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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Veuve joyeuse

Chapitre 1

Divers
Cela a commencé l’an dernier, avec le décès accidentel de mon mari, au mois de juin. Quinze jours après, je couchais avec Gérard, mon fils. Après l’enterrement, je demandai à ma belle-famille de me laisser seule chez moi, et aussitôt rentrée, j’allais me changer dans ma chambre, impatiente de me coucher. Mais, une fois la robe retirée, je ne pus m’empêcher d’éclater en sanglots à l’idée que mon mari ne verrait plus ces beaux sous-vêtements de soie noire, dans lesquels il aimait tant me prendre.
En m’entendant pleurer, mon fils entra rapidement pour me consoler. Il me fit asseoir au bord du lit, et me serra contre lui. Il ne portait qu’un slip, car lui aussi s’apprêtait à se coucher. Alors que je reprenais mes esprits, je remarquais, grâce à un grand miroir, que Gérard bandait, et que son sexe, en travers du slip, s’appuyait contre mon bras. Aussitôt, prise de panique, je le repoussais, et j’allais me coucher immédiatement. Mon fils ne chercha pas à comprendre et repartit dans sa chambre. Il faut bien reconnaître que j’étais dans une tenue excitante, cet enfant de dix-huit ans n’est pas de glace, surtout devant une femme de trente quatre ans ! Les deux jours qui suivirent, il ne se passa rien. Chaque fois que Gérard en avait l’occasion, il essayait de voir ma poitrine, et il prit l’habitude de se montrer nu devant moi, soit en prenant sa douche sans tirer le rideau, soit en se promenant à poil dans le pavillon, sans raison, si ce n’est de s’exhiber. Bien entendu je lui fis des remarques, mais je n’obtins que cette réponse : ? On est entre nous, je suis ton fils, je n’ai pas honte de me montrer devant toi, tu ne découvres rien, tu sais bien ce que c’est, cela te permets de voir que ton fils a grandi ! ? Il me semblait qu’il se tripotait avant de se montrer, car sa verge me paraissait bien grosse. Au début de la deuxième semaine, alors que je faisais un peu de ménage dans sa chambre, je découvris sous son lit un livre pornographique dont une page était marquée par une photo de moi, à moitié nue sur une plage. Je restais sidérée. Il me fallut attendre le soir pour avoir une explication avec Gérard, car à midi, il avait invité son meilleur ami, Serge, à manger. Durant le repas du soir, je lui demandais de s’expliquer, et il me raconta que ce n’était qu’un souvenir sans plus, et qu’il n’avait rien d’autre pour repérer sa page. Bien sur, je ne pouvais me contenter de cette excuse, et je lui demandais de répondre franchement. Il finit par m’avouer qu’il me trouvait très belle et bien faite, ajoutant que la femme en gros plan dans le livre me ressemblait beaucoup. Heureusement qu’après ces confessions, il quitta la table, car je ne savais plus quoi dire. Il réapparut une demi-heure plus tard, nu devant moi, et sans gêne, me réclama la photo. Il n’était pas question pour moi, d’accepter, et à mon refus, il alla se coucher. Je ne pus dormir de la nuit, pensant à mon fils, et surtout à ce livre où l’on voyait en gros plan le visage d’une femme en train de pratiquer une fellation.
