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La vérité est ailleurs...

Chapitre 7

"Phytophilie"...

Divers
Un soir en rentrant du boulot, je me trouvai en face d’une plante, et quelle plante ! Un truc énooorme ! Un pot d’environ un mètre de diamètre,  des tiges de plus d’un mètre cinquante de hauteur, avec des espèces de grappes de fleurs en bouton fermé. De grandes feuilles vertes nervurées jaunes, de grande largeur. Des tiges recourbées qui me faisaient penser aux fougères en formation. Bref un “truc” immense, très luxuriant, très fourni…
Elle avait été placée dans le salon, sous un puits de lumière. Il n’y avait pas à dire, cela avait de la gueule ! En admiration devant la plante, je n’entendis pas ma femme arriver derrière moi :
“ Alors comment la trouves-tu ? Elle est magnifique, non ?
— Heu oui ...c’est quoi ?
— Je ne me souviens plus du nom, c’est une plante d’origine amazonienne...un truc imprononçable. Elle deviendra encore plus grande, avec un bon arrosage et la lumière solaire qui tombe du toit.
— Bien...et tu as trouvé ça où ? Ça ne doit pas “courir” les fleuristes non ?
— A vrai dire, je l’ai trouvé sur le Net, elle m’a été livrée ce matin.
— Bon, si ça peut concourir à ton bonheur !
— Oh oui ! Tu ne peux pas t’imaginer à quel point ! “ Me dit-elle avec un grand sourire enjôleur .
Cette dernière phrase me laissa comme une drôle de sensation…

En tout cas, dès l’arrivée de cette plante, le comportement de mon épouse changea à nouveau. Après sa période morose, et puis sa période “nymphomane”, elle retrouva un semblant de “normalité”.Car après avoir compris que nous étions “manipulés” par “quelque chose”, par l’intermédiaire de cette “capsule”, ma femme s’était livrée à une débauche intense certes, mais assez discrète. Elle avait couché avec le plombier, le médecin radiologue, et certainement d’autres quand j’étais au travail. Et je n’avais nullement envie de la fliquer, pendant mon absence. Mais je n’étais pas dupe: ma femme se faisait livrer beaucoup de nourriture à domicile, pizzas, sushis…Je n’avais aucun doute sur la nature des “pourboires” que ma femme pouvait offrir aux livreurs... Relativement content de cette heureuse évolution, je me félicitais de la nouvelle passion de ma femme pour la culture de cette plante exotique.


Ainsi la vie reprenait son cours presque normal, sans cauchemars...jusqu’à cette fameuse nuit.
Ainsi au milieu de la nuit, je ressentis une intense excitation sexuelle, j’avais rêvé à nouveau de ma femme qui prenait un pied énorme. Réveillé, je m’aperçus, une nouvelle fois, sans étonnement, que ma femme n’était plus présente à mes côtés. Je me levai et, une fois de plus, je fus attiré de façon irrépressible dans une direction, celle de notre salon.Alors je compris, ou plutôt sentis ce que j’allais voir…

Et là, arrivé à l’entrée du salon, je compris l’intérêt soudain de ma femme pour les plantes exotiques...et exotique, elle l’était cette plante, c’était un euphémisme !Ma femme était nue au milieu des tiges et des feuilles de cette plante bien mystérieuse, et elle s’adonnait à son passe temps favori: le sexe.

