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Véro, ma charmante voisine

Chapitre 1

Récit à quatre mains

Erotique
Histoire écrite à deux, nos visions croisées de cette délicieuse aventure, paragraphe après paragraphe nous nous répondant, illustrant le côté féminin et masculin...
J’avais remarqué que la petite maison devant laquelle je passais tous les jours en courant était ouverte. Je passais le matin à l’aube pour me rendre à la rivière qui alimentait le vieux lavoir. J’adorais profiter du lever du soleil sur un petit gourd à la plage de galets blancs. Je m’y trempais nu, me débarrassant de mon short, débardeur, il n’y avait personne aux alentours depuis deux ans, la petite maison à quelques centaines de mètres était inhabitée et le chemin caillouteux qui passait devant n’était jamais emprunté.
A mon retour, j’avais aperçu une charmante silhouette dans une robe rouge à boutons sur le devant de la maisonnette. Le lendemain, la personne aperçue la veille buvait un café, accoudée à la rambarde de celle-ci. Je lui fis un petit signe amical et continuais ma course. Du bord du gourd, j’étais visible de la maisonnette, mais je fis comme à mon habitude... ôtant mes vêtements, je plongeais aussitôt dans l’eau claire.
Personne à mon retour ni le lendemain, enfin j’allais avoir une divine surprise ce jour-là. Je plongeais, m’ébrouais et me posais pour sentir le soleil sur la grosse pierre ronde. Je crus apercevoir un mouvement derrière le gros chêne. Je croyais fantasmer quand un petit bout de tissu fleuri me confirma ma sensation.
Surprise quand elle décala la tête pour regarder dans ma direction, ma nouvelle voisine se déséquilibra et trébucha. Sa robe retomba sur ses genoux, mais que faisait-elle donc, cachée derrière cet arbre...
Suite à mon divorce, je décidai de changer de vie, de couper avec tout ce qui pouvait me rappeler de près ou de loin mon passé. Je cherchais un endroit tranquille, à la campagne, si possible auprès d’un petit cours d’eau, avec de la végétation autour, histoire de pouvoir me ressourcer sans être stressée. Je me trouvais une petite maison inhabitée depuis quelques années, suffisamment grande pour moi et ceux que je désirerais recevoir, suffisamment proche du bourg, tout en en étant éloignée. Suite aux travaux et à mon installation, j’avais pris l’habitude de prendre mon café, accoudée à la rambarde de la petite terrasse donnant sur le cours d’eau, j’adorais y rêvasser, y prendre le soleil...
Depuis plusieurs jours, j’avais remarqué cet homme qui venait régulièrement se baigner dans l’eau derrière chez moi. Je l’observais souvent, derrière ma fenêtre, essayant de ne pas me faire remarquer, le rouge aux joues, la vue de ce corps nu dans l’eau éveillant en moi un émoi depuis longtemps éprouvé. Un jour que je faisais un tour au bord de l’eau, je le vis arriver, je dus me cacher en vitesse derrière un grand chêne pour qu’il ne me voie pas. Malheureusement pour moi, en essayant de le regarder encore un peu, je ne vis pas la racine qui dépassait du sol, et je trébuchais, retombant douloureusement sur mes genoux...
Surpris par cette apparition dans mon petit monde inhabité, j’en oubliais ma nudité et me précipitais au secours de cette fée jaillie de nulle part. Elle bafouilla quelques mots sans aucun sens. Je m’inquiétais de son état et compris que sa confusion venait de ce que j’agitais naturellement sous son nez. Je m’excusais et l’aidais à se relever.
— Pardonnez-moi, j’enfile mon short et m’occupe de vous.
Je l’aidais à s’installer sur un tronc couché et filai mettre un peu d’ordre dans ma tenue. Je lui tendis la main pour lui permettre de marcher. Elle boitait et marchait péniblement. Je lui proposais de s’appuyer sur mon épaule. Son opulente poitrine frottait contre moi et j’en sentais la douce chaleur. Mon short n’allait pas suffire pour cacher l’effet produit.
A peine avais-je repris mes esprits, sonnée par la douleur, que je vis cet homme jaillir hors de l’eau, ruisselant, et se précipiter vers moi. Rouge de confusion et de honte d’avoir été surprise en train de l’espionner, je n’arrivais pas à aligner deux mots, le souffle coupé par ce corps athlétique et, nu !! Il me demanda ce qui n’allait pas, mais aucun son ne put sortir de ma bouche : j’avais les yeux rivés sur sa nudité qui s’imposait à ma vue et cela me troublait terriblement. Il m’aida à le relever. Ma robe à fleurs avait souffert de ma chute. Il me dit "pardonnez-moi, j’enfile mon short et m’occupe de vous". Il m’aida à m’asseoir sur un tronc d’arbre mort à proximité, s’assura que j’étais bien installée et me laissa, juste le temps d’enfiler rapidement son short et son débardeur. Je le fixais des yeux, hypnotisée pas ce corps, musclé, harmonieux...
