Résumé des épisodes précédents : Dans les deux premiers épisodes écrits par Jolechi, le narrateur explique qu’il vit avec Pauline depuis 5 ans et raconte que, depuis peu, il aimerait qu’elle devienne une salope, qu’elle suce tous les mecs en boite de nuit, qu’elle couche avec qui elle veut et avec ses potes, soit devant lui, soit après lui avoir envoyé un SMS pour le prévenir.Sa compagne commence par refuser et, le narrateur ne la relance pas. Bilan, c’est elle qui revient à la charge pour connaître d’abord l’intégralité de son fantasme et, une fois qu’il a tout détaillé, elle conclut en disant qu’heureusement qu’elle à refusé. Mais, deux mois plus tard elle a changé d’avis (premier chapitre). Dans le second chapitre où l’on apprend qu’elle n’a que 18 ans, Pauline profite d’un samedi soir pour débuter sa nouvelle vie de salope et appliquer à la lettre les désirs de son compagnon. Ils vont dans une boite de nuit où elle allume des inconnus et elle finit dans les toilettes à sucer toutes les bites qui se présentent. Elle en suce 79 et pour faire un compte rond, elle suce son copain dans la voiture en rentrant chez eux. Il ne reste plus pour la « salope en herbe » de passer à la vitesse supérieure et de se faire remplir la chatte et le cul… Le cap est franchi le lendemain (voir les deux chapitres que j’ai écrits précédemment). Le narrateur, que j’ai prénommé Jean-Luc, profite de deux événements sportifs pour inviter trois copains dans l’après-midi et cinq dans la soirée. Mais comme ils ont besoins d’un peu de ravitaillement, ils vont faire des courses, en fin de matinée, dans une supérette voisine où Pauline réussit à séduire trois blacks qu’elle ramène dans leur lit. Jean-Luc se dépêche de finir leurs courses et rejoint son appartement où il assiste aux premiers exploits adultères de sa compagne. L’après-midi, il peut la filmer en train de baiser dans le salon avec Jérôme, Bastien et Maxime, les trois amis qu’il avait invité pour regarder un grand-prix automobile. Durant ces premières aventures, il découvre que, de voir Pauline baiser avec d’autres hommes, l’excite tellement qu’il en éjacule spontanément dans son slip. Il découvre aussi le plaisir de lécher ses orifices souillés de sperme, accepte de raviver l’ardeur des bites en les suçant lui même et finit même par recevoir le foutre de son ami Maxime directement dans la bouche.
Je veux que tu sois une salope – épisode 5 Maxime s’était bien vidé les couilles et il nous quitta peu après. Nous avions du temps avant que Karim, Hugo, Mathieu, Aurélien et Luc ne débarquent pour regarder la rencontre Auxerre-Monaco. Pauline s’était lavée dans tous les recoins pour mes cinq copains et elle s’était juste habillée d’une mini-jupe et d’un haut transparent. Pendant qu’elle se préparait, je remis un semblant d’ordre dans le salon et nous préparai un repas léger. Ils arrivèrent tous en même temps, une demi-heure avant le début du match, et je les fis entrer dans le salon où des verres et des boissons attendaient déjà avec quelques trucs à grignoter. — Putain, ça sent l’cul, chez toi ; vous n’aérez jamais ? Me demanda Karim en prenant place dans le canapé.— Euh, si… tous les jours. C’est juste que j’ai oublié de le faire quand j’ai rangé le salon après le départ de Jérôme, Bastien et Maxime. Ils sont venus voir la retransmission du grand prix d’Australie.— Ben, je ne vois pas le rapport…— C’est vrai que ça sent un peu, constata Luc en reniflant.— Salut les gars, dit Pauline en entrant dans le salon. Vous me faite un peu de place ?— Parce que tu t’intéresses au foot, maintenant ?— Non, Hugo, toujours pas ! Mais je m’intéresse aux supporters et aux tirs au but. Lui répondit-elle en lui faisant la bise. Hugo s’était installé, comme moi dans un fauteuil et lorsqu’elle se pencha vers lui, il eut une vue imprenable sur son décolleté tandis que les autres eurent le loisir d’admirer son cul et sa vulve glabre. — Et c’est tes buts que tu nous montres ? Demanda Karim admiratif. Ça doit être difficile de mettre à côté !
