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La vengeance de Yann

Chapitre 2

Trash
J’ai eu une idée, mais je ne savais pas si c’était vraiment une très bonne idée. Je suis sorti, et j’ai arrêté une voiture sur la route, j’ai ordonné au conducteur de m’emmener à l’hôpital. Grâce à mon pouvoir, j’ai réussi à accéder au bloc opératoire, et j’ai ordonné à un chirurgien d’anesthésier mon petit doigt et de me couper une phalange. La phalange a repoussé comme par magie, je me suis encore concentré, et j’ai pu contrôler la croissance de cette dernière et la faire grandir de presque sept centimètres. Le chirurgien hallucinait complètement.
— Coupez-moi de nouveau la phalange, je dois refaire pousser un petit doigt de taille normale.
Le chirurgien a obtempéré.
— Bon maintenant, coupez-moi le sexe.— Vous êtes fou, vous allez mourir !— Si vous saviez, je suis déjà mort ce matin, alors arrangez-moi ça, je n’ai pas d’autres moyens que de faire pousser un pénis plus grand.
Le médecin a anesthésié la zone avec une péridurale. Et plouf, coupé.
Je me suis concentré sur la zone, et j’ai fait repousser un sexe en me concentrant un maximum, ce dernier est passé de deux centimètres au repos à six centimètres.
— Merde, il n’est pas assez gros, recoupez-le.
Bien qu’anesthésié, c’était quand même assez gore. J’ai été rassuré quand un pénis encore plus long et large que le dernier s’est mis à pousser. Cool, j’avais une grosse bite de 15 centimètres au repos. Je savais que j’avais un peu exagéré, mais bon, mon micro pénis m’avait fait tellement fait souffrir que je m’étais un peu vengé, et puis je n’avais aucune envie de revivre une ablation de mes parties génitales, deux fois c’était bien assez.
J’ai ordonné au médecin de me donner un lit à l’hôpital le temps de récupérer et surtout de tout oublier. Au bout de deux heures après avoir récupéré de l’anesthésie, je suis sorti.
La question était quand même complexe et stressante. Mon nouveau sexe allait-il fonctionner ?
Je suis rentré à la maison, il était 17h et j’ai croisé Tania, la femme de chambre qui partait. Tania était notre femme de chambre, elle avait trente ans, elle était une blonde, et assez forte et petite 1, 55 pour 70 kilos. Elle avait un gros cul et de gros seins. Elle était très copine avec Catarina et avait participé activement à ma disgrâce en me dénonçant faussement.
Tania, tu vas faire quoi ? Elle a rigolé. Pourquoi, tu me demandes ça, petite bite ? Je t’ordonne Tania de répondre à mes questions sans mentir et de faire tout ce que je te demande de ton plein gré sans faire d’histoire. Tania s’est crispée, car elle sentait qu’elle était contrôlée par une force invisible.

J’ai dû agir en conséquence :Même si la situation peut te paraître étrange, je t’ordonne d’agir comme si tout était parfaitement normal. Elle s’est décrispée.
— Je dois aller en ville faire du shopping, et après, je rentre chez moi.— Cool, changement de programme, tu viens avec moi, j’ai des choses à te demander.
Je me suis enfermé avec elle dans ma chambre.
— Pourquoi tu ne m’aimes pas ?— C’est pas parce que je ne t’aime pas, en fait, j’en ai rien à cirer de toi. Tu t’es trouvé au mauvais endroit et au mauvais moment, j’ai eu des ennuis financiers à cause de mon mec Tony, et il me fallait du pognon.
J’en ai parlé à Catarina et elle m’a sortie de la merde contre un échange de bons procédés.
— Elle t’a filé du fric ?— Oui, en me refourguant les bijoux que tu étais censé avoir volés.— Tu te rends compte de la gravité de tes actes.— Je m’en fous complètement.
Merde, c’était très difficile d’entendre un truc pareil. Comment une personne contre de l’argent pouvait détruire une vie, sans avoir aucun scrupule ? J’aurais dû lui demander de sauter par la fenêtre, mais je n’étais pas un assassin.
