Je me prénomme Sandrine, j’ai 30 ans et je vis depuis deux ans avec Jérémie que j’ai rencontré dans un club coquin... Nous avons une vie confortable avec des boulots qui nous plaisent.Avant de nous mettre ensemble, nous avons conclu une sorte de pacte : pas de sexe en dehors de notre couple et totale liberté lorsque nous allons une fois par mois dans différents clubs de la capitale.Nous sommes bien assortis. Je suis relativement grande avec presque 1,68 m, je suis brune de cheveux et de peau (origine latine). Je suis ce qu’on peut appeler une femme pulpeuse... ma bouche charnue (qui parait-il, fait merveille lors des fellations), une poitrine rebondie (95 C ou D selon les marques de soutien-gorge) et des fesses callipyges sous une taille cambrée ! Etant bisexuelle, j’ai toujours eu des relations aussi bien avec des femmes qu’avec des hommes depuis la fin de mon adolescence.Jérémie est à peine plus grand que moi mais il est râblé car il pratique depuis son adolescence le rugby (certes en amateur). Il est brun également et ses muscles sont bien dessinés. C’est un beau mec qui m’a fait craquer dès que je l’ai vu ! En plus, ce qui m’a plu lors de notre première rencontre, c’est son endurance en matière de sexe... Il m’a fait jouir deux fois en me prenant dans diverses positions avant de se lâcher dans la capote alors qu’il me baisait en levrette dans un coin à câlins.Ce soir-là nous avons échangé nos numéros de portable au bar du club et nous nous sommes revus à plusieurs reprises chez lui ou chez moi.
Tout roulait pour nous... jusqu’à ce qu’un grain de sable vienne perturber notre pacte... J’ai découvert que Jérémie avait une aventure avec une fille de sa boîte...Je n’ai rien dit sur le coup mais j’ai mûri ma vengeance pendant quelques jours avant d’en parler à Camille, une fille que j’avais rencontrée en club (vous voyez ce que je veux dire). Elle était partante pour tendre un piège à Jérémie...J’avais fait l’amour à deux reprises avec elle et je savais que Jérémie avait envie de se la faire... Il aurait bien voulu s’immiscer dans notre duo mais ce soir-là, ni l’une ni l’autre n’avait envie d’un mec... Nous étions bien toutes les deux à nous gougnotter et faire baver les mecs !
Un vendredi soir, alors que nous devions sortir avec Jérémie, j’avais invité mon amie Camille à prendre un pot et à dîner avec nous avant de partir... Mais nous avions notre idée en tête...Quand Jérémie a vu Camille à l’appartement, il a été surpris mais ce coquin n’a pas tardé à lui faire du « rentre-dedans » et Camille a répondu... Les allusions à caractère sexuel n’ont pas tardé et sans le savoir Jérémie est tombé dans le piège !
Le repas frugal terminé, nous sommes allées Camille et moi dans la salle de bains, soi-disant pour nous préparer pour sortir... en fait, si nous nous sommes préparées... c’est à l’intention de Jérémie...Quand nous sommes revenues dans le séjour où ce dernier nous attendait sur le divan, nous étions en petite tenue ! J’avais fait récemment l’emplette d’un soutien-gorge redresse seins du plus bel effet (Jérémie ne l’avait jamais vu) et d’un string assorti en dentelle ivoire qui ressortait bien sûr ma peau mate. Camille portait un ensemble mauve qui faisait ressortir sa peau diaphane de blonde... Le soutien-gorge était bien rempli et les tétons sortaient par un orifice brodé au centre du bonnet... Je les avais sucés pour les faire saillir ! Le tanga assorti était fendu à l’entrejambe mais cela ne se voyait pas... Nous plaçant devant Jérémie, je l’ai interrogé :— Ça te plaît ? Je sais que tu aimes la belle lingerie... Camille, approche-toi pour qu’il apprécie !— Il faudrait être difficile ! C’est ce que vous avez l’intention de porter tout à l’heure ?— Oui... mais ce soir, on ne sort pas ! On baise à la maison ! Je sais que Camille te faisait envie l’autre fois, alors elle est tout à toi ce soir !— Oui... Tu vas pouvoir me baiser comme tu voulais... Je suis à toi... C’est le cadeau de Sandrine !— Un cadeau ? On ne fête rien ces jours-ci !— Ne pose pas de questions... Tu voulais baiser Camille ? Alors ne t’en prive pas... Tu pourras même vider ton foutre en elle !— C’est sur... en club, ce n’est pas possible ! Viens près de moi Camille ! Assieds-toi sur mes cuisses que je vois tout cela de plus près !
