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Je veux que tu sois une salope : la suite.

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Je veux que tu sois une salope - épisode 4
Pauline, se sentant enfin propre et nette, sortit de la douche et me demanda de la sécher. Je m’exécutai aussitôt et, tout en lui frottant le corps avec un drap de douche, je lui fis des bisous partout. Je commença par les épaules et les seins, poursuivit sur son ventre, son dos et ses fesses. J’insistai sur le sillon et sur sa rosette magnifique puis, toujours derrière elle, je passais à ses cuisses, ses mollets et ses pieds. Pauline se retourna et je remontai sur les genoux, l’intérieur de ses cuisses et sa chatte impeccablement rasée. J’embrassai son clitoris et sa fente fermée. Pauline écarta les jambes et m’offrit sa chatte que j’entrepris aussitôt de lécher. Elle se laissa faire quelques instants et elle me repoussa la tête.
— Bon, j’ai un deal à te proposer, mon Chéri, Dit-elle très sérieusement. Passe moi mon petit peignoir, tu sais celui que tu m’as offert et qui descend à peine sous mes fesses, je suis sûre que tes potes vont adorer. Tu vas rester sous la douche le temps que je les accueille et connaissant Bastien, j’imagine qu’il me proposera de rester comme ça.— Pourquoi tu dis ça ?— Pourquoi ? Simplement parce que ton pote n’arrête pas de me mâter quand il vient et qu’il m’a déjà draguée une fois quand on était à l’anniversaire de Mayalen.— Il t’a draguée ?! Fis-je incrédule.— Tu n’avais pas vu ? Ce n’était pourtant pas discret.— Ben non, mais c’est vrai que j’avais trop bu aussi.— Bon, tu me passes mon peignoir ?— Tout de suite mon amour. Répondis-je impatient de la voir allumer mes copains.
Je pris la place de Pauline sous la douche après lui avoir passé son peignoir. C’était une sortie de bain à capuche assez jolie qui s’arrêtait au ras des fesses et qu’elle ne mettait pas assez souvent à mon goût. À peine entrai-je sous la douche que l’on sonna à la porte. Pauline, une serviette entortillée sur sa tête, juste habillée de son vêtement riquiqui, alla ouvrir.
— Salut les gars, fit-elle en les accueillant. Ça fait plaisir de vous voir.— Waow, quel accueil ! S’écria Bastien en lui faisant la bise. Et en plus tu sens très bon. T’es toute seule ?- Non, Jean-Luc est sous la douche et j’en sors à peine.— On vous dérange ? Demanda Jérôme en l’embrassant à son tour.— Pas du tout, répondit Pauline, on n’a seulement pas fait gaffe à l’heure, c’est tout. Installez vous dans le salon, je vous sers quelque chose ?— On a amené quelques bières, répondit Bastien en la saluant à son tour, mais faudrait les mettre au frigo avant de les boire ; elles ne sont pas très fraiches.— Donne les moi, je m’en charge, lui dit Pauline et je vous en amène des fraiches.— T’as besoin d’un coup de main ? Demanda Maxime qui lorgnait dans l’échancrure du peignoir pour apercevoir un sein naissant.— Si tu veux, tu prendras les verres.— Moi aussi je peux t’aider, fit Bastien subjugué par la vision de la femme de son pote à moitié nue.
— Et moi, qu’est-ce que je peux faire ? Demanda Jérôme qui n’avait pas envie d’attendre seul au salon.— Je te donnerais un saladier pour y mettre des chips, si tu veux.
Ils se retrouvèrent tous les quatre dans la cuisine, Pauline sentait les regards concupiscents de nos trois amis sur son corps et ses formes à peine cachées. Un pan de son peignoir s’était écarté et son sein gauche était visible mais elle ne fit rien pour le remettre en place. Elle confia les bières fraiches à Bastien, les verres à Maxime et ouvrit un placard bas où se trouvait le saladier pour les chips. Mes trois copains la mâtaient sans vergogne et c’est à ce moment que j’arrivai discrètement. Au lieu de s’accroupir, Pauline se pencha pour prendre le saladier dans le meuble, ce qui eut pour effet de dévoiler à mes amis son cul et son abricot glabre.