— Et pour la drogue qui a été trouvée dans ma chambre, c’était toi ?— Non, c’était Catarina, mais qu’est-ce qu’on s’en fout de la personne qui a foutu de la drogue dans ta chambre, de toute façon, tout le monde te déteste dans cette famille.
C’était insupportable de l’écouter.
— Tania, je t’ordonne de te la fermer, de te coucher sur le lit et de ne plus bouger, et même de ne plus regarder, ferme tes yeux.— Réfléchis aux horreurs que tu viens de dire.
J’allais faire quoi maintenant ? Je me suis calmé en faisant un tour dans le jardin.À mon retour dans ma chambre, j’ai vu que Tania était toujours couchée droite comme un i dans mon plumard.J’ai repensé à Ariana, cuisses écartées sur mon lit, qui m’a demandé de la sucer. L’effet fut immédiat, j’ai senti mon sexe dans mon pantalon se gorger de sang et se comprimer dans mon slip. J’ai pensé sans le vouloir que je pouvais demander à Tania tout ce que je voulais. Mon sexe s’est comprimé encore plus dans mon pantalon. C’était une sensation que je ne connaissais pas vraiment, j’étais vraiment à l’étroit. Mais je ne pouvais pas laisser Tania bloquée sur le lit.
Tania, ouvre les yeux, et lève-toi... Je lui ai tendu la main pour l’aider à se relever, elle l’a saisie et sans faire exprès, je lui ai transféré une partie de mon excitation sexuelle. Tania s’est sentie un peu bizarre, son sexe s’est mis à dégouliner et ses seins se sont tendus.
— Petite bite, je veux savoir ce que tu m’as fait pour m’immobiliser ?
J’en avais marre que l’on m’appelle petite bite. Il était temps que je mette fin à la rumeur. Tania, je t’ordonne de regarder attentivement. J’ai déboutonné mon pantalon, j’ai baissé mon caleçon. A mon plus grand soulagement, mon sexe fonctionnait bien, et il était énorme par rapport à avant. Il mesurait 23 centimètres de longueur et cinq centimètres de largeur.
— Yann, c’est quoi ce monstre que tu as entre les cuisses ?,
J’étais très fier à ce moment-là de dire:
— C’est juste mon sexe !— Je ne comprends pas pourquoi, tu laisses raconter tout le monde que tu as une petite bite, alors que c’est l’inverse.
Ca ne regarde que moi ce que les gens disent.
— En tout cas, elle est vraiment énorme.
Elle s’est approchée de moi, et m’a saisi le sexe de la main droite. Je ne m’attendais pas à ça. Mon excitation a augmenté de manière vertigineuse et a été transmise immédiatement à Tania.
OH OH, elle est super dure. J’aime bien les grosses bites bien dures. Une femme s’est déjà occupée de toi, ou tu es toujours puceau ? Je suis toujours puceau. Elle s’est mise à astiquer doucement mon sexe tout en parlant.
— Cool, je vais bien m’occuper de toi, je peux te promettre que tu ne le regretteras pas.— Tu veux faire l’amour avec moi ?— Ouais, bien sûr.— C’est pas raisonnable, tu es la maman de deux enfants et tu as un chéri ?— Oui et alors ? Ce n’est pas parce que j’ai accouché de deux gosses que je ne peux plus baiser. Et puis mon chéri, Tony, il est trop occupé à baiser ma meilleure amie pour s’occuper de moi.— Ton mec baise avec ta meilleure amie ?— Oui.— Et tu es toujours avec ?— C’est plus compliqué que ça en a l’air, je ne suis pas sûre que tu vas bien comprendre.
Comme j’avais la possibilité de lui faire avouer tout ce que je voulais, grâce à mon pouvoir, j’en ai profité.
— Je t’ordonne Tania, de tout me raconter sans rien me cacher.— J’espère que tu vas pas être choqué, c’est le genre d’histoire qu’on n’ébruite pas.
J’ai rencontré ma meilleure amie Cindy lors d’une collocation pendant mes années universitaires. Cindy a toujours eu de gros appétits en matière d’homme et de sexe. Elle butinait à droite à gauche et enchaînait les coups d’un soir, jusqu’à ce qu’elle rencontre un mec qui était super canon et craquant. Le genre de mannequin, avec des abdos en forme de tablette de chocolat, et des pectoraux hyper-musclés. Alors qu’on était bourrées, elle m’a avoué que son copain actuel avait un fantasme de faire l’amour à trois. Je lui ai dit : si t’as besoin d’un coup de main, je suis partante. Tu n’imagines pas, c’était trop délire. Je me suis retrouvée deux heures plus tard en train de sucer son mec, pendant que Cindy me broutait le minou.
