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La Vengeance de Mélissandre

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
— Alors, ma belle, c’était bon ? Me demande Manuel.
— Oui, comme d’habitude. 

Tous nus, nous sommes dans son lit, nos corps encore collés, avec nos sueurs mutuelles. Cette partie de sexe fut encore une fois très bonne, malgré de petites douleurs avant que ma petite chatte se mette au diapason de son gros sexe. Mais le plaisir qu’il me donne est toujours aussi fort.
Son pénis est d’ailleurs recouvert par ma mouille. Il passe sa main dans mes cheveux bien humide de sueur.

— T’es encore toute rouge. Rigole-t-il.
— Ben oui, c’est du sport qui demande beaucoup d’effort quand même.

Il m’embrasse tendrement puis il me donne une bouteille d’eau. Il sait que j’ai besoin de boire après l’amour. Je finis la bouteille à moitié pleine et comme un gentleman, il la récupère pour aller la remplir.

— Je peux aller sur ton téléphone ?
— Tu ne t’arrêtes jamais de travailler toi, ah, ah. Oui, vas-y.

Je prends le téléphone de mon chéri pour aller sur le site du lycée.
Il y a souvent des documents intéressants à consulter et le bac c’est pour bientôt.
Comme nous sommes chez lui, c’est plus simple d’y aller avec son téléphone que de mettre son wifi sur le mien. Je suis donc en train de faire mes petites affaires quand il reçoit un message de ‘Francesca’.

[SMS,Francesca]< 17h chez moi, Et ne sois pas en retard cette fois.
Surprise de ce message, je regarde la conversation entière et là encore, c’est assez surprenant.

[SMS,Francesca]< Demain, 18h, à mon bureau.< Ce soir, 20h, chez moi.< Sur le parking de mon travail, dans 15 minutes.< Demain chez moi a 15h30.< Dimanche 10h chez moi. Ramène une camera.< Demain soir, 18h chez moi.< 17h chez moi, Et ne sois pas en retard cette fois.
Il n’y a jamais de réponse de la part de Manuel, c’est uniquement Francesca qui envoie des messages. Toujours sec et direct. Elle va droit au but et lui donne des rendez-vous. Francesca, c’est la mère d’Angelo, son meilleur ami. Pourquoi a-t-il son numéro ? Pourquoi lui envoie-t-elle des messages tous les deux-trois jours ? Pourquoi ce sont toujours des rendez-vous ? Pourquoi il ne lui répond jamais ? Je me suis dit que peut-être qu’il ne répond pas car il l’ignore ne va pas au rendez-vous, mais vu le dernier message où elle lui dit de ne pas venir et de ne pas être en retard, ‘cette fois’.
Donc, il va la voir… alors qu’il ne répond pas au message.
Là, je ne comprends plus rien ! Pourquoi elle lui donne des rendez-vous ? Pour parler de son fils ? Il travaille pour elle ? Une sorte de job étudiant ? Ça me turlupine, qu’est-ce que je dois penser de ça ? Pourquoi je ne suis pas au courant ? Il ne me cache rien.

Manuel revient dans chambre et je quitte vite la page conversation et repose son téléphone sur la table de nuit. Je n’ai pas envie qu’il sache que je viens de voir ça. Et puis, je ne veux pas le confronter alors que je ne sais pas encore clairement de quoi il s’agit. Il pose la bouteille par terre et monte sur le lit, se mettant entre mes jambes.

— J’ai encore envie de toi ma belle.

Il commence à embrasser l’intérieur de mes cuisses et je me tortille dans le lit. Je suis mal à l’aise et je le vois différemment.
Je ne sais pas quoi penser de ce que je viens de voir et ça m’empêche d’être pleinement investie. Mais il ne s’en rend pas compte et commence à me dévorer le sexe. Je ne peux m’empêcher de gémir, car il lèche très bien. Mes lèvres intimes se gonflent, mon clitoris durcit et réagit bien à la torture de sa langue. Même si je prends du plaisir, je ne jouis pas comme d’habitude. Une chose me turlute l’esprit. Il ne s’en rend toujours pas compte et termine son cunnilingus avant de venir remonter sur moi, embrasser mon sein gauche puis ma bouche.

— Tu vas bien ? Tu me sembles un peu tendue ?
— Non, ça va. C’est avec l’approche du bac, un peu trop de pression.
— Ne t’en fais pas pour ça, tu vas cartonner.
— Oui, tu as raison. Tu m’as bien fait jouir, ça m’aide pour me détendre.
— A ton service, ma chérie, c’est un vrai plaisir.