— Putain ce cul, murmura Bastien. Elle est vraiment bandante cette meuf…— T’as raison, lui souffla Jérôme, j’y mettrai une pétée.— C’est clair, chuchota Maxime trop haut pour ne pas être entendu par tout le monde, elle pue le cul. Jean-Luc peut pas y arriver tout seul.— Salut les gars, Dis-je comme si je venais d’arriver, vous êtes tous dans la cuisine ? On a un salon confortable, vous savez ?— Ah, Salut Jean-Luc, te voilà enfin ! Répondit Bastien en se tournant vers moi.— On se demandait si tu ne t’étais pas noyé sous la douche, poursuivit Jérôme.— On est simplement venu aider, ajouta Maxime un peu gêné.— Ouai, je vois ça, répondis-je en souriant, vous êtes prêts pour affronter 58 tours de suspens ?— De suspens, oui et non, répondit Jérôme, on connait déjà le résultat mais bon, on est là pour voir la retransmission.— Chéri, me dit Pauline, tu veux bien mettre ces bières au frai, je vais m’habiller un peu plus.
Pauline se tenait droite devant nous, le haut de son peignoir était plus largement ouvert et sa poitrine était totalement dégagée. Quand à la partie basse, elle était remontée et écartée et sa fente et son pubis glabre étaient visibles également.
— Tu peux rester comme ça, répondit Bastien. Ça ne me gêne pas, au contraire.— Moi non plus, renchérit-Jérôme, tu es sublime comme ça.— J’approuve, dit simplement Maxime qui bavait devant les courbes de ma femme.— Et toi, Chéri, t’en pense quoi ? Me demanda Pauline provocante.— Tu sais très bien que tu peux faire tout ce que tu veux, ma Chérie ; tu voulais rester décontractée cet après-midi, alors si ça ne gêne personne et que tu en as envie, tu peux rester avec nous en peignoir. Tu risques simplement de jouer le pompier incendiaire…— Et bien j’éteindrai les feux que j’aurais allumés alors. Conclut-elle en passant une main sur sa poitrine et en se léchant les lèvres.
Nos trois amis se demandèrent s’ils avaient bien compris et ils me jetèrent des regards interrogateurs auxquels je me contentai de sourire. Pauline, le peignoir toujours débraillé, nous invita tous à nous installer dans le salon. En passant près de mes amis, Bastien, sans gêne, lui passa une main au cul et eut droit à un bisou de Pauline. Je suivis au salon ma femme et mes amis et me dirigeai vers la télé que je me chargeai d’allumer. Quand je me retournai, bières et chips étaient posées sur la table et Pauline et mes amis étaient tous installés dans le canapé. Son peignoir était totalement ouvert, elle avait les cuisses écartées et posées sur celles de Bastien et Maxime qui les caressaient en lui suçant les seins. Jérôme qui devait se sentir loin vint s’agenouiller entre ses jambes écartées et entrepris de lui doigter la chatte en me regardant amusé. J’eu subitement l’impression d’avoir loupé une étape.
— Alors comme ça, il parait que t’aime bien voir Pauline se faire baiser comme une salope ? Me demanda Jérôme qui n’avait pas la bouche occupée.— J’ai pas dis ça, rectifia Pauline, je ne suis pas « comme » ; je suis une salope ! Et Jean-Luc aime voir des mecs baiser sa salope de femme, pas vrai Chéri ?— Oui, c’est vrai, me sentis-je obligé d’avouer, je… ça m’excite et puis… j’aimerai bien la filmer.— Tant que Roseline ne voit pas ton film et que personne ne lui dit rien, ça ne me gêne pas, répondit Bastien.— Pareil pour Jasmina, rajouta Jérôme, elle me tuerait !— Quand je vous disais qu’il ne fallait pas vous marier, les gars, s’exclama Maxime hilare. Moi je n’ai pas ce problème !— Et bien Chéri, qu’est ce que tu attends pour aller chercher ta caméra ?