— Ça vous plait ? Demanda Pauline en soulevant carrément sa jupe.— Putain, tu n’as rien du tout en dessous ?! Pas de soutif et pas de culotte. Constata Hugo qui avait toujours le nez dans l’ouverture de son chemisier.— Non, j’aime bien être disponible pour les hommes qui auraient envie de me toucher ou de me sauter.— Pauline est devenue une vraie salope, expliquai-je à mes amis. C’est pour ça que ça sent un peu le cul dans le salon.— T’es sérieux ? Me demanda Aurélien dont le pantalon se déformait déjà. Vous n’avez quand même pas pris Pauline à quatre ?— Oh non, Jean-Luc ne m’a pas prise ; seulement Maxime, Jérôme et Bastien… Pauline ne bougeait pas ; elle avait posé ses mains sur les accoudoirs du fauteuil où était assis Hugo et notre ami dirigea ses mains vers les boutons de son chemisier. — Je peux ? Demanda-t-il en défaisant le premier bouton.— Fais-toi plaisir, tu peux toucher et profiter comme tu veux.— Et là aussi, on peut toucher et profiter comme on veut ? Demanda Mathieu en tendant une main vers son cul.— Bien sûr et vous pourrez me baiser tous les cinq dans la chambre… À moins que vous ne préfériez le foot à mon cul.— Putain… Dit Karim en se levant pour s’approcher du cul de Pauline. Et toi tu laisses faire ? — Je n’ai pas le choix, répondis-je. Pauline est une vraie salope et je dois assumer d’être cocu.— Jean-Luc adore me voir baiser et me lécher quand on m’a bien remplie… Pas vrai Chaton ?— Si mon amour… C’est vrai.— Oooh…— Putain, Pauline, t’as la chatte en feu… Moi, je vais te suivre dans la chambre.— Tu n’es pas le seul Karim, déclara Hugo qui lui pelotait et lui suçait les seins. Depuis le temps que j’en rêve, je vais me taper ta meuf, Jean-Luc.— Je t’en prie ; elle est à vous…— Tu nous feras le résumé du match, me dit Mathieu en se levant pour suivre Pauline et les autres dans notre chambre.— On se relaiera pour te tenir compagnie… Je n’étais donc pas admis comme spectateur à leur petit gang bang et je m’allumais la télé pour regarder le match en même temps que je déchargeai la carte mémoire de ma caméra sur mon ordinateur portable. La porte de la chambre resta cependant ouverte et je pris ça pour une invitation à jouer les voyeurs discrets. Dès que ma carte mémoire fut vidée, je m’équipai de ma caméra et, en restant dans le couloir, je filmai ce que je pouvais de leur petite partouze. Pauline était allongée dans le travers du lit et se faisait lécher la chatte par Aurélien qui était le seul encore habillé. Karim se faisait sucer et Hugo lui bouffait les seins tandis que Luc et Mathieu se faisaient branler. Karim avait une belle bite circoncise assez fine qui rentrait loin dans la gorge de ma salope de femme. Pour l’instant, ils n’en étaient encore qu’aux préliminaires mais ça ne dura pas. Aurélien finit par se redresser pour retirer ses habits et comme la place entre les cuisses de Pauline était libre, Luc s’y imposa en la pénétrant. J’avais l’impression étrange que tous étaient mieux montés que moi. Lui aussi avait une verge longue et épaisse qui, sans être aussi imposante que celle de Maxime, devait bien la remplir. Il la baisa méthodiquement pendant cinq bonnes minutes avant de laisser sa place. Il bandait toujours et je compris qu’il s’économisait. Il fut remplacé par Aurélien qui l’imita en se retirant avant d’atteindre le point de non retour et ce fut au tour de Karim de venir la limer. Pauline gémissait et jouissait de toutes ces queues qui lui pénétraient la chatte les unes après les autres mais ses amants faisaient durer leur plaisir. C’est Karim qui fut le premier à changer de trou et bientôt, ils tournèrent selon leurs désirs de sa bouche à son cul ou à sa chatte. Elle s’en prenait dans tous les trous et Hugo, quand il ne la pénétrait pas s’occupait encore de sa grosse poitrine qui l’obsédait. Il lui pinçait les tétons, malaxait ses lolos, les torturait avec délice et Pauline semblait y prendre plaisir. Finalement, j’entendis le coup de sifflet de la mi-temps quand Hugo éjacula en premier dans son cul. Karim choisit le même trou que lui pour décharger alors que les trois autres lui remplirent la chatte. Je coupai la caméra et retournai au salon pour constater que le score était toujours de 0 à 0. Ils avaient sans doute vu que j’avais joué les voyeurs mais ils firent comme si je n’avais pas bougé du canapé. Ils débarquèrent nus en compagnie de Pauline pour se reprendre un verre et grignoter quelques chips et cacahuètes. — Allonge-toi, Chaton, me dit Pauline en me montrant sa chatte. J’en ai plein la chatte et plein le cul ; tu vas te régaler. Tu t’es branlé ?