Il m’embrasse avec son sourire que j’aime tant. Il ne peut pas me cacher quelque chose d’important. Je le connais, j’ai confiance en lui. Et pourtant, une partie de moi me pousse à avoir un doute.

********

Je suis chez moi, et il est dix-sept heures. Là, logiquement, mon chéri que j’aime tant doit être avec Francesca, la mère de son meilleur ami pour une raison que j’ignore. Une chose dont il ne m’a jamais parlé.
Malgré toute ma confiance, je suis en stresse total. Mais en réalité, je ne sais pas de quoi j’ai peur. N’en pouvant plus de tourner en rond, je décide d’y aller. Je ne sais pas ce que je ferais, mais il faut que je sache.

Je sors de chez moi et pars en direction de la maison d’Angelo.
Par chance, je sais où elle se trouve, car nous y sommes allés avec Manuel pour l’anniversaire de son meilleur ami. Une petite fête avait été organisée, et en tant que petite-amie, il a voulu m’avoir à ses côtés.
Même si je ne connaissais pas beaucoup les invités, c’était une chouette petite soirée, mais ce n’est pas le sujet.
Vu que je suis dotée d’une très bonne mémoire visuelle, je peux facilement me rappeler du chemin. J’arrive donc devant la belle maison de l’Italienne Francesca. Je me sens alors toute conne devant la porte. Je fais quoi ? Je toque, je sonne, je repars ?
Un réflexe me vient en tête, ou plutôt en main. Ma main se pose sur la poignée de la porte pour l’ouvrir doucement... et elle s’ouvre. Elle n’est pas fermée à clé.
Je reste un peu pantoise quelques secondes, me disant que je ne vais tout de même pas m’aventurer dans cette maison sans m’annoncer et sans autorisation. Mais finalement, je le fais.

Je marche tout doucement dans l’entrée jusqu’à la limite du mur. Je passe discrètement la moitié de mon visage pour voir ce qu’il se passe dans le salon. Mais il n’y a personne.
Je continue donc mon investigation et reconnais vite fait la maison. Il y a la porte qui amène à leur grande cuisine, le salon avec canapé et la grande télé accrocher au mur.
Une maison très classe. Madame Antognini gagne très bien sa vie.
Je suis dans le salon quand j’entends un petit bruit. Je me liquéfie sur place, pensant que quelqu’un arrive et que je suis dans le pétrin, mais il n’y a rien.
Je tourne alors sur moi-même et je remarque une porte entre-ouverte. Je me rappelle que lorsque l’on y était, elle était fermée à clé et on n’avait pas le droit d’y aller, car c’est son espace perso. Chambre, salle de bain et dressing.
Une grande surface qui ferait rêver de nombreuses femmes. Et à côté, une porte-fenêtre sur le jardin et l’escalier pour monter un étage.

La porte est entre-ouverte, et je comprends que c’est là d’où provient ce petit bruit. Je m’approche à pas de loup et une fois arrivée, j’entends plus distinctement des bruits étranges, des sortes de ‘blopses’. J’entrouvre de la manière la plus discrète qui soit la porte pour voir ce qu’il s’y passe.
Et à cet instant, mon monde change, il cesse d’exister…

Madame Francesca Antognini, une femme très classe, dure et autoritaire, qui m’avait incroyablement impressionné par son charisme et sa réussite le jour où je l’avais rencontrée, se trouve à moitié nue dans sa chambre, agenouillée sur le sol.

Un ensemble de lingerie noir en dentelle, porte jarretelle et tout ce qui va avec et qui la rend très sexy, sont ses seuls vêtements. Ses très gros seins, que je qualifies facilement du bonnet D ou E, sont sortis du soutien-gorge et tiennent fermement malgré leur volume et leur quarantaine passée.

Sa longue chevelure noire en queue-de-cheval n’est pas maintenue par un élastique, mais par une main virile. Ses yeux sont fermés et sa bouche grande ouverte se fait défoncer à grands coups de bite.
L’homme qui la soumet de la sorte est celui, que je pensais être l’homme de ma vie.
L’homme qui est si doux avec moi au quotidien, est en train d’enfoncer violemment sa bite au fond de sa gorge.
L’homme qui me fait l’amour comme si j’étais une princesse, avec douceur et amour, démonte la mâchoire de cette femme.

