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la veuve

Chapitre 2

Hétéro
Nous sommes arrivés chez Françoise, nous échangeons des baisers passionnés, interrompus par mon téléphone et ma secrétaire ; je lui dis que je vais la rappeler.
— J’en ai pour une demi-heure, je te propose de dîner en ville, ce sera plus pratique.— J’ai le temps d’aller acheter une robe pour l’occasion, je ne me souviens pas quand je suis allée dîner en ville.
Sublime et surprenante la tenue de Françoise : des talons de dix centimètres, une robe multicolore largement déboutonnée, sa poitrine - dont la moitié est apparente - soutenue par un redresse-seins qui laisse ses tétons visibles. Lorsqu’elle marche, j’aperçois le haut de ses bas et une portion de chair nue.
— J’ai fait des folies, je n’ai jamais acheté ni porté ce genre de tenue, je te donne quoi comme image ? — Pour dire les choses, tu es superbe, tu es belle femme, sexy et bandante.
Je lui caresse la cuisse tout en roulant - merci la boîte automatique et le régulateur - je monte tout doucement plus loin. Lorsque j’arrive sur sa chair, Françoise écarte les jambes, elle a encore défait un bouton, ce qui me permet de voir sa chatte lisse. Elle ne porte rien pour la dissimuler, mes doigts entrent dedans - elle est trempée de mouille. Quand mes doigts s’enfoncent, elle avance son bassin pour mieux les absorber. Elle aura trois jouissances en vingt kilomètres.
— Tu te conduis comme une salope.— Merci je prends cela comme un compliment, je voulais vivre une vie plus libre, plus sexuelle, je me surprends moi-même. Je ne me croyais pas capable de faire ce genre de choses et tes paroles m’encouragent à continuer sur cette voie. Je veux vivre une vie de plaisir, je ne rattraperai jamais le temps perdu.
Au restaurant, nous sommes assis sur une banquette face à une table occupée par un homme seul qui a les yeux fixés sous la nôtre. Je remarque qu’elle écarte et referme ses jambes ; l’homme doit avoir une vue parfaite sur son entrejambe. Quand le serveur vient prendre notre commande, Françoise redresse son buste, il a les yeux fixés sur ses seins, il rougit, bafouille un peu.
— Tu te conduis comme une chienne en chaleur, tu allumes tous les hommes, il te faudra assumer ta conduite de salope.— J’ai envie de vivre ma vie maintenant, tu le comprends, j’ai été une ombre depuis mon mariage, je me rends compte que je suis encore belle et désirable et pour tout te dire, je mouille comme une folle. Si tu poses un doigt sur moi, je jouis !
Le repas se termine, lorsque le serveur apporte la note, Françoise se recule sur la banquette, le pauvre est rouge comme une tomate. Il reste bien cinq minutes avant de me tendre le terminal de paiement.En sortant, je plaque Françoise contre la voiture, je me baisse, pose ma langue sur sa chatte et son clito. A son contact cela déclenche chez elle une jouissance dévastatrice. Elle crie pendant un long moment, sa chatte laisse couler sa cyprine qui inonde ma bouche. Je me relève, la plaque sur le capot de la voiture et investit sa chatte. Je suis déchaîné ! Je lui martèle l’utérus à chaque pénétration. Françoise jouit et crie sans arrêt. Je me retire entièrement et replonge dans sa chatte gluante, ses cris et sa jouissance augmentent en volume. Je décharge mon foutre en plusieurs fois et reste planté en elle jusqu’à ce que je débande.
— Tu t’es conduite comme une pute, j’ai envie de demander au serveur de venir te baiser. Tu auras des problèmes si tu te conduis comme cela. Quand tu seras seule, tu risques de te faire violer. C’est plus pareil, alors sois prudente !
Insatiable, Françoise se masturbe le long de la route du retour. Elle a plusieurs jouissances.Arrivés chez elle, elle retire sa robe. C’est vraiment une belle femme, de longues jambes, un ventre plat, une superbe poitrine, un joli visage encadré de ses cheveux blonds coupés au carré, beaucoup d’hommes seraient ravis de l’avoir dans leur lit.
— Viens, baise-moi, j’ai encore envie d’avoir ta queue en moi.
Je ne réponds pas, la fais mettre à genoux sur le canapé, ma queue patauge littéralement dans sa chatte. Je saisis ses tétons découverts par son redresse-seins et les fais rouler entre mes doigts, elle semble apprécier, elle donne des coups de reins pour mieux s’empaler et elle commence à jouir.
— Plus fort, mes seins !
