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Vice précoce

Chapitre 1

Zoophilie
J’étais encore jeune et la fréquentation d’un camarade un peu plus âgé que moi, m’avait déjà conduit doucement mais sûrement sur le chemin d’un vice précoce.Nous habitions tous les deux le même quartier pavillonnaire, et en l’absence fréquente de mes parents du fait de leur travail, il me rendait assez fréquemment visite et me faisait des "choses".La première fois il était venu comme à son habitude pour échanger des b.d avec moi et comme je ne l’attendais pas et qu’il faisait un temps chaud et lourd, je n’étais que très légèrement vêtu. Un t-shirt pour le haut et pour le bas un très petit short de sport en satin léger sans rien dessous. J’aimais beaucoup porter ce vêtement à même la peau, c’était comme une caresse et chaque fois que je le pouvais je me faisais ce petit plaisir.Tout s’était d’abord passé normalement, on avait fait nos échanges, on avait aussi blagué un peu jusqu’à ce qu’un mouvement involontaire de ma part lui révèle la particularité de ma tenue.Son visage était devenu tout rouge et il me fixait bizarrement.
— " Tu ne portes pas de culotte ?"
Horriblement gêné et cherchant un mensonge pour lui répondre, je le vis alors s’avancer vers moi avec une lueur inquiétante dans le regard.Nous étions dans ma chambre et avant même que je puisse tenter une esquive, il m’avait jeté sur le lit et s’était lourdement couché sur moi en ricanant.
— " Non tu n’as pas de culotte et tu l’as fait exprès sachant que je venais, tu l’as fait exprès parce que tu es une petite cochonne ! "
Tandis qu’il m’écrasait de sa masse malgré mes protestions, sa main se glissa dans mon short et commença à me tripoter. C’était la première fois qu’une main étrangère se posait sur mes parties intimes et ce fut un grand choc pour moi. Je découvrait brutalement un plaisir inconnu et c’était tellement intense, que très vite je perdis toutes notions de temps et d’environnement.Ses caresses étaient rudes et maladroites tant il paraissait lui même excité et très vite je connus mon premier orgasme.L’explosion de jouissance me prit totalement par surprise me laissant épuisé et pantelant.Apparemment satisfait mais très gêné aussi, Hervé me libéra et parti très vite sans un mot.Suite à cette aventure il resta un moment sans venir, et même il semblait m’éviter en toutes circonstances.Puis un jour un coup de téléphone me surpris alors qu’une nouvelle fois j’étais seul.
— " Salut, je suis désolé pour l’autre fois, je ne sais pas ce qui m’a pris, tu m’en veux ? "
Je lui en voulait un peu mais pas vraiment, et puis non je ne lui en voulait pas et .........entre oui et non, je me retrouvais sans comprendre dans la même petite tenue que la fois précédente, et le sang battant très fort aux tempes je l’attendis.
Il remarqua de suite la similitude de situation mais semblait hésiter, et au bout d’un long moment, je du le provoquer un peu par des postures qui se voulaient innocentes mais qui ne l’étaient pas du tout.Comme la première fois son attitude changea brusquement et "l’agression" tant attendue se produisit.De ce jour et à chacune de ses visites, c’était le même rituel mais avec des "jeux" de plus en plus poussés;je découvris ainsi son sexe qui me paru énorme par rapport au mien.On en était là de nos turpitudes mutuelles, quand un dimanche après-midi toujours aussi chaud, je reçois la visite non pas d’Hervé mais de Moky son chien.La porte de la cuisine ouverte sur le jardinet, je le vis sauter le petit portillon qui donnait sur l’allée et s’avancer vers la maison.Il venait comme ça de temps à autres réclamer une petite friandise au passage, avant de reprendre ses habituelles errances dans le quartier, et comme je m’ennuyais ferme je fus plutôt content de le voir.Il me fit fête, goba le morceau de sucre que je lui tendais, puis au lieu de repartir immédiatement comme il le faisait d’habitude, il se laissa tomber lourdement sur le carrelage de la cuisine en poussant un gros soupir.Moky était un gros bâtard de race indéfinie au poil mi-long noir et blanc et s’il n’était pas franchement beau, il était en revanche très gentil.Avant de retourner dans ma chambre pour me plonger dans la lecture de mes illustrés favoris, je l’avais caressé un peu et voyant le bout pointu de son sexe sortir du fourreau, un trouble passager m’avait envahi l’espace de quelques secondes.Ma main en était presqu’au contact quand soudain je pris conscience de ce que je m’apprêtais à faire.Hervé qui était très vicieux masturbait son chien de