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Le vent sur le parking

Chapitre 1

Gay
Aujourd’hui j’ai le cul en feu, je sens des veines battre dans mon ventre, sous mon pubis. Ma rondelle me démange, j’ai envie de me la caresser.Il est 19 heures, j’enfile un string en dentelle mauve de sissy et mon pantalon de yoga. J’y assortis un tee-shirt un peu court et moulant, une paire de converses. Je me regarde dans la glace de la salle de bain, j’ai peur, je n’ai jamais fait ça. Ma chatte anale est prête, elle, je la prépare depuis des mois avec des godes et des plugs achetés sur le Net. Je suis décidé, c’est ce soir, je sors de chez moi, je traverse le palier et le hall sans croiser personne ; je m’en fous, mais après tout cela vaut mieux pour le moment.

Je marche jusqu’à ce parking que j’avais repéré, il n’y a personne, c’est peut être trop tôt. Je m’installe au fond, là où j’ai une bonne vue sur qui pourrait venir. Le pantalon de yoga me serre, je ne l’ai jamais porté en dehors de chez moi ; je sais qu’avec ce pantalon on devine mon string, le genre minimaliste, qui finit toujours par me rentrer dans les fesses et me titiller l’anus. J’aime ça. Il y a un peu de vent, qui me fait des sensations nouvelles sur les cuisses et l’entrejambe. Une voiture s’engage dans l’entrée du parking, il est 20h30.
La voiture s’arrête dans un coin, un peu plus sombre que le reste, je vois deux appels de phares, mon cœur s’accélère. Je commence à marcher vers la voiture, sans me presser, comme si ce n’était qu’une fois de plus et non pas la première fois que je m’offre à un homme. Je sais que je vais aller jusqu’au bout, une petite rafale de vent me caresse le derrière, comme si elle me poussait amicalement.
Je suis devant la voiture une berline récente de bonne marque, dans les phares, je ne vois que la silhouette de son occupant, il ne fait aucun geste, je tourne lentement sur moi même pour qu’il me voit bien, je roule du cul. La portière s’ouvre, j’entends une grosse voix me dire sur un ton jovial « Tu montes chérie ? », je m’approche, le type sort, pas grand mais râblé, les cheveux en brosse, une quarantaine d’années, il me dit : « On se met à l’arrière ? »J’obéis.
Je m’installe sur la banquette, il monte derrière moi, je le vois bien il est beau gosse et a l’air propre, il se colle contre mon côté et passe la main autour de mon cou, je ne sais pas comment il fait pour ne pas entendre mon cœur battre ou comprendre mon état, je me dégèle, je commence à lui caresser le torse et les épaules pendant qu’il m’embrasse dans le cou.
On se caresse, mais je n’arrive pas à l’embrasser sur la bouche, mes mains touchent son entrejambe, à travers le tissu, il empoigne mes hanches et me fait mettre à cheval sur ses cuisses, j’ouvre sa braguette pendant qu’il pelote mes fesses à travers le pantalon de yoga.
Ma main touche sa queue, il a une demi-molle qui durcit d’un coup au contact de mes doigts. J’effleure son gland, son pubis est rasé la verge est grosse, plus que la mienne, mais pas trop longue, en dessous, au toucher, ses grosses couilles sont douces et presque lisses, je commence à le masturber doucement.
Il baisse mon pantalon de yoga et découvre mon string de lopette, il grogne d’un air excité et amusé, il dit : « Toi t’en veux vraiment » je réponds juste oui, d’une voix étranglée par l’excitation.Sans plus parler, il me fait asseoir à côté de lui, sa bite est sortie, j’ai mon pantalon et mon string sur les genoux, il passe sa main sur ma nuque et m’attire vers son sexe dur.Je fais comme je l’ai vu faire dans les pornos, comme je me suis entraîné à le faire sur mes godes. Je prends le plus que je peux dans ma bouche et la ressors en aspirant, je roule des pelles à son gland, je masse ses couilles. Je suis surpris par la grosseur de sa bite et par l’effort que je dois faire pour l’enfoncer et la garder dans ma bouche, je m’efforce d’être aussi bonne que possible.
Pendant ce temps, sa main est sur mes fesses, il me caresse le trou de balle en faisant des cercles avec ses doigts, sa bite dans la bouche, je pense « Je suis une pédale qui suce sur un parking. », ses doigts sur mon cul sont comme du feu.
J’arrête de le sucer et je dis "Tu veux me prendre ? "Il répond juste OK, il ouvre la portière et me fait mettre à quatre pattes en travers de la banquette, le cul offert devant la portière ouverte. Je sors mon flacon de lub de ma poche et me prépare l’anus à toute vitesse, juste le temps qu’il lui faut pour descendre par l’autre côté et faire le tour de la voiture.Il me prend le flacon des mains et m’en rajoute généreusement, j’entends un plastique craquer, il avance derrière moi, je sens son odeur et sa chaleur par-dessus la fraîcheur du vent et l’odeur de l’asphalte.
Il pousse une ou deux fois, je gémis, il s’arrête, je dis : »Non ! Continue ! ». Il appuie plus doucement, je sens sa bite chaude sur ma rondelle de plus en plus détendue, il me pénètre.Il va d’abord jusqu’au fond, doucement. Il reste là un bon moment, puis fait quelques va-et-vient et s’arrête, je suis à quatre pattes sur un parking en train de me faire sodomiser. Mon cul n’en peut plus de bonheur.
Il commence à me baiser, de plus en plus vite et fort, j’essaie de ne pas glisser sur la banquette malgré ses coups de reins, je gémis comme une bonne soumise, il s’arrête un instant, puis sans sortir sa bite de mon cul me prend par les cuisses et me ramène contre lui.
Le ramonage reprend et j’adore ça, je ne bande pas mais j’ai quand même l’impression de jouir, il y a une chaleur qui enveloppe tout le bas de mon corps à partir du ventre. Je recommence à glisser sur la banquette, il s’interrompt de nouveau pour me replacer, on rigole tous les deux, je dis »Tu veux que je te finisse avec la bouche ? » Il est d’accord, on remonte dans la voiture, je remonte mon string et me penche sur mon homme, il a enlevé la capote, son sexe est brillant, très chaud, j’ai une hésitation en pensant que ce pénis était dans mon cul 20 secondes avant.
Je le reprends dans ma bouche, et j’essaie d’être la salope la plus chaude, la plus cochonne et avide de foutre, celle que l’on n’a jamais été pour moi, en 30 secondes il jouit, 3 bonnes giclées chaudes et lourdes qui viennent frapper le fond de ma gorge.
Je lui dis que j’en ai assez pour la soirée, il me demande mon numéro, je ne lui donne pas, je lui dis avec un clin d’oeil de pute que je suis souvent sur ce parking.
Je rentre chez moi à pieds, le long de la quatre voies qui sort de la zone industrielle, je marche en roulant du cul dans mon ensemble string pantalon de yoga, j’ai remonté le coin de mon string pour qu’on le voit un peu, les camions qui me dépassent soufflent un vent qui rafraîchit et excite mon cul encore mouillé de lub...
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