Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 136 J'aime
  • 1 Commentaire

veni, vidi ...

Chapitre 3

Ophélie

Hétéro
Résumé des épisodes précédents:Ayant surpris son épouse en train de copuler avec son patron, Alain se voit proposer par elle une partie à quatre pour sauver son honneur et une promotion canapé. Le patron confirme et invite Alain avec son épouse et en sortant du travail, il rencontre la fille Duschnokr qui l’incite à lui prendre son pucelage, après avoir réalisé les desiderata, il lui apprend que le lendemain, il est invité chez ses parents pour une sorte de revanche ; elle promet de s’incruster dans la soirée.De retour au gîte familial, c’est un peu la Gestapo :
— Qu’est-ce tu as fait de rentrer si tard, je me faisais du souci ? Que t’est-il arrivé ? C’est Gérard qui t’a retenu ? — Je peux enlever ma veste ? Et ensuite aurais-tu l’obligeance de me servir une bière ? Il fait trop chaud dehors !
C’est pas trop sympa, mais la technique rabbinique de répondre à une question par une question permet au minimum de reprendre son souffle.
— Je t’ai préparé un bon souper, tu m’en diras des nouvelles.
La soirée chez les Duschnokr.Le lendemain, avec mon smoking de mariage, hé ! Oui, j’arrive encore à le mettre et les occasions de l’étrenner étant rares, j’en profite, on arrive devant leur maison, c’est la première fois que j’y viens, je ne sais pas pour mon épouse. Belle bâtisse. Pierre de taille, grand jardin, bien entretenu, on voit qu’on a affaire à des gens qui n’ont pas de fins de mois difficiles.
— Dring ! Dong ! Comme dans les films à suspense et le frais minois de Ophélie apparaît.— Bonjour, je crois que mes parents vous attendent, entrez !
Passant derrière ma femme, elle ne peut s’empêcher de souffler :
— Comme vous sentez bon, que vous êtes belle, si votre ramage ressemble à votre plumage, vous allez être la reine de la soirée.
Toujours très fine mouche, ma femme :
— C’est quoi ce char ?— Mais chérie en fille bien éduquée, elle fait un compliment sur ta beauté resplendissante avec un petit supplément gratuit pour ton odeur de femme fatale.