Ça a été pour moi, ma première expérience lesbienne, et j’ai trop kiffé le plan à trois.Pendant deux ans de collocation, on a enchaîné les câlins entre filles, et l’amour multiple.Ça a été de superbes années.Aujourd’hui, Cindy est mère de trois enfants, et n’a plus trop le temps de s’éclater, mais de temps en temps, en cachette de son mari, on sort entre copines, on va en boîte et quelques fois on chope un mec ou une fille. Attention, ferme tes oreilles, si tu ne veux pas être choqué.
Moi comme j’ai un gros cul, j’ai pas mal de mal à choper, mais avec Cindy, c’est facile, elle chope pour nous deux et elle a toujours partagé. Sauf que depuis récemment ; mon mec saute Cindy, à chaque fois qu’elle se pointe à la maison. J’ai demandé à ma copine Cindy d’arrêter, mais cette pétasse a continué. Il y a environ trois semaines, mon cours de gym a été annulé, je suis rentrée plus tôt, et j’ai entendu du bruit à l’étage. Genre de gros gémissements, quand j’ai ouvert la porte de la chambre, j’ai chopé mon mec en train de l’enfiler par-derrière dans le lit conjugal. Et tu sais ce qu’il m’a dit ce con : salut chérie, j’espère que tu as passé une bonne journée, tu rentres tôt aujourd’hui. Cindy qui gémissait m’a dit : salut ma puce, je me grouille de vider les couilles de Tony, et je descends boire un café avec toi.
J’ai claqué la porte, je suis allée boire un whisky toute seule à la cuisine.
Cindy est descendue, elle m’a dit :Désolée chérie, je ne pensais pas que tu allais mal le prendre, mais on avait très envie de baiser. J‘ai pleuré, et je lui ai dit:
— Cindy, il te baise tout le temps, je pense qu’il va me larguer.
Elle m’a répondu :
— Mais non, tu sais c’est un mec.— Je ne veux plus que tu baises mon mec à partir d’aujourd’hui.
Cindy m’a répondu : -
— T’es quand même une putain d’égoïste, dès qu’un mec te plaisait, je me suis toujours arrangé pour que tu puisses te le taper, et maintenant qu’il s’agit de ton mec, t’es pas d’accord.— C’est pas ma faute si ton mec en a marre de baiser avec une grosse vache.
Ça m’a fait très mal.
— Aujourd’hui, Cindy est à la maison, c’est pour ça que je n’ai pas prévu de rentrer tout de suite.
Elle a eu une idée.
Je sais que je ne le mérite pas, mais je vois bien que tu peux faire faire des choses aux gens. J’aimerais tellement que Tony arrête de coucher avec Cindy. C’était paradoxal, alors qu’elle avait été horrible avec moi, elle me demandait de l’aide pour sauver son couple.
— Tu crois vraiment que je vais t’aider après tout ce que t’as fait contre moi.
Tania encore excitée par mon pouvoir a proposé la chose suivante.
— Si tu m’aides, je peux devenir ton alliée dans cette famille, et je peux me montrer très gentille.— Ah bon ?— Je vais te montrer. Ferme les yeux !— Qu’est-ce que tu veux faire ?— Allez, ferme les yeux.
Cette fois-ci, c’est elle qui donnait les ordres, et c’est moi qui les exécutais. J’ai senti son souffle chaud sur mon sexe. J’étais super excité. Elle a embrassé mon gland et l’a englouti dans sa bouche sans attendre. J’ai ouvert les yeux de surprise.
Sa tête montait et descendait rapidement tout en me masturbant la base de mon sexe à l’aide de sa main droite. Après trois minutes de pompage, elle a éjecté le sexe de sa bouche, et s’est mise à me masturber en utilisant ses deux mains.