Sans un mot, je filai dans notre chambre et revint rapidement avec ma caméra numérique. Dans le salon la tension était encore montée d’un cran, Jérôme bouffait la chatte de Pauline en la doigtant, Maxime continuait à s’occuper de ses seins et Bastien, à poil, se faisait sucer la bite par ma salope de femme. Ça s’annonçait très chaud et pour ne pas perturber mon fond sonore, je choisi de couper le son de la télévision. Après quelques minutes, Jérôme abandonna la chatte de Pauline pour se déshabiller à son tour et Bastien vint le remplacer. Pauline se faisait maintenant bouffer la chatte par Bastien et suçait Jérôme et Maxime se décida enfin à retirer ses habits. Ma chérie se tourna vers lui alors qu’il baissait en un seul geste pantalon et caleçon, libérant d’un coup une verge aux dimensions impressionnantes. Pauline exprima sa stupeur devant la taille de l’engin et, tout en masturbant Jérôme, tenta de le prendre en bouche. J’en fit mon premier gros plan ; c’était tout simplement incroyable. Elle faisait visiblement de multiples efforts pour ouvrir suffisamment sa bouche et pour gober le maximum de ce sexe hors normes mais elle n’en avala pas un tiers. Elle s’aidait d’une main qui ne faisait pas le tour du pénis de Maxime et je me demandai si cette chose allait pouvoir rentrer dans sa chatte.
Le trio changea de position et Pauline se retrouva allongée sur le canapé, les jambes bien écartées et Bastien, qui rêvait depuis longtemps de se taper ma femme, la pénétra pour la première fois. Après avoir pris une vue d’ensemble, je me mis derrière lui pour filmer en gros plan sa bite en mouvement dans la chatte de Pauline. À côté de couple en action se tenaient Jérôme et Maxime qui entretenaient leurs érections par de lentes masturbations. Bastien, au bout d’un moment, la mis à quatre pattes et la repris en levrette. Dans cette position, elle put plus facilement sucer les deux autres et c’est Jérôme qui en profita le plus. Il avait la bite la plus fine des trois et pouvait l’enfoncer plus loin dans sa gorge.
Pauline se faisait vraiment sauter comme une pute depuis près d’un quart d’heure lorsque Bastien inonda sa chatte et râlant de plaisir. Jérôme le remplaça et c’est Maxime qu’elle lécha et suça tant bien que mal. Le bougre paraissait endurant et après un quart d’heure, Pauline lui demanda de la lui mettre dans le cul. Maxime, quand à lui, avait envie de plonger son gourdin dans la chatte délaissée et modifia leur organisation. Il s’allongea en travers sur le canapé et imposa à Pauline de s’installer sur sa queue tendue. Elle se laissa faire, l’enjamba et se laissa glisser sur son pal de chair. Maxime lui empoigna les fesses et les écarta au maximum. Jérôme se présenta derrière elle et enfonça sa verge dans son anus. Je filmai en gros plan cette pénétration et revint à un plan plus large lorsque les deux verges furent bien profondément enfoncées en elle. Pauline ne m’avait jamais laissé pénétrer son cul ; tout au plus j’avais pu y insérer un doigt ou le bout de la langue lorsque je lui procurais du plaisir avec ma bouche. J’aimais bien, lorsque je lui léchait la chatte, descendre progressivement vers sa rondelle. Quand j’y parvenais, mon nez s’enfonçait dans sa vulve et tout mon visage œuvrait à sa jouissance. Je me retrouvais immanquablement couvert de sa mouille et j’adorais ça.
Prise ne double sous mes yeux et sous le regard précis de ma caméra, Pauline gueulait comme une malade et prenait vraiment son pied. Maxime et Jérôme s’activaient dans ses orifices, la labouraient de concert tandis que Bastien lui présentait sa bite molle à sucer. Jérôme fut le premier à partir et quand son gland quitta l’anus de Pauline, il était suivit d’un petit filet blanc que je ne manquai pas d’immortaliser sur ma vidéo.
Le gain d’espace créé par la sortie du cul de Jérôme donna des ailes à Maxime qui retourna Pauline pour la prendre en missionnaire. Elle était pliée en deux sous mon ami, les jambes posées sur ses épaules et il la pilonnait comme un forcené. Pauline gueulait et jouissait sans relâche tandis qu’il la traitait de salope et de sac à foutre. Bastien se caressait mollement la bite dans l’espoir de la refaire durcir et Jérôme, repus, s’était installé dans un fauteuil en spectateur. Maxime grogna, sa bite se tendit et il éjacula en ressortant doucement. En filmant, je comptai les secousses qui animèrent son sexe. Une première au fond, trois autres dans le conduit et la dernière à l’orée de sa chatte entre ses lèvres écartées. Il l’avait vraiment remplie puis, prenant sa bite entre ses doigts, il l’essora sur le pubis imberbe de Pauline en la traitant une dernière fois de salope.
