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Véronique au bureau

Chapitre 6

soumise à Virginie

Lesbienne
Dès la porte fermée, Gabin, debout, devant ses deux nouvelles conquêtes, malgré lui, se laissa entreprendre par les mains expertes et envieuses de Virginie, qui menait la danse.
Elle le dégrafa, sans perdre une seconde, pour lui rabattre son haut de jean à mi-cuisses, les entravant, suivie de son caleçon, pour enfin, dévoiler l’objet du désir, une queue, qui rendrait jaloux le parfait étalon masculin. Tout ceci, sous le regard très attentif de Véronique, debout, aux côtés du mâle. Virginie échangea un regard avec elle, et déjà, sa main gauche agrippa ce sexe en érection, le masturbant.Allez, ma petite chatte... A toi l’honneur... Viens, à genoux, et fais-nous voir comment tu suces... Dit VirginieMais... Dit Véronique.
Ah, non, ne fais pas la difficile... Lui dit Virginie... Il attend que ça... Allez, arrive !!
Véronique ne dit rien, obéissante, elle s’exécuta, venant s’agenouiller devant ce magnifique cierge, et commença, timidement à le mettre en bouche.Pour continuer, aidée par la main de Virginie, qui debout, derrière elle, avait agrippé sa chevelure brune, lui donnant plus de bouche, ainsi que son rythme cadencé, à s’en étouffer. Durant de longues minutes, Gabin, yeux mi-clos, s’abandonna dans la caresse.Virginie, en eau, au plus profond de son ventre, ne pouvait supporter plus longtemps, ce qui lui servait encore de culotte.Lâchant la chevelure de son amie, elle fit glisser ce bout de tissus, qui était plus détrempé, jusqu’aux chevilles. Puis s’en débarrassa totalement, au passage, s’en imprégna les narines, avant de l’offrir à Gabin.Tiens, mon gros cochon, un avant-goût de mon état !! Lui dit Virginie.
Gabin ne se laissa pas désintéresser, il se le plaqua au nez, à s’enivrer. Alors que Véronique, qui prenait du plaisir à sucer cette queue, à s’en égosiller, haletante.Gabin, glissa sa main droite dans l’entrecuisse de la blonde Virginie, la doigtant, sans aucune difficulté, du majeur et index, alors que cette dernière avait noué ses deux bras à son cou musclé, pour mieux se laisser fondre à cette main caressante. Se faisant haletante, Virginie n’en pouvait plus.Allez, ma belle, laisse-moi la place ... Lève-toi, que notre étalon me soulage les orifices... J’en peux plus... Dit Virginie, excitée !!!Alors que Véronique se relevait, Gabin proposa de se mettre sur la table. Là, Virginie reprit les commandes du jeu.Approche, ma douce, retire tout ça que je puisse te croquer à pleine bouche. Dit Virginie.Véronique, obéissante, mais surtout, envieuse de se faire défoncer, restait face à Virginie, qui elle, lui débarrassa de son chemisier, suivie de son soutard, peau d’ange, blanc, mettant à nue sa petite poitrine.Puis sans attendre, elle lui dégrafa son pantalon blanc, qu’elle fit glisser aux chevilles, les entravant, ne lui laissant plus que ce qu’y était qu’un tissu souillé de glaire tiède, comme vêtement.Viens t’allonger sur cette table !! Ordonna Virginie, à Véronique.