— Putain, c’est trop la classe, je peux te masturber en utilisant mes deux mains en même temps l’une au-dessus de l’autre, c’est super excitant. J’ai très envie de me faire baiser la chatte avec ton engin. Je mouille comme une fontaine.
Je n’avais pas trop envie de me faire dépuceler par Tania.
— Non, suce-moi.— T’es sûre ? Tu sais, je n’ai pas peur de me faire fourrer par ton engin.— Non vraiment, sans façon,
Même si je n’avais aucune expérience, je me suis rendu compte qu’elle savait y faire en matière de pipe,D’un coup, elle s’est arrêtée et m’a demandé :
— Tu veux que je t’astique entre mes nibards ?
Regarde mon arme secrète, elle a tiré sur sa robe, pour sortir deux énormes seins. Sans attendre ma réponse, elle a comprimé mon sexe entre ses seins qu’elle montait et descendait.
— Si tu m’avais vue quand j’étais plus maigre, une taille de guêpe, un gros cul, avec de gros nibards. Pas un mec n’était insensible à mon charme.
Sauf qu’entretemps, deux accouchements m’ont transformée en grosse vache.
J’ai annoncé la couleur : je vais bientôt jouir. Elle s’est positionnée bouche ouverte, et langue tirée au-dessus du sexe, qu’elle a masturbé vigoureusement. J’étais très étonné par la situation.
— Tu fais quoi là ?
En guise de réponse, elle dit :
— Vas-y, tu peux décharger sur ma tronche et dans la bouche, j’ai l’habitude.
Je n’ai pas eu le temps de réfléchir, et j’ai éjaculé violemment, il y eut un premier jet qui a maculé sa langue, son nez, et son front. Elle a alors plongé sa bouche sur mon sexe afin de recueillir l’intégralité du deuxième jet directement dans sa cavité buccale. Puis elle a emprisonné mon gland dans sa bouche et l’a aspiré, ce qui a provoqué de très bonnes sensations. Elle a avalé la semence, et à sa plus grande surprise, elle était délicieuse. Elle était bouleversée, comment une chose pareille pouvait se produire ? Comment le foutre fabriqué par ce jeune homme pouvait être aussi bon ? Elle en avait pourtant bouffé du foutre, elle savait que le goût était toujours différent, mais là, il était tellement bon. Elle a récupéré la moindre petite goutte, en s’aidant de ses doigts qu’elle a léchés.
— Putain qu’est-ce qu’il est bon ton foutre, c’est incroyable, normalement, c’est un peu acre et salée, mais là, c’est un véritable nectar.— Je suis super excitée, tu voudrais pas me baiser ?— Non c’est bon, merci.— S’il te plaît, j’en ai super envie.— J’en ai pas envie, soulage-toi toute seule.
Elle a baissé son legging et sa culotte avant de s’installer sur le lit. J’ai détourné les yeux, car j’étais gêné de voir son sexe sans son consentement. Elle m’a proposé alors un drôle de truc.
— Tu as déjà vu un sexe féminin.— Non.— Viens mon garçon, je vais te montrer. Elle a écarté les cuisses puis les grandes lèvres de sa chatte.
Caresse-moi le sexe. J’étais super gêné.
— Fais pas ton timide.
Elle m’a attrapé la main, et elle l’a plaquée sur son sexe.
— Vas-y, caresse ma foufoune.
J’ai découvert la texture de son sexe, tout en caressant son clitoris, je lui transmettrai de l’excitation grâce à mon pouvoir.
— Vas-y, rentre tes doigts.
Guidé par sa main, j’ai enfoncé un doigt au fond de son sexe humide et bien dilaté.
— Vas-y, tu peux mettre deux ou trois doigts si tu as envie.
Je suivis ses instructions en enfonçant deux doigts. Après seulement cinq secondes, elle s’est mise à gémir et à inonder mon lit de mouille.
— Oh putain, oh putain qu’est-ce que c’est bon, je jouiiiiiiiiiiissssssss.
Se remettant de ses émotions, elle m’a dit :
— Baise-moi, s’il te plaît, j’ai encore envie.— Non, non, je ne te baiserai pas.— Alors je te suce encore. J’ai envie que tu me nourrisses encore de ta semence.
