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La vérité toute nue.

Chapitre 4

DessousDessus.

SM / Fétichisme
Introduction.Comme nous le disions dans l’introduction du premier texte (Notre Rencontre), cette série de récits (La vérité toute nue) relate notre vécu, notre Vrai vécu pendant toutes ces années. Vous retrouverez des moments, des lieux, des situations, qui ont servi de base pour tout ce que nous avons publié. Nous essayons d’être le plus près possible de la réalité en confrontant nos souvenirs et c’est dans ces moments-là que l’on peut voir combien la mémoire est sélective. Donc dans le récit (Notre Rencontre, 01), vous avez appris comment Laure et moi avons fait connaissance. Vous avez aussi appris que Laure n’est pas une ingénue et qu’avec son mari elle vivait un libertinage parfaitement assumé. Mais c’était Avant de me rencontrer. Dans (Le Cadeau, 02) je relate comment j’ai été nul alors que Laure me fait le cadeau de son amie et complice, Armelle. Heureusement, je récupère le coup et sauve notre réputation.Dans (Hervé, 03), conscient que Laure doit avoir la nostalgie de sa vie sexuelle de libertine, inquiet qu’elle pourrait, malgré l’amour qu’elle me porte, rechercher des aventures, je décide de faire un pas vers elle. Ce pas, c’est Hervé, libertin, mari Candauliste qui m’a aidé à le franchir.  DessousDessus, la genèse.  Je suis libertin, échangiste, partouzeur. Tout cela ne s’est pas fait en un jour. Il a fallu que je force ma nature, non pas parce que je participais à contrecœur, au contraire, mais parce que j’ai mis longtemps à chasser une réserve qui s’apparentait à de la timidité. Je sais c’est ridicule, mais pour moi, pendant de très nombreuses années le sexe c’était entre deux personnes, dans l’intimité d’un lieu clos, même si le lieu clos pouvait être une voiture, un escalier, un parking, etc. Je n’ai pas trouvé la raison de ce blocage. Laure m’a évidemment beaucoup aidée. Ce n’était pas une maladie, mais une sorte de poids qui m’empêchait de me "réaliser" en public. Le public a déjà été un amant, comme l’avait été Hervé que nous avons beaucoup fréquenté. Puis un couple dans la discrétion de notre maison, puis, puis… Je sais que beaucoup d’entre vous doivent me juger, décidément, pas le meilleur candidat pour concrétiser leur imaginaire ou pour me comparer à eux, du moins ceux qui ont franchi le pas, quel que soit le pas, du moment qu’il éloigne du simple duo. Nos visites au club m’ont beaucoup aidé. Là-bas, dans cet endroit, chacun est anonyme et libre.Et le temps a passé. Des mois, des années. Des années de bonheur, notre amour sortant chaque fois renforcé de nos escapades. Nous appliquons toujours la règle d’or : Toujours ensemble, même si le "ensemble" peut parfois se résumer à, arriver et partir ensemble. Par contre, dans la mesure du possible, nous avons évité de fréquenter les anciens, ceux rencontrés avec Antoine, son Ex. Heureusement lui a déménagé. Une exception cependant : Armelle et Michael. Je devais au moins cela à Armelle qui a été d’une certaine façon ma conseillère. Si sur le moment j’ai été " jaloux", non pas jaloux, mais dérangé par Michael, j’ai vu combien il appréciait Laure et un mari libertin sait apprécier l’hommage qu’un homme manifestement envoûté par sa compagne est capable de faire.Donc nous nous sommes faits de nouveaux et nombreux amis. Parmi eux, Clotilde et Jean-Charles tiennent une place à part.Ils sont plus âgés, libertins depuis toujours, avec un soupçon de perfidie pour attirer à eux de jeunes et moins jeunes couples afin de les initier à des jeux sensuels et sexuels et goûter au plaisir incomparable (dixit eux) de devenir leurs mentors pour leur entrée dans le libertinage. Ils habitent en lointaine banlieue, vieille maison de maître avec un grand parc clos, qu’ils ont transformé en chambres d’hôtes. Ils ont ainsi la place pour accueillir des amis et surtout pouvoir organiser des