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Vicieux et fier de l'être

Chapitre 2

Divers
La semaine suivante. La semaine a été bonne, rien à dire de c’côté. J’ai envoyé des p’tits messages à la belette, histoire de la tenir au chaud. A ma demande, par exemple, elle a été faire un pt’it tour dans un sex-shop de R. pour ach’ter des boules de geisha et un gros gode. Ca va la détendre ! En plus, a m’a donné le nom d’un vieux bougre qui lorgne sur elle depuis un bout de temps et qu’a rencontre, dès fois, en ville, à la mairie où dans des tucs comme ça, un nommé BRAMOUT, un quasi octogénaire, un veuf crapuleux qui vit dans une petite maison isolée à la sortie de V. et qu’aurait tendance à la serrer de près à la moindre occase. Je connais ce bled et la réputation de l’ancien. Si le bras est mou le reste, d’après ce qu’on dit dans le patelin, est encore bien dur ; enfin, y parait, c’est ce qui s’dit ! On verra si c’est vrai ou si c’est des conneries, tout ça.Dans l’courant d’la semaine, j’y ai dit de passer à l’hôtel pour poser les deux rédacs, dans une enveloppe fermée, sur l’bureau à Momo. Elle a posé ça d’ssus et pis elle, a l’a passé d’sous. L’autre vicelard a pas pu résister à l’envie d’s’faire tailler une pipe et lécher les couilles, en douce.Moi, c’est la pleine forme. J’ai déchiré à l’entrainement. Ca a cartonné, a dit l’coach. Y a eu un peu d’boulot, juste ce qui faut, et pis un p’tit paquet a tombé au PMU au bon moment et, le jour J à l’heure h, j’étais dans la chambre avec les deux rédacs en main. J’ai lu ça. C’est bien, je vais finir par aimer bouquiner, si ça s’trouve. A l’a fait ça sur son ordi. Tant mieux. Y a pas à dire, elle écrit mieux qu’moi. On a pas vraiment le même style. Bon, j’admets, c’est pas difficile. Moi, je suis plutôt du genre manuel ou « castor », si vous voyez ce que j’veux dire.J’ai commencé à lire. Putain ! C’est ouf ! Je résume : Elle a fait le taf avec pépère qu’a trouvé ça sympa et profité de l’appétit de sa meuf pour lui en foutre partout su vous voyez ce que j’veux dire.Il a d’abord eu droit à un striptease des familles pis à une séance photos gratinée, bientôt, j’’vais le avoir en main, puis à une pipe gourmande et la garce a avalé la fumée, à genoux d’vant lui, sur le tapis. Mort de rire en imaginant le tableau. Il a r’demandé l’lendemain et a l’a r’mis l’couvert, sans moufter. Y doit s’dire qu’y a du chang’ment. A mon avis, a va devoir continuer un bon bout d’temps.Elle précise, en conclusion de sa rédaction, qu’elle a « un peu apprécié » de faire tout cela avec son bonhomme, puisqu’ « elle en a été excitée ». « Mes petits messages, mes exigences l’émoustillent » et « elle attend notre prochaine rencontre » ; moi aussi, j’attends, t’inquiète ma poule !. L’autre rédaction ne me surprenait pas trop non plus. Je reprends ces mots : «angoisse », « découverte du plaisir charnel ». Là, j’vais recopier des mots à elle…Elle « souligne l’intensité de ses jouissances, sa peur lorsqu’elle avait dû aller sucer le vieux cochon et son humiliation lorsqu’elle a dû s’agenouiller sous le bureau pour pratiquer une fellation à cet inconnu ». En clair, les copains, elle attend de remettre le couvert avec Momo: le « fantasme de prostitution ayant bel et bien pris le dessus ». Et bien, c’est bon ! On va faire ce qu’il faut pour t’faire plaisir, ma jolie. Faut surtout pas t’inquiéter pour ça.Elle est arrivée à l’heure, habillée comme j’ai demandé au téléphone, toute en noir, avec bas résilles, pour bien faire salope. « Le concierge lui a dit « à tout à l’heure » en clignant de l’œil » quand elle a passé devant lui et elle a rougi. Debout, devant moi, elle tremble encore en me