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Séverine

Chapitre 17

Trash
Après cet épisode épique, je pars aux douches accompagné de Camille. Nos ablutions faites, on se rhabille, Camille plus ravissante et rayonnante que jamais.
— Merci Hervé pour cette baise, j’ai aimé.
Elle me dépose un chaste baisé sur la joue et s’en va rejoindre les trois autres filles. A mon retour, je retrouve les quatre filles en pleine discussion. Elles sont sérieuses tout en tenant les mains de Sév.
— Hep, je suis là…
— Hervé, j’ai envie d’être un peu seule avec toi. Kate reconduira les filles chez Caro. Nous on va chez moi, pour ramasser mon courrier.
J’acquiesce. On prend la voiture de Caro et une fois arrivé devant chez Sév et la dépose. Je pars me garer, il n’est pas facile de trouver une place dans ces petits villages Varois. Alors que je marche pour rejoindre ma dulcinée, je reçois un texto.
« Mon père est chez moi. Fais comme tu veux mais je lui ai dit que je n’étais pas seule. Bisous »
Prenant mon courage à deux mains, je décide de le rencontrer. On est majeur, plus des gamins. Je frappe à la porte. Une armoire à glace m’ouvre et me tend la main.
— Bonjour, Hervé je suppose, moi c’est Alain. Entrez donc !!!
— Merci monsieur…
— Allons, pas de cérémonial entre nous, appelez-moi par mon prénom et tutoyons nous. (dommage que je ne peux décrire son accent, mais il a un prononcé plus que provençal)
-. Séverine, ma chérie, tu as toujours mon pastis ?
— Oui, Papou (mignon, pensai-je), à sa place. Ne m’attendez pas je vais prendre une douche.

— Tu as raison, va te faire belle pour Hervé, dit-il en me faisant un clin d’œil.
— PAPOU !!!!
Il part dans un fou rire tout en attrapant la bouteille, deux verres et des glaçons du frigo. Il nous sert des pastis qui tiennent plus du yaourt que de la boisson rafraîchissante. Il en avale une bonne gorgée.
— Je suis venue pour installer une petite clim. Depuis le temps qu’elle me la réclamé. Je lui ai mis une clim réversible. Chaud froid, quoi.Il est vrai qu’avec toutes les fenêtres et volets fermés, il faisait bon.
— Ô mon garçon, je ne pars jamais sur une jambe, allez, bascule, je n’ai pas toute la soirée.
Le deuxième est aussi corsé que le premier. Sa fille réapparaît, emmitouflée dans un peignoir.
— Et moi je ne bois pas ?
— Hé si ma fille, en plus de ça, il faut que je te serve… Halala, la jeunesse, pas pitié des vieux…
— Reste assis mon vieux Papou, je vais me servir.
— Dépêche-toi, ta mère m’attend pour aller faire deux courses et reprend des glaçons. C’est pas parce que tu as la clim qu’ils ne fondent pas !!!
— Tu vas arrêter, vieux ronchon.
Elle se sert un martini et alors qu’elle allait prendre la bouteille de pastis…
— Laisse faire le pro, petite !!!
Elle lui lança un regard de dépit qui le fait rire. Elle s’assoie à côté de moi et la façon dont elle porte son peignoir, me laisse apercevoir son sein gauche. Je me reconcentre sur mon verre.
— Bon, les jeunes je vais vous laisser. Ne faites pas de bêtises.
— Rooo, Papou, t’es incorrigible !!!
— Allez, ma fille. Tu n’oublieras pas d’aller voir ta mère un de ces quatre, avant que ce ne soit elle qui vienne.
— Ok, je passerai dans la semaine.
Il referma la porte et Sév s’empressa de faire un tour de clé.
— Ouf, il est gentil mais un peu lourd.
— Je l’ai trouvé sympa.
— Va prendre ta douche. Je commande des Pizzas pour ce soir. Ça te va ?
— Impec.