soirées coquines. Ils aiment cela. La dernière fois c’était une soirée intitulée ; "Enlèvement des Sabines". Nos compagnes et épouses jouaient le rôle des Sabines, vêtues d’une longue robe blanche et transparente, alors que nous, les Romains, avions le choix entre la toge, la tenue de centurion, de sénateurs, etc. Nous avions surtout le choix de la Sabine que nous allions enlever pour lui faire subir les pires sévices. Nos hôtes avaient invité des Romains supplémentaires, célibataires afin de s’assurer que chaque Sabine soit bien honorée pendant la soirée. Laure a tout de suite été choisie par deux Romains qui ont décidé de se la partager plutôt que d’en venir aux mains. Dans ce genre de soirées, les mains ont d’autres usages qu’il faut réserver pour sa partenaire…Ce soir, c’est différent, totalement différent, car le titre est ; "Marché aux esclaves". Les esclaves ce sont nous, les hommes, juste retour des choses, et c’est nous qui portons en tout et pour tout une sorte de jupette avec rien dessous. J’oublie le collier et la laisse, collier de servitude qui évidemment n’a rien à voir avec la triste réalité d’une autre époque, encore que… Les femmes aussi ont un dressing de code, mais plus près d’une réalité récente ; corsets, porte-jarretelle, bas, talons hauts, ou bottines, voire cuissardes. Alors que nous sommes à visage découvert, elles portent un masque qui les rend mystérieuses.Alors que nous entrons dans la pièce où se déroule le marché aux esclaves, estrade improvisée ou des hommes sont présentés puis emportés ailleurs pour des agapes plus intimes, Laure attrape ma laisse et continue son chemin. Des femmes nous regardent et si elles s’étonnent qu’un esclave soit déjà "en main", aucune ne proteste.  — Qu’est-ce que tu fais ? Je la questionne.— J’ai une surprise pour toi. Après elles auront tout le temps de jouer avec toi. Je ne questionne pas plus. Cela arrive parfois, autant venant d’elle, que de moi.Manifestement, elle cherche quelqu’un. À chaque porte ouverte, elle passe la tête pour regarder. C’est seulement après quelques-unes qu’elle trouve :
 — Ils sont là. J’espère que tu apprécieras la surprise que je t’ai préparée. Je sais que tu es prêt. Tu verras, ainsi tu comprendras encore mieux, et cela, en plus de ton plaisir, ce que nous les femmes pouvons ressentir. L’explication me paraît peu claire, mais je la suis, d’autant que la laisse ne me laisse pas le choix.Un couple est déjà présent. L’homme aussi porte le collier, mais sur lui c’est presque dérangeant. La jupette blanche accentue encore le contraste avec sa couleur de peau. Esclave… Noir… Mais son sourire est éclatant. Sa voisine aussi est noire. —Lucas, je te présente Lilou et Martial.—Lilou, Martial, je vous présente Lucas, mon esclave.—Bonsoir… Bonsoir… Bonsoir… Quelques secondes que nous nous regardons. Ils sont jeunes, plus jeunes que nous. L’homme est beau, musclé. Sa partenaire est plus petite que lui, d’une beauté africaine avec des rondeurs que sa tenue met en valeur. Le haut de son corps est habillé d’une sangle qui trace un chemin d’une symétrie parfaite, courant des épaules, autour des seins, des hanches, se croisant avec harmonie pour entourer le haut des cuisses et se terminer en pinces pour maintenir les bas.Les femmes échangent les laisses, nous rendant esclaves de l’autre. Pendant un moment elles jouent à la propriétaire qui teste la marchandise. Ce sont des caresses, des palpations, des explorations alors qu’elles nous demandent d’écarter les jambes, de nous pencher, de soulever nos jupettes. Je reconnais les conseils de nos hôtes, qui, non seulement organisent tout, mais envoient une sorte de "livret" aux invités afin que le thème choisît se déroule au mieux. Lilou semble satisfaite de son esclave. Elle m’entraîne vers le lit, mais c’est elle qui s’y installe, juste assise. —Embrasse mon pied… Mon mollet… Ma jambe… Ma cuisse. Je suis un esclave bien docile. Mes