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La vérité est ailleurs...

Chapitre 1

Ssssshsssshssss !!

Zoophilie
« Cinq heures du mat , j’ai des frissons…Je claque des dents et je monte le son… »

Je me lève, ma femme est endormie, tournée vers son coté à elle. Je vais prendre un verre d’eau. Encore ces maudits cauchemars…ça a l’air diablement réel, comme si j’étais le spectateur direct… des scènes… et quelles scènes ! Le mot diablement, qui m’est parvenu tout de suite à l’esprit, me semble le plus approprié. Parce que ces cauchemars...  mon Dieu ! Enfin cela tient du cauchemar et du rêve pornographique XXL !
Tiens je devrais les écrire et vendre les scénarios à Marc Dorcel. Non, même pas, c’est trop hard, même pour lui.

Je vais changer de caleçon, je me suis encore souillé. Depuis un mois j’ai une éjaculation nocturne non contrôlée par nuit. Enfin certaines nuits. Deux fois par semaine plus précisément. A nouveau propre, je vais sur le balcon, boire une bière bien fraiche et me fumer une cigarette… Et je repense au cauchemar.

Ça commence toujours de la même façon, d’abord un sentiment de malaise, l’impression d’être entre rêve et réalité, dans un demi-sommeil. Et « ils » arrivent. Je les appelle « les visiteurs ». Ils sont bientôt tout autour de notre lit.

Je ne peux clairement dire qui ils sont, ni les « voir », mais ce que je sais c’est qu’ils me foutent une trouille du tonnerre. Une angoisse sans pareille. Un sentiment d’être à leur merci, de ne pouvoir bouger, ni les regarder en face. D’ailleurs en ai-je envie ? Pas vraiment. Mon instinct me dit que je ne DOIS sous aucun prétexte les regarder…mon esprit n’y résisterait pas. Alors j’ai envie de hurler, de fuir, loin, loin…de m’enfoncer dans le sol.
Ne plus rester là... Mais non je n’en bouge pas. Je laisse faire.
Parce qu’en définitif ce n’est pas après moi qu’ils en ont …oh non !
C’est ma femme Cécile qui les intéresse. Ils la « lèvent » de son lit, elle est inconsciente ou plutôt non, ses yeux sont ouverts et elle semble « sous l’emprise », complétement passive et consentante à ce qui va lui arriver. D’ailleurs ils ne la touchent même pas, une fois qu’elle s’est levée de son plein gré. Elle dégage les bretelles de sa nuisette ; la laisse tomber sur le sol et nue, dans sa merveilleuse nudité, elle les suit.

Grand trou noir…de combien de temps, impossible à dire. En tout cas, la suite à chaque fois est d’un tout autre style.
Cécile se trouve sur une table, enfin table n’est pas le terme exact puisque il n’y a pas de pieds ! Il serait plus avisé de dire une plaque d’acier brillant, d’aspect clinique, qui flotte à 50 centimètres au-dessus du sol ! C’est délirant les rêves quand même ! Des « ombres », les mêmes personnages qui étaient autour de notre lit s’affairent à quelques mystérieuses opérations sur elle, avec calme et professionnalisme. Le problème c’est que je ne parviens pas à discerner leur aspect, même si pour le coup, je les « vois ». On dirait que mon cerveau est incapable de comprendre à quoi il a affaire. Très singulier.

Puis ma femme se relève d’elle-même, comme obéissant à un ordre silencieux. Et de passive, je la vois s’animer, à avoir un comportement très troublant pour cette femme que je connais depuis 20 ans. Elle commence à se caresser sensuellement le corps, saisit ses seins , les palpe avec vigueur, se pince les mamelons. Une main s’égare dans son entrejambe et elle commence une masturbation, qui la laisse rapidement pantelante de jouissance.
Comportement singulier pour cette femme, que j’ai toujours connu être d’une quasi frigidité…Et alors il arrive…