J’avais tout filmé, rien ne m’avait échappé. Mon sexe tendu déformait mon jean et je n’avais qu’une envie : me jeter sur Pauline pour la prendre à mon tour ou, tout au moins, lécher ses orifices. Ma femme maintenait ses jambes écartées pour que je puisse filmer son intimité souillée et suintante de la semence de ses amants.
— Le tableau te plait, mon amour ? Je suis bien remplie ? Dis moi comment tu trouve ta salope ?— Tu es magnifique ! Ça déborde de partout… ton cul, ta chatte.— Viens me lécher, Chéri, donne ta caméra à Bastien et viens me nettoyer.
Au point où j’en étais, il n’était plus question d’avoir honte ; je devais assumer de vivre avec une salope, d’être cocu et d’aimer ça. Alors, très heureux et très fier, je tendis la caméra à Bastien et plongeai ma tête dans le compas des cuisses de Pauline pour nettoyer avec ma bouche toutes les souillures de son adultère.
— Aaaah, oui. C’est bien, mon amour, bouffe ma chatte. Oh oui, bouffe moi le cul aussi. Aaaah…— Oh putain, j’y crois pas, s’écria Jérôme, il est en train de bouffer ce qu’on lui a mis.— Aaah, oui ! Tu me fais jouir ! Aaaaah ! Aaaaah, j’explose ! Cria Pauline en m’inondant le visage de cyprine. Branle-toi, mon amour. Branle-toi sur moi !
Comme un fou furieux, les yeux grand ouverts sur le corps sublime de Pauline, à genoux entre ses cuisses écartée, je dégrafai mon pantalon, sortis ma bite tendue et me masturbai frénétiquement jusqu’à exploser sur ses seins, son ventre et son pubis.
— Tu m’en as mis partout, Cochon ! S’exclama Pauline en me souriant. — Désolé, ma Chérie, c’était dur de faire autrement…— Faut que tu la nettoies, dis Maxime, ça ferait une belle fin à ton film.— Il a raison, me dit Pauline alors que je restai sans voix. Lèche, Chaton.
Bien que je fusse surpris par cette demande et que mon excitation passée, bouffer du sperme ne m’enchantait plus vraiment, j’acceptai de faire plaisir à Pauline en nettoyant son corps de mes souillures. J’y mis tout mon cœur et dus reconnaître intérieurement que j’aimais le goût salé et la texture visqueuse de ce que je récupérai avec ma langue.
— Et bien, mon Chéri, t’aimes vraiment ça, me dit Pauline. T’as déjà sucé une bite ?— Non, pourquoi ?— Je ne sais pas, t’as l’air d’aimer le sperme alors je me posais la question. Tu n’veux pas essayer ?— Comment ça ?— Donne-moi la caméra, Bastien ! Jean-Luc va vous nettoyer et vous remettre en forme ; j’ai hâte de ressentir vos bites en moi.
Dans cette affaire, je n’eu pas trop le choix et c’est Jérôme qui, à la demande générale, fut le premier à me présenter sa bite. Elle n’était plus vraiment molle mais pas encore au mieux de sa forme, sa couleur et son odeur témoignaient de l’endroit qu’elle avait visité, même ses poils pubiens en étaient imprégnés. Bien qu’un peu dégoûté au début, je me soumis à cette nouvelle humiliation et m’appliquai à la rendre impeccablement propre et dure. Quand j’en eu fini avec lui, je pris les deux autres en bouche, surtout pour les nettoyer également car elles étaient déjà fermes. Le sexe énorme de Maxime ne rentrait pas dans ma bouche et je me contentai d’en lécher le gland et d’en titiller le méat avec ma langue. Par contre, lorsque je suçai celui de Jérôme, Pauline m’appuya sur l’arrière de la tête et me força à l’avaler. Le gland dépassa ma glotte et je crus vomir mais je découvris, en même temps, que j’aimais bien sucer une bite.
Mes trois amis de nouveau opérationnels, je referma mon pantalon et repris en main ma caméra pour un second round de baise. Pauline était survoltée ; elle chevauchait Maxime en demandant aux deux autres de venir la baiser avec lui. Bastien se présenta derrière elle et alors qu’il appuya sur son anus entrouvert, elle lui attrapa la bite et la guida plus bas. Maxime ressortit pratiquement entièrement de sa grotte, il n’y laissa que son gland à l’entrée, et Bastien vint plaquer sa verge sur la sienne. Les deux glands forcèrent le vagin de Pauline qui s’ouvrit difficilement et les deux verges la pénétrèrent en même temps.