lèvres suivent le chemin proposé, montant lentement le long du bas de soie et lorsqu’elles se posent sur la peau, elles déclenchent un délicieux frisson. Je n’ai pas besoin qu’elle me guide, l’ascension ne peut avoir comme objectif que son intimité. J’ose, tirer avec délicatesse sur la petite culotte et Lilou m’aide en se soulevant.Ses cuisses s’ouvrent à mes caresses. À côté c’est Laure qui se fait manger le minou. Martial est son esclave comme je suis celui de Lilou. Mais qui ne rêve pas de cette soumission ? Quel homme n’aime pas faire gémir, une femme, une épouse, une maîtresse, juste avec ses lèvres et sa langue ? Quel homme n’aime pas sentir la douce pression d’une main féminine, pression sur sa tête et qui le guide et l’encourage.J’entends les soupirs de ma compagne. Je ne m’en lasse pas et je sais qu’elle aussi aime m’entendre ou me voir avec une autre. Elle doit être contente aussi de pas être seule, mais de jouer une partition avec sa voisine. Les mains de Martial qui enveloppent ses seins lui font un écrin sombre rivalisant avec la lingerie. Des mains dont les doigts ne sont pas inactifs,  —Viens !  Me dit ma Maîtresse à qui je me dois d’obéir. Ordre bien agréable que sa main posée sur mon épaule organise. Je me lève. Elle voit mon érection. J’adore lécher les femmes et même sans autre sollicitation mon sexe se déploie presque toujours. Elle écarte les cuisses encore un peu plus. Sa fente brille de ma salive et peut être aussi de son plaisir. L’esclave que je suis enlève la jupette et avance avec son dard bien en avant.Mon gland écarte les chairs et s’introduit dans une antichambre bien grasse de ma salive. La suite est à l’avenant. La grotte est accueillante et ma Maîtresse à la gentillesse de dire un "Oui" qui m’encourage. Elle referme ses jambes autour de ma taille dès que je suis en elle. Je bouge doucement, attendant un signe ou un ordre. J’aime m’imaginer à une époque où les femmes romaines, mais aussi les hommes, utilisaient leurs esclaves pour des tâches "valorisantes". J’imagine qu’à l’époque les plus "efficaces" avaient un statut à part. Je sais que la réalité devait être toute autre et qu’une faiblesse pouvait déclencher la punition ultime. Elle me laisse juge. Je la baise doucement par de grands mouvements amples qu’elle apprécie. L’avantage du libertinage c’est de fréquenter beaucoup de femmes différentes et de comprendre leurs désirs évidents ou secrets.Lilou aime ma façon de la prendre. Pourtant elle regarde à côté, là où Laure et Martial sont installés. Ils ont bougé. Lui s’est levé et c’est Laure qui le suce. Elle l’abandonne un instant, se penche vers moi et me dit : —Regarde Chéri comme son sexe est beau. Tu ne trouves pas qu’il ressemble à notre gode, tu sais le noir, celui avec lequel je… Elle s’avance encore un peu plus pour parler dans le creux de l’oreille, comme une confidence…t’encule.  Je comprends aussitôt l’allusion. Laure m’a souvent parlé de ce qu’un sexe d’homme apporte de différent comparé à un gode, gode ceinture, aussi bien utilisé soit-il. —C’est ma surprise, Chéri. Tu vas voir combien c’est différent, bien meilleur et tu comprendras aussi pourquoi beaucoup de femmes aiment se faire prendre ainsi. Le couple fait partie de la surprise. L’homme avance sur le lit et approche son sexe tendu si près de mes lèvres que la demande est évidente. J’ai souvent vu des maris Candaulistes ou pas, s’occuper du mandrin destiné à leur femme en le suçant devant elle. Je ne connais que la froideur d’un gode, sucé dans l’intimité de notre chambre, gode que Laure se charge de me glisser dans le fondement et me baiser comme un mâle enfile la femelle. C’est évidemment différent, difficile à décrire. La douceur du gland, la chaleur qui irradie, la vie qui palpite sous la peau, la dureté, la souplesse, la peau que je peux faire bouger en serrant les lèvres.Pendant ce temps, Lilou me libère. Laure se glisse derrière moi et me