— Non, mais j’en ai plein le slip… répondis-je en prenant position. Pauline posa sa chatte baveuse sur ma bouche et poussa le sperme de mes amis avant de faire pareil avec son cul que je nettoyai avec la même gourmandise que sa vulve. Avant de se relever, elle défit ma braguette et ouvrit mon pantalon pour dégager mon slip. Elle le souleva délicatement et fit constater à mes amis que j’avais bien joui dedans sans me toucher. — Jean-Luc est très sensible et il jouit tout seul d’avoir une femme salope.— Et je peux te garantir que tu es une grosse salope, lui dit Mathieu en rigolant. Tu viens de nous le prouver et je te promets qu’on va encore te mettre des buts dans la deuxième mi-temps.— Il va quand même falloir réveiller la bête, déclara Hugo en regardant sa bite. On vient de baiser pendant trois quarts d’heure.— Jean-Luc va vous sucer ; il adore ça et sais bien faire redresser une bite.— Parce qu’en plus, t’es pédé ? Me demanda Karim moqueur. Tu te fais enculer aussi ?— Non, je ne suis pas gay mais c’est vrai que j’aime bien le sperme et que j’aime bien sucer aussi. Mais uniquement les queues qui ont visité ma femme. Je n’irais pas sucer quelqu’un comme ça. Tu veux que je te montre ?— Vas y, régale toi ! Elle sort du cul de Pauline… Oooh putain, il s’y prend bien en plus, le con ! On baise sa femme et il suce nos bites ! Je sens que je vais venir voir souvent les matchs ici. Mmm… C’est qu’il va y arriver en plus ; il va me refaire bander.— Putain, le salop ! Ah ah ! Rigola Aurélien en me voyant avaler la bite de Karim. Il a vraiment envie qu’on retourne baiser sa femme ! Je les suçai tous les uns après les autres et ils retournèrent ensuite dans la chambre avec Pauline. Je repris mon observation lointaine pour filmer leurs actions et ils se placèrent dans la longueur du lit ce qui me permit de zoomer sur leurs queues qui pénétraient ma femme. Finalement, je fus autorisé à rentrer dans la chambre et Pauline me demanda de me mettre en slip et de venir sur le lit. Elle voulait recommencer ce qu’elle avait fait avec Maxime et j’assistai donc à ses sodomies répétées en lui léchant le clitoris. Hugo s’était chargé de placer ma caméra de sorte à ce qu’elle filme les pénétrations avec un bon angle qui permettait de voir en gros plan mon visage et leurs bites entrant dans le cul de Pauline. Elle jouissait sous les effets conjugués de mes attentions buccales et des pénétrations anales et, sans s’en rendre compte, elle s’était agrippée à ma bite et mes couilles cachées dans mon slip. À chacun de ses orgasmes, elle serrait mes organes entre ses doigts et m’infligeait une douleur qui m’empêchait d’éjaculer trop vite. Sa sodomie me paraissait interminable mais, finalement, Karim annonça qu’il allait éjaculer et Pauline lui demanda de le faire directement dans ma bouche. Ils firent tous comme lui et je dus boire leurs jus. Quand Hugo, qui était le dernier, me remplit la bouche, Pauline réalisa qu’elle était en train de me tordre la bite et de m’écraser les couilles. Elle relâcha sa pression et j’éjaculai abondamment dans mon sous-vêtement avant de débander. En retournant au salon, nous avons constaté que le score avait évolué mais que les deux équipes étaient toujours à égalité. — Cool ! Fit Aurélien en me mettant la bite sous le nez. Il va y avoir des prolongations…— Et peut-être même des tirs au but, ajouta Karim enjoué. Tu n’as pas fini de nous sucer, Jean-Luc. Il y eut bien des prolongations durant lesquelles Pauline se fit prendre en sandwich, réitéra la double pénétration vaginale et expérimenta la double