Je joue avec les tétons de Florence. Elle reprend peu à peu ses esprits. Elle se met sur son côté, face à moi et me sourit. — Que c’était bon, c’est la première fois que l’on s’occupe si bien de moi. — Tu es prêtes pour la suite ? Pour toute réponde j’ai un baiser. Elle me met sur le dos et vient sur moi. Elle joue avec ses cuisses sur mon sexe. Sév lui demande de se mettre accroupie au-dessus de ma bite. Elle s’exécute. Sév prend ma verge en main et la présente entre les cuisses de Flo. — Voilà, doucement, lui dit-elle, rentre-le petit à petit. Quand tu ne pourras plus descendre, Hervé ira chercher la butée. Lentement et s’affaisse sur mon gland. Il a du mal à passer l’entrée étroite. Flo respire fort. Elle se mord les lèvres tout en fermant les yeux. Sév s’est mis à genou entre mes jambes et la guide. La tête est passée. Elle descend le long de ma colonne. — Remonte de temps en temps. C’est pour le lubrifier, dit Sev. En bon professeur elle lui donne des petits conseils et en bonne élève, Flo les applique. Elle est concentrée sur ce qu’elle fait. Elle ouvre les yeux, me regarde et me dit qu’elle est à fond. Je regarde mon sexe, il n’est pas à la moitié. Alors lentement je monte le bassin, redescend et remonte plus haut. — Han… La vache, qu’elle est grosse, Han… Je la veux entière en moi. Hum… J’accélère les mouvements en la maintenant par les hanches. Maintenant, je peux aller plus profond, ressortant presque entièrement à chaque retour et poussant un peu plus loin à chaque allez. Les bruits de succion se font entendre et je peux sentir la cyprine de Florence coulée sur mes couilles. Sév n’est pas en reste, elle lèche mes valseuses, me les gobe et me les triture. Après être rentré jusqu’à la garde deux ou trois fois, je décide de changer de position et de la placer en levrette. — C’est quoi la levrette ? Sev et moi partons dans un fou rire. — Tu ne sais pas ce que sais que de se faire prendre en levrette, dit Sév. Bon, met toi comme cela. Voilà, bien et Hervé va se mettre à genou et te prendre par derrière.
Sév lui montre comment elle doit se positionner. Je me mets en position. J’approche doucement et joues un peu à l’entrée de son sexe. Il est gluant de mouille. Je n’ai pas à forcer, je rentre jusqu’au contact de mon pubis sur ses fesses. Je me retire en laissant mon gland bien au chaud et repousse à fond. Elle a un petit cri de surprise. J’entretien des mouvements amples, réguliers et lents. — Oui, han, han, han… Vas-y plus fort, défonce… moi. Bourre moi, c’est trop bon…Hum. A sa demande, j’accélère et j’y vais gaillardement. Elle accuse mes coups de boutoir par de petits sursauts. Sév se glisse, telle une anguille, sous Flo et reprend son léchage de couilles. Elle n’oublie pas de récupérer le jus de Flo qui lui coule sur les cuisses. Voyant que dans cette position elle m’accepte bien, je me mets à califourchon au-dessus de ses fesses et plante mon dard d’un coup brutal. Elle s’effondre et tente de se relever mais déjà ma deuxième pénétration est encore plus violente. — Putain, tu y va…fort…ouf, ouf, mais c’est trop bon. Vas-y, défonce moi…allez !!! J’imprime un rythme saccadé et je varie, à la fois, la profondeur, la vitesse et la violence des pénétrations. J’aperçois Sév en plein travail de récupération de mouille. Elle lèche mes couilles, les cuisses et le clito de Flo, qui crie sa jouissance. Ne pouvant pas prendre ses cheveux à pleine main, je lui redresse le visage en prenant son menton. — Regarde-toi, salope… Comme tu es belle quand tu prends ton pied. Regarde-toi te faire prendre comme une chienne… Elle ouvre les