fait une feuille de rose. Le plan est parfait, le couple complice depuis le début. Elle les connaissait avant ? Ou bien, une recherche sur un site spécialisé.Lilou m’attire à elle. Martial me retire sa sucette. Laure a peut-être dit qu’il ressemblait à notre gode, mais moi, j’ai bien senti qu’il était plus gros et aussi plus long. À moins que ce soit mon imagination.Il passe derrière moi. Laure lui laisse la place. Elle ne dit rien, juste un sourire. Je sens le dard, il se frotte à ma rondelle, je sens aussi une goutte, probablement la salive de l’homme, apportant une touche perverse à ce qui va se produire. Il pousse. Je suis trahi par mon anus qui cède bien vite. Il avance… Avance… Cela me paraît sans fin, sans limites… Mon ventre se gonfle… J’ai du mal à respirer… Lilou a calé ma tête contre la sienne, je sens son odeur, mélange de parfum et de transpiration… Il m’écrase de tout son poids… Son dard est une cheville qui me transperce… Mais une cheville chaude, qui semble se rependre dans  mon conduit.Son ventre, son pubis contre mes fesses. Voilà c’est fait, le long mandrin est tout en moi. Alors il bouge.Alors je bouge.Alors il m’enfile avec force et mon cul en redemande. J’entends Lilou gémir et me dire qu’elle me sent si dur.Alors j’entends la voix de ma compagne qui me dit comme c’est beau de voir ce dard noir entrer et sortir de mon petit trou. Je l’entends aussi encourager mon enculeur.Alors il se vide en moi. C’est troublant. Le clapotis que j’entends ressemble à celui que je provoque lorsque je… Mais maintenant c’est moi, qui, le cul remplit de foutre brassé par une bitte de mec…. C’est à mon tour. Impossible de me retenir, je crache ma liqueur et maintenant ce bruit c’est… ----------------------------------- —On vous laisse. Il ne manque pas de candidates pour vous choisir comme esclave. Tenez, pour commencer, celle-là, qui ne nous a pas quittés du regard. Elles nous laissent. En passant devant la femme, elles doivent lui parler, car je la vois hocher de la tête.  —Ça t’a plu, on dirait. Me dit Martial alors qu’il a attrapé une lingette et qu’il s’essuie le sexe avec.—Je pourrais difficilement dire le contraire. Je reconnais, alors que je sens ce qui suinte de mon anus. Étrange sensation.—Tu connais Laure depuis longtemps ? Il va me répondre, mais je le vois lever les yeux derrière moi. La femme s’est approchée et nous domine de toute sa hauteur. Elle ne parle pas. Elle reste immobile.  Le passé composé. Comme toutes les femmes, elle est en tenue "séductrice-dominante" avec son corset qui sert de support à sa poitrine, poitrine qui manifestement n’a pas besoin de soutien, car parfaite et d’une fermeté que l’on devine. Le reste est à l’avenant. Elle est blonde, les cheveux mi-longs. Le masque qui lui recouvre presque tout le visage la dissimule, mais ses yeux sont soulignés par un maquillage prononcé. Les lèvres aussi, rouges vif.Elle attrape une chaîne, puis l’autre, tirant dessus pour nous faire lever. L’intention est évidente. Une gourmande, c’est évident, de celles qui aiment avec deux hommes… D’ailleurs elle fait allonger Martial, voulant probablement venir se prendre sur lui, alors que moi je… Mais c’est moi qu’elle pousse pour s’occuper du mandrin de l’homme, un mandrin au repos, que sous son ordre muet je dois réveiller. Son silence est étonnant. Probablement qu’elle ne veut pas se faire reconnaître. Par qui ? Moi ou Martial ? J’ai beau chercher, je n’arrive pas à associer un visage à ce corps. Martial peut-être. Mais pour l’instant Martial ne semble pas se poser la question. Je le suce et en quelques secondes son dard a retrouvé sa vigueur. Me voici une femelle qui suce une bitte. La femme me fait lever les fesses. Elle me veut en levrette. Elle me caresse, les fesses, mon sexe.Je suce. Martiale est bien dans son rôle, il appuie sur ma tête pour me faire gober toujours plus de son mandrin.Elle me doigte. Elle tire sur mes cheveux