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La Veuve débridée

Chapitre 1

Hétéro
J’avais répondu à une petite annonce pour un emploi de gardien d’une demeure située dans Le Perche pour y exécuter quelques petits travaux d’entretien. Logé sur place dans une annexe, célibataire, déçu à la suite d’un chagrin d’amour, j’avais décidé de m’évader et changer d’air. J’ai été sélectionné pour cet emploi.
Je suis arrivé par un petit matin d’été, j’entrai dans la cour d’une belle petite longère arborée. Le jardin était un peu délaissé et je m’imaginais, déjà, que la tâche serait ardue. Sur le perron, se tenait une femme d’une belle élégance, très droite, le visage légèrement marqué par le temps. Mais, il se dégageait un charme et une autorité naturels chez elle. Vêtue d’un pantalon et d’une tunique ample qui lui donnaient une stature de femme bon chique bon genre.
Elle m’accueillit avec un beau sourire dévoilant une denture parfaite. Ses cheveux étaient relevés et maintenus en chignon serré, de petites boucles d’oreille en perle de nacre ornaient ses lobes. Aucun maquillage, nature, fraîche et désirable. Quelque chose s’est passé en moi. Mon cœur palpitait à la vue de cette belle femme à l’allure sportive. C’est la première fois que je ressentais ces troubles.
Elle s’avança en tendant la main.
— Mellissandre B..., appelez-moi Mme Mel,
À mon tour :
— Boris BON, appelez-moi M. Bo.
Les présentations faites, Mme Mel me fit visiter la demeure, les travaux à effectuer ainsi que l’annexe où, je serais logé. Je me mis sans tarder à la tâche sans rechigner.
Arrivés au week-end, le vendredi soir, Mme Mel m’invita à un apéritif dînatoire eu égard à l’excellent travail fourni. Visiblement satisfaite, elle voulait me remercier..., je n’allais pas être déçu...Il était 19 heures, j’étais vêtu d’un short et d’une petite chemisette légère, « tenue décontractée », m’avait-elle dit. La porte de la maison était ouverte, laissant entrer une petite brise, très légère, apaisant la chaleur lourde et orageuse de la journée.Mme Mel portait une jupe très courte, en cuir noir, avec un haut blanc très échancré et jambes nues. Elle était ravissante, cheveux défaits, reposant sur ses épaules dégarnies. Une bouteille de champagne trônait dans un seau à glace et deux coupes à ses côtés.
— Bo, permettez-moi de vous appeler ainsi et je vous demanderais de m’appeler Mel, si ça vous ne dérange pas.— Au contraire, rétorquai-je, j’allais vous le demander— Je suis très satisfaite de votre travail, vous êtes très soigneux, attentif, rigoureux, vigoureux et appliqué. Je voulais vous récompenser.Ces mots résonnent encore dans ma tête.

