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Véronique : mes deux amours

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il faut d’abord que je vous parle de ma vie sentimentale qui est un aspect important de cette histoire. Mon premier grand amour a été vécu avec un jeune homme dénommé Eric avec lequel j’ai vécu presque dix années pendant toute ma vingtaine. Eric était vierge lorsque je l’ai rencontré alors que j’avais déjà pas mal d’expérience de ce côté-là. Sexuellement, je lui ai tout appris et il savait me faire jouir comme personne. Mais au bout de dix ans, une certaine lassitude s’est installée et j’ai eu une aventure avec le meilleur ami d’Eric, Olivier, dont je suis tombée amoureuse. Je suis partie m’installer avec Olivier et Eric, fou de rage, n’a jamais plus voulu revoir Olivier. De mon côté, je revoyais de temps en temps Olivier pour lui remonter le moral dans un premier temps, et plus tard, pour quelques moments coquins secrets.
J’entends déjà les moralisateurs me traiter de « salope », mais je vous assure que je suis plutôt une fille sage malgré cette histoire. En réalité, j’aime toujours un peu Eric et le voir me fait un bien fou.
Mais, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Véronique, j’ai 38 ans aujourd’hui et je suis mariée avec Olivier depuis 2016. Physiquement, je mesure 1m69 pour 59 kilos avec de jolies formes féminines. Je suis particulièrement fière de mon postérieur qui est à la fois arrondi et musclé et que je trouve particulièrement attirant. Mais tous les hommes craquent sur mon décolleté : je fais du 90E avec des seins bien ronds, des petits tétons et des aréoles foncées. Malgré mon âge et même s’ils ne sont plus encore aussi fièrement dressés qu’à 18 ans, ils sont encore fermes et il est fréquent que les hommes que je croise les regardent avec envie.
Avec Olivier, nous sommes ensemble depuis huit années et nos relations sexuelles commencent à devenir plan-plan. Nous en avons conscience et nous essayons de diversifier nos rapports et d’envisager certains fantasmes pour casser la routine (cela sera l’objet d’autres histoires, si mon écriture vous plaît). Un soir alors que nous venions de faire l’amour et qu’Olivier venait de jouir en moi (sans que cela soit le cas pour moi), je profitais du moment de tendresse pour évoquer un sujet dont nous avions déjà parlé, essayer l’amour à 3. Nous n’avions encore jamais essayé, car, malgré nos recherches sur des sites libertins, aucune femme n’avait répondu à nos attentes. En ce qui concerne les hommes, nous étions surchargés de demandes, mais, malgré des discussions avancées, nous n’avions pas trouvé l’amant de nos rêves (surtout des miens, je dois bien le reconnaître).
Ce soir-là, je suggérais à Olivier que nous pourrions demander à Eric de se joindre à nous (Olivier ne savait évidemment pas qu’Olivier était déjà mon amant occasionnel). En effet, Eric me connaît parfaitement et sait comment me faire plaisir. En plus, Eric et Olivier avaient été les meilleurs amis du monde et cela serait peut-être l’occasion d’enterrer la hache de guerre. La réaction d’Olivier a été très hostile et violente : il était prêt à accepter n’importe qui, mais pas Olivier. Avec mes grands talents de persuasion – et une bonne fellation avec un petit doigt joueur – j’ai convaincu Olivier que je n’avais plus aucun sentiment pour Eric et qu’il s’agissait de la meilleure solution pour notre premier trio. Olivier accepta finalement le principe en étant persuadé qu’Eric ne serait jamais d’accord. J’étais chargée de prendre contact avec Eric.
Quelques jours après, Eric m’accueillait chez lui pour un de ces moments coquins dont nous avions l’habitude. Après avoir fait l’amour, je présentais les choses à Eric en le faisant mousser. Faire l’amour à 3 était mon fantasme et je ne pouvais imaginer personne d’autre que lui pour une première fois. Eric réagit aussi violemment qu’Olivier, il était hors de question de revoir cet « enfoiré » d’Olivier. La même fellation que celle faite à mon mari permit de le calmer et finalement nous nous quittâmes sur un accord de sa part.
Je n’étais pas peu fière d’avoir réussi à les convaincre tous les deux, mais je craignais néanmoins que la rencontre soit tendue et tourne au pugilat ou à une trop grande rivalité entre eux. J’attendais quelques semaines pour être certaine que chacun était vraiment d’accord et je perçus même une pointe d’excitation chez mes deux amants.