C’est sous le regard envieux de Gabin, que Véronique, après s’être débarrassée complètement de ses derniers vêtements, ne gardant que son lycra, vint s’allonger en travers de la table en chêne.Sur le dos, alors que Virginie, elle, restée debout, vint à sa droite, lui faisant replier ses jambes, puis, se plaçant entre ses cuisses ouvertes, la laissant totalement offerte.
Sans attendre plus, Virginie, restant debout, se pencha sur l’entrecuisse encore emmaillotée de son amie, creusant ses reins, pour offrir à son étalon, ses deux orifices.Celui-ci vint s’y placer, lui troussant le peu de tissus de sa jupe, pour s’offrir une vue de ce petit fessier ferme et dilaté, où il y glissa sa main la plus experte des deux.Sans effet de surprise, Virginie accueillit le pouce dans son anus et majeur et index dans sa vulve, la doigtant, sans négligence.Cette dernière, gardant ses esprits, le temps de jouer de ses baisers, sur le ventre envieux de Véronique, qui se massait les mamelons.Puis, lui agrippant le tissu au niveau du ventre, le faisant coulisser entre les lèvres béantes du sexe de Véronique, jouant sur le clitoris en érection, pour la faire haleter.
Virginie grognait de plaisirs, à pleine gorge, car la sodomie que lui pratiquait Gabin était si intense qu’elle ne pouvait retenir ses râles.Dans le même temps, cette dernière ne laissait pas Véronique insensible, elle lui avait écarté l’entrejambe du lycra souillé de glaire. Libérant en totalité son ventre épilé, où se dessinaient ses lèvres rosâtres, reluisantes de glaire et un clitoris, digne d’un pénis en érection.Sans en attendre plus, Virginie vint plonger son visage, et jouer de sa langue hyperactive, sur ce petit mais raide bouton rose. Avant de coulisser le long de ses lèvres, les aspirant une à une, pour se délecter de sa liqueur, telle un volcan en éruption qui salive la lave des profondeurs de son utérus. Véronique, à son tour, haletait, sa main gauche agrippée à la chevelure blonde de sa nouvelle amie, qui elle s’enivrait de ce lait, qu’elle buvait à grande gorgée, tout en gémissant, de la sodomie que lui administrait ce bel étalon.
Et un commun accord, le plaisir était au rendez-vous, lorsque Virginie, les reins cambrés, se raidit, dans un râle profond, jouissant de tout son corps, suivit de très près, Véronique, dans un orgasme clitoridien, et Gabin, qui lui, se retirant, vint éjaculer sur le visage de Virginie, la bouche ouverte, et le ventre de Véronique.
Le temps de reprendre leurs esprits, chacun se rajusta. Véronique, qui avait son lycra, à la demande de Virginie, elle dut le retirer pour l’offrir à celui qui venait de sodomiser son amie.
Tiens, mon mignon, cadeau... Véronique te laisse çà... Tu pourras les accrocher dans ta garçonnière... Dit Virginie, en lui présentant, le tissu humide... Ce soir, tu es libre ???Euh, oui, après 23heures... Je mangerai encore bien de ta queue... Dit Virginie... Pas toi, ma chérie ??? Ah !!! C’est vrai que tu n’as pas eu la chance de te faire enfiler... Hum !!! Rien que d’en parler j’en suis ruisselante...
Véronique, qui entre-temps s’était rhabillée de son pantalon sans culotte, et de son chemisier, n’avait que d’yeux pour cette queue, qui venait de se rajuster dans le jean de ce superbe étalon.Le trio revinrent dans le bar, la collègue de Gabin, les regardèrent, envieuse, car, les gémissements n’étaient pas restés discrets. Virginie vint la voir, lui glissant quelques mots à l’oreille, avant de l’embrasser du bout des lèvres, sous les regards des quelques clients présents.
Puis Véronique et Virginie quittèrent les lieux. Cette dernière lui prenant la main, tout en déambulant sur l’avenue. Elle lui glissa quelques mots à l’oreille.
— Tu as été superbe, ma chérie, j’ai qu’une envie, boire ta liqueur à m’enivrer... Je mouille d’envie, lui dit-elle !!!Moi aussi, ma chérie, je suis trempée, en plus sans culotte, j’ai le clitoris qui pendouille à nouveau... Dit Véronique. Que veux-tu faire ???
Virginie voulait jouer avec elle, et quel plus beau jeu que celui de faire du shopping. Virginie la fit entrer dans un magasin de lingerie, c’est là, qu’elles pourront faire de l’exhibition, pour voyeurs adeptes du plaisir lesbien.