Je lui dépose un petit bisou sur le front. Dans la salle de bain et à mon grand étonnement, sur le rebord du lavabo, une boite de pilules magiques mais neuves celle-ci et un petit mot. « Prends en deux. Ton amour ». Bon la soirée risque d’être chaude. J’en prends donc deux et passe à la douche, ce qui me fait le plus grand bien. Effet pastis. Je m’essuie et me regarde dans le miroir. Pas une trace de bronzage, pas un poil, mais il me manque quelque chose… (Vous le saurez bientôt, promis) Je sors de la salle de bain et rejoins Sév qui lave les verres. Je m’approche d’elle et lui dénoue son peignoir et lui ôte.
-Attends, je fini. Tu veux un Pastis ?
— OK, mais moins tassé que celui de ton Papou.
Elle sourit et me demande de l’attendre dans le salon. Quand elle arrive, elle est sublime. Je peux qu’admirer son corps, qui lui aussi, est sans trace. Elle pose son martini rouge et mon pastis de telle manière que ces seins lourds font un mouvement de balancier. Bandant. Elle s’assoie face à moi. Je l’admire et lui demande de se relever.
— Pourquoi ?
— Pour que je puisse te voir, t’admirer. Tu es magnifique !!!
— Arrêtes, tu vas me faire rougir !!!
Elle se rassoie et attrape son verre. Ses seins pendent et ballottent. Je la regarde des pieds à la tête. Je peux voir ses trois anneaux reliés pas sa chaînette.
— ils ne te gênent plus ?
— Non, je n’y pense plus, sauf quand je m’essuie, il faut que je fasse gaffe.
Je lui souris. La sonnette retenti. Elle se lève, enfile son peignoir et va ouvrir. Etant dans le sens opposé de l’ouverture, la personne ne peut pas me voir. Heureusement. Un mec nu et avec une gaule d’enfer, cela pourrait choquer. J’entends glousser et rire. La conversation s’éternise un peu. Puis un bruit de « smac » et la porte se referme. Sév enlève son peignoir et reprend sa place.
— Bon, ce soir on ne sera pas seul, mon amour.
— Ah, mince, moi qui pensai être seul avec toi et te faire l’amour… qui est l’heureux invité ?
— Une copine d’enfance. On a fait les quatre cent coups. Et s’est une chaude. Enfin, tu verras. Elle est partie rapporter le scooter et va venir nous rejoindre.
— OK, je vais me rhabiller alors.
— Non, je te veux à poil. Tu ne bouges pas, s’il te plait, mon chéri.
— Bon je vais faire de mon mieux mais dit moi ce que vous vous êtes dit.
— Alors. Elle m’a dit que la dernière fois elle était passé sous ma fenêtre et elle nous avait entendu. Je lui ai répondu que j’étais tombé sur une bite du tonnerre et elle m’a demandé de voir ça. Je lui ai répondu que oui, on est très partageur. Elle m’a dit qu’elle devait ramener le cyclo et qu’elle revenait très vite. Voilà.
— Bien, mais tu ne vas pas me présenter comme cela, à poil !!
— Je lui demanderai de fermer les yeux et je l’emmènerai à la salle de bain pour qu’elle puisse prendre une douche. Elle doit puer la transpiration et la pizza.
— bon, bin, ok. J’aurai préféré être seul avec toi.
— Je sais, amour, mais c’est ma meilleure amie…
On toque à la porte. Sév demande à sa copine de fermer les yeux et de la suivre. Je ne regarde pas, la surprise sera pour tous les deux. Très vite, j’entends la douche, des gloussements. Puis plus rien pendant 10mn puis re-douche, très courte celle-là.
— Amour, je te présente Chantal, Chantal je te présente Hervé.
— Enchanté… Euh Chantal.
Elle ne répond pas. Ses yeux pleins d‘envie sont fixés sur mon sexe. Elle est petite, un peu plus que Sév, du même âge que nous. Brune coupé au carré. Des yeux d’un noir que je n’avais jamais vu, à part chez Camille. Des hanches larges, musclées. Un cul comme ont les mamans noires en boubou. Des bras dignes d’un bûcheron. Et alors des seins, des seins ÉNORMES !!!! Bien plein, avec des auréoles sombres et des tétons comme la phalange de mon petit doigt. Un sexe rasé de frais (je pense que c’est une idée de Sév). Sév l’a fait tourner et ne manque pas de lui écarter les deux lobes fessiers, me montrant son petit anus brun foncé.
