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Vice-versa

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Une semaine s’est écoulée depuis notre weekend de plaisir avec Sandrine et Marc. A cette occasion, nous avons joué au GOUT DU JEU et il faut bien reconnaître que ce fut des moments vraiment divins. A la fin de cette aventure Anne avait demandé à Jean-Philippe de lui organiser une récompense pour la remercier des instants inoubliables qu’elle avait su concevoir ...

Episode n°1 : La récompense

Une semaine s’était écoulée depuis notre weekend avec Sandrine et Marc. Après leur départ, j’avais promis à Anne, de lui concocter une récompense afin de la remercier plus chaudement pour la belle surprise qu’elle avait su me faire. J’ai du longuement réfléchir, en sachant qu’elle avait placé la barre très haute, notamment en organisant cette escapade dans le donjon. Il était donc essentiel que j’imagine à mon tour un scénario original et surprenant.
Comme tous les mercredis après-midi en rentrant de mon travail, je me gare devant la maison, lorsque Marie, notre voisine, me fait un grand signe. Je coupe le moteur, rassemble mon fouillis, l’engloutis dans mon sac à main et descend pour venir à sa rencontre.
— Bonjour Marie ! Comment vas-tu ?— Bonjour Anne ! Bien merci ! Ce matin le facteur est passé chez toi pour déposer un colis. J’étais sur le pas de ma porte et comme tu n’étais pas là, je lui ai proposé de te le garder. Il a été sympa, il a accepté et j’ai signé pour toi. J’ai bien fait, j’espère ?— Tu es adorable, Marie ! Merci, en plus avec tout le ménage que j’ai à faire aujourd’hui, franchement ça m’arrange bien !Marie me tend un grand paquet enveloppé dans du papier brun et ceint par une ficelle.— Je me demande bien ce que ça peut être, je n’ai rien commandé ces derniers temps pourtant ! Mais bon, peut-être que Jean-Philippe l’a fait et a oublié de m’en parler. En tous cas, merci. Mais au fait, tu ne travailles pas aujourd’hui ?— Non, le gamin m’a fait une fièvre ce matin, alors j’ai préféré le garder à la maison.— Pas grave j’espère ? — Non, ça va ! Mais en ce moment avec le début de l’été et les changements parfois brusques de température, il a du prendre un coup de froid. Tu sais bien, les gamins ça ne sait jamais se couvrir quand il le faut ! Me répond Marie, l’air désolée.— Oui, il faut bien que jeunesse se passe, dis-je en riant.— Bon sur ce ! Je vais me coller dans mes corvées ! Bonne journée, Marie ! Et encore merci !— Bon courage pour le ménage ! Dit-elle en souriant, compatissante.
J’entre dans la maison en me demandant ce que peut bien contenir ce colis. Généralement, quand nous faisons des achats, nous nous le disons. Comme je n’ai rien commandé, c’est forcément Jean-Philippe qui l’a fait. Je retourne le paquet pour lire le nom de l’expéditeur et rien n’est indiqué. Je vais chercher la paire de ciseaux et déballe sans tarder la boite mystérieuse. Il s’agit d’un grand carton, à l’intérieur duquel, dans du papier de soie, je trouve un bel imperméable beige, visiblement bien coupé, une paire de bas résilles noirs, de belles chaussures noires à talons, un superbe porte-jarretelles et un soutien-gorge assortis. Ce dernier est tellement minimaliste, que je me demande ce qu’il pourrait contenir, même si je dois le reconnaître ma poitrine n’est pas opulente, mais tout de même. Logé sur le coté du carton, se trouve un sachet contenant une magnifique perruque brune avec des cheveux mi-longs, et un autre petit carton. Je l’ouvre et y découvre : un œuf vibrant radiocommandé, un collier en cuir, incrusté de plusieurs strass et muni d’un anneau, une laisse en métal couleur argent, ainsi qu’un petit gode anal, comme j’en ai déjà vu sur internet, un Rosebud, je crois. Lui aussi est en métal argenté, brillant et vraiment très mignon. Je reste perplexe devant tout ça. Je reprends le papier d’emballage, pour vérifier que ce paquet m’est bien destiné, pourtant c’est bien mon nom et mon adresse qui sont inscrits. En poursuivant l’inventaire de la boite à malices, je trouve coincé tout au fond un papier plié.