yeux et découvre une scène excitante à souhait. Son visage est déformé par le bonheur. Elle rit, grimace en fonction des coups de bite que je lui assène. Elle est en transe. Elle a la bouche ouverte mais aucun son n’en sort. — Je peux jouir en toi, tu prends la pilule ? — Han, ouf, oui…. Donne-moi ton jus…. Han, han. OUI, remplie-moi !!! Je continue mon traitement pendant une ou deux minutes et je lui lâche de long jet de sperme. Je poursuis mon travail encore un peu, histoire de voir Sév s’abreuver de se mélange qui lui plait tant. Je me retire et je présente ma verge devant la bouche de Flo. Elle sort la langue et me nettoie. Sév réapparaît la gueule engluée. — Et bien, pour une première baise, elle en aura appris la petite cochonne. Un cunni, une levrette et elle se fait prendre en dog-style. Bravo !!!!! — Hervé, tu as aimé ? — Tu as été magnifique. J’en peu plus. C’est avec difficulté qu’elle se lève. — Oh !!! Qu’est-ce que tu m’as mis… Regarde je dégouline… Séverine ne se fait pas prier et saute sur le minou de notre « élève » et lui nettoie consciencieusement. Je me lève à mon tour, j’embrasse Flo, caresse la tête de Sév et leur dit que je vais prendre une douche dehors et nous servir un verre.Après la douche, je regarde l’heure. 6h15. Dur. Je sers trois punch et j’attends les belles. Elles arrivent, en se tenant par la hanche et en titubant. Quel spectacle, elle se savonne mutuellement en n’oubliant aucune partie de leur corps. Elle se sèche et me rejoigne en tenue d’Eve. — Bon un petit dodo ne fera pas de mal, leur dis-je. Demain est un autre jour ou plutôt tout à l’heure…On va se coucher, tous les trois dans le même lit.
Le jour, qui s’est levé depuis longtemps. Il est 12h30 quand une odeur de café me tire du lit. Je retrouve mes deux nymphes accoudées au comptoir du bar de la terrasse. Le soleil m’éblouit, tout comme les deux créatures qui me font faces. — Bonjour mon étalon. C’est Flo qui me branche. — Vous êtes déjà debout ? — Il n’y a pas longtemps, Flo n’arrivant plus à dormir elle m’a réveillé et demandé comment on faisait le café. Alors je me suis levée. Tu as vu le mot de Caro sur la table de cuisine ? — Non. Qui a-t-il ? — Rien de grave, me rassure Sév, attend installe toi et bois un café, je vais le chercher. Au retour de Sév je me suis installée sur un transat, Flo est à côté de moi. — Tiens, et tu le lis à haute voix pour Flo. — Mes amours, je suis passée à 9h00 ce matin et vous dormiez tellement bien que je vous ai laissé vous reposez. Je pense que la nuit a dû être courte au vue de la salle. LOL. Je parts pour 4 semaines en villégiature sur l’île du Levant. Je vous laisse la maison et la voiture. Voyez avec Isa pour le boulot, elle a les clés et les adresses des fournisseurs. Son numéro est 0650……, Profitez en bien. Caroline. — Et bien nous voilà condamné à garder cette charmante demeure et cela n’est pas pour me déplaire. Sév me rappelle que dans une semaine nous sommes également en vacances et qu’il faut que l’on repasse chez elle et chez moi pour chercher nos tenues militaires. Alors en route, plus vite fait, plus vite tranquille. Flo nous accompagne. Le passage dans nos domiciles est rapide. On est sur la route du retour quand me vient une idée. — Sév, ma puce cela ne te dit rien un petit tour à la plage ? Elle sourit et elle explique à Flo où nous allons. Cela ne semble pas déranger la demoiselle, bien au contraire. Une fois sur place on se met à poil et on cherche un endroit pas trop fréquenté, ce qui n’est pas donné en ce début juillet et qui plus est, un dimanche après-midi. Enfin, après dix