Le lendemain, Gérard ne m’adressa pas la parole jusqu’au soir. Quant à moi, je ne savais quoi lui dire. Ce ne fut que le soir que nous eûmes une petite conversation. Gérard pensait que je devais m’habiller comme avant, c’est à dire un peu plus sexy. Cette nuit-là, ma toilette terminée, j’allai en peignoir dans sa chambre et lui remis la photo, en lui précisant de me la rendre avant qu’il ne s’endorme. Je ne sais pourquoi, mais j’étais terriblement excitée. De plus, j’avais volontairement laissé la porte ouverte. Il entra dans ma chambre quelques instants plus tard, nu bien sûr, mais le pénis tout petit. Il me rendit la photo en me disant bonne nuit. Mais moi, avant qu’il ne quitte ma chambre, je lui posai quelques questions. Il est devenu rouge comme une tomate lorsqu’il m’avoua se caresser en regardant la photo. Après cette confession, je le congédiai en lui promettant de lui prêter cette photo tous les soirs. Cette nuit-là, je me suis masturbée en pensant à mon fils, et j’ai joui comme une folle. Le lendemain, alors que je finissais ma toilette, il arriva pour prendre sa douche. Je m’arrangeai pour qu’il voie un peu plus mon corps, et alors qu’il se lavait, je le complimentai sur son anatomie, espérant voir son sexe durcir. Son membre grossit légèrement lorsqu’il me parla du pénis de son camarade Serge car il est vrai que Serge est fils d’africain. Lorsqu’il s’en alla, je mis sur moi des vêtements super sexy, car aujourd’hui Serge mangeait avec nous. A leur arrivée, ils restèrent bouche bée, surtout Gérard lorsque j’allai faire une bise à son ami. C’était la première fois. Ils me découvrirent en chemisier blanc transparent, sans soutien-gorge, minijupe à plis, de couleur orange et des chaussures à hauts talons pour remplacer mes habituelles ballerines. Laissant son copain à table, Gérard me rejoignit à la cuisine pour me demander les raisons de cet accoutrement. Ne sachant quoi lui répondre, je le regardai droit dans les yeux et lui rétorquai. ? Je voulais vous faire plaisir à tous les deux, et surtout à toi qui me l’avais demandé ! ? A cette réponse, mon fils me serra dans ses bras, m’embrassa dans le cou et me donna une claque sur les fesses avant d’aller rejoindre son ami.
Durant l’apéritif, tous deux me mangeaient des yeux. Je n’avais pas besoin de le faire exprès pour leur montrer mes cuisses ou ma poitrine. Pendant le repas, Gérard vanta mes charmes, et Serge acquiesça, en disant qu’il avait de la chance d’avoir une mère aussi sexy. Après son départ, mon fils m’annonça tranquillement. ? Tu es magnifique, maman, c’est comme ça que je t’aime. Serge a bandé toute la journée ! ? A cette phrase, je faillis lui demander si lui aussi avait bandé, mais je n’en eus pas le courage. Dans la soirée, Gérard me donna cinq à six claques sur les fesses, pour la moindre occasion. Je me sentais de connivence et acceptai sans discuter. N’osant lui parler en face, j’attendis qu’il soit dans sa chambre pour franchir le pas, et de ma chambre, je lui demandai à haute voix. ? Tu préfère te caresser en regardant la photo ou en me regardant ? ? Pendant dix ou quinze secondes, aucune réponse, puis Gérard apparut à ma porte, nu, le sourire aux lèvres, en me disant. ? Je préfère en te voyant nue devant moi ! ? A ces mots, je lui répondis. ? Va te coucher, j’arrive ! ? Je le rejoignis dans sa chambre, en peignoir, lui, m’attendait sur son lit. Je lui annonçai que je ne consentais à me monter quelques instants en slip que s’il se mettait dans le lit, et seulement à la lumière de sa lampe de chevet. Quelques secondes plus tard, il se masturbait en me fixant. J’avais abandonné mon peignoir et je regardais las mouvements de ses mains sous les draps. Mais cela n’allait pas. Le pauvre petit se sentait observé. Alors, je pris son livre porno pour le feuilleter et restai debout devant lui. Cela dura deux minutes, et Gérard me montra sa main droite pleine de sperme en s’écriant. ? Ca y est, maman ! ? Sur ce, sans m’habiller, je l’embrasse pour lui dire bonne nuit, et il en profita pour essuyer sa main sur mon sein gauche en me disant. ? Merci, maman, je t’aime ! ? Le lendemain matin, après sa petite séance d’exhibitionnisme à la salle de bain, il me demande de porter des bas et un porte-jarretelles, et dans la matinée, il se montra bien moins timide qu’avant. Lorsqu’il me tapait sur les fesses, il en profitait pour me soulever la jupe, et m’obligea à boire l’apéritif sur ses genoux en me disant. ? Tu verras, maman, comme je vais m’occuper de toi ! ? Puis, il me caressa les cuisses et tira même sur mon chemisier pour voir mes seins. Bien sûr, c’était trop tôt, et j’arrêtais sans cesse ses mains baladeuses. Ce ne fut que l’après-midi qu’il me demanda de lui faire un strip-tease afin qu’il puisse se masturber. J’acceptai. Après m’être déshabillée et exhibée devant lui, il repoussa le drap et, la verge tendue, il éjacula beaucoup. Il me demanda de venir l’embrasser et, ce faisant, je commençai à le caresser pendant que lui, étalait sa liqueur sur mon corps. Dès qu’il commença à bander, je lui pris le sexe dans ma bouche, et lui fit une merveilleuse fellation. De son côté, mon fils en profita pour passer sa main dans mon slip et me caresser.