anale. Karim ne bougeait pas de son cul et les autres la couvraient en choisissant l’orifice de leur choix. Elle fut encore bien remplie des deux côtés et Hugo, qui en rêvait depuis le début, se termina avec une branlette espagnole en remplissant la bouche de Pauline. Elle s’approcha de moi la bouche fermée et je n’eus pas besoin de plus d’explication pour comprendre qu’elle allait cracher son sperme dans ma bouche. Je bandais comme un cochon et espérait bien qu’elle m’accorde de la prendre quand nos amis seraient partis mais au lieu de ça, une fois que nous fûmes tous de retour au salon, elle me demanda de me masturber devant tout le monde. — Alors, mon Chaton, j’ai été assez salope aujourd’hui ? Me demanda-t-elle une fois couchés— Oh oui, je n’en reviens même pas ! Mes copains n’ont eu aucun scrupule et en plus tu as ramené ces trois blacks à midi… Quelle journée ! Mais j’aurais bien aimé te faire l’amour maintenant…— Je m’en doute, c’est pour ça qu’il fallait absolument que tu t’essores bien les couilles avant de te coucher. Avec toutes les bonnes queues que j’ai eues aujourd’hui, je suis un peu crevée et je n’avais pas envie de finir sur une petite baise insipide. Je voulais rester sur mon dernier orgasme.— Parce que je te fais l’amour de manière insipide ?— Non, pas vraiment mais ça n’aurait pas pu être autrement ce soir ; je me suis faite baiser par onze mecs bien membrés et virils alors ce n’est pas toi, arrivant tout seul après, avec ta petite bite surexcitée, qui aurais pu me faire quoi que ce soit. Tu te rattraperas demain matin. Bonne nuit. Le lendemain matin, je me réveillai avec une belle érection mais j’évitai de sauter sur Pauline qui dormait encore. Je décidai de me lever sans m’en préoccuper ; le week-end était fini et je devais malheureusement aller bosser. Je pris une douche et une fois habillé, je me rendis dans la cuisine pour préparer un petit déjeuner pour nous deux. J’avalais le mien en vitesse et portai celui de Pauline sur un plateau. — Mmm… Tu es déjà prêt à partir ? Pourquoi tu ne m’as pas réveillée.— Tu paraissais si bien, je n’ai pas voulu te réveiller.— Tu t’es branlé ?— Sous la douche. Tu as un programme pour ta journée ?— À part draguer des mecs pour les ramener ici, non. Je t’enverrais des SMS, promis.— Si tu es aussi efficace qu’hier, ça devrait aller… Je sens que je vais encore pouvoir être fier de ma salope.— J’espère ne pas te décevoir.— Oh ? Pourquoi tu n’as pas utilisé la chambre d’amis comme on avait dit ?— Non, ça c’est ce que tu avais proposé avant que je devienne une salope, mais ça m’excite plus de faire ça dans notre lit. C’est plus salope, tu ne trouves pas ?— Si, tu as raison… À ce soir, ma petite Salope !— À ce soir, mon beau Cocu ! J’espérai bien qu’elle se lâche ; elle m’avait prouvé la veille qu’elle était capable de lever trois amants en moins de trente minutes et j’imaginais qu’elle n’aurait pas besoin de plus d’une heure ou une heure et demie, après mon départ, pour mettre un homme dans notre lit. J’étais plutôt pessimiste parce qu’il lui fallut seulement vingt minutes et je n’étais pas encore arrivé à mon bureau quand mon téléphone vibra.J’avais reçu un message de Pauline accompagné d’un selfie qui la mettait en scène avec une grosse bite raide devant la bouche. Le pubis de son amant était abondamment garni de poils gris et je me dis qu’il ne devait pas être jeune. « Tu es parti sans prendre le temps de me sauter alors je ne pouvais pas attendre ; j’ai choppé dans l’immeuble » me disait son message.