temps en temps, ça il me l’avait dit, mais Hervé c’était Hervé et moi je ne pouvais pas faire une chose pareille, c’était trop sale !L’animal ne bougea pas quand je le plantais là et couru me réfugier dans ma chambre.Je mis un peu de temps avant de chasser la honte d’avoir eu une telle tentation, mais le propre de la jeunesse étant d’avoir une grande faculté d’oubli, je me replongeai très vite dans l’univers de mes héros préférés.Deux petites précisions pour expliquer la suite : J’étais ce jour là dans ma "tenue de solitude" c’est à dire à peine vêtu, et pour lire j’avais trouvé une position très particulière qui allait très vite m’exposer à un gros danger.A genoux sur la carpette, le haut du corps en appui sur le bord du lit et la tête entre les mains, c’était comme ça que j’aimais lire.Tellement absorbé par une nouvelle aventure, c’est à peine si je me rendis compte de la présence de Moky. Il se fit d’abord discret jusqu’au moment où il vint derrière moi et commença à me renifler les fesses. Dérangé dans ma lecture je le repoussais fermement mais il revînt à la charge avec insistance.Pensant qu’il allait se lasser très vite de ce petit jeu je le laissais faire, quand après la truffe froide une langue chaude et baveuse pris le relais.Je le repoussais à nouveau, mais dans un mouvement brusque le museau de l’animal parvînt à soulever le fin tissu du mini-short, et la langue fouineuse se faufila par l’ouverture.Ce contact direct sur mon intimité me fit sursauter mais aussi.... frissonner très fort, d’autant plus qu’après avoir localisée mon petit anneau, elle s’acharnait dessus.Je trouvais ça dégoûtant, mais complètement bouleversé je découvrais l’extrême sensibilité de ma zone anale.Peu à peu séduite par ces caresses inédites pour moi, je me laissait porter par un plaisir grandissant au point d’en perdre tout contrôle et toute prudence.Dans un geste irraisonné je baissais ma petite culotte, et offrait carrément mon petit cul à cette langue chaude et baveuse, qui semblait tant aimer lui faire du bien.Délicieusement titillé de la sorte, ma rosette répondait par des contractions réflexes, accompagnés de long spasmes qui me remontaient dans tous le corps, surtout quand par moments, de la pointe elle parvenait à s’introduire dans la petite ouverture toute frémissante de ces douces intrusions. Ma jouissance était si forte que quand le léchage s’arrêta brusquement, j’en ressentis une soudaine frustration.Quelques secondes plus tard alors que m’apprêtais à me relever, je reçu une lourde masse sur le dos qui m’écrasa le nez sur le dessus de lit.Le souffle coupé, je me retrouvais fermement ceinturé au niveau de la taille par les deux pattes avant de Moky, dont la masse me couvrait entièrement.Surpris je tentais de me dégager en me demandant ce qu’était ce nouveau jeu, quand je le sentis s’agiter fébrilement dans mon dos.Un jet de liquide qui me paru brûlant m’aspergea le derrière, et pensant qu’il m’urinait dessus je tentais de me dégager, mais en vain.Il grogna sourdement et resserra encore l’étreinte, tandis que d’autres jets plus fréquents et plus abondants explosaient sur mon petit cul qui fut rapidement trempé.La force de l’animal était telle que lorsque qu’il m’attira vers lui je ne pu résister, et lorsqu’une pointe dure et gluante me piqua les fesses pour la première fois, je compris ce qu’il voulait faire.Totalement affolé à l’idée qu’il cherchait à me prendre comme une femelle, tandis que le pointage se poursuivait, de la voix je tentais de le calmer quand la première pénétration se produisit.Ressortie aussi vite qu’il était entré, le bout dur et pointu de sa verge s’était introduit en moi de quelques centimètres m’arrachant un cri de surprise.Sous cette charge soudaine, l’anus tout dégoulinant s’était ouvert sans résister et c’est à peine si j’avais eu le temps de ressentir une légère douleur.A vrai dire c’est surtout dans ma tête que j’avais mal de m’être mis dans une telle situation, et dans l’espoir d’une lassitude de l’animal devant ma mauvaise volonté, j’esquivais de mon mieux toutes ses tentatives, lorsqu’il me pénétra à nouveau.Plus profonde, cette pénétration fut accompagnée d’une forte douleur qui me coupa le souffle et me laissa tremblante de la tête aux pieds.Comme la première fois le membre se retira très vite, mais après quelques "ratages" il s’enfonça à nouveau dans ma petite rosette endolorie.Ce petit jeu durait depuis plusieurs minutes et malgré une légère souffrance très supportable et très localisée, à ma grande honte je commençais vraiment à