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La vérité est ailleurs...

Chapitre 8

Un weekend résolument "végétal" ...

Divers
Après l’épisode de la “plante”, qui m’avait laissé une impression extrêmement troublante, je décidai d’inviter Tony et sa femme Julie à passer le week-end à la maison. Ce dernier pourrait ainsi constater de visu que je n’affabulais pas, en lui racontant toutes ces sordides histoires.Mais je savais pouvoir trouver une oreille attentive, car Tony était un scientifique ouvert d’esprit, et les problèmes relatifs aux OVNIS et aux autres extraterrestres ne lui étaient pas inconnus... j’étais curieux de voir sa réaction en face de la “plante” !
Un verre de porto à la main, nous discutions Tony et moi. De l’entrée du salon, nous regardions nos femmes admirer la plante de Cécile. Je me doutais bien de ce qui pourrait se passer...Cécile se plaignant de la chaleur activa le ventilateur mural... mes intuitions se confirmaient.

Cécile entraînant Julie avec elle, lui prit la main et la lui fit poser sur une feuille de la plante. Le résultat ne se fit pas attendre. Des plus hautes tiges, les petites fleurs multicolores jaillirent de leur bouton, et commencèrent à répandre leur nectar. Celui-ci poussé par le ventilateur enveloppa les deux femmes. Alors Julie commença à vraiment se “détendre”...

Tony qui connaissait très bien sa petite femme, comprit tout de suite à son comportement, que quelque chose clochait. En effet Julie, le rouge aux joues, se comportait de manière plutôt extravagante : la main posée sur la hanche de Cécile, elle pouffait de rire aux messes basses que lui confiait Cécile à l’oreille. Une main sur la nuque, elle se caressa le cou, puis la gorge, pour faire venir ses caresses sur sa poitrine. Elle semblait avoir très chaud et riait de façon trop hystérique...Cela ne lui ressemblait pas du tout.

Julie et Tony étaient un couple sympathique mais complètement coincé. Lui grand, blond, athlétique, donnait l’impression d’être le guerrier viking, qu’il était de par ses racines. D’origine scandinave, Tony avait conservé une rigueur luthérienne... fervent protestant, il repoussait toutes fantaisies sexuelles, même lors de nos discussions entre hommes. Julie lui ressemblait beaucoup sur ce point. Toujours offusquée par la moindre blague de cul, ou la plus petite insinuation d’ordre intime...
Pourtant Julie était une belle femme, mais une femme enfant. Avec des cheveux longs châtain clair, des yeux bleus, un petit nez retroussé et une bouche mutine, à 25 ans, elle en paraissait 15 de moins...Le scientifique hermétique mais très efficace de 33 ans, accompagné d’une gamine de 25 ans, peu au fait des réalités de la vie, tel était le couple Julie/Tony.
Aussi lorsque Julie, en proie à une ferveur érotique, commença à déboutonner son chemisier blanc, pour se retrouver bien vite le soutien-gorge par terre, et les seins à l’air, son mari se précipita vers elle. Mais lorsqu’il se retrouva dans le nuage de pollen de la plante, son élan fut brisé net, et privé de son agressivité naissante, il regarda sa femme continuer de se déshabiller, un sourire béat aux lèvres. Julie avait déboutonné son jean et s’escrimait à enlever ses chaussures. Cécile qui elle, avait laissé tomber sa robe sur le sol, était déjà nue en bas blancs et porte-jarretelles de la même couleur. Ses seins pointaient, et s’étant mise à genoux devant Julie, elle l’aidait à s’extirper du jean fuseau trop serré. Une fois celui-ci par terre, elle s’attaqua à la petite culotte de coton blanc de son amie. Une belle chatte à la toison non taillée, châtain clair, apparut. Cécile y plongea son visage entourant de ses bras les cuisses de Julie et lui palpant les fesses. Des doigts inquisiteurs plongeaient allègrement dans le sillon fessier, et s’intéressaient à la rondelle sans doute vierge de Julie... plus pour longtemps !
Julie se laissait lécher le sexe par Cécile, tandis qu’elle sentait ma femme introduire ses doigts dans son anus. Elle gémissait de plaisir. Tony, qui s’était lui aussi mis nu, se joignit au couple lesbien, et saisissant les seins de son épouse commença à les malaxer sauvagement, tirant de petites plaintes de douleur de sa petite femme si coincée. Moi, qui regardais le trio de loin, à l’abri des senteurs vénéneuses de la plante, je me dis qu’il ne devait pas lui faire cela souvent... et que le couple allait découvrir beaucoup de choses sur sa sexualité cachée. Je me sentais un peu honteux d’avoir attiré le couple dans un guet-apens grivois, quoique voir Julie à poil, se faire gamahucher par ma femme, et les seins malmenés par son mari avait quelque chose de jouissif !J’avais hâte de savourer la suite des réjouissances. Je ne mis pas longtemps à attendre... déjà des vrilles sorties de l’amas végétal de la plante se dirigeaient vers le trio. Leur proie était Julie, qui allait bientôt goûter aux plaisirs nouveaux de la "phytophillie"...

