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Vengeance de fille

Chapitre unique

Elle va le détruire

Trash
Tout cela avait commencé par un petit flirt anodin. Elle était la nouvelle jeune stagiaire du cabinet d’avocats dans lequel Jason travaillait, et elle était merveilleusement jolie. Petite blonde sexy, Sandra était une jeune femme de 22 ans qui faisait tourner la tête de tous ces hommes avec son air angélique. Malheureusement pour Jason, il a eu le béguin pour elle. Des sous-entendus évocateurs au bureau conduisirent rapidement à des insinuations plus directes.
Bientôt, ils s’envoyaient fréquemment des textos assez salaces, même si aucun de deux n’était libre. Ces messages coquins étaient truffés de mots crus et d’images indécentes. Jason apprenait à ses dépens que cette beauté à l’air pudique avait en fait un tempérament de feu, provocante et libertine. Cet ensemble était très excitant pour Jason qui, à 31 ans, avait une vie de famille bien rangée.
Emmanuelle, sa femme, une magnifique brunette de 27 ans, était beaucoup plus conservatrice. Une fille qui s’affichait comme Sandra, elle l’aurait mésestimée. Mais Jason considérait Sandra comme un bon coup. Très sexy et sensuelle, elle était beaucoup plus divertissante qu’Emmanuelle ne l’avait jamais été. Elle a dit crûment à Jason qu’elle voulait sa bite. Elle lui avait retourné le cerveau.
Après plusieurs mois d’échanges pervers, il ne pouvait plus résister. Le gars s’est finalement arrangé pour se libérer une soirée, la semaine suivante, et réserver une chambre à l’hôtel tout proche. Un déplacement professionnel lui servait d’excuse. Il allait baiser Sandra toute la nuit.
Mais la veille de ce rendez-vous, alors que Jason prenait son petit-déjeuner chez lui, Emmanuelle vaquait à ses occupations, dans sa cuisine, vêtue d’un shorty moulant et d’un T-shirt trop court. Elle riait chaque fois qu’il essayait de caresser son cul, et elle l’agitait devant lui, hors de portée de ses mains baladeuses, pour le taquiner. Finalement, il a réussi à l’attraper, et il l’a embrassée en pétrissant ses fesses bien fermes.
Il réalisa sur-le-champ qu’il n’avait pas besoin d’autre chose. Il était parfaitement heureux avec sa femme, et c’était complètement idiot de vouloir baiser Sandra. Un incident fortuit pouvait se produire, et détruire son mariage. Le jeu n’en valait pas la chandelle. Jason a décidé à ce moment-là de tout annuler, et l’a annoncé à Sandra plus tard dans la journée.
Sandra était furieuse, et elle est entrée dans une colère terrible. Elle l’a insulté, menacé, en lui rappelant qu’elle avait enregistré tous les textos qu’il lui avait envoyés. Il était stupide de ne pas y avoir pensé avant. Elle lui a dit qu’il était foutu, qu’elle allait le détruire, et détruire sa vie. Puis elle n’a plus répondu à aucun de ses SMS, et ne lui a plus adressé la parole au bureau. Inutile de dire qu’il crevait de trouille.
Ce samedi-là, Jason se baladait dans le centre commercial avec Emmanuelle, en faisant du lèche-vitrines après le déjeuner. Il était si heureux à ce moment-là que l’incident du début de semaine avec Sandra était oublié. Alors qu’ils sortaient d’un magasin de chaussures, il entendit un "salut" qui le fit frissonner. Il se tourna pour voir Sandra s’approcher d’eux, les bras chargés de sacs de courses, avec un sourire joyeux sur le visage. Emmanuelle se tourna vers lui, l’air interrogative, mais pas du tout alarmée ou en colère.
Jason utilisa toutes ses capacités pour garder son visage impassible, les présenta l’une à l’autre, expliquant à sa femme que Sandra était une nouvelle stagiaire dans l’entreprise. Après avoir poliment salué Emmanuelle, Sandra a demandé à Jason pourquoi il ne lui avait pas dit que sa femme était si jolie.
