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veni, vidi ...

Chapitre 1

Je suis venu, j'ai vu et je suis cocu.

Divers
Je suis venu, j’ai vu et je suis cocu !Ce n’est pas vrai, cela m’est arrivé aussi, je transpire à grosses gouttes, j’ai le cœur qui bat à 100 à la minute, une pointe dans la poitrine. Comment a-t-elle pu me faire ça à moi ? Je lui ai tout donné, enfin presque il faut quand même que je travaille.
Justement, cet après-midi, mon contact m’a fait faux bon et m’a prévenu qu’il ne pouvait pas venir pour une raison qu’il a prétendue médicale. J’ai pour habitude de me déplacer très discrètement et cela énerve beaucoup mes semblables et là, c’est moi qui fus plutôt surpris.
Mais revenons un peu en arrière dans le temps pour présenter les événements. Avec Julia, nous sommes mariés depuis cinq ans et pendant ces cinq ans, je n’ai pas vu de nuages, si ce n’est qu’on n’a pas voulu de descendance tout de suite, mais tous les dimanches après la messe, c’est notre messe qui est célébrée et c’est avec plaisir que je communie avec son petit pain et son vin de messe.
C’est vrai qu’hier, on s’est un peu disputé pour des futilités et depuis, elle me fait sérieusement la gueule avec des remarques désagréables de femmes jalouses pensant que j’avais des aventures hors mariage. Mais même en voulant très fort, c’est pratiquement impossible dans mon métier qui m’amène à côtoyer une clientèle exclusivement masculine. La seule femme que j’ai vue dans mon environnement professionnel, c’est la femme du patron qui vient voir son mari. Je ne sais si elle pense qu’il peut avoir une aventure, mais elle se trompe ou tout au moins je pensais qu’elle se trompait, jusqu’à cette fin d’après-midi. Eh ! Oui, ce que j’ai vu, c’est les fesses poilues de Gérard qui s’activaient sur ma femme. Bordel comment c’en est arrivé là, je n’ai rien vu venir.
Que faire ?
N’étant pas un sanguin, je me retire, toujours sans faire de bruit et je vais au bistrot du coin pour réfléchir. Que faire ? Surtout que je n’ai pas pris de photos. Non, il faut que je retourne pour faire une photo, on ne sait jamais, cela peut servir. Je retourne sur mes pas et ils sont toujours bien occupés à sacrifier à Cupidon avec des onomatopées qui ne trompent pas sur le plaisir mutuel ressenti. Là, je ne mets pas sur photo, mais sur vidéo. C’est plus parlant. Je me pose la question :
— Est-ce que je leur dis « Souriez, vous êtes filmés, comme dans une réclame que j’avais vue ». Non, discret, je peux finir la vidéo, c’est bon et cette fois je me replie définitivement. Aïe ! Je me tape la tête en passant la porte, il faudra que je fasse rélargir la porte d’entrée avec les cornes qui ont poussé entre temps.
Devant un café, je tourne en rond le dilemme de ce qu’il convient de faire, paradoxalement, je ne suis pas hors de moi, au contraire, j’ai l’impression d’être très calme en réfléchissant les différentes solutions.
— Plan A On a pas d’enfants, avec l’enregistrement, je peux obtenir un divorce avantageux sans pension et l’appartement avait été acheté avant le mariage avec une grosse dette fictive vis-à-vis des parents. C’est eux qui avaient avancé l’argent, donc elle ne devrait rien avoir, donc partirait sans rien ou presque.
Mais vu ma situation professionnelle et il faudra que je me trouve un autre job avec pas mal d’inconvénients, beau certificat sur le papier et très mauvais par oral en plus, il me faut me retrouver quelqu’un pour s’occuper de mon intérieur.
— Plan B, je vais voir Madame Benmachin et je lui propose la vengeance. Mais encore faut-il que cela se fasse, qu’elle soit partante. Je pourrais lui écrire un mail anonyme (une adresse bidon courriel n’est pas difficile à créer) pour l’aviser que j’ai des preuves de l’infidélité de son mari et lui demander si cela l’intéresse. Je préfère ne pas donner tout de suite les infos qui la préviennent. — Plan C, en rentrant, aviser ma femme que j’ai tout vu et profité de ses bonnes relations pour gravir deux ou trois échelons dans l’entreprise. Genre promotion canapé par personne interposée. Mais cela présupposerait peut-être une prise de garantie pour ne pas être le dindon de la farce, mais cela me mettrait plutôt dans une situation de souteneur. — Plan D, ne rien brusquer, lui faire savoir qu’on m’a avisé qu’elle me trompait avec des preuves pour voir sa réaction, depuis quand et que propose-t-elle pour me « dédommager » en quelque sorte ?
Ce n’est pas évident de choisir la bonne solution. Il se peut qu’elle ait un plan E ?
De retour à la maison
Je me décide à rentrer, il ne faut pas trop quand même leur laisser de temps, juste être présentables quand j’arrive, donc 2 minutes avant d’arriver, je téléphone que j’arrive. J’entends vaguement un bruit de discussion et la conversation qui est coupée. C’est quoi ? Je la rappelle directement en lui précisant qu’on a été coupé.