minutes de marche sous un soleil de plomb, un petit endroit sous les pins nous tend les bras. On installe serviettes et matelas de plage (trouvés dans le coffre de Caro), et on part tâter la température de l’eau. Ma foi, elle n’est pas trop froide, je me mouille la nuque et le dos, j’arrose les filles et je plonge dans la grande bleue. Je refais surface et je vois mes deux comparses se mouiller et plonger également. Nous jouons comme des ados à nous arroser. Les chamailleries finissent bientôt en caresses et attouchements peu anodins. Flo tombe dans mes bras et Sév vient, dans son dos, nous enlacer Elles placent leur tête de façon que l’on puisse s’embrasser à pleine bouche. Ce spectacle est loin de me laisser indifférent, je bande. Flo, qui est contre moi, le sent et remonte ses jambes dans mon dos. Sév me contourne et elle vient l’imiter. Me voilà coincé au milieu de deux petites furies. Elles m’embrassent le cou, le dos pour Sév et le torse pour Flo. L’extase. Qui aurait pensé, il y a deux mois, que je serais le professeur de deux nanas sans tabous. — Les filles, j’ai faim. On va à la « Salad’hyéres » ? (cf. Séverine 1 et 2) Allez on sort et direction le resto, c’est moi qui régale. Il faut dix minutes pour que ces sangsues se décollent. On quitte la plage pour s’attabler en terrasse. Evidemment il y a un code vestimentaire. Sév est nue sous sa robe jaune d’hier. Flo porte un paréo qui ne cache rien de sa nudité et moi, je porte un short blanc et noir sans rien dessous et un tee-shirt noir sans manche. On commande nos salades, accompagnée d’un rosé bien frais. Sév se régale de la tenue provocante de Flo, qui elle semble à l’aise. Elle est assise en tailleur sur sa chaise et s’amuse en nous montrant sa chatte. Les voisins de table et la vieille serveuse n’ont d’yeux que pour nous. On en rigole.Vient l’heure de rentrer. On demande à Flo si elle veut rentrer chez elle. Sa réponse est négative, elle désire rester avec nous. Elle téléphonera à sa sœur pour lui donner des nouvelles. Nous voilà arrivé à la villa. Flo et Sév plonge dans l’eau, moi je vais me coucher. Le réveil sonne. Il est 6h00, debout, café. Je prends une douche et je réveille Sév qui est enlacée par Flo. Elle arrive enfin à se défaire de cette douce étreinte et me rejoint, après s’être douchée et habillée, dans la voiture. Cette semaine passe à une vitesse fulgurante. Flo se révèle être une bonne maîtresse de maison. Effectivement, tous les soirs nous avons le droit au repas prêt, le petit ménage effectué et parfois, un petit massage. Comme on l’avait convenue avec Sév, la semaine, no-sexe. Juste des bisous, des massages, des câlins et des soirées TV rythment nos soirées. Vendredi, je reçois un appel d’Isa. Elle me demande des nouvelles et que ce n’est pas la peine de venir travailler Elle et Kate vont pouvoir gérer. J’annonce la nouvelle aux filles qui sautent de joie. On passe un agréable vendredi soir, sans sexe car l’envie n’y est pas, trop fatigué. Samedi, je me réveille à 9h00, seul. Le café est fait et j’aperçois la boîte de pilules, j’en prends deux. Les filles batifolent déjà dans l’eau. Je m’installe à la table du salon d’extérieur avec mon café. C’est un spectacle fort agréable Qu’elles m’offrent en sortant de l’eau. Elles prennent une douche ensemble se savonnant mutuellement. Je les regarde attentivement se frotter, toutes les parties du corps passent au lavage. Je me lève avec une érection plus que raisonnable et me dirige vers elles. Ma queue tangue de droite à gauche tout comme mes bourses. Je me hisse sur le bar et j’écarte les jambes. Elles