Jason pouvait voir qu’Emmanuelle était flattée, et elle a répondu à Sandra qu’elle aussi était très belle. Sandra leur a proposé un café au bar tout proche, et Emmanuelle a accepté, sans consulter son mari. Installées à une table, elles ont comparé leurs emplettes. Elles s’entendaient et discutaient comme de vieilles copines. Jason transpirait et paniquait. Derrière son visage d’impassibilité, son esprit essayait de comprendre l’attitude de Sandra. Cette semaine, elle voulait le détruire. Maintenant, elle était charmante.
Souvent, femme varie. Mais à ce point ? Il avait été pris par surprise par le revirement de Sandra. Soudain, il a été tiré de ses pensées en les écoutant toutes les deux faire des plans pour le déjeuner.
— Quoi ? Il réagissait à retardement, surpris. Un plan pour un déjeuner ? Que se passait-il ? — Oh, ne te formalise pas, répondit Sandra. « Nous les filles, nous irons faire du shopping pendant le midi dans ce nouvel endroit, et grignoter un morceau après. Ta femme est si agréable et nous avons les mêmes goûts. Elle pourra me conseiller, et je pourrais l’aiguiller ».

Il se tourna vers Emmanuelle qui lui souriait en hochant la tête. Que diable mijotait Sandra ? Allait-elle tout raconter à Emmanuelle pendant qu’il serait absent ? Comment les empêcher de se voir hors de sa présence ? Jason avait les nerfs enchevêtrés dans l’attente du jour fatidique.
Quand elles sont sorties ensemble, Jason s’attendait à tout moment à recevoir un appel d’une Emmanuelle enragée. Cet appel n’est jamais venu. Le soir, pendant le dîner, Emmanuelle a dit qu’elles s’étaient bien amusées, et que Sandra était une personne adorable.
— Vraiment ?
Jason essayait de savoir sans trahir sa surprise. Emmanuelle a ajouté : « Ouais, je l’adore ! En fait, nous avons déjà prévu d’aller voir cette nouvelle exposition à la galerie d’art, jeudi. Comme tu n’es jamais disposé pour m’accompagner dans ce genre de manifestation, et que je n’aime pas sortir seule, je profite d’avoir une amie qui partage mes goûts »

Jason a pensé qu’il devrait peut-être intervenir pour lui suggérer que Sandra n’était pas une bonne copine, mais quelle aurait été son excuse ? Il a décidé de serrer les fesses en laissant les choses se dérouler, et de voir ce qui se passerait.
L’exposition était captivante, et les filles se sont promenées en bavardant de choses et d’autres, y compris les commérages sur les gens du bureau dans lequel Jason travaillait. Elles ont décidé de prendre un café dans un endroit sympa. Le temps étant beau et chaud, elles se sont installées en terrasse.
Un petit groupe de jeunes blacks, accoutrés comme des racailles, passèrent devant la terrasse où les filles étaient attablées. En passant, les gars ont ouvertement dévisagé Emmanuelle et Sandra, qui portaient des tenues sexy en raison du beau temps. Ils ont commencé à baratiner les filles de manière grossière. Du moins, Emmanuelle pensait qu’ils étaient extrêmement graveleux. Comme à son habitude, Emmanuelle les a ignorés en regardant ailleurs d’un air méprisant.
Cependant, l’attitude de Sandra a surpris Emmanuelle. Elle a commencé à répondre aux gars d’une manière enjouée, en adhérant crûment à leurs avances. C’est Emmanuelle qui a mis la troupe en fuite avec quelques paroles bien senties. Sandra ne comprenait pas pourquoi elle faisait fuir des gars aussi intéressants.
Emmanuelle était choquée : « Comment peux-tu trouver ces garnements intéressants, en plus, ils sont noirs ! » Mais Sandra hochait la tête en souriant. « Je n’aurais jamais pu imaginer qu’une gentille fille comme toi aimerait les blacks, et surtout ceux qui sont grossiers comme ceux-là ! »
Les yeux de Sandra s’écarquillaient d’excitation : « Ouais ! Je les trouve sexy et amusants ! Ils ne sont pas impolis, ils sont juste dominants et arrogants. C’est leur naturel, tellement sexy ! »
Emmanuelle ne savait pas quoi répondre. Son cerveau ne pouvait pas associer l’attitude et les mots de Sandra avec son air angélique de gentille fille. C’était comme s’il y avait deux filles en elle. Ce que lui a confié ensuite Sandra était encore plus choquant :
— Je dois te dire, j’ai un petit ami, un blanc. Nous sommes ensemble depuis environ un an maintenant, et il est vraiment attentionné et gentil. En plus, il gagne très bien sa vie, et je ne manque de rien avec lui. Mais j’ai un amant, Amadou, et c’est un black avec une incroyable grosse bite. Il sait vraiment me baiser. C’est tellement fort ! Tu n’as aucune idée du plaisir qu’il me procure. Je ne pourrais plus m’en passer. Je suis complètement accro à ce mec et à sa bite !