racontant ça. J’ai bien rigolé. « On va le faire mariner dans son jus, y peut attendre un peu, et t’iras lui faire un p’tit coucou tout à l’heure. On est pas aux pièces ! » Elle a rien dit. « Avec pépère, t’as fait ce qui faut. Là-dessus, rien à dire ! Et t’as pris ton pied, pas vrai ? C’est bien ! C’est un beau début. Y faut continuer sur c’te lancée et ce soir, note bien, au menu, tu mets : striptease crapuleux, sucette baveuse et après, tu t’fous à quatre pattes et tu lui d’mandes gentiment d’te fourrer par le cul. Entendu ? Faut qu’y soit heureux en ménage, pépère. Et avec guignol, on en est où? » Elle était écarlate et fixait ma cagoule. « J’ai rompu, monsieur ! » « Bien ! Une bonne chose de faite. Autre question, tu t’es branlée? » « Oui, monsieur ! »« T’as fait ça souvent ? » J’ai rigolé un coup car elle avait honte. Elle est d’venue toute rouge.« Oui, monsieur, tous les jours ! » « En pensant à moi, j’espère ? » « Oui monsieur ! » J’ai ricané : « Et pourquoi donc ? A cause des boules et du gode mahousse ? Parce que ça fait du bien ?» Elle a baissé la tête encore un peu plus et dit tout bas. « Parce que j’avais envie de vous retrouver. J’ai eu tellement de plaisir. Je n’ai cessé de penser à vous. » « Ca, c’est gentil et pis, ça vient du cœur. Alors, finalement, t’es contente d’être là ? » « Oui, monsieur ! » A ma pogne, elle est à ma pogne. Super !
Bon, faut juste vérifier. « Bien, tu poses ton sac sur la p’tite table et tu descends sucer la bite à Momo qu’on soit tranquille avant qu’on s’occupe de toi comme tu mérites. » Elle a rien dit, rien du tout. Elle a posé son sac et est descendue remplir « son office » comme elle dit dans la rédac. Bientôt, c’est ses orifices qu’on va remplir. J’ai ricané. Elle est r’venue une quinzaine de minutes plus tard. J’ai juste eu l’temps de bien recopier le répertoire de son téléphone sur l’ordi, comme le collègue m’a montré. Elle a d’mandé à pouvoir aller dans la salle de bain pour s’laver la bouche. J’ai fait un p’tit signe de la main. « Permission accordée ! » Lorsqu’elle est r’venue devant moi, elle a raconté comment ça s’est passé. Une pipe baveuse, bien à fond, banale quoi ! En fait, y lui baise la bouche, ce vicelard. Y sait pas c’qu’est bon et y gâche la marchandise; il est con ou quoi ?« T’as aimé? » « Non monsieur, car il n’est ni jeune, ni beau, ni propre, et en plus, il fait cela de manière parfaitement brutale. Il est ignoble ! » J’ai rigolé rien quà sa façon de causer: « Tu sais pas, c’est ça qu’est bon. Comme tu le f‘ras à chaque fois, tu vas finir par y prend’ goût ! En plus, j’le sais, pour avoir lu la rédac, ça t’botte. Par contre, j’vas lui faire la leçon pour qu’y t’laisse faire gentiment plutôt que d’y aller comme un clébard. D’accord ? Ca t’va comme ça ?»Elle avait l’air contente. Elle m’a souri. Y faut pas quand même grand-chose pour leur faire plaisir. Merde, j’allais oublier : « Ah oui, cette semaine, tu passes un coup de fil à BRAMOUT pour prendre rendez vous. Faut c’qui faut et çui là, j’le connais suffisamment d’réputation pour savoir qu’il est plus malin que l’concierge et qu’avec lui, tu vas pas t’ennuyer, c’est sûr ! !» Elle a tiqué un peu et a baissé les yeux. Elle était comme tassée, d’un seul coup. « Alors, ça va pas ? Y a que’que chose qui coince ? » Elle a baissé la tête. « Non, monsieur ! » J’ai ajouté en ricanant un bon coup : « J’admet, ça va p’tet être un peu dur, au début, mais après, tu vas t’y faire et y r’venir! Alors ? » Elle avait toujours la tête baissée : « Oui, monsieur ! » « Y faudra bien m’raconter tout ça dans une rédac, ok ?» Elle a hoché la tête. Qu’est ce qu’on ferait pas pour avoir l’droit de prendre son pied, tout de même !