Il se retire et elle crache sur sa queue avant de la sucer avec vigueur, une main à sa base et l’autre enserrant ses couilles.
Il se retire encore et commence à lui taper le visage avec sa queue, en la regardant comme une moins que rien.

— Branle-moi avec tes gros nichons, salope !

Jamais il ne m’a parlé comme ça, jamais il ne m’a insulté. Je n’aurais jamais cru voir ou entendre ça de lui.

Il lâche ses cheveux pour la laisser s’exécuter. Elle crache entre ses gros seins, y comprime sa bite et commence à le branler avec une dextérité déconcertante.
Il m’a déjà demandé de lui faire cette branlette dite « espagnole », mais j’ai du mal à la réaliser. Ma poitrine n’est pas petite, mais pas assez grosse pour englober son gros sexe comme elle le fait !
Il me disait que ce n’était pas grave, que je lui faisais beaucoup de bien. Je me rends compte aujourd’hui que c’était un mensonge.
Il prend un pied monstrueux en ce moment. Et il n’a jamais pris autant de plaisir avec moi comme maintenant il en a, en baisant cette grosse poitrine.
Il a aussi repris possession de ses cheveux pour la contrôler. Elle comprend tout de suite le message et arrête ses mouvements. Elle maintient juste ses seins dans ses mains pour retenir sa bite prisonnière et elle le laisse baiser ses seins à sa guise.

Il continue un instant à se masturber entre ses mamelles puis il la met à quatre pattes en tirant sur ses cheveux. Il pose son pied sur sa tête pour qu’elle la pose sur le sol et lui enfonce sa bite d’un seul coup dans son vagin. Elle en hurle de plaisir et lui il grogne comme une bête sauvage.
Je suis effarée de le voir comme ça. Il commence à la baiser presque avec violence, sans ménagements. J’en ai mal au cœur. Elle se laisse faire et semble apprécier si j’en crois ses gémissements. Et mon chéri aussi.

— Hannn ! Haaaaa ! Ooooohhh, siiiiii ! AAaaahh !
— C’est ça, cri ton plaisir pouffiasse !!!

Il retire son pied de son visage et lui chope ses cheveux. Enroulé autour de sa poigne il les lui tire d’une façon tellement horrible. C’est littéralement sa chienne et il lui démonte la chatte en lui claquant les fesses violemment. Et le pire, c’est qu’elle en jouit.

« - OOOOOOHHH ! SIIIIIIIIIIIII !

Il la soulève et l’amène sur le lit. Elle sur lui, dos à lui, comme il fait avec moi.
Je fais attention à ne pas être vue, car son visage est vers la porte.
Mais il ne va pas faire comme avec moi finalement. Il l’allonge sur son corps et enfonce sa bite dans sa chatte.
Ses bras passent entre ses cuisses pour lui prendre les jambes et ses mains s’agrippent à son visage. Elle est presque en boule sur lui, le visage contraint d’être face à son minou qui se fait limer à fond par Manuel.
Elle n’arrête pas de gémir de plaisir avec ses mains sur ses seins qui se balancent. Ses doigts tirent sur ses tétons, les tordent et les étirent. Elle en bave sur son menton.
Je n’ai jamais entendu parler de cette position, si barbare et humiliante. Et mon copain aime ça ?
Il s’arrête et sa bite ressort de sa chatte dégoulinante de jus. Je vois alors avec effroi son pénis entrer dans son anus alors qu’il ne l’a même pas préparée.

— RHHHOOOOOOOHHHHH !

La pauvre femme en hurle de douleur, mais à ma grande stupéfaction, elle prend rapidement son pied, chose que j’ai beaucoup de mal à comprendre. Il continue de l’enculer sauvagement pendant de nombreuses minutes et je la vois jouir encore et encore sous la bite de Manuel qui ne fléchit pas.
Comme une débile, je reste figée sur le pas de la porte.

Brutalement, il la pousse sur le côté et elle reste allongée, de travers au milieu de son lit, encore sous l’emprise de son orgasme. Manuel vient mettre sa queue au-dessus de son visage pour éjaculer dessus. Ce que je trouve effroyable.
Il vide ses couilles puis s’enfonce encore dans sa bouche en criant.

— Nettoie ma bite, sale pute !

Je ne peux pas rester là et je quitte en vitesse cette maison et ses pervers, les larmes aux yeux.
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