« Qui c’est ? » Lui renvoyai-je aussitôt. Il me fallut plus d’une heure, par contre, pour recevoir une réponse. « C’était Monsieur Durand, le voisin du second. Là, je suis dans un café près de la fac. »« Bonne chasse, ma salope ; je t’aime. »« J’ai choppé quatre étudiants ; on finit nos cafés et on rentre à l’appart » Je quittais mon appartement à 7h30 tous les matins et il était tout juste 9h00 ; j’avais vraiment de quoi être fier d’elle. Je reçus quelques minutes plus tard une photo prise de haut avec son smartphone où elle apparaissait nue, à genoux, entourée de quatre bites bien raides et bien épaisses. Peu de temps après, je compris que les gars allaient s’amuser aussi avec son téléphone, car je reçus une courte vidéo de ma femme en train de sucer une queue comme une vraie star de porno. Elle y mettait du cœur et les gars la traitaient abondamment de salope et de pute. « Oui, suce moi bien, salope ! Ooh, putain ! Si ton mec aime les images, il va être servi. »« Aaah… Oui, il va adorer. Il aime voir comment je sui bien salope. »« Allez suce un peu la mienne, maintenant et après on va te la mettre ! Salope ! » — Tu mates des vidéos pornos pendant le travail, maintenant ? Me demanda mon collègue André qui avait entendu.— Non, enfin… C’est Pauline qui m’a envoyé ça, répondis-je en fermant mon téléphone.— Pauline t’envoie des vidéos pornos ? Tu déconnes… Je la vois mal faire un truc comme ça ; elle m’a plutôt paru pudique et réservée les quelques fois où je l’ai vue.— Et bien, détrompes-toi. Pauline est une vraie salope et j’en suis très fier.— Comment tu parles de ta femme ? Tu devrais avoir honte.— Pourquoi ? Elle plait aux hommes, j’aime ça et elle aussi… Et, en plus, elle ne dit jamais non. Si un soir ça te dit, tu n’auras qu’à venir diner.— Attends, tu me proposes de baiser ta femme ?— Si tu as envie ; je te dis qu’elle ne refuse jamais. Au pire, elle te taillera une bonne pipe mais t’a plus de chance pour qu’elle te donne sa chatte et son cul.— C’est quoi ? Vous êtes échangistes, c’est ça ?— Non, c’est juste une salope qui aime la bite, un vide-couilles, si tu veux. Tiens, j’ai reçu une nouvelle vidéo, tu veux voir ? Elle a levé quatre étudiants qui la sautent en ce moment et ils s’amusent avec son téléphone. Sur la vidéo, la situation avait évolué et ma femme était entourée de trois gars qu’elle suçait et caressait paresseusement tandis qu’ils lui caressaient la poitrine et ce lui qui filmait la pénétrait. Il avait un sexe épais avec un pubis rasé et on avait vraiment l’impression d’assister à une vidéo du net. « Aah oui, elle est bonne ta chatte ! Une bonne chatte de grosse pute ! Tu mouilles comme une vraie salope. Il va être content ton mari… »« Aaaaaah… Aah… Ah oui, Chaton, regarde comment ils me baisent bien. Aaaaah… » Le type qui la baisait se cabra après quelques instants et il retira sa queue en l’essorant. La chatte de Pauline apparut en gros plan, bien ouverte et dégoulinante de foutre. — Oh putain, elle est chaude ta femme. Et elle baise comme ça sans capote… J’imagine qu’elle prend la pilule…— Oui, mais c’est sûr que si elle l’arrête, j’aurais peu de chance d’être le père de mes enfants, ha ha ! André, après avoir regardé d’autres vidéos, dut quitter le bureau pour aller se branler aux toilettes et je l’aurais sans doute suivi si je n’avais pas déjà joui dans mon slip. Pauline ne s’arrêta pas en si bon chemin même si elle ne retrouva pas de groupe aussi nombreux. Elle rencontra deux types en début d’après midi et ensuite, trois hommes seuls. Je lui envoyai un message pour lui dire que je venais avec André peu avant de partir et elle me répondit qu’elle serait occupée à notre arrivée car elle avait trouvé deux nouveaux hommes pour la prendre. J’expliquai la situation à mon collègue qui préféra repasser chez lui et ne venir que pour diner.En chemin, je fis le compte du nombre de mecs qui l’avait sautée dans la journée et j’en fus heureux. Dans les escaliers, je croisais notre voisin, Monsieur Durant, qui me salua un peu gêné et pour le détendre, je lui dis que j’étais très heureux qu’il ait accepté d’aider ma femme le matin. Je montai ensuite les escaliers quatre à quatre jusqu’à chez moi et dès l’entrée, j’entendis les gémissements de Pauline qui se faisait prendre dans notre chambre. Je m’y dirigeai aussitôt sans y rentrer et assistai au dénouement de leur petite baise. Ma femme était coincée entre deux gars qui lui démontaient chacun un orifice. Les types étaient déchainés et, au vu de leur rythme incontrôlé, je sentais qu’ils étaient proches. — Aaah ! Aah oui, putain ! Prends mon jus dans ta chatte, Salope ! Putain ! Sac à foutre ! Tiens, ouh… En voilà encore. Aah ! Aah merde !