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La vérité est ailleurs...

Chapitre 3

Mère et fille en complicité surréaliste...

Inceste
Nous avions passé deux semaines de vacances à la mer, dans la maison de mes beaux parents. Dès la rencontre de ma femme avec ses parents, je sentis que quelque chose clochait. Cécile avait  un comportement étrange...une attitude d’autorité, enfin pas exactement cela...on aurait dit que les gens qu’elle avait en face d’elle, enfin ceux envers qui elle manifestait un intérêt, étaient comme subjugués par sa personnalité, qu’ils ne pouvaient rien lui refuser. Alors que d’habitude ma femme était restée une fille obéissante et passive face à la volonté de ses parents, ici les rôles semblaient complètement inversés.

Le premier bug illustrant ce changement de comportement eut lieu l’après midi même de notre arrivée chez eux. Alors que nous étions en train de bronzer sur le bord de leur piscine, Cécile se leva et enleva son maillot de bain.
“ Mais que fais tu Cécile, tu es folle ? Tes parents pourraient arriver d’un moment à l’autre,et tu sais qu’ils n’apprécieraient pas cette manifestation d’exhibition.
-Non Paul, ne t’inquiète pas, tout se passera bien, tu verras … “

Je devais avouer que voir ma femme bronzer nue dans le jardin de ses parents, alors qu’elle pouvait se faire surprendre d’un moment à l’autre, avait quelque chose qui m’excitait énormément. Cécile d’habitude si pudique, me montrait un nouvel aspect de sa personnalité. Je ne pus en cet instant m’empêcher de songer à mes rêves, dans lesquels ma femme se montrait très impudique et lubrique .Et ce qui devait arriver, arriva...ma belle-mère apparut au coin de la maison, et se dirigea vers nous, un plateau de rafraîchissements à la main. Tranquillement elle vit sa fille nue sur le transat en train de bronzer. Elle déposa le plateau sur une table basse à côté de nous et en souriant s’adressa à sa fille :
“Alors ma chérie, tu fais du naturisme ? Tu a complètement raison d’exposer ton corps à la douceur du soleil. Je vais en faire autant d’ailleurs .”
Et complètement halluciné par les propos de ma belle mère, et par le petit spectacle qui s’offrait à moi, je regardai ma belle mère se déshabiller, en me disant que cela n’était pas possible, qu’elle s’arrêterait au moins au slip !?

Ma belle mère, Christelle était une femme de 48 ans, blonde, les cheveux coupés au carré, mince avec une bonne poitrine. Elle entretenait très bien son corps par des exercices de gym quotidiens. Mais je l’avais toujours connue coincée, acariâtre et très pudique. Chez mes beaux parents personne ne se permettait de parler de sexualité ou de liberté des corps. Alors la voir là, en train de faire un strip-tease improvisé, tout en me regardant fixement, cela me semblait complètement surréaliste.

Portant elle défit lentement les boutons de devant de sa robe bleue, la laissa tomber sur le sol, retira son soutien gorge pour laisser apparaître un poitrine parfaite, mais toute blanche, un bon 90 C à voir. Puis elle laissa glisser son slip, pour faire apparaître un pubis décoré d’un triangle de poils blonds bien taillés. Ma belle mère était nue devant moi, et regarda sa fille avec un grand sourire aux lèvres. Elle s’adressa à  ma femme :
“ On pique une tête ma chérie ?”
Et les deux femmes de plonger dans la piscine la tête la première, avec pour moi la vue charmante et excitante de ces deux abricots exhibés fugitivement....Alors la scène qui se déroulait devant moi devint carrément incroyable mais tellement excitante. Les deux femmes commencèrent à jouer comme des gamines, s’envoyant des gerbes d’eau à la figure, se poursuivant, se faisant couler et se battant comme des chiffonnières, toujours avec force éclats de rires et gloussements d’adolescentes. A un moment elles récupérèrent de leurs “ébats”, et s’étant accoudées toutes les deux contre le bord de la piscine avec de l’eau jusqu’aux seins, elles se parlaient à voix basse, prenant des airs de conspiratrices et parfois me scrutant fugitivement. Cécile sursauta, poussa un petit cri et gloussa, disant:
 “ Maman tu exagères, je ne te pensais pas si vicieuse !”

Ma belle mère ayant les mains sous l’eau, je ne préférais pas savoir ce qui s’était passé, mais mon imagination fit le reste…lorsqu’elles sortirent de l’eau dans leur nudité triomphante, les deux femmes m’adressèrent un grand sourire de connivence, ma belle mère me dit:
“ C’est dommage Paul d’avoir gardé le maillot, vous auriez été beaucoup mieux nu. J’aurais alors pu me rendre compte de visu, si les dires de ma fille à votre encontre sont exacts !
-T’inquiète, tu pourras la baiser si tu veux... je sens que tu en meures d’envie ! “,  me chuchota Cécile en prenant sa serviette pour se sécher . Phrase qui me laissa sans voix !

Enfin le reste de la journée se passa sans autres incidents majeurs, à part une atmosphère bon enfant et libérée, qui ne ressemblait pas du tout à l’atmosphère étriquée habituelle de ce foyer.
La nuit, un bruit me réveilla. Je me rendis compte que je dormais seul, ma femme avait dû se lever pour aller aux toilettes, ou se promener dans le jardin. Pourtant en tendant l’oreille je m‘aperçus que des bruits “bizarres” provenaient de la chambre à côté, celle de mes beaux parents, qui jouxtait la nôtre. Je me dis que mes beaux parents s’étaient réveillés, et faisaient l’amour. Néanmoins, d’abord cela ne leur ressemblait pas et ensuite cette exubérance sonore m’étonnait au plus haut point. Après une demi heure, ne parvenant toujours pas à trouver le sommeil et Cécile n’étant toujours pas revenue dans notre lit , je me levais en proie à un doute insidieux. une idée perverse venait de me traverser l’esprit , tellement extravagante et surréaliste, que je me dis que si je n’en avais pas le cœur net, alors j’allais passer une nuit blanche.

Il devait être 2h00 du matin, alors silencieusement je me levai et allai à tâtons dans le couloir. Arrivé devant la porte de la chambre de mes beaux parents, je posai mon oreille contre le battant de la porte. Effectivement ils étaient en train de faire l’amour, aucun doute la-dessus. Néanmoins quand j’entendis ou crus percevoir un prénom, mon sang ne fit qu’un tour.Je devais savoir !Alors silencieusement, le cœur battant la chamade, le sang me tapant aux tempes, une boule d’excitation et de dégoût à la fois, qui se formait dans mon estomac, et une érection démentielle qui déformait mon pyjama, j’osai ouvrir la porte de cette chambre qui semblait receler tant de mystères et d’interrogations érotiques.Le battant coulissant sans aucun bruit, je retins ma respiration. Et je pus observer ce qui se passait sur le lit de mes beaux parents, sans me faire voir. Il faut dire que de toute façon les protagonistes étaient trop occupés par leur délire sensuel, pour faire attention à quoi que ce soit d’autre… La clarté lunaire, qui apparaissait au travers des deux battants des volets mis en “espagnolette”, me permit d’apprécier le spectacle surréaliste que je découvrais….
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