— Voilà la bête… me dit Sév. Elle te plaît ?
— Devines ? Mais je crois qu’elle a plus envie de passer à l’action que de discuter.
Je passe mes jambes de part et d’autres des accoudoirs du fauteuil et descend mon bassin sur le rebord.
— Putain, quelle bite il a ton mec. On dirait un gode hors normes.
— Tu vas voir que ce n’est pas un gode. Il gicle, lui.
Sév s’agenouille à ma gauche tous en invitant son amie à se positionner entre mes jambes. Elle prend les choses en main. Elle se saisit de ma bite et la positionne devant la bouche de sa copine. Chantal ne bouge pas, impressionnée par la taille de mon sexe. Sév lui pousse la tête et les lèvres de Chantal son au contact. Elle ouvre grand la bouche, sort la langue et commence sa descente sur mon chibre. Elle ne s’arrête que lorsque son nez est sur mon pubis.
— Putain, quelle cochonne ta cops !!!
— Je t’avais prévenue que c’était une folle du cul. Et encore tu n’as rien vu.
Chantal remonte pour reprendre sa respiration. Des filets de salive sortent de sa bouche et coulent le long de ma hampe. Sév a lâché ma bite, Chantal la maintient, avec l’index et le pouce, formant un anneau à la basse, tel un cockring. Elle y retourne. Les yeux révulsés, elle me pompe à fond.
— Quelle pute. Putain elle me bouffe la queue…
Chantal se déchaîne. Elle fait des allers-retours de plus en plus rapides, reprenant son souffle de temps en temps. Elle en pleure. Sa salive, abondante, coule sur mes couilles. Elle s’arrête parfois, nez sur mon pubis et là, je sens sa langue me caresser les couilles, qu’elle triture de son autre main. Puis reprend sa fellation sur un rythme effréné. Sév est toujours accroupie et contemple sa copine en se touchant les seins et sa chatte. — Sév, occupe-toi de la chatte de ta cops, elle le mé…rite.
Sév se lève, pousse le petite table de salon et s’allonge sur le dos, la tête entre les cuisses de Chantal. Celle-ci réagit en caressant les cheveux de son amie. Sa main ayant libéré la base de ma verge, je sens que je ne vais pas tarder à venir. Je pousse mon bassin en avant, comme si elle pouvait en prendre plus.
— Je veux ton Sperme…dans ma bouche… J’ai envie de te bouffer… petit pédé…
Elle me le reprend et je la laisse allez une dizaine de fois avant de la maintenir bloquer bien au fond. Je lui décharge tout ce que je peux au fond de sa gorge. Je relâche ma pression quand elle rougit. Elle remonte tout en abandonnant bonne quantité de sperme. Elle reprend son souffle reprend son souffle.
— Nettoie-moi ton bordel allez, sale pute.
Elle s’applique à me nettoyer sa bave et mon jus. Je ne débande pas. Je vois Sév qui réapparaît, le visage englué des sécrétions de Chantal.
— Ça a dû être terrible, me dit Sév, au vue des jets de cyprine qu’elle m’a lâché.
— Super suceuse. Mais je n’en ai pas finie avec elle. Elle remettra La table de salon en place et tu la feras mettre à quatre pattes dessus.
— Bien amour. Allez grosse pute, tu as sucé mon mec et bien mange-moi maintenant.
Elle prend ma place dans le fauteuil et appuie, avec autorité sur la tête de Chantal. Je vais me servir un bon verre de rosé. J’entends les bruits de succions et les gémissements de ma chérie. Je me ressers un verre. Sév jouit bruyamment. Je vois ses jambes retomber, signe de la fin du jeu. Un troisième verre. Sév installe Chantal sur la table du salon, le cul vers moi. Sév vient me resservir et se sert pas la même occasion.
— Elle a aimé, me dit –elle tout bas. Elle aime être traitée comme une pute, brutalisée quoi.
