Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire

Vers la Réunion

Chapitre 2

Lesbienne
Le retour de la Réunion se fait après un séjour sur place de 2 mois. J’ai retrouvé rapidement mon amant « volant ». Chez lui, j’ai pu me faire baiser selon mes goûts. J’admirais sa généreuse queue toujours prête à baiser. Quand il était seul, il passait un coup de fil. Comme une chienne en chaleur, je me précipitais vers lui, la vulve déjà humide. Je suis même allée le voir sans qu’il me le dise. C’était deux ou trois jours avant de revenir. Bien sûr il était absent. Seule une fille inconnue était chez lui. Je pensais que c’était une petite amie. Je la toisais avec des yeux jaloux. J’avais tort. C’était sa sœur. Nous avons vite fait connaissance. Lorsqu’un peu plus tard nous étions à notre commun rendez-vous, j’ai trouvé qu’elle était fort sympathique, elle me trouvait à croquer. Ce n’était pas une pomme, juste une fille. Je n’avais jamais eu de rapports comme nous avons eus. C’était différent, meilleur, souvent sans a priori. Je me suis donnée directement comme elle a voulu. J’en garde encore un souvenir magnifique. Quelle fille, que de plaisirs échangés ! Dans ce petit coin de paradis au bord du Pacifique, elle m’a séduite rapidement en me disant que je lui plaisais, que je devais bien baiser les filles ; moi qui n’y connaissais rien. Elle m’a donné envie de savoir ce qu’étaient les amours saphiques. J’ai été servie :Elle m’a embrassée sur la bouche. Je ne sais pourquoi ni comment j’ai donné ma langue, l’habitude d’embrasser sur la bouche. Sa main s’est posée comme celle de son frère sur le genou, à croire qu’ils en avaient parlé ensemble. Elle n’a pas monté la main, elle m’a simplement frôlé les seins. Allez résister quand vous êtes en simple monokini ? Bien sûr elle a vu que mes tétons de redressaient. Elle les a caressés aussitôt. Je me suis laissée tomber sur le sable. Nous étions presque seules. Naturellement sa main est passée entre mes jambes que j’ouvrais dans un mouvement de désir. Elle écartait mon slip, passait un seul doigt entre ma chair et le vêtement. Elle me touchait à peine le bouton. J’avais envie qu’elle aille jusqu’au bout, que je jouisse. Elle devait être sur un coude, sa tête près de la mienne. Et sa main, sa bonne main sur moi, sur ma chatte. Quand elle a commencé à aller et venir dans la moule, j’étais prête à mourir plutôt qu’elle n’arrête. J’ai obéi quand elle m’a demandé de venir m’asseoir sur sa figure. J’avais sucé son frère, je pouvais être sucée par elle. Sa tête fichée entre les cuisses, mon clitoris bien mis sur elle, j’appréciais sa langue sur moi. Elle me léchait admirablement bien, comme les filles qui aiment les filles. Je devais couler sur elle avant de jouir comme une dingue. Je ne voulais plus la quitter. Je ne protestai pas quand elle m’a demandé de me mettre sur le dos. Elle s’est mise nue, m’a donné sa chatte. Qu’elle sentait bon, que ma bouche se régalait de son goût extraordinaire que je ne connaissais pas du tout. Je fouillais tout ce qui tombait à hauteur de mes lèvres. Les lèvres intimes me semblaient de velours. Je trouvais au fond de sa moule des choses extraordinaires, comme un léger renflement dans son con que je titillais. Encouragée pas ses soupirs je mettais mes doigts juste sur le cul. J’entrais doucement, je faisais aller et venir mes doigts. Elle bougeait en cadence, me montrant même la vitesse de mes doigts.Enfin elle s’est mise sur moi, ses seins contre mon ventre. Ils étaient durs, comme les miens sans doute. Elle m’a pris les cuisses dans sa main, m’a approché pour venir embrasser le centre de mon être : mon vagin, puis juste en haut. Elle aspirait avec « métier » le bouton. Visiblement je n’étais pas sa première. Je n’aurais pas été étonnée si une bite était venue la baiser. J’aurais aimé la voir se faire baiser par un homme. C’était moi seule qui devait la faire jouir. Je m’y employais avec ardeur. J’y réussissais assez. Je ne l’ai plus revue jusqu’au moment de monter dans l’avion de retour.L’hôtesse nous accueille à bord, nous nous asseyons côte à côte. Encore une fois mon siège est à l’arrière. Sous les couvertures nos mains font à nouveau connaissance. J’avais envie de recommencer notre jeu. Mes mains à peine sur sa jambe, elle cherche la mienne. Heureusement que nous sommes un peu cachées par les couvertures. Nous ne nous embrassons pas pour ne pas nous découvrir. Seule l’hôtesse soupçonne ce que nous faisons. Elle nous regarde en souriant. — N’ayez crainte, je sais ce que vous allez faire. Changez de place, juste derrière vous les sièges sont plus larges. Je vous aiderai si vous le voulez.Ainsi l’hôtesse est complice. Elle voudrait se joindre à nous ? Elle aime les filles, comme nous ? Nous déménageons rapidement. Je suis contre le hublot, mon corps vers la travée. Les mains sont sur moi, elles reprennent les caresses intimes. Je me tends au moment d’un orgasme. J’allais rendre les caresses quand je vois l’hôtesse se pencher sur la foufoune de mon amie. Elle la lèche comme je l’aurais fait. Mon regard fait comprendre à l’hôtesse que j’ai envie d’elle. Nous allons ensemble aux toilettes. Les fesses contre le petit lavabo, elle soulève sa robe d’uniforme, écarte les cuisses : elle est nue dessous. Ma langue la lèche partout, surtout sur le bouton. Elle tient ma tête comme pour que je ne bouge pas. J’ai le bonheur de la sentir jouir. A mon tour de mettre mes fesses sur le lavabo. Là, directement sans un seul regard de tendresse, elle donne le plaisir que j’attends. Mon amante est presque endormie. Je la laisse un instant en paix avant d’avoir envie de la faire partir au paradis des lesbiennes. Nous avons tout le temps de vol d’ici Roissy.
Diffuse en direct !
Regarder son live