Emmanuelle était KO debout. Comment Sandra s’était-elle transformée en quelques secondes ? De jeune fille charmante et saine en salope à blacks ! Heureusement qu’elle était assise, car ses jambes flageolaient. Emmanuelle avait vraiment besoin de digérer toutes ces informations. Elle restait bouche bée.
Incapable de trouver la réponse appropriée. C’était tellement farfelu d’imaginer cette frêle jeune femme dans les bras d’un de ces grands mecs à l’allure de voyou. Emmanuelle n’avait jamais envisagé de s’accoupler avec un homme d’une autre ethnie que la sienne. Ce n’était même pas du racisme, juste du bon sens. On ne mélange pas les torchons et les serviettes.
Bien sûr, elle avait déjà entendu des histoires sur la taille de leur bite, bien sûr, et sur l’attrait qu’ils exerçaient sur certaines femmes. Mais elle n’avait aucun désir de subir le joug d’un mâle dominant, de n’importe quelle couleur de peau. De plus, son statut de fille aisée l’avait protégée de la promiscuité avec ces gars.
— Quoi ? Tu ne me crois pas ?
Sandra pouvait lire la confusion sur le visage d’Emmanuelle.
— Tiens ! Regarde ça !
Elle sortit son téléphone, le déverrouilla pour montrer une photo à Emmanuelle. C’était l’image d’une bite noire incroyablement grande et épaisse. La bouche d’Emmanuelle s’ouvrit, mais aucun son n’en sortit. Soudain, elle avait la bouche sèche. Une série de pensées inattendues, primitives, émanant de ses instincts les plus élémentaires, traversaient son esprit.

D’abord la peur, en pensant à quel point cette chose énorme devait être douloureuse, mais en même temps, une inexplicable excitation. Un bruissement dans son ventre la désorientait. Elle ne comprenait pas sa réaction. De la curiosité aussi s’insinuait dans son esprit. Beaucoup. Elle se tourna pour regarder Sandra. Leurs corps étaient similaires.
— Comment diable prend-elle quelque chose d’aussi volumineux ?
pensait-elle.

Une heure plus tard, le téléphone de Jason a sonné. En vérifiant l’identification de l’appelant, il put voir que c’était Emmanuelle : « Salut bébé ! »
Emmanuelle lui répondit : « Salut bébé ! J’espère que je ne te dérange pas trop au travail. J’ai passé une journée amusante et intéressante avec Sandra » Jason était content d’entendre cela et il lui a demandé quand elle comptait rentrer à la maison.
— Eh bien, c’est un peu pour ça que je t’appelais.
Soudain, la voix d’Emmanuelle était devenue légèrement plus haute et hésitante. Si Jason avait été moins tourmenté par les possibles révélations de Sandra, et plus attentif au ton de la voix d’Emmanuelle, il aurait perçu sa nervosité. Mais il était simplement heureux que sa femme ne soit pas en colère contre lui.

Emmanuelle poursuivait : « Nous nous sommes tellement amusées que Sandra m’a convaincue de passer la soirée avec elle et quelques-unes de ses amies. J’espère que ça ne te dérange pas ! Je te dirais bien de venir, mais tu auras une grosse journée demain »
Jason s’était préparé à devoir se défendre au sujet des révélations de Sandra, donc il était soulagé. Mais surpris. Il n’était pas sûr d’aimer cela. Les sorties entre filles, c’était malsain. Avec cette garce de Sandra, c’était risqué. Mais comment empêcher cela ?