« Anne, ce soir tu vas être ma chienne soumise, aussi lorsque je rentre, je veux te trouver habillée avec tout ce que contient ce colis, et uniquement avec cela. Tu te seras soigneusement préparée. Tu auras placé l’œuf et le Rosebud comme il se doit. Je te veux prête et offerte. »

Surprise, je m’asseois et regarde ébahie tout cet attirail étalé sur la table. Sur le moment, j’avais en tête toutes les corvées que je devais faire, mais le flot érotique qui me traverse l’esprit à cet instant me fait vite oublier tout ça. Je pensais qu’il avait abandonné cette idée, puisqu’il ne m’en avait plus reparlée. Mais là, je constate qu’il n’en est rien. Sans plus attendre, je vais essayer ma nouvelle tenue. Je file dans la salle de bain.
Pendant que l’eau de mon bain coule, je me dévêts en songeant au nombre de fois où je me suis caressée en rêvant d’être soumise. Chaque fois, j’ai ruisselé de plaisir et la jouissance fut intense. Je me glisse dans l’eau chaude, appuie ma tête contre le bord de la baignoire, et me laisse porter par mes pensées inavouables. Ma curiosité naturelle me pousse à tenter d’imaginer ce que mon Maître a bien pu prévoir pour moi. Mille choses me viennent à l’esprit, toutes plus vicieuses les unes que les autres. Ce ballet incessant d’images finit par me réchauffer le ventre, et mes mains plongent dans l’eau pour caresser mes seins. Mes tétons durcissent. Je les pince délicatement, tout en faisant courir mes doigts vers mon sexe. J’effleure ma fente qui déjà pleure de plaisir. Je reste de longues minutes les yeux fermés, me projetant un véritable film à sketchs. Les noms des acteurs de ce film ne figurent au générique que sous un seul nom : inconnu. Le héro est mon Maître et je suis son objet sexuel. Mes doigts ont délicatement torturés mon petit bouton et je me sens prête à recommencer lorsqu’au bout d’une heure, j’ai déjà joui deux fois.
L’eau s’est refroidie, je frissonne, je décide de terminer rapidement ma toilette. Une fois les extérieurs et intérieurs rutilants, je sors de la baignoire, me sèche et m’habille avec tous les atours que mon Maître a prévus. Je me regarde dans la glace, fixe la perruque et dessine un léger maquillage pour devenir « la soumise ». Le collier est ravissant, j’aime le voir autour de mon cou, marquant ainsi mon appartenance. Le soutien-gorge juste à ma taille remonte mes seins d’une façon vraiment sensuelle et laisse mes tétons offerts. Le porte-jarretelles et les bas sont très seyants et se complètent bien avec ces chaussures. Elles me font prendre au moins cinq centimètres de plus. Franchement, ça me plait bien, j’ai toujours rêvé de me faire allonger les jambes. J’enfile l’imperméable et là ! Faut bien l’avouer, je trouve que je fais pute ! J’éclate de rire devant le miroir. Je m’amuse plusieurs fois à ouvrir et refermer l’imperméable. La situation extravagante dans laquelle je me trouve me plait réellement. Je ne saurais pas dire si toute femme un jour rêve de se sentir ainsi un objet, une prostituée d’un soir, mais là au delà des convenances, j’avoue que j’adore ça.
Jean-Philippe devrait rentrer dans une demi-heure. Je décide donc de placer sans tarder l’œuf et le Rosebud dans mon intimité. Avec l’aide d’un peu de lubrifiant pour mon petit anus, je suis surprise de voir que le mini-gode trouve son chemin facilement. Pour l’œuf, je n’ai besoin d’aucun secours tellement mon minou est déjà trempé. Je marche un peu avec mes nouvelles chaussures pour voir si tout cela tient bien en place et à mon grand plaisir, les intrus me procurent une sensation, étrange, très agréable à chaque pas que je franchis. Comme dans un défilé de mode, je passe et repasse devant la glace. La perruque me va vraiment bien et me donne une image de moi totalement différente. Je me sens une autre. Je me sens « la soumise », l’objet, celle qui va se donner sans retenue, sans contrainte, sans état d’âme, mais avec une seule cible : servir mon Maître.