Mon cœur battait à tout rompre, mon souffle était court, mon visage était pourpre. Il revint vers moi, me tendit sa main afin que je puisse marcher. Je ne me rendais pas compte à quel point j’avais mal, tellement j’étais troublée. Je boitais, contrite de rencontrer un homme dans de telles dispositions...
Je m’appuyais, à sa demande, contre son épaule, faisant inconsciemment frotter ma poitrine contre son torse. Il m’aida à retourner péniblement à la maison et m’installa sur les fauteuils en rotin de la terrasse...

Ma voisine s’appelait Véro, elle me l’avait soufflé à l’oreille enfin, en discutant appuyée contre moi. La chaleur de son corps appuyé contre le mien était délicieuse. Le souvenir de la femme, une collègue de travail que j’avais aimée durant des années, me revenait, troublante ressemblance. Lors d’un stage, nous étions partenaires d’un travail de groupe et sa belle poitrine me frôlait sans cesse. Coïncidence encore. Arrivée à la petite maison, j’installai Véro dans un fauteuil en rotin. Je lui proposai de magnétiser son genou, j’avais développé ce petit don de soulager en passes manuelles la douleur. Je sentis que ce n’était rien, Véro fut vite soulagée, mais elle fermait les yeux et se laissait aller au fond de son fauteuil. Je n’étais plus magnétiseur-praticien, là, troublé, mais devenais caresseur...
Pendant qu’il m’aidait à marcher, appuyée contre lui, nous avions échangé nos prénoms et quelques banalités. Il s’appelait Philippe. Il était bel homme, musclé et sentait un subtil mélange de parfums ainsi que celui de l’onde dans laquelle il s’était baigné...
Quelle ironie, pensais-je en mon for intérieur, le prénom de celui que je croyais être mon grand amour, étant adolescente. Il m’installa sur un des fauteuils en rotin de la terrasse et me proposa de soulager la douleur de mon genou en le magnétisant, ce que j’acceptai de suite. Il passa ses mains chaudes au-dessus mon genou, une douce chaleur l’irradia et remonta le long de ma jambe, quelle douce sensation, je fermais les yeux pour apprécier cette torpeur qui m’envahissait et me laissait aller doucement contre les coussins du fauteuil...
Quelle troublante expérience, quelle douceur et quelle chaleur dans ses mains. Il ne me touchait presque pas et pourtant je sentais la chaleur de sa peau. Sa main se posa doucement sur ma jambe, elle remonta lentement, je ne dis rien, troublée, cette caresse, inopinée, mais bienvenue, était comme un pansement après mon douloureux divorce. J’ouvrais les yeux, fixais ses yeux verts noisette et m’y perdis un instant...
C’était troublant Véro, avait fermés les yeux, desserré ses genoux. J’avais une main qui était remontée beaucoup plus haut que ses genoux. Mes passes effleurantes étaient devenues des caresses enveloppantes. Véro ouvrit encore plus ses jambes m’offrant une vue délicieuse. Sa petite culotte de mousseline blanche transparente. Mes doigts frôlèrent le tissu qui laissait traverser la chaleur de sa fleur. Lentement, elle enferma ma main, refermant ses cuisses. Ouvrant les yeux, elle plongea son regard dans le mien. Je crus un instant que j’étais allé trop vite, trop loin, abusant de la situation, mais son sourire étincela et elle desserra à nouveau ses cuisses. Sans la lâcher des yeux, j’entamais une caresse plus enveloppante de sa fleur gonflée, qui ne tarda pas à perler à travers sa petite culotte. Véro referma les yeux, s’avança plus avant dans son fauteuil. C’était le signe que j’attendais : l’autorisation à m’aventurer plus coquinement.
La main de Phil remonta le long de ma jambe, et mue par je ne sais quel désir, je les ouvris plus, laissant sa main s’aventurer vers ma fine petite culotte blanche. Il la frôla, je frémis doucement à son contact, sentant la chaleur de sa main contre mon sexe. Je refermais mes jambes sur sa main, le fixant droit dans les yeux, souriante, envoûtée par son regard, et les rouvris, en m’avançant doucement pour augmenter le contact entre sa main et mon intimité humide, je fermais les yeux, troublée, envoûtée par ce plaisir, j’avais envie de plus...