— Eh bien, nous pourrions en parler ce soir, à la maison, pendant que tu te changeras pour sortir ? proposa-t-il en essayant d’éviter d’avoir à discuter au téléphone, avec Sandra juste à côté.— Oh, ne t’inquiète pas pour ça ! Sandra et moi avons à peu près la même taille, donc elle va me prêter des vêtements, des chaussures et du maquillage. On va juste se changer chez elle. Ça va être amusant ! Juste quelques verres, et ensuite je prendrai un taxi pour rentrer. Merci beaucoup de ne pas m’en vouloir !
Jason ne se souvenait même pas d’avoir laissé entendre qu’il était d’accord, mais au moins Sandra n’avait rien révélé pour l’instant. Peut-être que Sandra, une fois sa crise de rage digérée, était passée à autre chose. Après tout, elle était suffisamment jeune et jolie pour trouver facilement des gars pour la consoler.
Plus tard dans la soirée, il a reçu un message sur Snapchat, une application qu’il avait téléchargée à la demande de Sandra. Elle s’en servait pour lui envoyer des photos coquines d’elle-même, à différents stades de déshabillage, avec ou sans légendes, et uniquement sur cette application. Lorsqu’il regarda son portable, il put voir que le message venait bien de Sandra.
C’était une photo prise dans un bar faiblement éclairé. Il s’agissait d’un selfie de Sandra, très sexy dans une tenue très impudique. Elle semblait l’avoir pris discrètement, puisque personne d’autre sur la photo ne semblait en être conscient, ou ne regardait l’objectif. La première chose qu’il remarqua fut un bras autour de l’épaule de Sandra. Un bras noir et musculeux orné de tatouages entremêlés.
Le bras appartenait à un homme noir qui semblait être très grand, avec des cheveux très courts et une courte barbiche. Il semblait discuter avec les deux personnes assises à table, en face de lui. L’une de ces personnes était un noir immense. Crâne et visage complètement rasés. Bras tatoués. Assise à côté de lui, Emmanuelle semblait minuscule, magnifiquement sexy dans une petite robe vaporeuse.
Jason ne comprenait pas. Où étaient-elles ? Qui étaient ces types ? Pourquoi ? Ce qui dérangeait le plus Jason, c’était de voir à quel point Emmanuelle semblait subjuguée par le type à côté d’elle. Elle semblait boire ses paroles. Autre chose que Jason n’aimait pas, c’était le bras de ce type sur le dossier de la chaise d’Emmanuelle, créant une intimité entre eux, peut-être même lui caressant le dos.
Jason a essayé d’envoyer des messages à Sandra et à Emmanuelle, sans obtenir de réponse pendant une longue période. Après une vingtaine de minutes, il reçut un texto d’Emmanuelle, qui lui disait qu’elles étaient dans un bar, en train de boire un verre avec des amis de Sandra, des gars et des filles. Elle disait qu’elle ne rentrerait pas tard, mais que Jason ne devait pas l’attendre, puisqu’il se lèverait tôt demain matin.
Ça se terminait par un « Je t’aime » avec un smiley soufflant un baiser. Jason s’est dit que c’était peut-être aussi bien. Après tout, elle disait la vérité sur le fait d’être dans un bar avec des amis, bien que Jason n’ait vu aucune autre fille sur la photo. Elle n’avait pas mentionné qu’ils étaient noirs, mais pourquoi le ferait-elle ? Il a essayé de mettre ses idées noires de côté, et de s’intéresser au programme de la télévision, sans succès.
Après environ une heure d’attente anxieuse, l’écran du téléphone de Jason s’est encore allumé, affichant un nouveau message Snapchat. Le cœur de Jason s’emballait en l’ouvrant. C’était une vidéo, tournée dans un club, à en juger par l’audio et les images initiales. La musique était très forte, des lumières clignotaient, et beaucoup de monde faisait la fête.
La vidéo se concentrait sur une jolie fille vêtue d’une robe très courte, dansant le dos appuyé contre le grand chauve noir. Une boule se forma dans la gorge de Jason en reconnaissant Emmanuelle dansant avec le gars qui semblait si intime avec elle auparavant. Emmanuelle était si belle, souriante en bougeant son corps, ses belles jambes exposées par la robe trop courte, juchée sur des talons hauts assortis. Elle avait l’air si minuscule, dansant avec ce colosse derrière elle.