Une vrille s’enroula autour du cou de Julie, pendant qu’une autre entourait ses deux cuisses. Idem des poignets de la jeune femme. Cécile, toujours à genoux, regarda son amie doucement attirée vers la plante. Légèrement interloqué, Tony allait la retenir, quand ma femme lui posa une main sur le bras, et saisissant sa verge en érection la rapprocha de sa bouche. Tony observant sa femme escalader le rebord du bac en béton de la plante, se laissa faire. Bientôt, ma femme lui faisait une fellation, l’empêchant d’interférer dans le coït contre nature, dont sa petite femme allait être la victime consentante !
Julie était maintenant nue, offerte debout, les cuisses écartées au milieu de l’amas végétal luxuriant. Déjà, des tiges aux protubérances rondes et bien grosses, se dirigeaient vers son anus et son sexe, tandis que des feuilles larges et des lianes vigoureuses montaient à l’assaut de ses cuisses et de ses bras...
Elle fut alors prise en charge par quatre fortes tiges qui la soulevèrent du sol, et la maintinrent écartelée, les cuisses grandes écartées, le bassin dirigé vers le haut, tandis que son buste était penché vers le bas et l’arrière ; ses deux orifices offerts aux assauts de la plante. Alors les feuilles poussèrent vers son entrejambe, et lui caressaient fente et anus, une petite vrille venant titiller le clitoris. Julie éclatait de rire et gémissait en même temps. Lorsque la petite fente fut bien dilatée, et n’en pouvait plus de dégouliner de cyprine, l’une des feuilles en recueillit, et progressant en mouvements circulaires, les tiges vinrent lubrifier et élargir doucement le petit trou.

Alors, trois grandes tiges fines qui oscillaient, tels des cobras devant sa bouche, son sexe et son anus, se muèrent en autant de fac-similés de verges avec de petits picots sur les côtés. Puis d’un "commun accord", les trois phallus végétaux plongèrent tels des serpents, à l’attaque, vers leurs objectifs... et Julie fut pénétrée en même temps des trois côtés. Un grand soubresaut mobilisa son corps lorsque la triple intromission se fit.

Tony, qui se faisait toujours sucer par ma femme, était comme en extase devant le spectacle impossible dont il était le témoin : sa petite femme chérie, si douce si prude, se faisant “ violer” de tous les côtés par la plante. Julie se faisait limer dans ses trois orifices, de façon assez brutale. Quand elle le pouvait, c’est-à-dire quand le phallus qui investissait sa gorge se retirait comme en position d’attente, elle éructait son plaisir en cris rauques, gémissements et ahanements variés. Elle prononçait aussi des bribes de phrases que son petit mari n’avait pas dû entendre souvent, dans l’intimité de leur chambre à coucher :
“Ahh ! Ouiiiiii ! Putain, c’est trop bon comme je me fais baiser de tous les côtés... mon Dieu ! Ahhhh !! Oui ! Encore, encule-moi, plus profond. Non, ne te retire pas ... encore dans mon petit cul... mhhummm... dans ma chatte !”

Par moments les phallus végétaux se retiraient de son vagin ou de son rectum, et semblaient attendre les supplications de la belle. Alors comme suivant ses ordres, les pénétrations reprenaient toujours plus profondes et rapides. Je me demandai si Julie, peu au fait de pareilles prouesses sexuelles, allait tenir le choc. Je m’attendais à chaque instant à ce qu’elle demanda grâce, ou ne s’évanouisse. Mais non, la belle reprenait ses gémissements rauques et ses cris de jouissance. Tony, lui aussi se mit à gémir quand il éjacula dans la bouche de ma femme un torrent de sperme, sans doute trop longtemps contenu ! Alors qu’il retirait sa verge de la bouche de ma femme, son mandrin pompait encore des giclées de sperme, qui vinrent barbouiller le visage et la poitrine de celle-ci. Elle se dépêcha de tout récupérer avec sa langue. Ma foi, légèrement atteint d’un soupçon de jalousie, je me disais qu’il aurait quand même pu éviter de se vider dans la gorge de mon épouse. J’espérais bien qu’après l’exploit de sa femme avec son amant végétal, j’allais moi aussi pouvoir occuper la bouche de la belle !

C’est alors que les objets prirent une couleur différente, chaque chose semblait pulser dans la pièce. Les sons me parvenaient avec plus de netteté, comme avec un écho. La température sembla descendre de quelques degrés. Tout semblait différent, comme irréel. La plante, comme répondant à un appel silencieux, cessa toute activité sexuelle avec sa captive. Les trois personnes devant moi semblaient comme figées. Le temps s’étirait beaucoup trop lentement. Un clignement de mes yeux me sembla prendre plusieurs minutes... Une boule se forma dans mon estomac, une peur panique me saisit, un grand frisson parcourut tout mon corps. Des sueurs froides coulèrent dans mon dos.

Je SAVAIS ! Je n’avais pas besoin de me retourner ! Je savais qu’ILS venaient d’arriver. Une sonde froide sembla me transpercer le cerveau, et pour la première fois j’entendis distinctement dans ma tête leurs paroles ! Une voix stridente, glaçante, sans émotion, sans aménité... sans humanité !
“ N’AIE PAS PEUR TERRIEN... NOUS VENONS EN PAIX ! “
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