Là-dessus arrive le beau Gérard en tenue très décontractée :
— Bienvenue Alain et Julia, je vois que vous vous êtes mis sur votre 31. Il ne fallait pas, on ne recherche pas le client ce soir ! Enlève-moi cette veste et cette cravate, sinon tu vas t’étrangler.
On se dirige vers le salon où une splendide cheminée illumine la pièce d’une belle flambée de bois de hêtre et de pin.
— Ophélie, mais tu as mis cinq couverts, tu veux rester pour souper avec nous ?— Volontiers, j’ai fini mes révisions, alors pour une fois qu’on a de la visite, autre que les copains de bridge, tu penses bien que je vais en profiter.— Fais comme tu veux, je ne vais pas discuter, de toute façon, j’aurai tort. C’est fou cette jeunesse, de mon temps...— C’est vrai Gérard, à son âge, tu avais déjà baisé la moitié des filles de la faculté. Ta fille est beaucoup plus sage que toi.— Que tu dis ma chère mère !— On ne va pas se chamailler pour si peu ! Passons à table !
Le traiteur a fait les choses en grand et c’est vraiment succulent. Il y a juste eu une petite embrouille dans la distribution des places, profitant que sa mère n’était pas présente, Ophélie vient s’asseoir juste à côté de moi, laissant sa mère présider l’assemblée.Entre les entrées et le plat principal, un civet de chevreuil airelles, bramborovy knödliky et sauce à la crème, je sens une main se promener sur ma cuisse en reconnaissance, c’est sûr que ce n’est pas Madame, ni mon épouse, c’est cette coquine d’Ophélie qui me chauffe. Franchement, je me pose des questions quant à la suite des événements. Cela pue le drame shakespearien entremêlé de farces vaudevilliennes, on sent la lutte des lionnes entre elles. L’une sachant et l’autre l’ignorant.
— Maman, pourquoi tu me donnes des coups de pieds ?— Excuse-moi, j’ai eu une crampe dans le mollet.
Le père assiste, impuissant, à cette guerre larvée cachée sous le couvert de la respectabilité ; ayant lui-même mis le doigt tant dans l’engrenage que dans la minette de ma femme, il ne peut intervenir sans autre, voulant protéger son aura de père vis-à-vis de sa fille.
— Tu pourrais mettre des mains sur la table s’il te plait, intervient sa mère pour faire preuve d’autorité.— Mais papa met aussi une main sous la table !
Je commence à être un peu mal à l’aise, coincé entre deux tigresses qui aimeraient me manger tout cru, dont l’une a déjà commencé à servir, l’autre étant trop loin pour éviter de perdre sa respectabilité. Frustrée, la mère propose de prendre le dessert sur la terrasse, la température particulièrement douce s’y prêtant bien. La main érectrice de Dolmen1 se retire à regret et nous nous déplaçons, mais cette fois, Flavia, la mère l’a devancée et s’est assise à côté de moi. Il ne lui faut pas longtemps pour s’assurer que la déformation de mon futal n’est pas due à un mauvais pli du pantalon.Se penchant vers moi, elle me murmure dans l’oreille :
— Je vois que tu es en forme, sans que j’y mette la patte. C’est bien. Je me réjouis.
Flatteur, comme celui dont la vie dépend de celle qui l’écoute, enfin pas la vie, mais le confort.
— Je ne saurai rester insensible à votre grâce et à celle de votre fille.— Ma fille ? — Elle est très belle également, tout comme sa mère, j’ajoute, malicieux.— Mais ...— Quoi, elle a le droit de ressembler à sa mère et d’être très belle, j’aime beaucoup son parfum qui est très frais.— J’avais pas remarqué, elle se parfume ?— Ah ! Le parfum des jeunes filles en fleur si chères à Proust.
Le dessert étant pris, la fille restant sur ses positions, il faut trouver une suite, on parle de danse, mais il y a trop de femmes pour le nombre d’hommes. Qu’à cela ne tienne. Les couples légaux font l’ouverture et alors que le changement de mélodie se fait, c’est Ophélie qui me tombe dans les bras pour un slow. Elle se plaque contre moi, je sens son pubis à la recherche de ma tension. Elle se frotte lascivement, je ne suis pas de bois et les souvenirs de notre récente partie ne font rien pour calmer la chose. Je me penche sur son oreille pour lui murmurer :
— Tu me mets au supplice et je ne vois pas comment me détendre.
Sa mère nous regarde d’un air soupçonneux en se demandant ce que je peux bien comploter avec sa fille qui n’était pas prévue. Gustave, lui il s’en fout royalement et se permet une conduite qui devrait faire dresser les cheveux sur la tête de sa femme et de sa fille dans un cas normal, et mon épouse se prête parfaitement au jeu, ayant la main entre eux dans un exercice masturbatoire. Je me pose la question quand l’orage va éclater et s’il va éclater avant que moi j’éclate. Je connais mes classiques : frais tendu, rien n’est si chaud qu’un bas de femme, mais cela ne suffit pas quand ma chère Ophélie propose.
— Papa, j’aimerais faire visiter la maison à Alain pendant que vous discutez de choses sérieuses.— Mais chérie, lui rétorque sa mère, c’est un peu l’heure de te coucher.— Mais ma chère maman, tu as déjà oublié que je suis majeur et que les heures où je me couche ne regardent que moi.— Va et reviens bientôt, conclut Gérard. — C’est qu’il y en a des choses à voir et visiter.— Viens que je te montre tous nos trésors, tout d’abord ma chambre.
À peine la porte fermée, c’est l’assaut des troupes chrétiennes lors de la prise de Jérusalem.
— Vite à poil, on a peut-être pas trop de temps.
Rapidement, on se retrouve en tenue paradisiaque, tel Adam et Eve et c’est pendue à mon cou qu’elle s’approprie ma bouche, ses jambes ceinturant ma taille et moi bandant comme un satyre, je ne peux empêcher qu’on s’embroche pratiquement tout de suite. Elle me fait signe de m’allonger sur son lit et sans se décoller, elle mène une sarabande que j’en bande encore. Vraiment avec elle, c’est comme avec le cochon, tout est bon. Je me redresse un peu pour avoir la bouche à la hauteur de ses seins que je suce, triture, lèche comme un fou en espérant la venue du lait. Nous montons ensemble en puissance, les coups de soc sont de plus en plus affirmés. Juste avant de partir ensemble dans un orgasme partagé, on entend frapper (en Suisse, je dirais toquer) à la porte et mère :
— Vous faites quoi là-dedans ?
Impertinente, d’une voix rauque qui ne trompe personne, Ophélie répond :
— On trie les perles.
Du coup, ça nous a coupé la chique.
— Je peux rentrer ?— Oui bientôt, mais il faut qu’on ramasse encore quelques perles. On saute dans nos habits pour être présentables puis on ouvre la porte, un peu ébouriffés.— Cela sent une drôle d’odeur, comme dans certaines boîtes quand ils oublient d’allumer de l’encens.— Eh ! Bien, ce serait bien que tu m’en fournisses.
Cette petite a vraiment l’esprit pratique et le sens de la répartie.
— Écoute, Alain et Gérard ont un problème à résoudre et ton père comptait sur ce souper pour le régler, mais tu as tout brouillé.
Se tournant vers moi, Ophélie :
— C’est vrai ce mensonge ?— Oui, plus ou moins, mais on vient de trouver les deux la solution à ce problème.— Quoi ? fait la mère, excédée, vous avez osé, avec ma fille, dans ma maison ? Vous lui avez pris sa fleur ?— Il ne faut rien exagérer, je peux vous assurer que ce soir, je n’aurais en aucun cas pu prendre la fleur de votre fille, vous êtes venue si vite.— Ouf cela me rassure.— Mais ma chère maman, désolée, mais j’ai pas attendu ta permission pour faire sauter mon opercule. Ne sais-tu pas que les chiens n’engendrent pas des chats ? Quand tu as frappé, Alain était en train de me raconter tes turpitudes avec sa femme, maintenant que fait-on ? Il m’a aussi dit qu’il était invité pour pouvoir te baiser pendant que papa tronche la sienne. Si tu veux, on peut les laisser jouer de leur côté et nous du nôtre.— Mais tu rêves, tu es ma fille.— Je sais que je suis presque aussi salope que toi. J’ai dû me dépêcher de me faire faire femme, père devenait un peu trop pressant et je n’avais pas envie que mon pucelage parte sur ses couilles.— Quoi ? Ton père ?— Joue ton étonnée, comme si tu ne savais pas qu’il tire sur tout ce qui bouge pourvu qu’il y ait au moins un trou et éventuellement des seins. Alors ? Tu participes ou pas.— Attends, je vais voir avec ton père pour ne pas être dérangé.— Tu veux dire que tu vas l’inviter à notre petite sauterie ? Laisse-le avec sa pouffiasse et ferme la porte à clé.
Diffuse en direct !
Regarder son live