— Oooh, putain ! C’est… Aaaah ! C’est énorme ! S’écria Pauline. Vous… Aaah ! Vous me déchirez !— Oh, putain de salope ! S’exclama Bastien. T’as vraiment une grosse chatte !— On va te la défoncer, rajouta Maxime.
Aussitôt, ils se mirent en action, Pauline gueulait comme une malade mais de toute évidence, elle aimait le traitement qu’elle recevait. Tout en filmant, j’imaginai leurs queues se branlant l’une contre l’autre dans la chatte de ma femme et j’en fus vraiment très excité.
— Putain, c’est une vraie salope, me dit Jérôme qui se masturbait à côté de moi. Si je pouvais, je me joindrais à eux.— Tu peux toujours essayer. Tu te glisses jambes écartées autours d’eux en pointant ta bite sur sa chatte et tu pousses ; tu verras bien si ça rentre.— Tu crois que c’est possible ?— J’ai déjà vu ça dans un porno, répondis-je sans lâcher ma caméra.
Jérôme suivit mes conseils, directement inspirés des images que j’avais vues, et, s’insérant entre nos deux copains, il pointa sa bite bien dure contre les deux autres. Maxime et Bastien arrêtèrent tout mouvement et le laissèrent pousser sa fine queue contre les leurs. Pauline cria et jura que ça n’entrerait pas mais le gland s’insinua dans un faible espace et, l’instant d’après, elle avait trois bites dans la chatte.
— Aaah, putain ! Aaaaah ! Ah oui ! Ah, Chéri ! T’as vu ça ?! Aaaah ! Ils me baisent !— Ah oui, salope ! T’en as trois dans ta chatte ! C’est trop beau, Chérie…
Maxime et Bastien furent les premiers à envoyer la sauce, rapidement suivis par Jérôme. Quand ils la laissèrent enfin, sa chatte grande ouverte m’attira irrésistiblement. Je confiai de nouveau ma caméra à Bastien, je m’agenouillai entre ses cuisses écartées et me mis en devoir de la nettoyer et de l’apaiser avec ma langue. Pauline apprécia mon geste ; elle me maintenait fermement la tête entre ses cuisses en me tenant par les cheveux et, après avoir joui une dernière fois, elle me libéra et me demanda de sucer mes copains. J’ai nettoyé leurs bites et tous repus de sexe, nous avons repris des postures plus convenables. La retransmission du grand prix tirait à sa fin et Jérôme et Bastien allaient bientôt nous quitter pour retrouver leurs compagnes.
Après le départ de Jérôme et Bastien, repris, encore une fois, Pauline devant moi. J’avais posé ma caméra dont la carte mémoire était pleine et, comme Pauline m’y autorisa, je me déshabillai. Mon slip était trempé de sperme dû aux multiples éjaculations sauvages que j’avais eues, sans me toucher, en la voyant se faire défoncer la chatte et en la léchant. En voyant ma queue tendue et frustrée, elle rit de mon sort et me demanda de ne surtout pas me masturber. Elle voulu que je m’allonge sur le canapé et elle grimpa au dessus de moi à quatre pattes. C’est dans cette position que Maxime pénétra sa chatte et que j’assistai à son plaisir. Mon copain s’en donnait à cœur joie, ses couilles battaient au dessus de mon nez. La chatte de Pauline dégoulinait de mouille et du sperme qu’elle avait déjà reçu et mon visage recevait les gouttes de son plaisir. Quand Maxime annonça qu’il venait, Pauline lui demanda d’éjaculer dans ma bouche. Il sortit alors sa verge du con de ma femme et posa son gland sur mes lèvres. Pauline attrapa ma queue prête à exploser, j’ouvris la bouche et alors que mon ami déchargeait dedans, j’éjaculai dans celle de ma femme. Maxime se retira et Pauline plaça son visage au dessus du mien. J’avalai le foutre de notre ami et pensant qu’elle voulait m’embrasser j’approchai mes lèvres entre-ouvertes de sa bouche. L’intension de Pauline était toute autre et elle laissa couler vers moi le sperme que je lui avais donné.
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