« Maintenant, montre comment qu’tu t’es sapée.» D’entrée de jeu, j’avais décidé de la tutoyer pour la tenir en main. Faut jamais laisser filer la bête, les gars.Elle est v’nue d’vant moi, à 1m. A sentait bon. « Allez ! On y va, maintenant ?» Elle s’est reprise rapidement et s’est redressée: «J’ai choisi de porter un tailleur noir avec une jupe cintrée de chez « LAVANTI », un chemisier de soie noire du même tailleur milanais, un soutien-gorge, un slip et un porte-jarretelle noirs en dentelle fine. J’ai mis des bas noirs à résille, comme vous l’avez demandé, et des escarpins noirs à très hauts talons. » J’ai pas tout pigé mais elle est top sexy, hyper bandante. Pas le genre à aller faire l’herbe aux lapins, celle-là. Le reste, on s’en fout. Même en repassant le film, j’ai pas tout compris à ce qu’elle a dit! Elle avait choisi sa t’nue pour m’faire plaisir, ça j’avais noté. A voulait faire plaisir à Gégé, en somme ! « Parfait ! Tourne-toi, qu’on puisse voir tout ça ! Oui ! Voilà, comme ça ! Allez, viens sur mes genoux et montre tes p’tites photos de famille. On va r’garder ça ensemble.» Elle a sorti une enveloppe de son sac à main et a l’est v’nue poser son cul sur mes genoux. J’ai ouvert sa veste et lui ai demandé de l’enlever. Ca servait plus à rien et pis autant jouer un peu avec ses nichons en r’gardant ses photos cochonnes. « C’est quoi l’parfum? » « Loulou ! Monsieur. » « Hum, connaît pas ! Y sent bon ; Pépère et BRAMOUT vont t’baver d’ssus! Allez, montre tes photos qu’on s’excite un peu ! » Elle a sorti les photos. Des photos d’elle, habillée, puis à poil, debout, de face de dos, à genoux, sur l’ventre, sur l’dos, la bite de pépère en bouche ou en main, sur le tapis, jambes écartées et relevées. Une autre série, à quatre pattes, à moitié à poil puis avec le cul et la rondelle, en gros plan. Une dernière série, la bouche pleine, la langue tirée, où elle fixe l’objectif. Là, j’l’r’connais, c’est pas mal pour un début ! C’est ce que j’lui ai dit en lui pelotant les nibards.« J’vais les garder pour moi. Ce soir, faut faire une série plus porno. Là a sont bien, mais ça reste léger. T’as vu, c’est facile ! Il a aimé, non ? » Elle était au bord des larmes. « Oui, monsieur, je ne l’avais jamais vu aussi excité. » Je lui ai tapoté l’dos, doucement. « Allons, allons, on se calme. A va pas nous faire une crise pour quelques photos, tout d’même ? »Elle a hoché la tête.« Allez, r’tire le ch’misier ! »Elle a fait comme j’ai demandé. J’ai peloté ses nichons par dessus le soutif pour la chauffer un peu. « T’as vu, y faut pas grand-chose pour faire plaisir à un bonhomme! C’est pas compliqué! Alors ce soir, au programme, comme j’t’ai dit, photos pornos. Après, à Pépère, tu lui d’mandes de t’filmer en action pendant qu’ tu fais ta séance d’exhib, la pipe avec léchage des couilles, et pis après, comme j’ai dit, tu t’fous à quatre pattes pour te faire enculer, et ce s’ra fini! Suffit d’lui demander gentiment ! Tu vois, rien de bien méchant ! Ya pas de quoi faire la nerveuse ! Compris ? » Je voyais des larmes couler sur ses joues. Je sais, sur c’coup là, j’ai été un p’tit peu dur mais faut ce qui faut. Si tu laisse mollir, la mayonnaise tourne, c’est comme ça.La preuve, elle a répondu : «Oui, monsieur ! », après que j’lui ai roulé une pelle. Pas facile avec la cagoule mais là, c’était le moment ou jamais! Il faut que je l’adapte celle-là, je vais demander à ma logeuse !