Alors il … je devrais dire « ce ». Parce que ça ressemble à un gros bloc de matière indéfinissable. Cela semble vivant, cela pulse…et de plus en plus vite au rythme du plaisir que se donne ma femme. Ce « truc » est arrivé en glissant sur une autre plaque « volante ». Tandis que celle sur laquelle reposait ma femme, semble s’enfoncer dans le sol et disparaitre. Ma femme se dirige vers « la chose indéfinissable », un grand sourire aux lèvres, les yeux brillants, le souffle court…
Je ressens son excitation, de même qu’il y a un tout petit moment j’ai ressenti son orgasme…dans ma tête. Toutes les sensations. A chaque fois qu’elle se caressait le clitoris et se passait un doigt gourmand sur ses grandes lèvres, je le sentais comme si « j’étais en elle … »
Elle touche le « truc » du bout du doigt, ce truc qui semble flotter dans l’air, quand le plateau métallique volant s’est lui aussi "dissous" dans le sol... Et alors, comme les autres fois, "cela" se produit... car le processus et le scénario restent toujours le même, il n’y a que le fantasme qui change : de plus en plus hard, de plus en plus « crade », de plus en plus hardcore. Et ma femme y prend toujours plus de plaisir… et moi aussi par la même occasion. Je sais ce qui va se passer…une image mentale va se former, dans ma tête ou dans la sienne…je ne puis le dire avec certitude. Ce qui est certain, c’est que cette image va déclencher une onde de jouissance et de plaisir pervers dans nos bas-ventres à tous les deux. Et alors comme par miracle le « truc » va prendre la forme du fantasme conceptualisé !

La masse de matière semble bouger, elle prend réellement vie, toujours « flottant « dans l’air. Elle s’étire, s’étire, s’allonge et prend la forme d’un serpent, d’abord marron puis les couleurs apparaissent.
Le résultat est un boa constrictor de presque quatre mètres de long, qui se dirige lentement sur le sol et commence une reptation autour de ma femme. Je me dis en mon for intérieur qu’il ne manque plus qu’une pomme, et le tableau sera complet…Et miracle, la pomme apparait dans sa main. Elle commence à la manger, pendant que le boa qui semble s’intéresser vivement à ma femme, s’enroule autour d’elle à partir de ses chevilles. Démarrant un mouvement hélicoïdal, avec une extrême lenteur, comme pour ne pas effrayer la belle ! Le voici bientôt enserrant entièrement le corps nu de Cécile. Celle-ci se laisse faire sans crainte ni angoisse, elle qui a pourtant une sainte terreur des serpents.
Après 5 minutes de mouvement circulaire de l’animal, autour du corps de ma femme, la voilà complétement prisonnière du reptile, qui maintenant balance le haut de son corps et sa tête, de façon lancinante devant le visage de Cécile. La tête n’est qu’a 50 centimètres du visage de mon épouse. Ils se regardent droit dans les yeux. Je sais d’instinct que ce serpent n’en est pas un, qu’il y a une conscience derrière, une forme d’intelligence exceptionnellement fine, et profonde qui semble disséquer la psyché de Cécile. Je ressens comme de petites sondes légèrement froides, s’insinuer dans son esprit, pour y chercher...Quoi ? Ce que Cécile désire que l’animal lui fasse.

L’excitation de Cécile est à son comble et la mienne aussi par la même occasion. Je « sais » ce que le serpent va faire. Sa tête arrête de se balancer, pour venir doucement se diriger vers la bouche de ma femme, sa langue fendue sort de plus en plus vite de sa gueule et vient effleurer les lèvres de Cécile. Celle-ci ferme les yeux et ouvre la bouche pour sortir sa langue. Les deux langues se touchent, s’entremêlent. Le baiser est sauvage, scandaleux, indécent, lubrique mais terriblement excitant. Cécile y prend beaucoup de goût.
Quand le serpent approche le bout de son museau pour pénétrer la bouche de ma femme, celle-ci est prise d’un violent orgasme, court mais intense. Une fois le baiser du « Péché » consommé, le serpent déroule ses anneaux et reprend sa reptation sur  le sol autour de ma femme. Tout cela se fait toujours avec une infinie lenteur et douceur. Cécile se laisse aller sur les genoux qu’elle ressert comme par défi. Elle regarde le serpent et semble l’inviter vers elle, en penchant sa tête sur le côté, d’un air mutin. J’entends dans ma tête : « Viens ! Force moi, prends moi. Je ne desserrerai pas les cuisses tu devras me violer…si tu savais toute la cyprine qui a envahi ma grotte…tu vas t’en délecter et tu me feras jouir comme une folle. Je veux être à toi, je veux être ton Eve. »
« L’animal » semble avoir compris. D’un coup il propulse son corps et se retrouve tendu à l’extrême dominant Cécile d’au moins deux mètres. Celle-ci le regarde droit dans les yeux avec impertinence. La scène de cette femme nue offerte à ce serpent, qui la domine de sa puissance virile est d’une sensualité érotique extrême.

