Chapitre 1 : Le plan Mon nom est Eva, et c’est en partie mon histoire. Tout a commencé ce soir-là, je rentrais après une dure journée de travail. Je déposais mes affaires dans l’entrée et me dirigeait vers la cuisine pour me détendre et prendre un verre. Soudain, un téléphone s’est mis à vibrer sur la table du salon. C’était le portable de mon petit ami, et il comportait un message étrange : Adèle « Rejoins-moi ce soir, j’ai hâte de te retrouver tu me manques... " Il m’avait pourtant dit qu’il était fatigué et qu’il ne voulait pas sortir, ni voir personne. Mais mystérieusement, une raison l’avait fait changer d’avis. Troublé par ce message, je décidais de mener mon enquête. Depuis quelques temps, les sorties de mon copain étaient devenues de plus en plus régulières. Est-ce que j’avais des raisons de m’inquiéter ? La semaine qui suivie, je ne le lâchais plus d’une semelle, pendant toute une semaine et c’est comme ça que j’ai découvert son secret. Il faisait souvent un détour pour aller la rejoindre et me trompait. Que ce passait-il ? Je n’étais plus assez bien pour lui ? De trop grosses fesses ? De trop petits seins. Je voulais me venger, le faire souffrir, affreusement souffrir. Mon petit ami était un feignant, il était au chômage depuis plusieurs mois et ne faisait rien pour trouver un emploi. Il restait vautré dans le canapé en profitant allègrement de mon salaire. Il faut reconnaitre qu’il était séduisant, charmeur et attirait les femmes mais jamais je n’aurais cru qu’il s’appliquerait à en satisfaire une autre. Moi, j’avais tout sacrifié pour lui. Ma carrière, mes études en droit, mon argent pour notre appartement. Le soir ou j’ai découvert la supercherie, mes larmes étaient abondantes et j’avais beaucoup pleuré, le maudissant de m’avoir dupé. Ma colère allait s’abattre sur lui. J’étais empli de rancœur et mon corps réclamait vengeance
C’est en naviguant sur internet que j’ai trouvé la solution, l’idée parfaite. Une idée qui allait devenir par la suite un de mes passe-temps préféré. Parmi les nombreux sites internet que j’ai consultés, je suis tombé sur l’art de la féminisation et comment la manière de les dominer pour les rendre obéissants et dociles. En le transformant lui, cela marquerait une étape de la victoire du sexe féminin sur le masculin. Mon ex-petit ami car je ne nous considérais déjà plus comme un couple allait devenir mon premier sujet d’expérience. Maintenant il fallait échafauder un plan. J’allais transformer ce gros macho, insensible et il allait devenir mon jouet, ma soumise. Pas seulement pendant quelques jours mais totalement. Il en serait tellement transformé qu’il ne pourrait jamais revenir en arrière. Ce serait une belle poupée, des cheveux jusqu’aux ongles. J’avais pris ma décision, et j’étais fermement décidé à gommer son identité sans qu’il ne puisse rien y changer.
Mon copain n’avait jamais brillé dans les études. Oisif, et laxiste, ses parents lui avaient coupé les vivres et Sofiane vivait à mon crochet depuis déjà quelques mois. Il serait probablement difficile pour lui de trouver un emploi. C’est moi qui 0faisais vivre notre ménage il était temps que ça change. Il avait déjà allègrement profité de ma cuisine et de mon lit. Si vous aviez vu son visage, quand je lui ai annoncé l’ultimatum. « Trouve un emploi où je te mets à la porte ». Bien sûr, il essaya divers subterfuges, d’abord de m’attendrir puis de me menacer. Mais je tiens bon. Les rouages de mon plan étaient en place et je venais de les mettre en route. Je tenais ma déjà première victoire. Après une semaine de recherche sans succès, je mettais mes menaces à exécutions et sortais ses affaires devant le palier de l’appartement. Les voisins regardaient la scène avec médusé et surpris.
« Il faut que tu trouves un emploi » lui dis-je. Mais je ne trouve rien, dit-il les larmes aux yeux. Les voisins observaient la scène avec circonspection et afin d’éviter tout commérages je lui fis signe d’entrer à l’intérieur en lui disant que j’avais peut-être une solution. En tant que responsable des ressources humaines, je connaissais une amie Amélia dont le bar était en pleine croissance et qui recherchait quelqu’un pour un poste de serveuse. C’était une occasion inespérée, mais lorsque je lui annonçais le poste il se renfrogna "C’est un travail de fille ça" déclara-t-il. La colère monta soudain, le rouge se peignit sur mes joues et je rétorquais violement. « Alors il faudra te trouver une autre petite amie et un autre toi qui supporte un enfant de 27 ans. » Certes, il dormait chez une autre femme mais de là à emménager avec elle il y avait un grand pas à franchir. La suite de mon discours je l’avais bien préparé, je lui expliquais que ce poste était exclusivement réservé à la gente féminine. Le piège était en place il ne restait plus qu’à savoir s’il allait fonctionner. Bien sûre, en tant que responsable RH, je savais qu’un poste exclusivement féminin était interdit pour discrimination mais lui il l’ignorait. Tout d’abord, il refusa catégoriquement et me supplia de la garder à la maison. Je me dirigeais vers notre ancienne chambre pour prendre le reste de ses affaires que j’avais mises dans des sacs plastiques et je me dirigeais vers la porte. « Assez » : cria-t-il, « comment pourrais-je faire ? C’est d’accord, appel Amélia je ferais tout ce qu’il faudra ». « Tout absolument tout » ? Déconfit-il acquiesça « Mais il y a peut-être une solution » lui dis-je songeuse « Laquelle ? » me demanda-t-il troublé par mon sourire Je minaudais « oui ça pourrait peut-être marcher » « Mais quoi dis-moi ! » Pourquoi ne te présenterais- tu pas à l’entretien sous les traits d’une femme ? Le choc se matérialisa sur son visage mais le son je sorti qu’après une fraction de seconde : « Jamais je ne suis pas une de ses tapettes qui se travesti, plutôt mourir. M’habiller en nana mais t’es complètement givrée ! ». D’un air résolu, je me levai « Alors adieu » lui-dis-je. Le dernier sac était devant la porte et je commençais à la refermer. Tu sais, pourtant, je connais une amie aurait pu t’aider elle tient un salon. Mais tant pis, si tu préfères me perdre définitivement. Alors il éclata alors en sanglots comme un enfant, comme prévu. Suivant le processus que j’avais étudié, je le pris dans mes bras, le réconfortais en le cajolant. Il avait craqué et je savais que j’avais gagné. En lui donnant du réconfort je sentais son pénis durcir contre ma cuisse. Il ignorait alors qu’elle sort pathétique je réservais à la chose qui pendait entre ses jambes. « D’accord » dit-il avec difficulté « je le ferai » A cette annonce, je jubilais intérieurement. Je venais de franchir la première étape. J’avais remporté une de mes nombreuses futures victoires.