Elle m’invita à m’asseoir sur un grand canapé de cuir blanc, elle se positionna en face de moi dans un large fauteuil du même cuir. Elle avait dessiné ses yeux d’un léger coup de crayon relevant la couleur bleu acier de ses prunelles. Son regard me subjuguait. Nous avons bu et échangé sur nos passés respectifs et dégluti les mises en bouche achetées chez le meilleur traiteur de la ville proche.Elle proposa une deuxième bouteille, j’avais chaud, j’étais bien, relâché, j’acceptai avec envie. Elle nous servit, nous trinquâmes et elle replaça face à moi dans son fauteuil. Cette fois, ses jambes se desserrèrent laissant entrevoir une petite culotte blanche. Elle vit mon trouble, je levai les yeux de gêne.
— Bo, vous êtes gêné ? me demanda-t-elle— Un peu, ai-je répondu.— Détends-toi. Le vouvoiement avait disparu, le tutoiement avait fait place, je l’imitai, elle ne me contredit pas.
Elle quitta son fauteuil, vint à côté de moi et plaça sa main chaude sur ma cuisse.
— Je peux ? dit-elle.
Je restai silencieux.
— Qui ne dit rien consent... ! acheva-t-elle.
Sa main posa son verre et se dirigea vers mon visage. Ses doigts me coiffaient, parcouraient ma nuque. Elle me fixait, de son regard métallique, elle m’hypnotisait littéralement. Cette même main descendit sur mon torse, glissa sous ma chemise. De ses doigts doux, elle effleura mes tétons déjà érigés. Elle me fixait toujours pour observer mes réactions. Je la fixais également, sorte de défi, à celui qui craquera le premier. Elle me prit la main pour la poser sur son visage, je dessinais ses traits, je descendis sur sa nuque parcourant ses longs cheveux pour arriver sur sa belle poitrine. Son chemisier échancré laissait apparaître la commissure de ses seins.Nous nous caressions mutuellement, sans bruit, le souffle court. Elle aperçut la bosse dans mon short, trahissant mon érection. Ses tétons pointaient de plus en plus, elle commençait à souffler de plus en plus fort, trahissant son envie qui montait. Je déglutis, ma bouche devenait sèche, mes mains moites tremblaient.
— Pas encore, susurra-t-elle, doucement, lentement, nous avons le temps.
Par-dessus mon short, elle caressait ma verge délicatement avec deux doigts. De mon côté, mon majeur lissait sa vulve sur sa culotte en flanelle. La douceur de ce tissu m’électrisait. Elle commençait à mouiller imbibant les fibres de sa protection.
Nous nous regardions toujours, mais nos yeux brillaient d’alcool et de plaisir, ce dernier montait délicieusement. Nous nous dévêtîmes ; nus, nous avons continué nos attouchements. Mais cette fois, plus prononcés, plus précis, plus ciblés.
Sa main glissait sur mon sexe trempé de liquide préséminal, elle dégageait mon gland de son fourreau, n’hésitant pas à malaxer délicatement mes testicules. Elle était experte, ça se voyait à sa façon de faire. Je commençais à cligner des yeux, la regardant toujours, elle aussi. De temps en temps, nous fermions rapidement les paupières de plaisir.
Mes doigts s’étaient aventurés dans sa vulve, mon index et mon majeur massaient son point « G » et à l’aide de mon pouce, je titillais son clitoris. Cette fois, elle daigna entrouvrir ses lèvres pour laisser échapper des soupirs de plaisir.
Sa main gauche vint se plaquer sur mon cou, serrant ma glotte, son geste démontrait sa domination et son envie de se faire prendre. Son geste rendit mon érection encore plus forte et vigoureuse. Nous nous masturbions simultanément.
Son majeur empli de liquide séminal se dirigeait maintenant vers mon anus. Elle décrivait des petits cercles autour de ma rosace. Une première phalange insérée, je poussai un petit « ooohhh » de plaisir, elle poussa plus loin la deuxième phalange pour atteindre mon point « P », je fermais les yeux. Elle m’ordonna de les ouvrir.
Elle voulait me voir jouir, je me retenais, j’essayais de me déconnecter pour ne pas éjaculer. Mon érection se fit plus molle, due à l’insertion de son doigt dans mon anus. Elle quitta mon regard pour me prendre en bouche. Je sentais ses lèvres chaudes et humides coulisser sur mon sexe, son doigté sur ma prostate était doux et précis, occasionnant des vagues de plaisir.
Je la doigtais également, mais sa nouvelle position m’amenait à lui masser l’anus, n’ayant plus accès facilement à son clitoris. Elle aimait ça, soufflait de plus en plus fort par le nez, ayant la bouche pleine de ma verge. Elle accélérait la cadence au fur et à mesure que la jouissance se faisait jour.
Nous nous sommes mis en position 69, plus de regard soutenu mais une vue sur sa vulve, bien ouverte d’envie, et sur son anus bien tendu. Je la lapais, la suçais, l’embrassais, la pompais introduisant au maximum ma langue dans son vagin. Je quittais ce dernier pour effleurer son anus, pour le titiller ; à mon comportement, elle se déchaîna sur ma queue, mes couilles et mon cul. Elle était comme hystérique. Elle me léchait tout, le cul, les couilles, la queue et le périnée.
L’orgasme était proche, elle le sentait et voulait mon sperme dans sa bouche. J’éjaculai violemment, elle faillit s’étouffer, elle toussa, mais reprit aussitôt ses succions. La douleur post éjaculat fit place à un autre plaisir.
— Pends-moi s’il te plaît !
Je retirai mon sexe de sa bouche, me suis placé derrière elle en levrette où, j’ai commencé à la pénétrer d’abord en douceur, mon pouce dans son cul.
— Oh oui, baise-moi bien et profond, défonce-moi bien !!!
Je ne me fis pas prier, je la pilonnais, donnant des coups de boutoir dans ses fesses, mes hanches claquaient sur celles-ci, son anus ventousait sur mon pubis bien rasé. Je crachai de la salive sur son cul qui se dilatait de plaisir, elle me voulait par ce trou, elle voulait que je la laboure de ce côté. Elle désirait sentir ma queue dans son petit trou l’emplissant et frottant ses parois.
Je retirai ma verge de son vagin et vins placer mon gland sur sa petite couronne bien huilée de ma salive. Je poussai très doucement millimètre par millimètre, jusqu’à la garde. J’étais au fond d’elle, je sentais ses contractions anales sur ma queue, elle se branlait la chatte et le clitoris pendant que je la sodomisais. Elle râlait de plaisir, se déhanchait, elle en voulait encore et encore, de plus en plus fort. Je jouis dans son cul et elle aussi orgasma plusieurs fois. Je me retirai et la vis partir à la salle de bain.
Elle revint quelques secondes après, j’étais sur le ventre, jambes chancelantes, ivre de plaisir. Lorsque Mel reprit ses caresses sur mon cul. Je me laissai faire, j’aime particulièrement me faire titiller cet endroit. Elle procédait par des coups de langue des crachats de salives sur mon trou, pour pouvoir y introduire ses doigts.
Mais ce ne sont pas ses doigts que j’ai sentis, mais un objet dur et légèrement froid. Elle posa l’objet sur mon trou et me demanda de pousser, comme si je déféquais. C’est au moment où je poussais qu’elle me pénétra avec ledit objet. C’est la première fois que je me faisais sodomiser.
Je relevai ma croupe pour qu’elle puisse bien me prendre et aller le plus loin possible. Elle poussa à fond son gode ceinture mais en douceur, m’obligeant à crier de plaisir. Je sentais cet objet en moi coulisser, provoquant des vagues de plaisir lors de chaque passage sur ma prostate. Elle me branlait la queue, massait mes couilles tout en se doigtant le cul. Une experte, je n’avais jamais vécu cette aventure. Elle activait sa cadence, me défonçait le cul avec son gode, je criais, je l’encourageais, je jouissais par le cul, la prostate et j’éjaculais pour la troisième fois.
Elle se retira, elle était en sueur, toute ravie de m’avoir fait jouir et termina ainsi :
— Bo, je t’avais promis de te récompenser, alors satisfait ?— Mel, je ne sais comment vous remercier.— Revenez le week-end prochain !— Je serai à l’heure, promis...
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