Décidé à ne pas faire de cadeau à cette chienne, je lui pince les tétons et les étire. Elle apprécie, car elle rue comme une pouliche en chaleur. Je pince de plus en plus fort, je tire sur eux comme si je voulais les arracher. Ses cris de plaisir redoublent. J’ai l’impression que ma queue nage dans un bain de mouille. Dans un dernier cri, Françoise s’écroule anéantie sur le canapé, elle cherche sa respiration, son corps est encore secoué de spasmes de plaisir, de mon côté je n’ai pas joui.Je suis réveillé par Françoise à genoux qui lèche ma queue -la lueur du jour qui entre par la fenêtre m’indique qu’il est déjà tard dans la matinée.
— Laisse-moi faire, tu as l’air fatigué, obligé de trouver un moyen de te réveiller, tu vas voir ça va être agréable.
Lorsque ma queue est bien raide, Françoise l’enjambe, place mon gland entre ses lèvres et se laisse descendre doucement. Nos pubis se touchent. Son visage s’est transformé au fur et à mesure de sa descente, il s’illumine, une lueur dans ses yeux brille. Posant ses mains sur mon torse, elle entame une cavalcade, relevant sa croupe et redescendant à une allure folle. En moins de cinq minutes, elle jouit, un feulement fuse entre ses lèvres, je sens sa mouille qui arrose mon ventre et mes cuisses. Françoise se donne deux jouissances de suite. Elle se met en équilibre sur ses pieds, enlevant ses mains de mon torse, se relève jusqu’à hauteur de mon gland et se laisse retomber de tout son poids. Elle pousse un grand cri chaque fois que son utérus s’écrase sur la tête de ma queue et elle jouit sans discontinuer.
Elle secoue la tête de gauche à droite, elle semble dans un autre monde, finalement elle s’écrase sur mon torse, essoufflée, trempée de sueur - de mon côté j’ai joui deux fois - sa chatte laisse couler un mélange de sperme et mouille, une large tâche s’étale sur les draps.
— Ta queue me rend folle, je ne me reconnais plus, je ne pensais pas qu’en découvrant le sexe à mon âge, je serai aussi accro, je ne me lasse pas de jouir, je deviens nymphomane.
Je la prends encore une fois sous la douche et en dernier sur la table de cuisine où je jouis dans sa bouche avant de reprendre la route. Je suis crevé, j’ai hâte de retrouver mon lit, mais il faut d’abord passer l’après-midi au bureau. Lorsque j’arrive - il est midi passé depuis peu - je gère les documents posés sur mon bureau. Peu avant quatorze heures, ma secrétaire arrive. Elle se pend à mon cou et sa langue envahit ma bouche, elle retire sa robe et se retrouve nue, il ne lui reste que des sandales.
— Tu m’as manqué, deux jours sans toi c’est trop long.— Dis plutôt que c’est ma queue qui te manque, celle de ton mari ne te suffit pas.
Diane ne répond pas, agissant rapidement, elle baisse mon pantalon et mon slip comme une morte de faim, elle avale ma queue qui grossit dans sa bouche, glissant à une vitesse folle sur celle-ci. Estimant qu’elle a atteint son volume, elle pose ses coudes sur le bureau, la croupe tendue vers moi. J’investis sa chatte que je lui démonte à grands coups de reins puissants. Sa jouissance commence ; elle pousse de petits cris comme un oisillon effarouché. Je me retire de sa chatte et replonge dedans pendant un long moment avant d’éjaculer mon foutre dans sa matrice. Sans un mot, elle remet sa robe et rejoint son bureau.Le soir, lorsqu’elle vient m’annoncer son départ, je remarque une large auréole humide sur sa robe au niveau de ses cuisses. Je ne lui dis rien. Si elle rentre comme cela chez elle, j’espère que son mari ne verra pas la tâche.Le lendemain, la journée se passe au travail. Le surlendemain, peut avant son départ, elle m’annonce :
— Madame Bertin vous demande, c’est une cliente envoyée par votre ami Bernard.— Bien, faites-la entrer et à demain, Diane !
Un claquement de talons m’annonce la venue de cette dame, je lève la tête et je découvre Françoise vêtue d’un manteau de fourrure.
— Bonsoir Jean, j’espère que ta salope t’a manqué ?
Elle retire son manteau. C’est vraiment une salope en chaleur qui apparait sous son manteau. Elle porte une guêpière à laquelle sont accrochés des bas noirs, elle porte aussi une paire de cuissardes qui lui montent jusqu’à mi-cuisses.
— J’espère que tu es en forme, je suis venue pour baiser !
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