Les yeux de Jason s’écarquillèrent. Il a frénétiquement appelé, puis envoyé des messages à Emmanuelle et à Sandra, mais sans réponse. Il était furieux, jaloux, mais le pire, c’était qu’il ne parvenait pas à rejouer la vidéo. Il avait besoin de la revoir pour analyser ce qui se passait sur cette piste de danse. Il voulait croire qu’Emmanuelle ne faisait que danser innocemment. Mais au fond de lui, quelque chose clochait. Son instinct lui criait qu’il se passait un truc louche. Et puis, le contraste entre cette minuscule femme blanche et ce noir immense était incroyablement puissant et effrayant.
Il a dû encore attendre une heure et demie avant de recevoir le message suivant. Une vidéo qu’il ouvrit frénétiquement, mais rien n’aurait pu le préparer à ce qu’il allait voir. Ça ne se passait plus dans un club. C’était à l’intérieur d’un appartement, et la personne qui filmait (Jason soupçonnait Sandra) marchait dans un couloir sombre. La caméra tournait au coin du salon. Les lumières étaient très faibles, et la musique était trop forte.
Jason reconnut sa femme, avec rien d’autre sur elle qu’un string étriqué, agenouillée entre les jambes écartées du grand noir chauve. Le mec était vautré sur un canapé, entièrement nu. Il pouvait voir la tête d’Emmanuelle bouger de haut en bas sur la bite du gars. Jason ne pouvait pas croire sa femme capable d’un tel truc.
Il entendait les battements sourds de cette musique de sauvage et, une fois que l’image devint plus claire, il pouvait la voir sucer cette énorme bite noire. Les entrailles de Jason se sont glacées. C’était tellement fou ! Mais le plus surprenant, c’était le plaisir qu’elle semblait y prendre. Il ne la savait pas capable d’un tel acte !
Et de voir sa femme dans cette situation, ça l’excitait. Sa propre bite n’avait jamais été aussi dure de toute sa vie ! La vidéo suivante est arrivée rapidement. Cette fois, Jason bandait déjà avant de l’ouvrir. Cette vidéo montrait le même canapé qu’auparavant, mais cette fois, Emmanuelle était allongée dessus.
La caméra était beaucoup plus proche d’elle, bien qu’il ne soit pas clair pour Jason de savoir si Emmanuelle savait qu’elle était filmée, ou pas. A en juger par ce qui se passait, elle s’en fichait probablement. Les rôles étaient inversés. Le grand noir était agenouillé devant elle, ayant tiré son string sur le côté, et dévorait sa petite chatte imberbe. Le corps d’Emmanuelle convulsait, et sa tête roulait d’un côté à l’autre.
Elle avait les yeux fermés et elle gémissait bruyamment. Jason pensa que ce mec mangeait très bien la chatte, car elle n’avait jamais réagi comme ça avec lui. La vidéo suivante est arrivée encore plus vite. Le grand noir essayait d’ôter le string d’Emmanuelle, mais elle le retenait d’une main.
Jason pensait qu’elle reprenait ses esprits, et qu’elle repoussait le gars. Emmanuelle avait toujours été une femme sérieuse, loyale, qui réprouvait l’infidélité et méprisait les femmes volages. Mais les illusions de Jason se sont envolées en voyant Emmanuelle céder à son amant, se couvrir le visage avec ses mains, et lever ses fesses pour inviter le gars à retirer son dernier vêtement.
Le colosse chauve avait un sourire obscène en se penchant sur Emmanuelle. Il a frotté son énorme python épais sur sa chatte luisante de mouille, en lui parlant à voix basse. Impossible pour Jason de comprendre ce qu’il lui disait, mais elle levait vers lui un regard enamouré qui lui brisa le cœur.
L’objectif se concentra sur les beaux yeux d’Emmanuelle. Ses beaux yeux étaient maintenant grands ouverts, fixant la pénétration imminente de sa petite chatte de femme mariée. Ses yeux trahissaient autant de crainte que de désir. Ils s’écarquillèrent lorsqu’il commença à enfoncer sa virilité surdimensionnée dans sa petite chatte.
Un bref cri aigu lui échappa. Jason n’arrivait pas à croire que cette énorme bûche pouvait rentrer dans un endroit aussi restreint. Il pensait que ce salaud allait l’estropier, et que dorénavant elle serait inutilisable pour un mec comme lui. Ironiquement, Emmanuelle pensait la même chose au même moment.