Camille se laissait peloter passivement, ne répondant que timidement aux baisers de Jérémie... Elle le faisait languir... C’était prévu ainsi !Puis elle a entrepris de le déshabiller... la cravate dénouée, elle a ouvert la chemise qu’elle a ôtée puis elle a fait passer par-dessus les épaules le T-shirt... Elle a quitté les cuisses de Jérémie et s’est agenouillée entre pour retirer le pantalon et le boxer qui ont rejoint les autres vêtements roulés en boule sur la moquette.Le sexe de Jérémie était déjà bien dressé sur le devant de son pubis et lorsqu’il a pris la nuque de Camille pour qu’elle se penche et le prenne en bouche, elle s’est dérobée avec un éclat de rire :— Pas ce çà mon coquin ! Passons dans la chambre... c’est toi qui vas me faire plaisir ! Je veux voir si tu sais mieux me bouffer la chatte que Sandrine !— Si tu veux... mais tu ne perds rien pour attendre ! Ma bite va te défoncer !— On verra ! Ce n’est pas encore le moment... Montre-moi le chemin !Camille connaissait le chemin car nous avions déjà eu un après-midi mouvementé il y a quelques jours et elle savait où se trouvait la chambre... Je les ai suivis et dans la chambre, je me suis installée sur un fauteuil se trouvant dans un angle... J’avais un bon point de vue sur le lit où Jérémie avait fait allonger mon amie Camille et s’apprêtait à lui faire un cunnilingus en ayant ouvert la fente du tanga...Un bras ramené sur son visage et l’autre sur sa généreuse poitrine, Camille était toujours aussi passive... elle avait simplement écarté un peu les cuisses pour livrer son corps aux caresses de Jérémie.Je le voyais distinctement ouvrir de ses doigts les lèvres intimes de mon amie, faire aller et venir deux doigts le long des nymphes pour faire suinter la cyprine puis en se penchant, saisir le clitoris entre ses lèvres... Il était à quatre pattes, les fesses levées bien haut et les genoux ramassés sous son corps... Sa position ouvrait la raie culière et je voyais palpiter son œillet... Il prenait son pied à bouffer la chatte de Camille... et j’avais ma vengeance à portée de mains...Il a mis un certain temps à faire jouir Camille (elle devait se retenir...) et il est remonté vers sa bouche pour l’embrasser...— NON ! Je n’embrasse pas les traîtres !— Quoi ? Comment ? Que veux-tu dire ? Tu as semblé apprécier mes caresses et tu ne veux pas que je t’embrasse ?— Non, pas pour l’instant... Prends-moi en levrette... on verra ensuite !Camille a retiré vivement son tanga et s’est redressée pour se placer face au mur, les mains en appui sur la tête de lit... Elle cambrait ses reins et je voyais ses seins, encore emprisonnés, pendre sous son corps... Une bouffée de chaleur m’a envahi en repensant au 69 lesbien que nous avions fait quelques jours avant... Nos poitrines généreuses s’étaient frottées l’une contre l’autre pour faire monter le plaisir dans nos corps... Décidément cette fille de mon âge me plaisait de plus en plus... on partageait les mêmes goûts et centres d’intérêt sexuels...Dès que Jérémie a été en place dans la chatte de Camille, je les ai rejoints sur le lit... Entre-temps, je m’étais discrètement harnachée avec un gode à ceinture dont le membre factice pointait sur mon pubis !Je tenais ma vengeance... Je savais par ses confidences que Jérémie n’aimait absolument pas les hommes, qu’il avait horreur que l’un d’eux tente des approches quand il était en club et que bien sûr, il ne s’était jamais fait sodomiser ou même mettre un doigt dans le cul !Je ne voulais pas lui faire mal aussi j’avais opté pour un membre long et fin dont j’avais enduit le bout de baume pour qu’il entre facilement...— Ah bon... Aujourd’hui tu veux participer ?— Tu ne crois pas si bien dire !Forte de cette réponse, je me suis approché des fesses de Jérémie et sans chercher son anneau plissé, j’y ai introduit le bout du gode puis le reste de la hampe factice a suivi !Jérémie a eu un mouvement de recul et s’est écrié :— Non... Non... ne fais pas ça !— Trop tard... je suis au fond de ton cul et il ne se refuse guère ! J’espère que la chatte de Camille est confortable... elle te faisait tant envie l’autre jour !— Ce n’est pas ça ! Quelle idée t’est passée par la tête ?— Ça... comme tu dis si bien... cette idée m’est venue pour me venger de la petite pute avec laquelle tu baises au bureau ! T’es un beau salaud... on s’était promis de ne pas avoir de sexe avec d’autres partenaires en dehors des clubs...Jérémie est resté quelques secondes sans répondre.— Je t’ai ouvert ma bouche et ma chatte en club... quand tu as voulu me prendre le cul à la maison, je ne t’ai pas dit non... Tu es un bel enculé !Je tenais ma vengeance !
