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La vérité est ailleurs...

Chapitre 6

"Du plomb dans la cervelle..."

Divers
“Tony, j’ai absolument besoin que tu me donnes un coup de main...je veux ton expertise médicale . Cela ne peut continuer comme cela . Je vis un enfer ! “
Tony, mon ami médecin tenait dans sa main la “capsule métallique”, qui avait été extraite du cerveau de Cécile. Sur le coup les médecins avaient cru que ce morceau de métal, qui se trouvait très près de la zone extérieure du cerveau, presque sous la calotte crânienne était le résultat de l’accident de voiture. Mais l’on dut se résoudre à penser qu’il n’en était rien !
Alors quand l’urgentiste, extrêmement ennuyé par cette découverte me demanda si le comportement de ma femme avait changé ces dernières semaines, je ne pus qu’approuver !Et lorsqu’il me demanda si ces troubles étaient d’ordre sexuel, je ne pus encore une fois que l’accompagner dans son raisonnement. Après différents examens, il fut décidé d’enlever cette capsule, cela était très simple vu le peu de profondeur de l’objet. Et il se trouvait qu’il innervait une zone correspondant à l’activité sexuelle. J’avais enfin peut-être trouvé la RÉPONSE à toute mes interrogations !
L’objet fut donc extrait de la tête de ma femme. Je pensais que tous nos problèmes étaient terminés, mais celle-ci sombra dans une morosité et une apathie terrible. Il semblait que la disparition de l’objet de sa tête lui ait enlevé toute raison de vivre, toute gaité, tout tonus !Elle qui avait un pouvoir de persuasion exceptionnel sur son entourage, n’était plus que l’ombre d’elle-même !
J’avais donc expliqué toute l’histoire à Tony. Lui qui était un bon scientifique, s’étonnait du matériau qui constituait la “capsule”. Il n’arrivait pas à déterminer de quel métal il s’agissait...si c’était bien du métal ! Sur une impulsion il sortit un briquet et exposa l’objet à la flamme...aucune réaction ! Et quand il mit précautionneusement le doigt dessus, il s’aperçut que la “capsule” était restée froide ! Il me promit de confier l’objet à un cabinet d’expertise scientifique indépendant, m’expliquant que si sa théorie se concrétisait, il valait mieux que l’État n’y mit pas son nez !
Enfin il me conseilla de retourner voir la psychologue avec Cécile, cette fois-ci !

Une nouvelle nuit de cauchemar...un rêve très brouillon, sensation de malaise...une lumière aveuglante qui illumine toute la chambre...je me réveille en sursaut. Je suis trempé, assis sur mon lit.

Cécile n’était plus à côté de moi. La cherchant dans toute la maison, je dus me faire à l’idée qu’elle avait quitté le domicile...oui mais pour aller où, et faire quoi ??Victime d’une très grande lassitude je sombrai dans un profond sommeil. Le lendemain ma femme était à côté de moi, et se réveilla en pleine forme, ce qui était loin d’être mon cas…

Les jours suivants furent délirants, elle avait retrouvé le goût de vivre...oui mais alors !
Alors que j’étais au travail, elle me téléphona pour m’annoncer qu’il y avait un problème de lavabo bouché, et qu’elle avait réussi à faire venir le plombier le jour même! Un véritable exploit !Au ton enjoué de sa voix et vu la prouesse de l’artisan, je me dis que quelque chose ne tournait pas rond. Je décidai alors de rentrer plus tôt à l’improviste...bien m’en prit.Arrivé dans la maison, j’entendis des gémissements et des ahanements qui provenaient de la salle de bain. J’avais vu le fourgon du plombier...lavabo bouché + salle de bain, l’équation était simple: ma femme était en train de se faire baiser par le plombier, et cette fois ce n’était nullement un rêve !
Je m’approchai silencieusement de la salle de bain, dont s’échappaient des gémissements féminins, pour voir le derrière du plombier, nu, le bleu de travail retombé sur les chaussures, en train de pilonner ma femme, elle aussi nue, les cuisses grandes écartées, assise sur la machine à laver. Pour corser le tout, le programme avait été mis sur essorage rapide, et les trépidations de la machine rajoutaient encore au plaisir de ma chère et tendre !Un peu dépité, je rejoignis mon véhicule, attendis un quart d’heure, et je montai chez nous. Sur le seuil d’entrée, je croisai le plombier de très bonne humeur, qui me dit que tout s’était très bien passé et qu’il avait été payé d’avance...cela je n’avais pas de mal à le croire !

Mon téléphone sonna, et Tony m’expliqua gravement que la capsule était taillée dans un matériau inconnu sur terre, qui avait des particularités physiques et chimiques étonnantes. Il s’agissait grosso modo d’un récepteur radio très puissant …
Quand Tony me conseilla de refaire passer une radio à ma femme, il s’avéra que l’objet était toujours à la même place dans le crâne de ma femme...il y avait été "remis" !
Pourtant, pris d’une impulsion subite, il me téléphona, alors que l’examen était en cours, et me conseilla de me faire passer moi aussi sous la machine. Comme il connaissait bien le radiologue, cela ne posa pas de problème. Alors tandis que je me soumettais à l’examen, ma femme retournait dans le petit sas pour se rhabiller...étonnant pour un examen du crâne, non ? Je devais apprendre de sa bouche plus tard, qu’elle avait dit au médecin que sa robe en lamellé brillant, contenait des parcelles métalliques, et qu’elle n’avait pas envie de recevoir des rayons dessus. A quoi le jeune interne, qui s’occupait de ma femme acquiesça largement, un petit sourire aux lèvres. C’est donc une Cécile en tanga et soutien-gorge noir assez sexy qui me croisa, un grand sourire aux lèvres, lorsqu’elle partit dans son box. De toute évidence elle était très contente de sa petite séance d’exhibition devant le jeune médecin...
Alors que je venais de finir la séance de radio, et que j’avais récupéré mes affaires dans le sas, ma femme n’était toujours pas revenue dans la salle d’attente. 5 minutes, 10 minutes, c’est long quand même ! Mu par une impulsion subite, je décidais d’aller jeter discrètement un petit coup d’œil dans le sas, et  poussant doucement la porte, je vis le jeune médecin à moitié nu, couché sur le banc de la petite pièce, tandis que ma femme, elle complètement nue, le chevauchait sauvagement, les lèvres serrées pour ne pas lâcher le moindre petit gémissement de plaisir, qui aurait alerté l’entourage. Quand elle me vit, nullement honteuse de sa position scabreuse, elle me fit un grand sourire et un clin d’œil ...
Un peu abattu, je retournai dans la salle d’attente jusqu’à son retour quelques minutes plus tard. Sans doute à cause de ce truc dans sa tête, ma femme était devenue une véritable nymphomane ...

Je reçus les résultats peu après...Et c’est ainsi que lisant le compte-rendu d’examen, je m’aperçus, effaré, que moi aussi, j’avais cette saloperie dans la tête !!
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