Un pouce plus aventureux se glissa sous l’élastique de la petite culotte de ma voisine, il y trouva son petit bouton tout dur et sa douce fente onctueuse. Véro laissa s’échapper de doux petits gémissements, soupirs. Je me penchais alors entre ses cuisses pour goûter à sa fleur. Ce coquin de pouce fut mon complice pour m’ouvrir le chemin. Très vite, Véro succomba à ma langue fouilleuse, mais délicate, son petit bouton roulant sous la pulpe de mon pouce. Elle referma ses cuisses sur ma tête, m’immobilisant pour jouir contre ma bouche, puis elle me libéra, les yeux brillants, le sourire plus que jamais complice. Elle ne voulait pas être en reste avec moi, mais le temps avait filé si vite que je dus prendre congé. Elle me tendit les lèvres et me souffla :
— A très vite, mon charmant et coquin voisin.
Son pouce s’immisça dans ma petite culotte, frôlant mon petit bouton tendu de désir et mon intimité rendue humide par ce désir montant, la surprise de ce contact intime me fit pousser soupirs et gémissements, il pencha alors sa tête entre mes jambes pour goûter mon nectar, aidé par son pouce et sa langue, il taquinait mon bouton et fouillait en même temps mon antre...C’était plus qu’il ne m’en fallait, je sentis une vague monter aux creux de mes reins, je ne pus faire autrement que de refermer mes cuisses pour jouir contre sa bouche, lui coinçant ainsi la tête. Je jouis doucement, puis, reprenant mes esprits, je le libérai, les yeux brillants de gourmandise, avec un immense sourire, je compris à son regard que je ne pourrais pas lui rendre le plaisir qu’il venait de m’offrir, nous n’avions pas vu le temps passer, il devait partir. Lentement, je lui tendis mes lèvres, murmurant que j’aimerais le revoir très vite...

J’étais repassé devant chez Véronique le lendemain en 4X4 avec ma tonne à eau. J’allais pomper une ou deux fois par semaine de l’eau pour mes chevaux. Elle était sur sa terrasse et me fit signe de la main. Je m’arrêtais et vins prendre de ses nouvelles.
— Petit coquin, tu viens prendre de mes nouvelles ou tu viens pour m’abuser.— Oh, les deux, ma charmante voisine.
Véronique ne boitait plus et me proposa de m’accompagner pour faire mon plein d’eau. Elle portait une robe blanche à boutons avec un décolleté large et profond d’où dépassait la dentelle rose de son soutien-gorge. Quand elle monta à mes côtés, sa robe s’ouvrit quasiment jusqu’à son ventre.
Quelques jours plus tard, je prenais mon café au soleil sur ma terrasse, en robe blanche légère. Un gros véhicule, avec une citerne attelée, longea la maison pour aller se positionner au bord de l’eau. Je reconnus Philippe et lui fis un coucou de la main. Il s’arrêta, vint me saluer et s’enquérir de mes nouvelles. Il était délicieusement craquant sous le soleil. Il allait chercher de l’eau pour abreuver ses chevaux, je proposais de lui emboîter le pas pour lui tenir compagnie. Il monta dans son 4x4 en premier, je montais de mon côté. La marche était haute et ma robe fit plus que s’entrebâiller en montant, laissant apparaître ma lingerie et mon ventre, je fis comme si de rien n’était et pris place à ses côtés.
J’étais fou de son corps, j’en rêvais depuis notre première rencontre, l’image de sa sensualité ne me quittait pas. J’adorais comme elle assumait ses formes charnelles. J’avais fait un bond de dix ans en arrière, retrouvant cette maîtresse que j’avais chérie, qui m’avait aimé si fort, si charnellement. Ma pompe installée, je rejoins Véronique qui s’était appuyée contre le pare-buffle de mon véhicule. Je m’approchais d’elle et lui soufflais :
— J’ai trop envie de toi, je suis obsédé par mon désir de te faire l’amour.— Ne serais-tu pas un peu fou, mon coquin voisin ?
Je sentis un trouble s’installer entre nous dans la voiture. J’aimais cette tension sexuelle silencieuse. Nous sortîmes de la voiture, Philippe s’affairait autour de sa pompe et de sa citerne. J’en profitais pour m’appuyer contre son pare-buffle. Philippe s’approcha doucement derrière moi et me chuchota doucement à l’oreille son envie et son désir de me faire l’amour. Je retournais la tête, un sourire aux lèvres « Ne serais-tu pas un peu fou, mon coquin de voisin ?»
Nous étions à nous taquiner quand le tuyau de la pompe s’échappa de la tonne à eau et nous arrosa. Véronique se retrouva comme nue, inondée des pieds à la tête, sa robe devenue transparente dévoilant ses formes délicieuses et ses sous-vêtements en dentelle rose. C’est un string assorti à son haut qui complétait son soutien-gorge. Quand elle se tourna et se pencha pour s’appuyer sur le capot, je ne pus résister à trousser sa petite robe...