« On s’est calmée ? On va pouvoir continuer ? »Elle a hoché la tête. « Allez, vire le soutif ! En récompense, Gégé va s’occuper tes p’tits nichons ! Ca te va ?» Elle a dégrafé son soutien gorge et j’ai pu tripoter ses tétons. « T’aimes bien quant on t’fait ça ? » Elle se mordait la lèvre inférieure ; « Oui, monsieur, c’est très bon! » J’ai ricané. Elle a rougi. J’ai appuyé sa tête vers moi pour qu’elle me roule encore une pelle et ma main est venue se fourrer sous sa jupe. Elle a frémi. J’ai senti un gros frisson envahir son dos. « Tu aimes? » Elle a hoché la tête. « Oui monsieur ! » « Alors écarte un peu, faut qu’ça passe mieux ! J’ai de grosses mains ! »Ma main est allée plus haut. Elle retenait sa respiration. J’ai touché sa fente. J’ai fait ce qui faut pour la chauffer. Elle a commencé à bien mouiller. A l’avait pas mis d’culotte. J’lui avais dit que c’était pas la peine.« Bon, allez, a va s’mettre debout et faire tomber sa robe pour montrer à Gégé c’qu’a va faire comme cochonnerie pour pépère, ce soir ! Allez, on y va! »« Oui, monsieur ! » Elle a retiré sa jupe et a commencé à bouger comme sur une piste de danse, les deux mains sur les nibards, les hanches ou le ventre et son regard se troublait, peu à peu. Moi, je matais le tableau, ses jambes, ses cuisses sous la fine résille de ses bas de pouffiasse. Elle aime ça, danser et jouer la pouffiasse, je le vois bien. « Elle s’en étonne elle-même, » qu’elle a écrit. « Prout prout ma chère ! »« Bon...Y a d’l’idée ! Tu fais la même chose à pépère, mais en plus cochon parce que là tu nous joue ta timide! Allez, à g’noux et viens t’occuper d’ma bite !» Elle s’est mise à g’noux d’vant moi. « R’garde-moi dans les yeux ! Ca te plaît tout ça, pas vrai? » Elle m’a regardée dans les yeux. « Oui, monsieur, ça me rend folle. » « Bien, et avec BRAMOUT, a f’ra quoi? » Elle a baissé les yeux pour fixer la bosse qui déformait mon jean puis a répondu : « Je ne sais pas monsieur, ce qu’il va demander, je crois ! » Ca, ça veut dire qu’elle est ok pour aller faire un tour chez l’ancien. Gagné ! C’est tout bon, ça ! Elle a défait mon ceinturon, baissé mon froc, mon caleçon (ça y est, elle a pris le pli) et r’gardé ma queue avant de la porter à ses lèvres. Je l’ai laissée faire c’qu’a veut. « A te plait, ma queue? » « Oui, monsieur ! Elle est douce et dure ! » « Fait une pt’tite léchouille sur l’casque ! » C’est mignon comme tout un bout de langue qui s’promène l’à d’ssus.« A sent bon ? Tu la veux ? » « Oui monsieur ! » « Vas-y suce! Montre à Gégé si t’as fait des progrès! Profite, c’est gratuit! » Elle a hoché la tête, la gourmande et a pris ma bite en bouche. D’une main posée sur sa tête, j’ lui ai donné le rythme. Après, faut les laisser faire un peu, qu’a s’amusent. « Dis donc toi, t’aurais pas r’gardé des films de cul cette semaine ? » Elle a levé la tête pour répondre. « Oui, monsieur, sur internet ! » « J’m’en doutais, vu la manière dont tu t’y prends ! C’est une bonne idée, faut continuer, ça instruit ! Montre c’que t’as appris en r’gardant ces cochonneries ! » Elle s’est r’mis sur la pièce et a fait tourner la langue sur le casque à popaul pour bien me faire voir. « Continue, ça fait du bien, et après on va aller sur le lit pour que Gégé y s’occupe de toi! » J’avais bien l’intention d’en profiter. La pleine forme, j’vous dit ! ... Dix minutes après j’ai tapé dans les mains « Allez ! Sur l’lit ; montre comment qu’t’excites un mec! » Elle est allée sur le lit pendant que j’me suis dessapé. J’l’ai pas quitté des yeux. Elle a bougé comme y faut pour donner son cul, ses seins à voir, et je ne voyais plus qu’ça ....J’en prenais pour la journée.Elle était en porte-jarretelles et bas résille, à quat’ pattes, un peu comme l’autre jour. Je lui ai claqué le cul. Une bonne claque qui l’a fait couiner et sursauter. J’ai rigolé un bon coup : « Viens là, salope ! va falloir t’occuper d’Gégé! T’aimes quand on t’traite de salope ? » « Oui, monsieur ! J’aime bien !» Une autre claque sur l’cul ! « Elle est à qui la salope? » Ma main est passée entre ses jambes. Elle mouillait. Alors, les gars, c’est qui qui a raison ?