Cécile était maintenue par les immenses feuilles de la plante qui s’étaient enroulées autour de ses jambes. Légèrement soulevée du sol par ces feuilles qui lui écartaient les cuisses, ses bras étaient également maintenues par les hautes tiges, dont des excroissances lui liaient les poignets. Ainsi “emprisonnée” par la plante, quasi à l’horizontale, le sexe offert, elle subissait “les assauts” lubriques de la “plante”. Des excroissances nombreuses, avec des bulbes lisses, arrondis, et gluants prenaient possession de sa vulve et de son anus. Ma femme était littéralement pénétrée par ces bulbes qui exerçaient des mouvements  de va et vient dans sa fente et son anus dilatés. D’autres tiges, tels des tentacules végétaux, venaient lui caresser le pubis, les seins, la bouche, certaines emprisonnaient les pointes de ses seins et semblaient les pincer, une autre prenant la forme d’une langue, s’immisçait dans sa bouche et tournait autour de sa langue, en un baiser obscène.
Quand elle le pouvait, lorsque ces feuilles lui laissaient la bouche libre, Cécile gémissait, ahanait. Elle semblait prendre un pied énorme à se faire ainsi "baiser" par cette plante lubrique et redoutable. Alors qu’elle ne cessait de jouir, les feuilles qui lui emprisonnaient les membres, la soulevèrent à la verticale et la présentèrent en position “assise”, les cuisses toujours terriblement écartées, sur une tige brunâtre ayant un diamètre d’environ 8 centimètres et effilée à son extrémité; Cécile fut empalée dessus, et fut descendue progressivement sur la longueur de la tige lubrifiée. Ma femme était littéralement  enculée sur la tige et elle en éprouvait beaucoup de plaisir , vu les cris de jouissance, et les spasmes qui ne cessaient de sortir de sa poitrine.
Une fois son plaisir anal atteint, la tige sodomisatrice se retira et diminua de grandeur, bien vite remplacée par une autre tige souple, avec à son extrémité une espèce d’excroissance à plusieurs branches souples de 5 à 15 centimètres de longueur, qui ne cessaient de se rassembler et de s’écarter les unes des autres, dans un mouvement rotatif hélicoïdal. Cette tige se présenta devant le visage de Cécile, toujours maintenue en position assise à un mètre cinquante au dessus de la base de la plante, qui ouvrit la bouche  en sortant sa langue. La “main végétale” se fixa alors sur son visage et des “doigts” prirent possession de sa bouche. Puis se retirant, la tige articulée s’abaissa lentement vers son sexe, alors que Cécile la suivait fiévreusement du regard.
Et se reculant, comme pour prendre son élan, à la manière d’un crotale en posture d’attaque, elle pénétra vigoureusement la vulve de Cécile, qui était maintenue ouverte par des vrilles végétales; Cécile eut un haut-le-corps sous le coup de cette pénétration subite et violente, mais ne tarda pas à crier à nouveau sa jouissance.Je compris au regard et à  l’expression parfois mi douloureuse, mi extatique de mon épouse, que la tige ouvrait et refermait ses “doigts” en même temps qu’elle lui limait la chatte.
En quelque sorte, Cécile se faisait “fister” de la plus belle des façons, par cette “main végétale”.Après 4 minutes de cette pénétration bestiale qui la remplissait entièrement, Cécile eut plusieurs orgasmes, qui la laissèrent au bord de l’évanouissement !Toujours écartelée et offerte, les jambes bien ouvertes, son sexe dégoulinait de cyprine qui fut recueilli par les feuilles...puis elle fut déposée délicatement au pied de la “plante”, et toutes les excroissances bizarres se rétractèrent. La plante retrouva son aspect normal. A une exception près...en haut des hautes tiges, les boutons s’étaient ouverts en de magnifiques petites fleurs en cornet, de toutes les couleurs, qui exhalaient un puissant parfum entêtant, et produisaient une espèce de pollen presque invisible.
Puis, quand Cécile recouvra ses esprits et se leva, les fleurs se reformèrent en bouton. La plante semblait n’avoir pas “dégénéré” . Cécile passa devant moi, qui me cachai derrière un fauteuil, comme en état de somnambulisme. Elle retournait se coucher, comme si de rien n’était. Lorsque je m’approchai précautionneusement de la plante, et la touchai avec beaucoup de précaution du bout du doigt, les boutons se rouvrirent et laissèrent sourdre leur pollen. A la première bouffée, je me sentis dans un état d’excitation sexuelle démentiel, et plein d’images pornographiques me vinrent à l’esprit. Je me voyais au sein de la plante, nu à la place de Cécile, caressé, masturbé et enculé à mon tour par la plante.Par mesure de précaution, je retins ma respiration et m’enfuis très vite…
Cette "plante" était diabolique, elle “attendait” ses victimes pour leur donner un maximum de plaisir; il fallait absolument que mon ami scientifique la voie…

En tout cas , une chose était certaine...cette fois je ne rêvais pas !
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