui faisait la gueule, ce que je comprends fort bien.
Le divorce à l’italienne.
C’est ainsi que je me remis en ménage avec mon épouse que j’utilisais plus maintenant comme vide couilles à domicile et je m’en étais presque fait un instrument de promotion dans l’entreprise, mais vraiment, elle m’inspirait de moins en moins, l’amour, que je lui avais porté, était définitivement mort et je pensais malgré tout à retrouver une femme dans la quelle j’aurai confiance et du plaisir à partager.Après une année de cohabitation plus ou moins forcée, à nouveau mon système de contrôle m’informa que ma femme avait repris ses mauvaises habitudes et pour recommencer avec le capitaine des pompiers, sans ma permission, ni m’avoir avisé de ses turpitudes et à nouveau sans protection.Je me décidais, je ne la toucherai plus, pas envie d’attraper un gonocoque ou une autre saloperie, mais j’allais bientôt m’en défaire.Je finis par aller dans le quartier chaud, dans l’idée de trouver une solution à mon problème, je fis semblant de vouloir consommer de la viande exotique en la présence d’une très belle fille que je dirai d’origine extrême-orientale.Je la suivis dans son gourbi et devant son besoin de me faire l’amour, je l’arrêtais.

– Je ne veux pas te faire l’amour, mais j’aimerais rencontrer l’homme qui te soutient pour avoir une discussion avec lui. C’est possible ?
Je n’eus pas fini ma phrase qu’une porte dissimulée dans la paroi s’entre-ouvrit pour laisser passer un homme impressionnant de force et je dirais de dureté.
– Qu’est-ce que tu me veux ? m’apostropha-t-il.– c’est un peu compliqué, mais cela pourrait vous intéresser ou tout au moins une de vos connaissances. Mais je ne peux pas m’exprimer que discrètement.– Viens de l’autre côté de la porte et toi Maria, retourne au travail.
Une fois arrivé dans une chambre relativement pleine d’écrans visualisant le travail de ses gagneuses, l’homme se retourna :
– Alors quel est votre problème ?– C’est pas facile à énoncer, mais j’aimerais me débarrasser de ma femme, comme elle a le feu au cul, je me suis dit que cela pourrait intéresser votre organisation d’avoir une gagneuse qui ne recule pas devant la baise et qui en redemande, mais il faudrait qu’elle disparaisse de la circulation définitivement, je pensais éventuellement à un bordel au Maghreb où sa blondeur aurait certainement du succès.– Intéressant, mais comment comptez-vous procéder ?– Pas trop difficile, je l’amène au Maroc ou ailleurs en vacances de réconciliation et lors d’une visite il y a bousculade et je la perds, j’en suis officiellement désolé et vous vous gagnez une super baiseuse. Je pourrai vous la présenter avant si cela ne risque pas de créer de risques.– Cela peut se faire, je tâte la marchandise ici et mon cousin à Marrakech la réceptionne. Quand je peux voir si elle vaut la peine.– Voilà mes coordonnées, venez un soir bien habillé et je vous laisserai avec elle le temps qu’il vous faut pour apprécier la marchandise.– Je vois que vous parlez de votre femme comme d’une marchandise.– C’est vrai qu’elle a pour moi moins d’importance qu’une paire de godasses usées dont j’ai de la peine à me défaire.
C’est ainsi qu’Ali se présenta chez moi, bien habillé, mon ex-chérie nous concocta un excellent souper et finalement, je l’affranchis:
– Ma chérie, Ali représente un gros contrat pour moi, je compte sur toi pour la qualité de l’accueil, il reste à dormir cette nuit et moi je suis obligé d’aller régler un différend ce soir pour l’entreprise.
À peine que je sois parti, elle s’empresse de remplir son contrat et minaude auprès d’Ali, qui sans trop de problème sort sa bite et lui recommande de bien le lisser.Cela ne l’effraie pas plus que cela et on voit qu’elle en a déjà pas mal eu au compteur. Satisfait, il lui commande de se mettre en position, il a envie de son avocat. Se doutant que je surveille les ébats elle veut exiger la protection, alors que moi je m’en fous comme de ma première pantoufle. Là, elle prend un beigne qui lui coupe le souffle et sans aucune rebuffade, elle offre sa corolle à la pénétration du bulbe.L’homme est particulièrement bien fourni, surtout, il a l’habitude de dominer ses conquêtes, là pas question que madame lui vide gratuitement les coucougnettes, il veut la faire hurler de plaisir et garde ses forces, mais parallèlement il utilise de technique pour réduire la volonté des femmes en les martyrisant juste ce qu’il faut, la pincée des nichons est un modèle du genre, on ne sait si elle miaule de plaisir ou de douleurs mais probablement des deux, elle se tend dans un orgasme dévastateur, mais lui ne lui laisse pas le temps de refaire surface et la retourne comme un crêpe et à sec lui farfouille le temple de Sodome.À nouveau les cris qui finissent en couinement de plaisir, voir de délire quand il envoie la crème apaisante calmer son boyau martyrisé.Elle pense qu’elle a eu la totale, mais en ressortant son épée qui n’est pas celle de Damoclès, mais passablement chargée des résidus d’intestins, il lui la met dans la bouche.