ont compris l’invitation et saute entre mes jambes. La première servit est Sév, Flo se contentant de mes couilles. Les bruits de succions sont obscènes. Séverine me fait une gorge profonde devant les yeux ébahis de Flo. Elle lui demande de lui apprendre, ce qu’elle accepte. Elle prend ma queue à la base et gobe ma bite à moitié. Elle s’étouffe. — Rho, gourmande. Doucement, vas-y doucement, oui voilà, comme cela, c’est déjà mieux, lui explique Sév. Puis lentement elle lui appuie derrière la tête, forçant un peu plus la pénétration. Elle alterne le travail de mon sexe et lui autorise des moments de repos pour qu’elle puisse reprendre son souffle. Flo à des haut-le-cœur mais continu sa progression. Lentement elle arrive à me prendre entièrement en bouche. Je fais signe à Sév que le moment d’éjaculer est proche. — Flo, Veux-tu le boire ou le recevoir sur tes seins ? — Nan, Han, Han… J’aimerais partager son jus avec toi. — Alors, branle-le, vite, j’ai soif. Elle se met à faire des allez retour rapides et précis. Je ne tiens pas longtemps et une pluie de sperme s’abat sur leur langue respective. Elles déglutissent, se lèchent l’une et l’autre, jouent de leur lange sur mon gland, m’aspire pour récupérer mon nectar. Elles se nettoient le visage en récupérant les filets de leurs doigts et les portent à la bouche. — C’est bon ma p’tite Flo ? — Humm, un délice, dommage qu’il n’y a pas d’autres queues à purger… Hihihi. Non, je rigole. — C’est faisable, à la discothèque de Caro…Hihihi. Dit Sév. — Et ho, je suis là, je ne vous dérange pas trop ? — Euh, nan, dit Flo. Je descends et je la prends dans mes bras et saute dans la piscine. On est vite rejoint par Sév. Il s’en suit une bataille d’eau, d’arrosage. Mon excitation est à son comble lorsque je touche les fesses de Flo. Elles sont fermes et dures comme l’ont les blacks. Je la retourne et je l’embrasse violemment. Elle me le rend avec fougue. Séverine, qui n’est pas en reste, se mêle à nous pour un jeu de langues des plus savoureux. — Il est peut-être temps de lui apprendre ? Me susurra Sev à l’oreille. — Lui apprendre quoi ? — La sodomie ! Idiot !!! — Tu crois qu’elle est prête ? Enfin, si tu le crois, je te laisse le soin de lui présenter la chose et de la préparer. Sur ces mots, je sors de l’eau et je vais prendre une douche. Les deux nymphes s’accoudent au rebord de la piscine et commence une discussion. Elles sont sérieuses et Flo est attentive au discours de sa copine. Je ne peux pas entendre mais à la moue qu’elle fait, je devine, à son visage, l’inquiétude grandir au fur et à mesure des explications de Sev. Au bout de dix minutes, elles sortent et se dirige vers la villa. Sév me fait un petit clin d’œil et me main signe de la main que cela n’est pas gagné. J’attends deux minutes, et je décide de jouer les espions. Elles sont dans la salle de bain, dans la baignoire et dans cette position, elles ne peuvent pas se douter que je suis dans embrasure de la porte qui a été laissé entre-ouverte. Sév à démonté le pommeau de douche et utilise le tuyau comme poire à lavement. Puis elle demande à Flo si elle veut qu’elle lui fasse. La réponse est affirmative et Sév se penche pour introduire la canule improvisée dans le petit anus encore vierge de Flo. Je les laisse finir leur lavement et je repars sur la terrasse. Je me masturbe lentement, assis sur le tabouret derrière le bar, pour entretenir mon érection. Au retour des filles, j’ai une gaule d’enfer. Sév me fait signe de venir et elle s’allonge, en se mettant sur le dos, sur le bord d’un transat. — Regarde bien Flo. Il va commencer par