J’ai alors invité Eric à passer un week-end dans notre maison de campagne à environ deux heures de Paris. En cette fin du mois de juin, le temps serait idéal, nous pourrions profiter de la piscine et du jacuzzi, ainsi que du jardin. Nous aurions également du temps pour pouvoir pleinement profiter du moment.
Eric arrivait en train à 22H alors qu’Olivier et moi étions arrivés en voiture un peu avant. J’étais chargée d’aller chercher Eric à la gare à environ 20 minutes en voiture de notre maison, pendant qu’Olivier préparait les chambres et le repas. J’attendais Eric sur le quai comme une jeune amoureuse attendant son premier amour, avec des picotements dans le ventre. Eric descendit du train et m’enlaça amoureusement puis en m’embrassant comme un véritable couple. Bras dessus bras dessous, nous avancions vers le parking et Eric m’avoua qu’il était un peu anxieux : cela faisait longtemps qu’il n’avait pas revu son ex-meilleur ami et ne savait pas comment il réagirait.
A quelques minutes de notre arrivée, Eric me demanda d’arrêter la voiture. Il n’était finalement pas sûr que ce soit une bonne idée. Plus que revoir Olivier, il craignait que cela change la nature de nos relations et voulait continuer à me voir comme amante de temps en temps. Après l’avoir assuré que ce serait le cas, il m’a avoué une seconde crainte, car il craignait de ne pas pouvoir avoir d’érection devant Olivier, n’ayant jamais fait l’amour devant un autre homme. Pour de décontracter, je lui ai rappelé qu’il me disait toujours que le simple fait de me voir le faisait bander, et il qu’il n’avait jamais eu de problème de ce côté-là, bien au contraire. Cela nous a fait éclater de rire tous les deux, et je l’ai pris dans les bras pour le rassurer. Ne voulant pas que tout tombe à l’eau au dernier moment, j’ai glissé ma main entre ses cuisses pour le caresser à travers le pantalon.
Je constatais qu’Eric n’avait rien perdu de sa vigueur puisque mes quelques caresses ont réussi à faire dresser son sexe comme je l’aime.
Tout en continuant à l’embrasser, ma main agile déboutonna son pantalon pour libérer ce sexe que je connais si bien. Après quelques minutes de va-et-vient sur son membre brulant, Eric me glissa à l’oreille qu’il avait envie que je le suce. Même si cela nous mettrait en retard et pourrait inquiéter Olivier, je ne pouvais pas prendre le risque de ne pas satisfaire Eric et, assise en chien de fusil sur le siège conducteur, je me mis à lécher suavement Eric qui était déjà au bord de la jouissance après mon traitement manuel. Il a éjaculé en moi en moins d’une minute et j’avalais goulûment son sperme sucré, comme cela était l’habitude entre nous (chose que je pratiquais rarement avec Olivier). Eric, enfin détendu, me confirmait qu’il était prêt pour le week-end, ce qui me ravit au plus haut point. Je sentais le sperme de mon amant couler le long de ma gorge. Heureusement, j’ai toujours une bouteille d’eau et une boîte de chewing-gum dans ma voiture.
Olivier ne se rendrait compte de rien en m’embrassant.
Enfin arrivés à la maison, Olivier était dehors pour nous accueillir. Il ouvrit ma portière, et j’eus à peine le temps de lui expliquer que le train était en retard qu’il m’embrassait passionnément (vive le chewing-gum...). Faisant le tour de la voiture, et à ma grande surprise, il enlaça Eric :
— Cela fait si longtemps mon ami. Je suis tellement heureux de te voir !— Moi aussi Eric, dit Olivier, légèrement décontenancé.— Oublions le passé, ne pensons qu’à l’avenir et à ce beau week-end qui nous attend. Viens avec moi, je vais te faire visiter la maison et ma cave à vins. J’ai préparé le repas. Véro, tu as le temps de te changer si tu en as envie.
Pendant qu’ils partaient visiter la maison, je montais dans notre grande chambre mansardée sous les toits pour me changer. En ouvrant mon armoire, je tombais sur un mot écrit par Olivier : « j’ai préparé tes affaires, elles sont dans la salle de bains, et ne me déçois pas ».
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