Philippe était en train de me susurrer ce qu’il avait envie de me faire quand je sentis une douche froide nous asperger. De surprise, je lâchais le pare-buffle. J’étais trempée de la tête aux pieds, ma robe blanche, devenue transparente, laissait apparaître la dentelle rose de mon ensemble avec string. La fraîcheur de l’eau me coupa le souffle, et ma poitrine se mit à pointer sous l’effet de l’eau fraîche. Je me penchais pour m’appuyer sur le capot de son véhicule pour reprendre mon souffle quand je sentis ses mains remonter le long de mes cuisses et de ma robe détrempée pour la retrousser.
Véronique avait senti que j’étais dingue de son derrière, mes mains sur ses hanches, mon désir dressé contre ses rondeurs affolantes m’avaient trahi, dévoilé. Coquinement, elle cambra les reins, sa robe autour de la taille, totalement irrésistible. Son string dessinait un triangle de dentelle rose au-dessus de sa belle raie dans laquelle il disparaissait pour réapparaître dans un tissu soyeux moulant sa petite fleur entre ses jambes. J’avais pris le recul nécessaire pour profiter de ce spectacle sublime avant de venir me coller à nouveau contre elle. Véronique poussa un soupir quand elle sentit mon désir contre ses fesses. Le signal était donné, j’écartai le petit bout de tissu et trouvai le chemin brûlant et humide de sa fleur.
Je sentis les mains de Philippe sur mes hanches, la chaleur de son corps, celle de son sexe dur et dressé contre la raie de mes fesses, à travers le tissu détrempé de mon string. Je cambrais les reins pour le sentir bien collé à moi. Il était si dur que cela me fit soupirer et frissonner de désir. Il comprit mon assentiment et entreprit de conquérir mon antre brûlant et humide de désir pour lui...
Très vite, elle m’offrit de délicieux soupirs, gémissements. Puis, elle s’immobilisa, se tourna vers moi et me lança :
— Phil, prends mon cul, je te veux, là, dans mon petit trou. Je veux me sentir possédée.
Inutile de vous dire que je ne me fis pas prier pour sortir de sa fleur onctueuse qui avait bavé de désir sur ma tige et que, sans peine, avec toutefois beaucoup de délicatesse, je pris le chemin de sa rose. Immobilisé au fond d’elle, caressant son clitoris d’une main et sa poitrine de l’autre, j’entrepris d’onduler avec ampleur et guidé par ses cris, avec fureur jusqu’à ce que nous ne puissions résister et que nos cris s’emmêlent. Je me répandis en elle, inondé de sa fontaine d’amour en même temps que j’inondais son antre.
Rapidement, la dureté et la grosseur de sa tige me prirent de court, m’arrachant soupirs et gémissements. Mmmmmm, c’était si bon. Je ne voulais pas être prise de telle façon dans ma fleur. Je voulais le sentir dans mon dos, collé contre moi, au fond de ma rose. J’aime tellement cette position, cette communion, cette soumission dans le plaisir. Je lui demandai “prends-moi par derrière, s’il te plaît, je te veux là, dans mon petit trou, tout contre moi, possède-moi”...
Il prit doucement le chemin de ma rose, déjà détendue par ses va-et-vient dans ma fleur et déjà prête à le recevoir. Il me pénétra doucement, accompagnant son geste d’une main sur mon clitoris, et d’une autre sur l’un de mes seins. Quelle délicieuse sensation. Il commença à onduler dans mon dos doucement, puis plus rapidement, à grands coups, plus il allait en moi, plus la lame de plaisir montait en moi, tel un tsunami, je ne pus retenir mes gémissements. Il se joignit à moi dans le plaisir et nos soupirs se transformèrent rapidement et se mêlèrent en cris de plaisir tandis qu’il se répandait en moi...
Un klaxon devant la maisonnette de Véro nous tira de notre torpeur.
— Zut !! J’ai oublié que ma sœur me rendait visite ce matin, je vais rentrer par le petit chemin, et lui dirai que j’ai glissé dans l’eau.
Elle me vola un baiser et se sauva par le bois. J’étais assuré de la guérison de son genou.

Nous fûmes interrompus dans notre descente du nirvana par le klaxon d’une voiture. Je me redressais rapidement, presque en sursaut, j’avais oublié que ma sœur devait passer la matinée avec moi.
— Excuse-moi ! J’avais oublié le passage de ma sœur ce matin. Je vais passer par le petit chemin et lui dire que je suis tombée maladroitement dans l’eau...”
Je lui volais un baiser, et me sauvais par le petit bois en courant, filant rejoindre ma sœur...
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