— Tu lui as lavé le cul ?
— Bien sûr, tout comme le rasage. Je sais que tu n’aimes pas les poils.
Je me lève et lui mets une claque magistrale sur la fesse gauche.
— Sév, le petit miroir de ta chambre s’t’plaît, j’aimerai voir la gueule de cette grosse truie.
Sév positionne le miroir sur pied face à Chantal. J’administre une seconde claque sur la droite. Elle se mord les lèvres.
— Je veux t’entendre.
Une troisième vient cinglée de nouveau la gauche.
— AHHHHH !!!!
— Voilà, c’est mieux !!! Sév, viens lui préparer le cul. Moi je vais m’occuper de sa bouche.
Sév ne se fait pas prier et viens lui bouffer la rondelle. Moi j’ai fait le tour et l’empoignant par les cheveux, je lui baisse littéralement la bouche.
— Alors comme cela je suis un p’tit pédé ? Je vais te prendre le cul comme ils font les Pédé.
Sév et moi, échangeons nos places. Sév jambes écartée et tenant sa chaînette, écrase sa vulve sur le groin de la grosse truie. Moi, je prends mon gourdin en main, pénètre une fois le vagin de Chantal puis le cul, préparé par ma chérie, en une seule poussée.
— ARGHHH, quelle est grosse !!!
— Ta gueule sale pute, il parait que mon ex est parti pour coucher avec toi ? Alors bouffe-moi la chatte. Tu vas prendre la bite de mon homme jusqu’à ce que tu n’en puisses plus !!!
Ces révélations m’étonnent, mais m’excitent encore plus. Je plante mes ongles dans les haches de Chantal et j’entame une cavalcade digne des plus hards des films pornos. Je ressors ma bite entièrement et la remets, bien à fond. Chantal transpire, Elle n’en peut plus. Elle demande pitié à Sév, qui en a cure. Elle frotte sa vulve sur le visage de « sa copine ».
— Comme ça tu….baises… Humm… avec l’ex… Humm… de ma copine ?
— Aïe.. Oui, Non… Humm, C’est fini, entre nous, il…Humm… Baisait comme un vieux…
— Ah, et qu’aimes-tu ?
— J’aime ce que vous me faites…. OUIIIIII !!!!
C’était une salope. Une chienne. Sév et moi, on se regarde et je peux voir dans ses yeux la flamme de la vengeance et de la perversion.
— Putain je vais jouir dans ton cul. Prend ça grosse truie…. ARGHHH !!!!!
Je lui lâche quatre jets dans les intestins le cinquième et le sixième sur son dos.
Sév me rejoint et m’embrasse passionnément. Elle a encore le gout de Chantal. Je lui lèche le visage.
— Elle a bon gout cette pute. Comme ça c’est une vengeance ?
— Petite, j’ai appris avant de te connaitre que Maxime avait couché avec Chantal. C’est elle qui me l’a avoué. J’ai flanqué mon mec dehors et tu connais la suite. Bon, il faut que j’aille aux toilettes !!!
— Moi, aussi, tu prends la petite salope avec toi. J’ai une idée.
Elle me devance en tenant Chantal par les cheveux. Arrivé à la salle de bain je la fait mettre à genou, mains dans le dos.
— On va se soulager sur toi. Fermes les yeux et la bouche. Je ne suis pas assez sadique pour te demander de l’ouvrir. A toi l’honneur, ma chérie.
Sév entame son lâcher d’urine. Sur ses seins puis sur les cheveux. N’y tenant plus je me lâche également. J’arrose copieusement ses seins son dos et son visage. Nous sommes surpris car la Chantal ouvre la bouche pour avaler nos urines. Sév ayant fini, je dirige mon jet dans la bouche de son amie. Elle déglutie et avale.
— Quelle cochonne !!! beurk !!! Dit Sév. Allez nettoie le bien…
Chantal ouvre les yeux et me gobe le gland et me le suce jusqu’à la dernière goutte.
— Allez, prenez une douche, ensuite j’irai.
Je parts dans le coin cuisine et débouche une seconde bouteille de rosé. Je contemple ma bite toujours dressée.
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