La clé tourne dans la serrure de la porte d’entrée ...

Episode n°2 : En fille de joie
— Ouah ! Tu es splendide ! Je vois que tu as bien respecté mes consignes. Tu es vraiment sexy ! Vas-y, ouvre ton imperméable que je vois un peu le reste !
Sur place je tourne doucement tout en écartant les pans du long vêtement. Je vois dans ses yeux une lueur lubrique qui me fait frissonner. Je recommence encore pour qu’il puisse bien apprécier tous les détails de ma tenue. Je me sens une autre. Il me regarde comme une étrangère.
— Je te plais, Maître ? Dis-je en souriant d’une voix hésitante.— Parfaite ! Tu es transformée ! J’aime voir ta toison exposée et offerte à tous les regards, me répond-il en avançant sa main vers ma chatte.— Hum ! Je vois que tu es déjà mouillée ! Ça t’excite d’être une chienne soumise ! Reprend-il en glissant ses doigts chauds entre mes lèvres humides.
J’écarte un peu mes jambes pour lui faciliter l’accès à mon intimité. Je baisse les yeux, un petit sentiment de honte m’envahit une fraction de seconde. Je n’ose pas avouer que c’est vrai, cette tenue me provoque un plaisir sur lequel je ne saurais pas mettre de mots précis, une espèce de satisfaction un peu perverse, mais d’une intensité inhabituelle.
— Bon ! Il est 21h00, tu vas te rendre pour 22h00 précise, à l’hôtel Campanile qui se trouve rue de la France. Tu m’attendras devant la porte de la chambre 449. Tu restes habillée comme tu l’es maintenant, dit-il sur ton qui ne laisse pas beaucoup de place aux questions.
Je suis surprise par cette demande. Je m’attendais à ce que nous fassions l’amour ici dès maintenant. Je reste silencieuse tout en scrutant son regard. Devant mon étonnement évident, il reprend :
— Tu ne seras pas déçue, crois-moi ! Termine de te préparer ! Ne sois pas en retard, sinon il t’en cuira !
Me laissant pantoise, frustrée, debout à moitié nue, il va dans la chambre, revient quelques instants plus tard avec un sac de voyage et sort de la maison. J’entends le moteur de sa voiture s’éloigner.

L’adresse où je dois me rendre n’est pas très loin de la maison, aussi ai-je un bon moment devant moi avant de prendre la route. Je me sers un gin tonic et m’installe dans le canapé, ce qui subitement fait que le rosebud se rappelle à mon bon souvenir en me pénétrant plus profondément. La sensation fait instantanément redémarrer ma boite à images. Je ne peux pas m’empêcher d’essayer de deviner ce que mon Maître a bien pu trouver pour moi ce soir. Peut-être ne veut-il que tout simplement faire de moi sa soumise dans un lieu autre que la maison, après tout. Non ! Le connaissant, ça m’étonnerait qu’il ne se limite qu’à cela. Les minutes défilent et je dois bien reconnaître que je ne parviens pas à me faire une idée. Je décide donc de partir tranquillement pour me rendre sur place.
Je ferme à clé la maison et monte dans ma voiture. La route n’est pas compliquée, je sais où se trouve cet hôtel. Après quelques kilomètres, j’arrive sur le parking de l’hôtel, il est 21h55. Pour une fois je suis à l’heure, me dis-je fièrement. Je descends de ma voiture, verrouille les portières, lorsque soudain je réalise que la tenue que je porte risque de ne pas passer inaperçue. Un moment d’effroi me saisit. Je tire les deux pans de l’imperméable et découvre à cet instant qu’il n’y a ni boutons, ni ceinture sur le vêtement. C’est curieux, je n’avais pas remarqué ce détail en le mettant. Tenant mes bras croisés devant moi, j’avance vers le bâtiment. Une allée bordée de pelouse chemine jusqu’à un escalier en colimaçon. Une pancarte indique : Chambres de 400 à 449, quatrième étage. Les chambres sont réparties sur quatre étages et les portes sont desservies par un couloir à tout vent, cerné par un muret servant de rambarde. Je monte doucement l’escalier pour éviter que mon imperméable ne dévoile mes fesses nues.