— Ah ! Merde ! Putain ! Moi aussi j’envoie la sauce ! Aah ! Aah oui, sale pute ! J’te farcis ton gros cul de salope, bordel !— Aaaah ! Aaah oui ! Salops, farcissez moi ! Aaah oui ! Aaah, j’aime ça ; je jouis, salops ! Aaaaaaaaah…— T’es vraiment une bonne petite salope, tu sais… Dit celui du dessus en se relevant.— Oui, c’est aussi ce que dit mon copain… Comme ils se dégageaient de leur enchevêtrement, je constatai que les deux hommes qui devaient avoir la trentaine d’année étaient des jumeaux et, entre autre particularité, ils avaient des verges qui n’avaient rien à envier à celle de mon copain Maxime. Ils n’avaient pas remarqué ma présence et je reculai doucement pour ne pas être vu mais restai suffisamment proche de la porte de notre chambre pour continuer de les entendre et de les regarder par le reflet d’un miroir. — Mmm… T’es bonne ! Montres nous ta salle de bain, Une baise pareil, ça donne toujours envie de pisser.— Les WC ne sont pas dans la salle de bain.— Oui, mais on s’en fout des toilettes ; c’est ta petite gueule, ta bouche, tes seins qui nous intéressent.— Ce sera notre façon de te remercier ; tu n’as jamais reçu de douche dorée ?— Euh, non, jamais…— Faut dire que t’es encore sacrément jeune ; t’as quel âge ?— J’ai 18 ans…— C’est pour ça, tu débutes ! Tu vas adorer ; toutes les grosses salopes se laissent pisser dessus après une bonne baise.— C’est vrai ? Alors il faut que j’essaye, répondit Pauline en fixant le miroir qui me servait pour les observer. Je me reculai précipitamment pour me replier dans l’entrée et espérai qu’ils ne ferment pas la porte de la salle de bain derrière eux. Les types se croyaient encore seuls et avaient autre chose à l’esprit que de fermer la porte, si bien que je pus voir ma copine s’agenouiller dans la douche et les deux jumeaux se placer devant elle pour se soulager. — Aaaaah… Tu vois que c’est bon, Salope ! Ouvre bien ta bouche.— Rrglgl !— Oui, gargarise-toi à la pisse, petite putain ! Ah, c’est bon de pisser sur une jolie petite pute comme toi. Mmm… Quand ils ressortirent, Pauline était trempée et de la tête au pied. Ils retournèrent dans la chambre où les deux gars s’habillèrent tandis qu’elle s’allongeait ainsi sur le lit. — T’as 18 ans, tu dis… Ton mec doit être vachement plus vieux que toi pour que vous ayez un appart aussi grand.— Oui, je suis avec lui depuis mon adolescence et j’étais très précoce alors j’ai jeté mon dévolu sur un copain de mon frère ainé ; il a 25 ans et un travail qui paye bien.— Il y a des mecs qui s’emmerdent pas, putain ! Ils se prennent une gamine et espère la garder pour eux.— Ce n’est pas son cas. Si je suis une belle salope aujourd’hui, c’est grâce à lui et pour lui. Mais, il ne devrait plus tarder ; il est souvent rentré à cette heure là.— Alors on file, ma jolie, et n’hésite pas à venir nous chercher si t’as besoin de bonnes bites. Maintenant, tu sais où nous trouver. Ils prirent congé de ma copine et, pour qu’ils ne me croisent pas, je me réfugiai dans la chambre d’amis jusqu’à entendre la porte d’entrée claquer. — Jean-Luc ! Cria Pauline alors que je me précipitais déjà vers notre chambre.— Je suis là, dis-je en retirant mes habits— J’ai été très salope aujourd’hui… Tu veux me lécher ? Ces deux types m’ont vraiment bien remplie.— J’ai vu, dis-je en l’embrassant. Et ils t’ont bien rincée aussi. Je vais te baiser d’abord ; ça fera plus de sauce. Salope ! Aaaah… Tu t’es tapé 12 mecs pendant que je bossais. Mmm… Ta chatte est pleine de foutre…— Aaaah… Ah oui, mon amour… Tu aimes ? Aaaaah… Tu aimes prendre ma chatte pleine de foutre ?— Aaah oui… Aah, c’est trop bon… Je t’aime, Pauline… Aaaah… Ma petite Salope…— Aaaah, Jean-Luc… Aaah oui, baise moi comme ça… Aaaaaah, mon Cocu… Baise ta Salope… Mmm… Oui ! Aaah ! Tu me fais jouir !— Aaaah ! Aaah oui ! Après avoir ajouté ma contribution, je me mis en devoir de nettoyer ses orifices et nous passâmes rapidement sous la douche avant que mon collègue n’arrive.