« A vous, monsieur !» J’me suis allongé à côté d’elle. A genoux sur le lit, elle est venue sucer mon zob. J’en ai profité pour lui apprendre à lécher une paire de couilles, comme y faut, et pas comme certaines que je nommerais pas, et pis, en douce, j’ai relevé mes jambes le plus possible pour qu’elle me fourre sa p’tite langue, mouillée et bien chaude dans le cul. Elle y est venue doucement, sans problème. Elle en gémissait de plaisir. « C’est la première fois qu’tu fais ça? » « Oui, monsieur ! » « Et t’aimes ça dis donc? » « Avec vous, oui monsieur ! » « Tu vas l’faire à pépère? » « Non, monsieur, s’il vous plaît !» Elle tremblait de peur. Ca m’a bien fait rigoler.« Avec Momo alors, à moins qu’tu préfères faire ça à Bramout ?» Elle a tremblé encore plus. « Non, monsieur, s’il vous plaît ! Pas eux ! » Je me suis bien marré. « Pas eux ! Pas eux ! C’est bien joli tout ça, mais qu’est ce que tu vas leur faire à eux, alors ? » Elle tremblait un peu, comme si elle avait les chocottes. « Tout ce qu’ils voudront, je le promets. » Je l’ai regardée. «Tu vas les sucer, c’est ça ? » « Oui, monsieur, oui ! » « Et s’y veulent t’enculer, tu fais quoi ? »« Ils pourront le faire, monsieur, c’est promis ! » « Bon ! Met ta langue à fond, ça va t’occuper! » Elle a plongé la tête et a fouillé mon cul de sa petite langue. C’est bon ça ! Je recommande ! Ca délasse, on s’en lasse pas. « Dit, pendant qu’on y est, t’aurais pas parlé de notre après-midi de l’aut’jour à quelqu’un, toi ? » Elle a relevé la tête et m’a regardée d’un air apeuré. La panique dans les yeux ! Elle d’vait se d’mander comment je l’savais et savait pas trop comment j’allais réagir. Elle a baissé les yeux.« Oui, monsieur, à ma meilleure amie, Lucie S. Elle est clerc de notaire chez Me M. » J’ai ricané. Je l’connais de vue, celle-là, une jolie gonzesse, une blonde, les cheveux frisés, du genre timide! « Et alors ? A dit quoi, la copine ? » « Elle meurt envie de vous rencontrer, monsieur ! « « Et pourquoi, au juste ? Tu y as raconté quoi ? » Elle a relevé la tête, un peu rassurée, même si j’y faisais les gros yeux. « Que vous êtes un amant endurant, habile, très sévère mais que j’ai joui avec vous comme jamais. Je ne lui ai pas du tout parlé de notre, euh, petit marché. Je lui ai parlé des photos que vous avez demandées, de votre sexe, plus long et plus gros que celui des autres hommes, et de la manière dont vous vous occupez d’une femme, da la façon dont vous me traitez, ce qui me rend folle. C’est pour cela qu’elle veut vous rencontrer et je n’ai pas dit non car je sais que vous n’êtes pas à moi et que toute jalousie, de ma part, serait mal venue !» Là, putain, j’ai pris du temps à bien recopier tout ça après. Fallait quand même que j’la reprenne sur un point. J’sais bien qu’elle est avocate mais les bavardes, y faut les recadrer fissa !« T’en as parlé, à qui d’autre ? Pas à tes grands-mères j’espère ? » Là, a voyait que le ton était pas à la rigolade.