Mon sexe était de nouveau gros et dur. Elle l’a saisi et masturbé à nouveau avant de l’absorber dans sa bouche.
— C’est tellement de bon.
Comme elle m’avait fait des misères, j’avais un peu envie de me venger d’elle. Tania, je t’ordonne de répondre à ma question:
— Qu’est-ce qui est le plus difficile pour toi ?
Elle a sorti mon sexe dans sa bouche pour répondre.
— Ben pardi, le régime, je souffre le calvaire à chaque fois que je ne mange pas à ma faim.— Je t’ordonne de perdre 25 kilos, à partir d’aujourd’hui tous les soirs, tu vas marcher deux heures.— Chaque jour, tu n’auras le droit qu’à de l’eau.— Au petit-déj, un demi-bol de céréales.— Et à midi, un petit bol de riz avec de la salade et un fruit.— Le soir, une soupe.— Et rien du tout entre les repas.
Elle blêmit,
— Je vais crever la dalle.— Oui et alors ?— Ce genre de régime, ça ne marche pas.— Sauf si tu es obligée d’obéir à mes ordres, tu devras atteindre les 50 kilos, puis on rééquilibrera ton régime quand tu auras atteint ce poids.— Ca va être atroce.— Oui, peut-être, mais tu l’as bien cherché.— Oui, mais je ne peux pas.....— Tania, arrête de discuter mes ordres, je t’ordonne de me parler de Cindy, j’ai envie d’en savoir plus sur elle.— Cindy, c’est une très jolie rouquine, et malgré ses trois accouchements, elle est super bien roulée.
Comme je te l’ai dit, elle est très chaude, une vraie cochonne au plumard. Je suis sûre qu’elle serait capable d’avaler en intégralité ton sexe dans sa bouche.
— Qu’est-ce que tu me racontes, ce n’est pas possible ?— Je l’ai déjà vu faire, une vraie avaleuse de sabre, elle a fait une fois le show avec un gode double assez souple et long, qu’elle a avalé sur 30 centimètres.
C’est la reine de la gorge profonde. Son sphincter et son rectum ont aussi des propriétés très impressionnantes, je suis sûre qu’elle pourrait t’accepter en entier dans son cul.
— Je ne crois pas que ce soit possible non plus.
Si, je t’assure, jusqu’à 24 à 25 centimètres, ça passe, on a déjà essayé avec un gode souple.
— Je ne comprends pas comment tu peux parler de trucs sur ta copine comme ça...— Désolé, mais je te promets: c’est une chaudasse.— Je ne comprends pas, elle est la mère de trois enfants et elle a un homme.— Son mariage ne fonctionne pas, Monsieur fait chambre à part.— Pourquoi ils ne se séparent pas ?— Tu sais avec trois gosses, c’est compliqué.— Je ne comprends pas pourquoi tu te poses toutes ces questions, c’est simple, si tu veux, je te la présente, tu lui fais ton truc de contrôle mental et tu t’amuses avec elle.— Qu’est-ce que tu me racontes là ?
Tu ne peux rien trouver d’autre comme connerie à dire. Tu ne penses qu’au cul.
— C’est vrai, depuis que tu m’as touchée, je ne pense qu’à baiser.
Mon pouvoir était vraiment terrible, vais-je arriver à avoir des relations avec des femmes sans les transformer en obsédées sexuelles ?
— Comment tu choisis tes copines toi ?— Et toi, t’as des copains ?— Non, plus vraiment.— Alors, arrête de me donner des leçons.— Et tu crois vraiment qu’elle aimerait faire l’amour avec un ado ?— Depuis qu’on est colloque, on fait un genre de compétition, on aime bien comparer nos amants, celui le plus musclé, le plus membré, etc.
Si je lui dis que j’ai trouvé un ado avec une bite de cheval, et que je lui propose un plan cul, ça l’intéressera, c’est sûr.
— T’es en plein délire, on dirait un plan à deux balles de film de cul.— Oh pardon, tu ne sais pas ce que c’est que d’avoir trois gosses, et t’emmerder toute la journée.— Elle n’avait pas qu’à faire ses gosses.
Si tu poses toutes ces questions sur Cindy, c’était quand même un peu intéressé par un plan cul ? Elle avait raison sur un point, ses histoires sur sa copine nympho m’avaient excité.