y prendre du plaisir.Non seulement je n’esquivais plus, mais j’étais presque fâché contre mon "partenaire" quand il ratait son coup.Sentir ce pénis effilé m’entrer dans le derrière ça me faisait de drôles de sensations, d’autant que le liquide du début semblait avoir fait place à une matière plus épaisse et plus visqueuse, qui à chaque pénétration se déversait abondamment en moi.Les dernières réticences abandonnées, je jouissais sans retenue d’un plaisir malsain, quand sur un violent coup de reins le membre de Moky s’enfonça très loin.Incapable d’émettre un son ou d’esquisser le moindre geste, je me retrouvais empalé par quelque chose qui une fois en moi semblait prendre du volume.Ignorant de la morphologie canine, je ne me doutais pas que le sexe d’un chien ne se limitait pas au bout dur et effilé qui m’avait donné tant de plaisir, mais que pour suivre il y avait une hampe épaisse et qui grossissait encore une fois introduite, et ça.... j’étais en train de l’apprendre à mes dépens.Cette fois j’avais mal mais j’étais aussi totalement effrayé par un phénomène que je ne comprenais pas et dont j’ignorais l’issue finale.Cette chose en moi ne cessait de prendre du volume et m’étirait déjà les chairs à la limite de la rupture, j’avais peur de mourir dans d’atroces souffrances mais surtout dans la honte, oui dans la honte.Entre émotion et douleur je perdis connaissance quelques secondes et quand je repris mes esprits, ce fut pour sentir cette chose immonde qui s’agitait frénétiquement entre mes fesses.Dans un réflexe de survie, je glissai une main entre mes cuisses pour tenter de me libérer et ma main se referma sur la base du membre qui me parut énorme, quand tout à coup quelque chose de plus gros encore se mit à gonfler sous mes doigts.C’était comme une grosse boule qui atteint bientôt la taille d’une mandarine, choqué par cette nouvelle découverte et malgré la douleur présente, je me dis à ce moment là que sans le savoir j’ai échappé au pire, car si cette chose était entrée en moi je n’aurais pas échappé à de graves blessures.L’anus distendu à l’extrême et la grosse boule bien calée dessus, je continue à subir sans rien pouvoir faire d’autre.La verge de Moky cesse enfin de grossir et du fait certainement de la souplesse de mes chairs due à mon très âge, les contraintes imposées sont de mieux en mieux tolérées et la douleur s’estompe peu à peu.La sensation de bourrage est énorme, mais je constate qu’en maîtrisant mon souffle, je parviens progressivement à retrouver mon calme et avec ce calme retrouvé une détente de tout mon corps.Du subi à l’acceptation la frontière est parfois mince, et c’est sans m’en rendre compte que je franchis le pas.Dans l’abandon du refus, je commence à ressentir des choses qui viennent d’abord de loin, ce sont des sensations bizarres où se mêlent encore douleur et plaisir, puis le plaisir s’installe de plus en plus nettement jusqu’à devenir plus fort que tout.Je jouis à nouveau d’une jouissance honteuse, mais c’est tellement bon !La bite de Moky ne cesse de déverser son sperme chaud dans mon ventre et moi je jouis, je jouis de son membre qui me transperce et du doux contact de sa fourrure sur mes reins, je jouis de partout.Oui je jouis, et le bruit mouillé de ma rosette largement dilatée qui relâche son trop plein de foutre, ça m’excite et me fait jouir encore plus fort.
Après un long temps de cette délicieuse torture, je vais sentir le cœur de Moky battre dans son membre pendant qu’il se dégonfle, et lorsque d’un trait il va se retirer, un flot de sperme va se répandre sur mes cuisses et jusque sur le sol.Comme un agréable retour à la case départ, juste après ma libération, Moky va longuement me lécher les fesses et on va se quitter pour cette fois.Épuisé, griffé, le derrière endolori et encore tout poisseux de bave et de jus de bite, après le départ de Moky je vais me jeter sur mon lit pour reprendre des forces, et quand à mon réveil je vais constater avec soulagement que mon petit anneau bien qu’un peu tuméfié et un peu plus souple qu’avant à pratiquement repris son aspect normal........je me suis dis que pourquoi pas de temps en temps....... ça ne ferait de mal à personne, et puis maintenant que j’en savais un peu plus il me serait plus facile de mieux contrôler les choses et de prendre davantage de plaisir.Pour la petite histoire si Moky à été mon premier amant, son maître fut le second quelques années plus tard, mais j’ai toujours préféré Moky à Hervé, et oui c’est comme ça.....
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