Virginie attira Véronique entre les rayons, jouant à cache-cache avec les deux vendeuses.
Une mature, brune, cheveux mi-longs, rondelette, mais, appétissante du regard, ses yeux bleus eau, dans une robe blanche, en dentelle, courte, voilant une forte poitrine, nue dessous, son fessier ferme et rebondissant, où l’on pouvait imaginer une nudité.Elle rangeait la lingerie restée sur les cintres, après essayage par les clientes. Restant aux alentours des trois cabines disponibles à la charmante clientèle.La seconde, une jeune blonde, grande, élancée, cheveux mi-longs, de grands yeux clairs, en jean et chemisier, se tenait à la caisse.
Virginie, se posa devant des culottes, lycra, blanc, et couleurs pastel, de toutes formes, de la basique (slip, string, ficelle, dentelle, coton). Prenant les articles, en les étirant, imaginant, le petit cul de sa future conquête. Véronique se laissa prendre au jeu, en choisissant des culottes, parmi celles qui sont en rayon. Puis nos deux jeunes femmes se dirigèrent vers les cabines, où se tenait la brune, qui déjà les croquait des yeux, les accueillant d’un large sourire.
Bonsoir, les belles... Vous voulez de l’aide ??? dit-elle.Bonsoir, ma douce, lui répondit Virginie... Nous aimerions faire quelques essayages...Vous avez le choix, les cabines sont libres... Dit-elle... Sandrine, à votre service.Virginie, pour ma part... Et la belle Véronique... Dit-elle, en réponse à Sandrine.
Véronique, sans attendre son amie, s’installa dans la cabine du fond, tirant le rideau, alors que Virginie, séduite par Sandrine, faisait discussion avec cette dernière. Elle retira son pantalon blanc, gardant son chemisier. Mais entre temps, Virginie ouvrit le rideau, alors qu’elle s’apprêtait à passer un lycra blanc, modèle ficelle, ayant passé sa jambe droite, penchée en avant, tout en offrant dans le miroir son ferme fessier.Attends, ma belle... Montre ton petit cul à la dame... Elle a très envie de... ordonna Virginie.Elle est où sa culotte, demanda Sandrine, qui s’installa à la droite de Véronique ???Comme elle s’est bien comportée avec un étalon du moment... Il a eu son lycra en cadeau...Comment çà, un étalon du moment ???Nous venons du café d’en face... Ah, le mignon petit Gabin, c’est ça ??? Dit SandrineTu connais ??? Que du plaisir... Hum !!! Je me suis régalée !!!Ah pour ça, nous ne sommes jamais déçues, avec lui... Dit Sandrine. Et de plus, il est endurant, il a tout pour lui... Heureusement, c’est un célibataire...
Fou rire général, la main de celle-ci vint glisser sur son fessier, lui tapotant ses joues, qu’elle ouvrit, l’obligeant à rester offerte, avant d’aller plus loin, vers ses deux orifices. Elle fut aidée par Virginie, qui à son tour, s’approcha, venant à sa gauche de sa conquête.
Et pour la rendre totalement soumise à ses deux femelles en chaleurs, elle dut garder la position. Virginie avait la main agrippée à sa chevelure, tirant sur sa nuque, Véronique ne pouvant faire aucun mouvement.Sandrine s’en amusa, en lui enfilant, de sa main gauche, deux doigts dans cet anus dilaté, constatant une profonde béanteur anale. Véronique laissa échapper un cri de surprise, plus que de douleur.
Durant un instant, Sandrine la doigta, avant de les retirer et lui faire sucer, après lui avoir présenté, forçant le passage de sa bouche, aidée par Virginie qui lui pinçait le nez.
Véronique s’exécuta malgré elle, avec un goût d’écœurement, et pour cause !!!
Bref, Sandrine, de cette même main, vint alors lui enfiler trois de ses doigts, dans cette vulve ruisselante, d’une glaire limpide et abondante, qui ne cessait de se déverser de son orifice. La faisant gémir, haleter, puis elle sentit son col utérin s’élargir un peu plus. Sandrine y ajouta un doigt de plus. Allait-elle supporter un fisting ??? Elle n’en est pas loin, cette petite garce... Détends-toi, tu y es presque... Voilà, le pouce est dedans... Dit Sandrine, qui insista dans son mouvement.Ah !!! Cria Véronique.

La main venait de s’y engouffrer, l’acceptant jusqu’au poignet, avant de la faire coulisser, permettant ainsi une élasticité totale. Pour jouir, comme jamais, elle avait connu auparavant.
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