— Pourquoi tu insistes tant sur le fait que je couche avec ta copine Cindy ?— Comme je ne peux pas te mentir, je vais t’expliquer, j’ai éprouvé une énorme excitation quand j‘ai touché ton sexe, et j’ai été bouleversée quand tu as éjaculé dans ma bouche.
Je sais que ça peut paraître bizarre, mais la sensation était tellement agréable, que j’ai très envie de recommencerSi Cindy couche avec toi, je suis sûre qu’elle ne s’intéressera plus jamais à Tony, merde, elle veut que sa copine devienne accro à moi.
— Qu’est-ce que cela t’a fait de me sucer ?— Je crève d’envie de recommencer et de baiser avec toi.— Je n’ai pas vraiment envie de me faire utiliser par toi en baisant ta salope de copine.
Et puis, j’aimerais bien perdre ma virginité avec la femme que j’aime.
— Oh, Monsieur est romantique.— Oui et alors, moi au moins, je ne m’envoie pas en l’air avec le premier venu.
Tania réfléchit.
— Je ne suis pas d’accord avec toi, mon premier mec était puceau, et ça a été la catastrophe. J’en garde un très mauvais souvenir, zéro préliminaire, directe pénétration, ça a été une boucherie.
Comme elle était obligée de me dire la vérité. Elle ne me mentait pas.
— Elle est au moins jolie Cindy.— Oh oui,
Regarde. Elle a sorti son téléphone et m’a montré des photos de sa copine Cindy. Elle était avec ses trois enfants. Une jolie rouquine toute souriante, on avait du mal à croire que c’était une accro au sexe.
— Alors tu la trouves comment ?— Elle est plutôt mignonne, mais ça me gène de faire l’amour à une mère de trois enfants.— T’es con, tu ne trouveras pas un meilleur plan cul, de toute ta vie.
Tania interrompit la discussion et suça mon sexe goulûment jusqu’à éjaculation. Elle a consommé avec gourmandise le jus. J’ai de la chance, tu produis beaucoup de foutre, je me suis régalée. C’est tellement bon que je pourrai te sucer toute la journée. Ca te dit un troisième tour.
Non c’est gentil, mais on arrête là. T’es vraiment sûr ? Elle s’est mise à quatre pattes, les fesses en l’air. Vas-y fourre-moi, j’en crève d’envie. Putain, j’ai dit stop. Elle a fait la gueule. En tout cas, je te suce quand tu veux, tu ne te branles plus sans m’appeler, je suis trop fan de ton foutre. Merde, mon pouvoir avait des effets impressionnants.
— Casse-toi, je veux plus voir ton gros cul, et je t’ordonne de ne pas parler de mon pouvoir à qui que ce soit.
Le soir, j’ai croisé mon père dans le couloir:
— Papa, je t’ordonne d’annoncer ce soir au repas à Catarina que tu as changé d’avis sur mon compte, tu annonceras que tu ne veux plus me déshériter et me garder à domicile. Quoi qu’il arrive, tu ne devras pas changer d’avis.— Oui, d’accord Fiston.
Le soir même, mon père a fait l’annonce. A ma plus grande surprise, Catarina n’a pas bronché et n’a pas montré de colère, j’ai été très déçu. Catarina nous a même servi à chacun un verre de vin afin de fêter notre réconciliation, j’ai été très surpris. Ayant la tête qui tournait, je me suis couché assez tôt.
Vers une heure du matin, j’ai été réveillé par une douleur au bras, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu Catarina et Ariana d’un côté et de l’autre de mon lit.
Immédiatement, je me suis senti partir. J’ai juste entendu:
— Tu crois que ça va suffire ?— Ouais, t’inquiète, il a eu une dose pour 10 personnes.
Mon corps a été pris de convulsions, Catarina et sa sœur venaient de m’assassiner en injectant une dose massive d’héroïne. Elles me regardaient convulser et cracher de la mousse. Elles ont ensuite quitté ma chambre. Au bout d’un quart d’heure, j’ai rouvert les yeux. Mon corps avait éliminé toute trace de la drogue. Putain, les salopes, elles n’ont pas hésité à m’assassiner. Ma vengeance allait être terrible !
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