tremper sa queue dans ma chatte pour bien la lubrifier. Allez mon petit Hervé, action. Je prends un matelas et je le place face à Sév qui remonte ses jambes sur ses épaules. Je saisie mon viêt et l’amène au contact de sa vulve ruisselante et la pénètre lentement. La respiration de Sév a changé. Elle est saccadée. Je continu mon introduction, sans m’arrêter, jusqu’à la garde. — Humm, elle est toujours aussi bonne ta grosse queue. Han… Je me retire aussi doucement que je suis rentré et recommence se mouvement une dizaine de fois. Flo nous regarde avec attention, appréhension. Je quitte son vagin et le présente sur sa rosette. J’appuis, mon gland est aspiré. Le sphincter de Sév est habitué à ce genre de traitement. J’y vais à fond, jusqu’à ce que mes couilles soient en butée avec ses fesses. — Han, que c’est… bon… Ouhlala, quel pied….humm, je te sens bien, allez, vas-y, défonce mon petit trou. Montre à Flo ce qu’elle va prendre !!! — Je n’y arriverais jamais… — Si, ma…han, putain que c’est bon. Si, ma puce, je… t’aiderais….Han, han… Pendant ses explications, j’accélère mes mouvements, ressortant ma queue jusqu’au gland et rentrant bestialement au fond de son anus, maintenant bien dilaté. Elle transpire, elle est en nage. Elle mouille tellement que son jus vient lubrifier mon nœud. Sa main droite rejoint son clito. — Viens ma chérie, viens me donner ton minou, ton jus…Han, han. Florence, en bon élève, chevauche le transat et elle vient donner son entre-jambes à sa bouche vorace. Elle plante sa langue dans son con. Elle lui bouffe le clito et les lèvres. Flo ondule du bassin en s’excitant les tétons, elle mouille tellement que Sév a du mal à tout récupérer. — Tu te sens, han…han…prêtes ? — Oui, hum… je crois, hum, hum… Sév me retire de son cul et met Flo dans la même position. Elle me guide vers sa vulve. J’appuie mais je rentre sans aucune résistance. La position est indécente. Sév lui retient les jambes à la verticale et elle s’est positionnée, jambes de part et d’autre du transat, au-dessus de la bouche de la futur enculée. N’y tenant plus, me retire. Je me présente à l’entrée à déflorer. — Pousse comme si tu voulais aller à la scelle…. Comme je t’ai dit tout à l’heure, détend toi, vas-y ma belle. Je pousse doucement, lentement. A notre grand étonnement, mon gland est accepté sans gros problème. Je continus ma poussée. Flo se mord les lèvres et gémit. — Allez, ma grande, on y est presque… Sév lui caresse alors le clito, ce qui a pour effet de resserrer son anus. Je suis en butée et je reste dans cette position. — Voilà ma chérie, tu n’es plus pucelle de la rondelle…. Hihihi. Qu’es ce que tu attends, limes là cette petite cochonne… Je ressorts lentement, comme avec ma première partenaire. Mais son fourreau est étroit, je crois ne pas tenir longtemps. J’y vais franchement. Je n’entends pas les plaintes de Flo, je la défonce, plus vite, plus fort. Mon jus monte dans ma colonne et jaillit alors que mes mouvements continuent. Elle reçoit du sperme au plus profond de ses entrailles et quand je reprends mes esprits, Flo est en pleure, Sév lui caresse les joues. — Putain, pour une première, c’est une première…. Qu’est-ce que tu lui a mis…. Ça va ma puce… — Attend… J’ai mal… Non… Je ne sais plus… Merci Hervé, Merci Sév. C’était énorme… Trop bon. Au début j’ai eu un peu mal mais ensuite… Ouhlala… des étoiles partout… Je crois que…attends, je reprends mon souffle…Han, putain de sa mère… Je crois que je n’ai jamais autant pris mon pied. Han… Ouhlala. Sév et moi, on se penche sur le jolie minois et un jeu de langues termine cette initiation.
