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La véritable initiation du jeune Mâle Dominant. 1

Chapitre 2

Mes cousines sont de petites vicieuses

Avec plusieurs femmes
Le Mâle pas encore dominant.
Initiation entre cousin et cousines.

— Oh et puis zut ! Le vin est tiré, il faut le boire ! s’exclame-t-elle.

Je n’ai pas encore réalisé que je viens pour la première fois de ma vie de remplir la bouche d’une femme de ma semence d’homme, qu’elle se redresse pour s’empaler sur ma queue toujours raide. Une main fébrile glisse sur mon corps et se saisit de mon sexe pour le pointer au bord de sa vulve. J’ai peine à croire qu’elle souhaite désormais recevoir en elle mon sexe, mais elle ne peut résister à son désir.

Suite :Elle se penche et m’embrasse à pleine bouche pour me faire partager le goût de mon sperme.Je reprends mes esprits en regardant cette femme mature onduler du bassin sur ma queue cherchant son propre orgasme en émettant de petits cris lors de la pénétration très lente. Nos sécrétions facilitent grandement l’intromission de mon sexe dans sa chatte brûlante et serrée.
— Claude... tu sais que je ne m’attendais pas à ça en te rejoignant sous la douche ! Tu es un drôle de phénomène. Déjà, je n’ai jamais vu une verge aussi grosse prendre une telle taille en pleine érection. Et bien, que tu n’as pas tenu longtemps avant de jouir, mais c’est normal au début, je n’ai jamais connu un homme qui produise autant de sperme. Putain la dose ! Félicitations, mon garçon, c’est la première fois que je voie pour de vrai un si beau spécimen.

Là aussi, je ne résiste pas bien longtemps et lui graisse la moule abondamment dans un râle.Je ne sais même pas si elle s’en est rendu compte, car elle continue sa « chevauchée sauvage » pendant de longues minutes. Elle me broie la bite qui reprend une troisième fois de la vigueur en si peu de temps.Elle ne change pas de position, je me réveille enfin de mon apathie et me cambre un peu pour faire pénétrer ma teub dans sa moule bien ouverte et lubrifiée par mon foutre. Ses fesses claquent sur mes couilles, redoublant d’ardeur, elle se démène comme une folle sentant l’orgasme poindre.Elle s’effondre à côté de moi, repue de plaisir, mais ne perd pas le nord et me masse les couilles.Je ne peux plus résister et je jouis de nouveau, inondant mon torse et ma tête de mon foutre chaud. Tante Martine revient au rabe et nettoie mon corps avec avidité d’une langue experte.
— Tu vas faire des ravages Claude... Avec un peu d’expérience, aucune femme ne pourra te résister !

Ce fut tout pour la journée, mais je m’en souviendrai longtemps. En partant, je vois sur la commode les résultats du test sanguin qu’elle a demandé pour nous trois. Il y a aussi une recherche de MST.Futée la tata !
Le lendemain, je bronze ce coup-ci le côté pile de mon anatomie. Les deux garces sortant de l’eau comme des sirènes en profitent pour me jouer un tour pendant ma sieste et coupent aux ciseaux les deux côtés de mon maillot de bain sans que ça me réveille. Mais cela suffit pour provoquer une réaction instinctive de ma part et je me retourne sur le dos, exposant mon anatomie.Comme dans un brouillard, j’entends ma tante les gronder :
— Vous exagérez les filles ! Mais maintenant que c’est fait, je vais vous donner une leçon ! Vous avez de la chance d’avoir comme cobaye votre cousin, vous auriez pu tomber plus mal !
J’entends une des jumelles :
— Qu’est-ce que tu racontes maman ? C’est courant une bite pareille ?
Et sa sœur d’enfoncer le clou :
— T’as vu ? Sa queue traîne jusque sur sa serviette...

Je les espionne entre mes paupières, pour une fois, je leur cloue le bec.
— Oui ! reprend Martine en me faisant un clin d’œil, il a un sacré service trois-pièces qui jure avec le reste. Ah les caprices de la nature... Je suis certaine qu’il serait ravi de vous laisser jouer avec !— Qu’est-ce que tu veux dire par là, maman ?— Il est temps pour vous de tout savoir sur les hommes, ce qu’il faut faire et comment s’y prendre pour se protéger. L’autre jour, chez la gynéco, vous avez eu vos premières plaquettes de pilules, aujourd’hui, vous allez apprendre à mettre un préservatif sur le pénis d’un partenaire. Claude est d’accord pour servir de support. Mais pour ça, il faut déjà le faire bander.

Je me suis redressé sur les coudes et fixe tour à tour mes cousines et les provoque :
— Un peu de courage que diable ! Je ne vais pas vous mordre !

Vexées, elles s’approchent et s’assoient de chaque côté de moi. Je suis quand même gâté, car elles sont magnifiques. Julie approche sa main avec prudence et saisit ma hampe flasque, la presse un peu, ne sachant comment s’y prendre. Sa mère la houspille :
— Un peu de courage... branle-le ! Et toi Apolline, masse ces belles couilles !

Sous tant de sollicitations, mon cerveau envoie l’ordre à mon système sanguin qui ouvre les vannes, gorgeant de sang les corps caverneux de ma bite. La bête se redresse petit à petit.
— Elle s’allonge, constate Apolline, et pas qu’un peu !— Sa queue devient toute chaude et dure... Elle va grandir encore beaucoup ? demande Lucie.— Tout dépend des hommes, mais avec Claude, vous avez attrapé le pompon, ou plutôt une bite exceptionnelle. C’est un cas votre cousin !— Mais ! reprend Lucie, elle est devenue si grosse que mes doigts n’en font plus le tour... et elle dépasse déjà allègrement les vingt centimètres... Je croyais qu’il n’y avait que les grands blacks à avoir un monstre pareil !!!
Je vois dans les yeux des jumelles quelque chose qui ressemble à de l’admiration et du respect.
Martine s’approche et se penche pour leur donner une boîte de préservatif laissant pendre ses gros seins.
— J’ai dû faire les courses ce matin pour trouver des tailles XXL et ça fait bizarre quand tu demandes ça à une pharmacienne avec tout le monde qui t’écoute. Il faut le prendre des deux mains dans le bon sens, le poser sur son gland et le dérouler.

Les filles s’exercent avec application, se trompant de sens, le déchirant avec leurs ongles, la boîte y passe pratiquement.
— Bon, vous avez assez essayé, mais vous avez vu que même déroulés à fond, les condoms n’arrivent même pas à couvrir la totalité de sa hampe, quel pal ! Maintenant, vous allez le branler pour le faire jouir. Ça sera assez rapide, car il n’a guère plus d’expérience que vous.

Effectivement, elles ne me laissent aucun répit, à tour de rôle ou en même temps, les mains des deux cousines montent et descendent sur ma trique. Je sens monter la pression et grogne de plaisir.
— Aaahhh ! Aaarrgg ! Ooouuuiii !!!!!!!!!!

J’ouvre les vannes, la queue dressée au ciel par les doigts de ces deux furies, les jets se succèdent et les deux premiers sont si violents que j’en reçois plein le visage de l’œil droit au menton. Effrayées, elles lâchent ma bite qui bouge dans tous les sens et les éclaboussent elles aussi d’une bonne dose de sperme. Tante Martine ricane avant de leur avouer :
— Ah. Je ne vous avais pas prévenues qu’il n’y a pas que la taille de sa queue qui est exceptionnelle, désolée !

A suivre...
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