– Tiens salope de ménagère, fais ton travail et nettoie bien mon outil.
Là ma belle, un peu délicate se voit forcée d’aller nettoyer les résidus de son gros colon, les cheveux pris dans les mains qui maintiennent sa tête au nettoyage.
– Je crois que ton mari a gagné son contrat, tu le remercieras bien de ma part, ce fut un plaisir de traiter avec un tel Gentleman.– Mais …
Ah ! Je vois que cela ne te suffit pas, on va mettre un petit complémentSans autre commentaire, il la couche sur ses genoux, prend son ceinturon et commence à lui tanner le cul de la plus belle manière, je crains qu’avec un tel traitement, elle ait de la difficulté à s’asseoir pendant plusieurs jours. Le visage ravagé par les pleurs et le corps par le plaisir, elle prend son pied d’avoir trouvé un mec qui lui fasse un si grand effet.
– Dis-moi, cela ne te plairait pas de travailler pour moi ? Tu ne serais jamais en manque de sexe.– Et mon mari.– T’inquiète j’en fais mon affaire.
C’est ainsi que nous partîmes au Maroc pour me faire pardonner ma cruauté du traitement qu’elle a subit, en réalité, pour m’en débarrasser.Au bout du deuxième jour, je la vis partir au bras d’un homme, homme que j’identifiais bien comme celui qui devait la prendre en main.
Je ne la revis plus, par contre sur invitation du patron du bordel qui la décrassait chez les militaires marocains, je trouvais celle qui allait la remplacer.Il me convainquit de la prendre en remplacement, elle n’était pas bonne pour le turbin, car trop rebelle et d’une beauté qui ne faisait pas l’unanimité en terre arabe. Le clito qui ornait sa fleur était trop important et l’excision était interdite au Maroc sous peine de punition grave.Il s’excusait qu’elle ne fut plus vierge, mais je le rassurais que ce qui comptait pour moi, c’est après et pas avant.Pour éviter tout ennui par la suite, j’annonçais la disparition de mon ex, au consulat, en précisant les circonstances et que de pour ma part je n’allais pas lui courir après, elle m’avait quitté de son plein gré, il fallait qu’elle assume ses actes, mais qu’en conséquence, je m’étais à mon tour fiancé avec une jeune fille du coin que je désirai faire venir en France.La famille de cette jeune, qui l’avait vendue au Caïd pour une somme modique, fut enchantée par cette issue, car elle craignait bien qu’elle finisse sur le trottoir. Je la rachetais sans problème en laissant un bénéfice appréciable à l’intermédiaire.Il ne put s’empêcher de lui faire la leçon.
— Monsieur … t’a achetée alors que tu étais condamnée au travail du sexe de masse, il t’honore de te prendre pour épouse, ne l’oublie jamais, on contrôle régulièrement si les femmes que l’on détourne du boui-boui, remplissent bien leur contrat. Dans le cas contraire, tu te doutes de ce qui risque de t’arriver.
Épilogue
Dans un journal de quartier, faits divers.La mort de la reine marocaine de la turlute, Marie Blanchot a été retrouvée étouffée à son domicile, la gorge encombrée de semence, les obsèques se feront dans toute intimité au cimetière des chiens écrasés, la faculté ayant refusé son corps à fin d’expérience.Je vois qu’elle avait repris son nom de jeune fille, finalement dans sa déchéance, elle a quand même voulu m’épargner le rapprochement du nom de famille.Quant à ma nouvelle épouse, c’est une perle merveilleuse, toujours aux petits soins pour moi et qui veut toujours m’accompagner.À force d’être aux petits soins pour moi, arriva ce qui devait arriver, son ventre s’arrondit et enfin je fus papa.Le dernier mois, elle resta sagement à la maison, préparant le nid pour l’arrivée de notre fils.Finalement j’ai eu une famille de type royal, un fils pour me succéder, une fille à marier et pour finir un autre fils pour rentrer dans les ordres, après nous décidâmes qu’on avait fait assez pour la patrie.
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