Puis le serpent baisse sa tête et vient directement percuter l’entrejambe clos de ma femme… évidement sa tête n’a que peu à forcer pour s’autoriser l’accès au «trésor ». Le boa prend alors possession du sexe de mon épouse… d’un coup de l’extrémité de sa queue, il la pousse et la voilà sur le dos, cuisses largement écartées. Son sexe est béant d’excitation, et dégouline de son « jus » de femme lubrique, ses lèvres sont gonflées, et la tête vient alors toucher le clitoris du bout de sa langue sifflante. Il la masturbe avec les allées et venues de cette langue, sur le petit bouton de plaisir.
Cécile gémit sous les assauts de cette langue qui lui donne un plaisir clitoridien très rapide. Je ressens cet orgasme. Puis la langue vient caresser les grandes lèvres de bas en haut et de haut en bas, pour venir enfin pénétrer la vulve ouverte. Je sens les rapides pénétrations de cette langue, qui donnent un plaisir inouï à ma femme. Elle jouit presque sans discontinuer. Puis la tête du serpent se retire lentement, frustrant un peu Cécile de la suite de son plaisir. Et revient prendre une position dominante au-dessus de Cécile. En attente…

Cécile se place alors accroupie, comme si elle allait uriner, et le serpent se déploie à nouveau vers le pubis de ma femme, mais sa tête passe sous son sexe, en effleurant avec sensualité sa vulve. Cécile se laisse alors guider par le passage du corps du serpent, qui la masturbe, en relevant légèrement son bassin lorsque les plus gros anneaux lui passent en dessous. Après le passage des 4 mètres du serpent, en contact intime avec ses lèvres, et cette séance de masturbation, Cécile jouit de nouveau. Vaincue par le plaisir elle s’allonge nonchalamment sur le dos, cuisses écartées. Le serpent toujours au-dessus d’elle à l’observer, semble attendre le moindre « ordre » de sa proie…

Cécile reprenant ses esprit, resserre à nouveau les cuisses, qu’elle maintient le plus possible soudées, pour empêcher tout nouveau « viol » de son intimité par l’animal. Elle relève alors la tête vers son « tortionnaire ophidien », et lui tire la langue en signe de provocation. L’animal semblant saisi d’une rage folle, fait alors un tour complet autour de ma femme allongée, et de l’extrémité de sa queue, il s’enroule autour de la cheville gauche, puis de la droite et bandant ses muscles, tend la partie de ses anneaux enserrant les deux chevilles. Cécile, poussant un grand cri de consternation, se trouve écartelée violemment, avec de nouveau son sexe à la merci de l’animal.
Cette fois-ci, la tête ne considérant aucune attention sensuelle, pénètre violemment la vulve ouverte et s’enfonce de 20 centimètres dans le vagin de Cécile. Celle-ci ouvre les yeux de terreur, crie et semble chercher l’air. Puis la tête se retirant et pratiquant un mouvement de va et vient, « baise » littéralement  mon épouse, de façon violente mais terriblement efficace, si j’en juge par les cris de jouissances qu’elle exhale. Après 5 minutes de ce traitement, Cécile voit son ventre se crisper, son bassin se cambrer, et poussant un grand hurlement elle jouit de nouveau ; un orgasme terriblement puissant prend possession de son corps, et la laisse une fois de plus épuisée, couchée sur le sol métallique.
La tête émergeant du con humide, retrouve alors ses dimensions naturelles, s’étant auparavant, et de façon « impossible », réduite à la taille d’un poing…

Le serpent qui attendait son heure, saisit alors ma femme par les chevilles, de l’extrémité de sa queue et la soulève du sol comme un fétu de paille. Il lui re-ouvre le compas de ses jambes, et pendant 10 bonnes minutes passe sa langue inquisitrice de la vulve « martyrisée», au petit trou d’amour, son intromission se faisant à chaque fois plus profonde dans ce dernier orifice.
Cécile la tête en bas semble réellement apprécier cette nouvelle torture. Et continue à gémir et ahaner…
Puis enfin le serpent la redépose sur le sol métallique et la laissant récupérer de ses divers orgasmes, il s’éloigne et disparait.

Quel rêve ! Songeur le pied sur la rampe du garde-corps, je regarde  les étoiles en fumant ma cigarette… décidément ma femme m’étonnera toujours, même en rêve.
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