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui s’est passé, tu arrives dans combien de temps ?— Je suis pratiquement en vue de la maison.— Tu vas être surpris, ton directeur est venu me trouver en pensant te trouver à domicile pour récupérer un dossier ou quelque chose comme cela. Enfin tu verras.
Je rentre, j’admire la vitesse avec laquelle ils ont réussi à se rendre présentables. Il y a même le thé qui trône sur la table.
— Bonjour, comment allez-vous ?— Merci bien, je cherchais sans succès le dossier « Les Pierrettes » quand je me suis souvenu que je vous l’avais confié et j’ai pensé que vous l’aviez peut-être à la maison.— Je sais, j’ai oublié de vous dire que j’étais en déplacement chez la serrurerie Jan S. A. pour finaliser le contrat. Ce qui fait que vous n’avez pas pu le trouver, car je l’avais pris avec moi pour contrôler si tout est en ordre. Ce gros client, on ne peut se permettre de faire une seule petite erreur. Je vous l’apporterais demain matin, je vais encore l’étudier ce soir.
Après avoir bu sa tasse de thé froide, il s’éclipse sans autre, content que je n’aie rien vu probablement. Mais il reste la principale coupable.
— Voilà, il est parti, maintenant, j’aimerais avoir une petite conversation avec toi ?— Comme tu veux mon chéri, je ne suis plus fâchée envers toi, me fait-elle chatte.
Je réfléchis à toute vitesse, il n’y a pas un quart d’heure, elle gigotait en pleine action en train de baiser avec mon patron et là elle se la joue chatte. Pervers, je me demande comment c’est son entrejambe, peut-être pas besoin de montrer la vidéo, à moins qu’il ait mis un préservatif à l’odeur de fraise, mais s’il a lâché sa purée de pruneaux, l’odeur est claire.Mais d’autres parts, je n’ai pas envie de passer après l’autre, en plus au milieu de l’action, je me vois mal dire, « Mais putain, ton trou pue le sperme, c’est quand même pas celui du week-end passé » J’aurai déjà pas l’air con en plus d’être cocu. Mais pourquoi pas aller un petit bout et je la prends dans mes bras pour l’embrasser, Merde c’est clair, sa bouche pue la pine. Peut-être que prudent, il lui a recrépi les amygdales plutôt que la nursery.
— Tu as mangé quoi à midi, du mouton à l’ail ? Tu refoules du goulot ma chérie.— Excuse-moi, c’est vrai que j’ai mangé épicé à midi et j’ai oublié de me laver les dents.— Pas grave si le reste est consommable et sans attendre, je lui mets la main au slip qu’elle essaye d’empêcher.
... Tu as un problème ? J’aimerais bien te caresser un peu la minette. J’en ai rêvé tout l’après-midi.
— Mais je ne me suis pas lavée non plus et j’ai transpiré fort en faisant le ménage.
Par provocation :
— Tu veux dire surtout en faisant la cuisine avec ce gigot de mouton à l’ail, j’espère qu’il en reste un peu.— Non, c’était qu’une tranche de gigot. C’était tellement bon, que j’ai tout avalé.— Tu veux dire manger ?— Oui, excuse, c’était un lapsus.
Et j’insiste malgré tout au niveau de la culotte que je trouve un peu poisseuse, mais voyons plus bas, ce que nous réserve sa minette qui travaillait si bien tout à l’heure.
— Petite cochonne, c’est que c’est tout mouillé, hum ! Je me réjouis, viens on va dans notre chambre, j’ai envie de toi et je ne veux pas attendre dimanche.— Mais je suis sale !— Cela sera peut-être intéressant !— Tu risques de trouver une odeur comme avec ma bouche.— Pourquoi, tu t’es frotté le gigot contre ta minette ou si c’est l’ail que tu as mis au chaud ?— Oh ! Et puis zut tu m’énerves. Je te dis que je veux d’abord passer sous la douche.— Nous y voilà, j’ai reçu une information anonyme que tu me trompais, c’en serait pas des fois avec notre cher directeur ? J’ai trouvé bien bizarre sa présence ici et l’odeur de ta bouche m’a plutôt l’air d’avoir été créée par l’injection du jus de pruneaux directorial.— Mais qu’est-ce que tu vas chercher là ? Tu m’insultes, je suis une femme honnête. Je me réjouissais de passer un petit moment sympa avec toi et voilà comment tu me remercies.
Mettant les doigts qui avaient passé sur sa minette bien trempée sous mon nez. Reniflant, puis les mettant sous son nez.
— À ton avis cela sent quoi ?— Je ne sais pas, la femme excitée, je ne suis pas une spécialiste comme toi de ce genre de chose.— Cela me fait de la peine, car je ne sais que faire. J’ai la preuve qu’il y a pas longtemps, tu me trompais avec Gérard. Alors la femme honnête, tu repasseras ! Que vais-je faire avec toi ?— C’est pas vrai !