Ce soir-là, nous nous sommes couchés dans le lit conjugal. Mon fils se montra piètre amant, et me demanda de l’instruire dans le domaine de l’amour. à partir de ce jour, j’ai énormément changé. Je pense que dans le voisinage, on devait jaser, car je sortais toujours habillée sexy et outrageusement maquillée, comme mon fils l’exigeait. au début, nous faisions l’amour deux ou trois fois dans la journée, en tout cas après chaque départ de son ami Serge, qui ne venait chez nous que pour se rincer l’oil. Mais une nuit après nos ébats, alors que je parlais de Serge à mon fils, Gérard m’annonça que son ami était au courant de nos relations depuis le premier jour, et qu’il n’attendait plus qu’un geste ou une parole pour me baiser. Indignée, je me suis plainte, disant qu’il me considérait comme une pute. Furieux, il regagna sa chambre. Quant à moi, j’ai beaucoup pleuré. Le lendemain matin, après notre réconciliation, j’ai compris que Serge et lui ne m’avaient jamais considérée comme une pute, et ces deux petits étaient disposés à faire n’importe quoi pour moi. Après cette mise au point, la matinée se passa sans problèmes jusqu’en début d’après-midi, lorsque prenant mon courage à deux mains, et en me dirigeant vers ma chambre, j’annonçai à Serge. ? Vous pouvez me rejoindre tous les deux, dans cinq minutes : ? Un peu plus tard, c’est Gérard lui-même qui introduisit son copain dans la chambre. Dans l’obscurité, Serge se déshabilla et s’allongea près de moi. Il bandait déjà très fort, son sexe était énorme. Sans un mot, il vint sur moi et me fit l’amour. Cela dura plus longtemps qu’avec mon fils, et me procura presque du vrai plaisir. De plus, Serge m’embrassait et me caressait partout en me baisant. Après cette partie de jambes en l’air, mes deux hommes vantaient mes qualités au lit. Serge passa la nuit chez nous, mais je les reçus tous les deux à tour de rôle et non pas ensemble comme le désirait Gérard. Le lendemain, tous deux me prirent en photo dans toutes les tenues et positions possibles. C’était donc la première fois que Serge me voyait entièrement nue. Puis, Gérard me demanda de me faire une fellation pour que son ami puisse me prendre en photo, en gros plan. Mon fils m’étala sur le canapé, en porte-jarretelles, son sexe dans ma bouche. Serge prit deux à trois clichés et, alors que je ne m’y attendais pas, se plaça derrière moi et me prit en levrette. Ce fut magnifique. J’eus un orgasme pour la première fois. Dans l’après-midi, je fis comme la veille, l’amour avec mes deux petits mâles, mais à tour de rôle. Ce fut mon fils qui me sodomisa. J’y pris rapidement plaisir, et deux jours après, alors que je me faisais pistonner par Serge, lui sur le dos, moi sur lui, Gérard arriva et m’enfila sa bite dans l’anus. Ce jour là, ils me donnèrent beaucoup de plaisir, et depuis, nous faisons souvent l’amour à trois. Nous en profitâmes toute la semaine, nous allâmes même au cinéma faire des cochonneries en regardant des films pornos, et mes deux amants m’obligèrent à aller acheter un godemiché. Je ne me posais plus de questions, et même à la poste, alors que je retirais de l’argent, j’aguichais volontairement le receveur. Mais, tout devait redevenir comme avant, car mon beau-père devait venir passer le week-end à la maison. Lorsque papa arriva ce soir là, je le reçus en escarpins, jupe mi-longue et légèrement fendue sur le devant, et chemisier sombre. Tout de même, à la demande de mon fils, sans soutien-gorge, afin que mes seins balances car ils sont pas mal gros, et sans slip, mais avec bas et porte-jarretelles. L’apéritif et le repas se passaient sans problèmes, et nous ne parlâmes même pas de son fils, mais plutôt vacances, car il nous invitait chez lui pour le mois. Ce fut en buvant