Lorsque j’atteints le quatrième étage, je vois un homme accoudé à la balustrade entrain de fumer une cigarette. Il se tourne vers moi et me décoche un large sourire. Très gênée, je me contente de passer devant lui en l’ignorant pour atteindre enfin la porte 449. A chaque porte de chambre est accolée une fenêtre munie d’un rideau. Je me penche un peu pour regarder à l’intérieur de la pièce, mais aucune lumière n’est allumée, pourtant le jour commence sérieusement à décliner. Le rideau me masque la vue. Je frappe discrètement à la porte en priant que la porte s’ouvre très vite, car je sens le regard libidineux de l’homme posé sur moi. Aucun bruit, pas de signe de vie dans la chambre. Etonnée, je renouvelle mon toc-toc. Quelques secondes passent et toujours rien. Ce n’est pas dans les habitudes de Jean-Philippe d’être en retard. L’homme s’approche de moi. Je reste le regard fixé sur le battant de la porte.
— Alors ma jolie, ton client t’a fait faux bond ? Dit-il avec un air goguenard.
Je me sens devenir écarlate, je me tourne vers lui. Ses yeux verts rieurs lui donnent un air plutôt séduisant. D’allure sportive, il est grand, mince et son visage un peu carré de quarantenaire lui confère un certain charme. Des cheveux bruns grisonnants, très courts, viennent compléter le style bobo du monsieur. Bon, j’avoue il est pas mal ce type !
— Non ! Du tout ! Mon mari devrait être déjà-là ! Mais sûrement est-il un peu en retard, dis-je d’une voix enrouée et mal assurée.
Il plante ses yeux dans les miens, à cet instant je sais qu’il ne croit absolument pas à ce que je lui raconte. Il est vrai qu’ainsi vêtue comme une fille de joie, je donne plutôt l’illusion d’être une marchande de charmes. Il continue de tirer sur sa cigarette tout en me détaillant. Ne sachant quelle conduite adopter, quelle contenance avoir, je plonge ma main dans la poche droite de mon imperméable pour saisir mon paquet de cigarettes. Le fait de décroiser les bras, aussitôt les pans du vêtement s’entrouvrent et l’homme placé juste devant moi ne perd rien du spectacle. Il a une vision totale de mon anatomie dénudée. Perturbée, je laisse échapper le paquet de cigarettes à ses pieds. Je mets mon bras gauche sur mon ventre pour refermer mon frêle paravent, me baisse pour ramasser le paquet, à ce moment là c’est mon genou qui glisse entre les deux morceaux de tissu et dévoile ainsi ma cuisse nue gainée de soie. Je m’empresse de saisir le capricieux paquet de cigarettes, me redresse, et lève les yeux vers mon spectateur. Il affiche un sourire à la fois tendre et amusé.
— Vous êtes vraiment charmante, vous savez ! Et si d’aventure votre "MARI" (en instant) ne vient pas, je me ferais un plaisir de le remplacer. J’aime beaucoup de collier que vous portez ! dit-il sur un ton plein de sous-entendus.
J’avais complètement oublié le collier. La panique me gagne. Je me sens totalement mise à nue par cet homme qui ne cesse de m’observer. En même temps, cette exhibition involontaire devant lui génère en moi un trouble bizarre. Je garde mon bras sur mon ventre et machinalement porte ma main droite vers mon collier. Il continue à garder ses yeux fixés sur moi, je me sens détaillée, auscultée.
— Allez, détendez-vous ! Ce n’est pas la première fois que je vois une femme, vous savez ! Dit-il avec douceur en riant.