Sortant mon téléphone portable, je lui montre la preuve de sa duplicité.
— C’est bien notre chambre avec toi en dessous et les fesses poilues de Gérard Non ?— Pardonne-moi, j’ai eu un moment d’égarement.— Attends un peu, que faut-il pardonner ? Que tu me mentes et dissimules tes activités, le fait que je sois cocu ? Et ça depuis quand dure-t-il ton moment d’égarement ? D’après ce que j’ai vu, on ne peut prétendre qu’il te violait. Je pense que cela doit bien faire 2 mois, j’y pense ce salaud, il me bombardait de travail pour que je sois tellement crevé afin qu’il puisse s’occuper de toi ! C’est bien ça !— Il y a du vrai, c’est vrai que depuis deux mois, tu me négligeais un peu, reconnais-le !— Et comment cela a commencé ?— C’est à la fête de Noël, pendant que tu dansais avec sa femme, il s’est occupé de moi en me proposant de me tenir compagnie quand tu n’es pas là, au début, je n’ai pas vu la malice, mais au cours de la soirée, on s’est mis un peu à part et voyant que tu ne t’intéressais pas à moi, il est devenu plus entreprenant et a commencé à me caresser et à m’embrasser dans le cou. J’étais un peu surprise, mais puisqu’il était ton patron, je n’ai pas voulu faire d’esclandre et j’y prenais goût. Après un bon moment de flirt, il m’a dit qu’il allait t’envoyer une semaine en séminaire pour parfaire tes connaissances et présenter l’entreprise et pendant ce temps-là, il viendrait me tenir compagnie.— Le salaud, il mériterait que je montre la vidéo à sa femme !— Ne le fais pas, elle est complice, même une fois qu’elle l’a accompagné et m’a forcée à avoir des pratiques lesbiennes avec elle et en plus ils ont pris des images pendant.
Je me dis « la fine mouche, est-ce vrai ? Elle n’a rien voulu avouer avant d’avoir le nez dans le pot de chambre. Je vais quand même essayer le plan B, mais sous forme anonyme dans un premier temps. Je vais être aussi faux-cul qu’elle en attendant. »
— Tu as raison, mais que vais-je faire ? Je ne peux accepter sans autre cette situation. — Au fait tu la trouves comment sa femme ?— C’est pas d’actualité. Un peu pincée et froide.— J’ai pas eu cette impression quand elle est venue à la maison, finalement on pourrait s’en faire des amis de sexe et s’en sortir, elle est bonne.— Ce serait une possibilité et peut-être il ne se sentirait pas obligé de me couvrir de travail pour avoir les coudées franches et s’il me prête sa femme, finalement mon honneur est sauf, il ne resterait qu’une augmentation pour se faire pardonner de m’avoir fait cocu sans m’offrir la réciproque.— Tu serais d’accord ?— Essaye et vois si c’est possible, mais vas-y doucement et par petits pas en lui disant que j’ai des doutes et que peut-être, vu qu’il est venu une fois avec sa femme qu’elle pourrait aussi venir quand je suis là, après je ne pourrais rien dire.— Effectivement, je crois qu’elle a bien trouvé un bon plan E. Qu’elle prenne du bon temps avec le directeur, mon Dieu, à part mon honneur, après ceci, le mal étant fait, je ne vais pas être jaloux, surtout si je peux me payer sa femme, je me souviens quand on dansait, un moment, j’ai eu un fantasme que j’ai balayé par peur de mon patron. Comme quoi... — Alors chéri, toujours partant pour faire un petit détour par la chambre, je passe par la chambre de bain ou pas ?— Cela dépend s’il t’a rempli ta tirelire si oui, n’oublie pas de te laver également les dents.— Peut-être il faudra que tu t’habitues à me bouffer la chatte après son passage, son foutre n’est pas si mauvais, c’est des idées que c’est mauvais, je pensais de même pour la cyprine que cela devait puer et avoir mauvais goût, mais finalement j’ai bien aimé celle de sa femme.
Sans attendre, on est monté dans la chambre et là ce fut le festival, elle était démontée et je crois vraiment contente qu’une solution ménageant son petit confort soit possible. Même au début de notre vie en commun, je n’ai vécu cela. Bon, j’ai effectivement dégusté sa moule avec des relents de sauce pruneau, mais avec une bonne rasade de cyprine, cela passe sans autre et une fois la bouche bien imprégnée, sa bouche avait une odeur tout à fait acceptable. Pour me remercier, elle m’a fait visiter ses catacombes avec mon concombre, divin, là je lui ai envoyé gros. Je n’ai pas tout analysé, mais probablement cela avait été graissé copieusement au paravent. Merci, Gérard, d’habitude, elle n’est pas d’accord que je les visite, là, elle s’est donnée, j’aime vraiment quand elle fait pute.
C’est vraiment paradoxal ce que les femmes permettent à leur amant et font gris mine à l’accorder au conjoint, il faut vraiment qu’elle ait quelque chose à se faire pardonner pour sortir des chemins battus.
Dans le bureau directorial
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