le café que l’ambiance se détendit car mon beau-père, profitant de l’absence momentanée de Gérard, posa sa main sur mon genou, à l’échancrure de la jupe, et me demanda si le moral était bon. Voyant que je ne faisais rien, il continua à me caresser le genou malgré la présence de mon fils que les familiarités ne dérangeaient pas, au contraire. Puis, je me relevais pour débarrasser les tasses à café et je proposai une liqueur. Gérard me rejoignit dans la cuisine, me pelota et m’embrassa en me demandant d’ouvrir un peu plus ma jupe et mon chemisier afin d’exciter mon beau-père. Je m’exécutais sans rien dire, j’étais prise au jeu, et lorsque je me rassis près de papa, je lui fis découvrir mes cuisses sans gêne, et le bord des bas avec les jarretelles. Il n’en perdait pas une miette, tantôt les jambes, tantôt les seins, car mon décolleté était impressionnant. Bien sûr, il remit sa main sur ma cuisse, devant Gérard, et vanta mes charmes de jeune femme. Sur ce, mon fils déclara vouloir se coucher rapidement. Evidemment, c’était exprès, et il avait l’intention de revenir ! Mon beau-père me commanda un nouveau digestif, et lorsque je revins, il avait éteint la lumière, allumé la télévision et c’était installé dans un fauteuil. Alors que je lui tendais son verre, il attrapa ma main et m’invita à m’asseoir sur ses genoux. Là, il a repris ses caresses sur mes cuisses et me posa plusieurs questions indiscrètes. Alors qu’il se montrait de plus en plus entreprenant, je lui proposai un marché. ? Je vous autorise à toucher mes jambes et mes fesses au-dessus des vêtements, mais seulement quand Gérard est absent. ? Durant quelques minutes, il me tripota comme convenu, puis me demanda de mettre ma main sur sa braguette.
Je refusai tout d’abord, puis j’acceptai. alors que je frottais son sexe au travers du pantalon, il passa sa main dans mon chemisier, et en me pinçant un sein, il éjacula. Je me relevai, et lui fis remarquer qu’il n’avait pas respecté le contrat. C’est alors que Gérard apparut en nous disant avoir tout vu et tout entendu. La situation était très gênante, surtout pour papa, mais Gérard nous annonça qu’il comprenait que moi, peinée, j’étais en manque, que lui, âgé, en avait envie, alors il préférait que ce soit entre nous, qu’avec un étranger. Nous en restâmes là, puis tout le monde partit se coucher. Gérard m’a rejointe et nous avons fait l’amour. ensuite il m’a demandé d’aller retrouver papa. Je me suis exécutée sans discuter. Il ne dormait pas et fumait une cigarette. Je me suis approchée, j’ai éteint la lumière, enlevé mes vêtements et me suis couchée près de lui. Sans rien dire, nous avons baisé. Le lendemain matin, à sept heures, mon fils nous a apporté le petit déjeuné au lit. Devant l’air ahuri de papa, je l’ai rassuré et lui ai tout raconté. Ce brave papa Maurice avait des soupçons, car le soir, voulant avoir une explication avec Gérard, il s’était aperçu de son absence dans sa chambre et avait entendu du bruit dans la mienne. L’après-midi, nous avons fait une sieste collective dans mon lit, ainsi qu’une grasse matinée le lendemain. Puis, l’après-midi, nous avons fait ce qu’il est convenu d’appeler une ? partouze ? dans le salon, car Serge était venu nous rendre visite. Il m’ont fait jouir comme une folle, m’ont prise à trois et terminée avec le godemiché. Depuis ce jour, papa Maurice nous rend souvent visite. Nous avons passé un mois d’Août dans le bonheur, car même Serge est venu chez mes beaux-parents. Ma belle-mère Josiane, ne se doute de rien, quant à moi, je vis heureuse avec mon fils. De plus, en Décembre, j’ai touché l’assurance décès de mon mari, et ma garde-robe sexy occupe presque une pièce toute entière.
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