La vidéo suivante est arrivée quelques minutes après, soulageant l’impatience de Jason. Des gémissements bruyants couvraient la musique. Emmanuelle se faisait baiser par ce taureau noir vautré sur elle. Cette fois, ce fut Jason qui fut sous le choc, incrédule. Chaque fois que le colosse enfonçait son énorme bite dans sa femme, une bosse obscène surgissait sur son abdomen. Il la redimensionnait littéralement !
Il a également entendu le gars dire : « T’aimes ça, salope ! Tu aimes la bite de nègre, n’est-ce pas ? »
Emmanuelle répondait par des gémissements. Le gars a jeté un coup d’œil à l’objectif, il a souri méchamment, avant d’insister : « Dis-le que tu aimes te faire baiser par des nègres, allez, dis-le ».
Et cette fois, elle a crié : « Oh ! Putain ! Oui ! J’adore ça me faire baiser par un nègre ! »
En entendant Emmanuelle, Jason a caressé sa queue plus vite.
La vidéo suivante montrait les deux amants sur un lit avec des draps blancs. Le colosse noir était allongé sur le dos, et Emmanuelle le chevauchait éperdument. Leurs deux corps transpiraient abondamment, et les bruits de claquement de leurs corps qui se heurtaient résonnaient dans la pièce. Jason a remarqué qu’elle prenait maintenant toute la longueur de sa bite, jusqu’aux couilles, tout en gémissant et en geignant, ce qu’elle n’avait jamais fait avec lui.
Avec lui, elle était discrète, réservée. Elle disait que les cris et les gémissements, c’était de la simulation pour les films pornos. En zoomant en gros plan, il vit que sa chatte laissait une traînée de crème sur la bite du mec. Ce n’était sûrement pas uniquement du sperme. Jason n’avait jamais vu cela auparavant.
Tout d’un coup, l’autre black du club, celui à la barbichette et aux cheveux courts qui enlaçait Sandra sur la première photo, est apparu dans le champ. Il marchait nu vers le lit, précédé par sa bite qui se balançait devant lui. Il avait une énorme bite, la plus grande que Jason n’ait jamais vue, y compris dans le porno.
À la grande épouvante de Jason, il grimpa sur le lit, pour venir s’agenouiller derrière Emmanuelle. Il attrapa une bouteille de lubrifiant sur la table de chevet, l’étala sur ses doigts et commença à lui doigter le cul. Elle était trop affairée à baiser son étalon, trop grisée par ses sensations pour remarquer ce qui se tramait.

Elle a réalisé quand le mec a commencé à presser sa bite lubrifiée contre son petit trou du cul serré. Les yeux d’Emmanuelle se sont ouverts :
— Non ! S’il te plaît ! Je n’ai jamais fait ça !
Le mec derrière elle lui a donné une fessée brutale : « Tais-toi, salope ! »

Jason était inquiet pour sa femme. Elle avait toujours refusé l’anal, prétextant que c’était trop douloureux. Et il était loin d’être aussi gros que ces brutes ! Cependant, son inquiétude n’empêchait pas sa bite d’être de plus en plus dure. Il avait tellement honte de lui. Il aurait dû protéger sa femme, voler à son secours, et ne pas s’exciter ainsi en la voyant être utilisée comme une garce.
La dernière vidéo est arrivée quelques minutes après, interrompant sa masturbation frénétique. Prise en double, Emmanuelle gémissait comme une pute. Secouée par les deux blacks qui la défonçaient, ses yeux roulaient dans ses orbites pendant qu’elle hurlait sa jouissance. Jason n’a pas pu résister, il a éjaculé sur le tapis du salon.
Presque immédiatement, l’avant-dernier message est arrivé, preuve que jusque-là, il recevait les vidéos en léger différé. C’était une photo d’Emmanuelle, étendue les bras en croix sur le lit. En sueur, bras et jambes écartés, couverte de sperme, visiblement épuisée, mais avec un sourire ravi.
Sur la suivante, une de ses mains couvrait son visage, l’autre montrait un pouce levé vers la caméra. Accompagné d’une légende qui disait : « Prépare ta langue, cocu, tu vas avoir beaucoup à lécher quand elle rentrera »
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