pour quitter le mandrin et sucer ses doigts imprégnés de foutre. Je me sens esclave de cette femme. Elle commande, j’obéis. La bitte de Martial est devant moi, gluante de ma salive. Je vais la reprendre, mais la femme m’en empêche.Elle me fait bouger et allonger sur le lit. C’est à Martial qu’elle fait signe de se lever. Elle lui montre comment se saisir de mes chevilles pour tendre mes jambes vers le plafond. Je comprends que je me suis trompé sur ses intentions. Elle ne veut pas de deux hommes pour elle, du moins pour l’instant, mais ce qu’elle a vu a dû lui donner une idée, un fantasme peut être qu’elle peut réaliser. Une main sur la fesse, une autre tenant la bitte, elle le guide et l’invite à me prendre. Mon anus est encore gras de foutre. Il s’ouvre pour le gland, mais elle empêche d’aller plus loin. D’une pression, elle montre à Martial de ne pas bouger. Ne pas bouger le temps qu’elle se place derrière lui, se colle contre son dos, son pubis contre ses fesses et d’un coup de reins, sans prévenir le propulse en avant. Je ne peux retenir un cri devant la puissance de la possession.Une seconde ou tout semble s’arrêter, mais je la vois lui parler à l’oreille. Il la regarde, elle confirme d’un hochement de tête. Je ne tarde pas à imaginer ce qu’elle lui a dit, car il commence à bouger en moi, faisant poser mes jambes sur ses épaules, enveloppant mes cuisses avec ses bras pour me plaquer contre lui. Me plaquer, mais avec assez d’espace pour m’enfiler de coups de reins dantesques.""Bourre le très fort. Elle a dû lui dire et il obéit à sa Maîtresse, après tout lui aussi est un esclave.""Je ne peux retenir des gémissements. Elle me regarde. Elle ne sourit pas. De quelques claques sur les fesses de Martial, elle lui fait comprendre qu’il faut y aller plus fort. Elle monte sur le lit. Elle m’enjambe et je me retrouve avec sa fente près de mes lèvres. Elle m’écrase. J’étouffe. Mon horizon est de chair, d’humidité, de vallons, d’un canyon que j’explore dans une quasi-obscurité. Elle se tortille sur moi.Marial m’encule toujours. Je ne sais si c’est sa main ou celle de la femme, mais mon sexe est prisonnier, prison dorée. Je bande.Combien de temps dure cela ? Je ne saurais le dire. Assez pour que la femme jouisse et coule sur moi. Assez pour que la bitte qui me laboure crache une nouvelle fois en moi. Une bitte qui me quitte. Elle doit voir que je coule du cul, comme une fontaine, comme une résurgence de liqueur.Une bouche me gobe. C’est elle, je sens qu’elle se penche. Elle me suce, mais surtout me branle avec violence, c’est presque douloureux, mais le plaisir s’annonce. Elle le recueille dans sa bouche.Elle me libère. Elle se tourne vers moi. Je vois comme à contre-jour, son visage alors qu’elle vient m’embrasser et… oh, elle me restitue mon sperme. Elle le pousse de sa langue. —Avale. Elle dit et pour la première fois j’entends le son de sa voix. Une voix étonnamment familière. Un long silence. Je ne savais pas que tu aimais te faire enculer. Si tu me l’avais dit, j’aurais pu te le faire.—Agnès ? Je réalise que cette voix, je la connais même si elle n’est pas en accord avec le souvenir, pas si lointain tout de même, de mon Ex. Elle a changé de couleur de cheveux, sa poitrine a été refaite…—C’est bien moi. Elle soulève son masque. C’est elle.—Mais que fais-tu ?—Je n’ai pas de comptes à te rendre. Mais je suis contente de t’avoir revu. Alors c’est ce que tu fais maintenant ? Elle t’a réduit en lopette qui couine lorsqu’elle te fait prendre.—Mais non, c’est…—Je ne t’ai jamais remerciée de m’avoir quittée et par la même occasion ouvert les yeux. J’ai enfin de vraies jouissances, ce n’est pas comme avec toi. Regarde, je me suis fait refaire les seins. Ils adorent… Bon, je te laisse, j’ai d’autres rencontres à faire, avec de vrais hommes, pas comme toi… Je n’ai pas parlé de cette rencontre avec Laure !
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