Sa réflexion m’arrache un sourire malgré moi. Il sort son briquet et l’approche de la cigarette que je me suis machinalement accrochée aux lèvres en oubliant de l’allumer. Sa main se met en coque autour de la flamme pour la protéger, nos mains se touchent, j’aspire une bouffée qui remplit mes poumons et m’apaise aussitôt. Sans prendre garde, je recrache ma fumée vers son visage. Il fronce les yeux, mais ne perd rien de son sourire.
— Bien ! Vous commencez à retrouver le sourire ! Ca va mieux ?— Oui, merci. Je pense que mon mari ne va plus tarder, du moins je l’espère !— Une petite fête en perspective peut-être ? Demande-t-il curieux.— Disons, qu’il s’agit d’un moment privilégié, dis-je sans réfléchir.
Lentement je me sens un peu plus en confiance avec cet inconnu si avenant. Je vois bien que c’est un séducteur. Etre aussi dévêtue sous mon manteau, sachant qu’il le sait pertinemment, le rosebub toujours au fond de mon anus et l’œuf dans mon sexe sont autant de stimulants qui commencent à me faire ressentir quelques remous intérieurs. Des images fugaces me traversent l’esprit.
— Voudriez-vous me remontrer ce que cache votre imperméable, me dit-il en vrillant son regard dans le mien.
Devant son audace, je reste béate. Il est quand même culotté ce gars, me dis-je. Mais parfois, nous faisons des choses bien réfléchies, bien pensées, maturées et puis d’autre fois nous agissons sans aucune retenue. Et bien là ! C’est sans aucune pensée que j’ouvre mon imperméable et lui laisse voir ma nudité. Je le regarde avec insolence droit dans les yeux. Il détaille mon corps de haut en bas, s’attarde d’abord sur mes tétons érigés, puis sur les poils châtains de ma chatte. Je le laisse nourrir ses fantasmes quelques instants avant de refermer mon imperméable. C’est son tour de rester sans voix. Je suis contente d’avoir eu le dernier mot.
— Vous êtes magnifique ! Vous venez de me mettre le feu, vous en avez conscience au moins, dit l’inconnu la voix troublée.— J’espère bien ! C’était le but, dis-je en riant.— Vous prenez combien pour aller plus loin ? Demande-t-il
Interloquée, je demeure les yeux fixés dans les siens, ne sachant que répondre à l’incongruité de sa demande, prise au dépourvu, mais ne voulant pas lâcher de terrain, je réponds du tac au tac.
— Vous devez voir ça avec mon Maître !— Bien ! Je le trouve où, ton Maître ? Dit l’inconnu adoptant immédiatement le tutoiement.— Il devrait déjà être là !
Maintenant il sait. Une lueur d’excitation brille au fond de ses yeux. Il me désire, il me veut, je le sens. Mon corps réagit sans contrôle, ma chatte mouille, mon ventre chauffe, mon cerveau bouillonne d’avoir osé aller si loin. Je sais déjà que mon Maître va être content de moi. Mais l’excitation croissante est mélangée à l’angoisse. Cette idée d’être une fille de joie me transcende et m’apeure en même temps. Je baisse les yeux et aperçois une bosse très révélatrice qui déforme son pantalon de jogging. Je ne peux pas résister, j’imagine ce membre dressé, mes yeux sont rivés sur le sexe de cet homme.
— Tu m’as l’air bien intéressée par ma queue à ce que je vois ! Elle te fait envie, avoue-le !
Toujours hypnotisée par ce que j’imagine, je hoche la tête et lâche :
— Oui, c’est vrai ...
Je sursaute lorsque la porte de la chambre 449 s’ouvre. Mon Maître est là, debout devant moi dans l’encadrure de la porte, il me regarde :
— Mets ce bandeau ! Entre, petite salope ! M’intime-t-il en me tendant un bandeau noir.
Tellement surprise de le voir, mon cerveau se fige. Sans rien dire je passe le masque et me laisse guider vers l’intérieur de la chambre 449.
A suivre ...
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