« A personne d’autre monsieur, je vous le jure. »« Hum ! Avec ta gueule que tu peux pas la fermer, j’me méfie ! T’as intérêt ! »Elle en menait pas large et elle a préféré en remettre une couche sur le casque et sur la tige. Après tout pourquoi se priver de sauter sa copine de ch’val ! J’ai répondu : « Bon, après-demain, a vient si a veut. A sait c’qui va s’passer, au moins ? J’veux pas d’embrouilles! A paye la chambre et a l’apporte des photos de cul. Elle est mariée ? A l’a des enfants ? » Elle me fixait, toujours pas trop sûre de son coup. « Non monsieur ! » « Parfait, alors on s’f’ra une p’tite partie à trois, un de ces jours et chez elle ! Ca t’dit ?» J’ai souri en la regardant. « Oui monsieur ! » Ben voyons ! « Tu vas lui lâcher l’morceau mais, maintenant, occupe-toi de moi, espèce de rapporteuse! » Je lui ai bien claqué les fesses, et elle est venue se mettre à califourchon sur moi. Elle a gémi en s’installant sur la bête. Elle fait onduler ses reins pour l’avaler, la bête. C’est trop bon de la voir faire ça, de bander et de m’maintenir en place les mains posées sur ses hanches. Tu fais rien, t’attend ! ca suffit largement mais faut avoir c’qui faut sinon ça marche pas.« Elle est à qui la salope ? » Elle a gémi : « A vous, monsieur. » J’ai rigolé. « Et a va faire quoi ? » « Ce que vous voulez, monsieur ! »« C’que j’veux ? Alors, bouge un peu ton cul, baise, profite, fait ta pouffiasse, t’es là pour ça, pas vrai ? C’est ça qu’je veux !»Elle a hoché la tête et s’est mise en route. Une petite claque de temps en temps pour l’aider à maintenir le rythme a suffit et quelques instants plus tard, j’ai senti que ses coups de reins devenaient plus secs, qu’a s’contractait et qu’ça v’nait. Elle a couiné un bon coup et ses cheveux longs sont venus sur mon épaule. Une chiffe dans mes bras. J’l’ai basculée sur l’dos pour fourrer mes doigts dans sa fente et dans son trou du cul, puis j’ai entrepris son bouton. Elle a bien ouvert ses jambes et a pleurait, des sanglots, c’est pas croyable ! A chaque fois que j’la sentais sur le point d’y aller, j’quittais l’bouton pour lécher ses cuisses et, ainsi faisant, j’ai fait durer le plaisir un bout d’temps, le temps qu’y faut pour la rendre cinglée. Juste avant qu’a jouisse: « Ce soir tu vas bien lui lécher les couilles à pépère. Tu m’raconteras comment ça s’est passé. »Elle avait pas le choix et le savait. Elle a ouvert ses jambes encore un peu plus pour m’laisser faire et jouir en pleurant, le corps secoué comme c’est pas permis.J’ai attendu qu’ madame sorte du coma en mordillant l’intérieur des cuisses. Elle a la peau douce. Bon, c’est bien joli tout ça, mais moi, j’ai pas joui. Y fait prendre le temps, c’est ça qu’est bon. Pas comme le lapin d’en bas ! J’suis venu m’occuper de ses nichons, elle en gémissait puis j’ai passé ses jambes par dessus mes épaules et l’ai fourrée, à fond, d’un coup de rein. Putain elle a aimé ça la salope ; ses mais serraient mes reins. Elle était à moi, totalement à moi. Quand j’ai accéléré le rythme, elle a pas tardé pas à jouir en criant et roulant la tête sur l’oreiller, comme une folle. « Une folle du cul, oui ! »« Fous toi à qut’patt’ que j’t’encule un coup, puisque t’aimes ça ! » Elle s’est retournée et mis en position: « Oui, oui ! » J’ai bien claqué son cul : « Oui, qui ? »« Oui, monsieur ! » « A veut quoi la salope ? »« Se faire enculer, monsieur ! » J’ai ricané.« Comment ? A fond ou pas ? » J’ai pointé le bout d’ma bite sur son œillet. Elle a fait bouger son cul et a écarté ses fesses des deux mains. A l’aime ça la salope, qu’a dise pas l’contraire!« Oui, à fond, monsieur ! »...J’lui ai pété la rondelle et a s’est laissée faire, la tête dans l’oreiller. Elle aime ça ! Elle l’a écrit et souligné. A va bien en profiter. Avec moi, c’est sûr !J’l’ai enculée autant qu’j’ai pu et elle soupirait en disant : « C’est trop bon !» J’avoue, l’ai baisée à la brutale mais elle a joui comme une vache folle, à tomber dans les vapes. Plus tard, c’est dans sa bouche de p’tite salope que j’ai fourré ma queue pour larguer et elle a tout avalé. Après tout, elle aime ça et comme elle est bien gentille, on va pas la priver de goûter! A 17h 20, je l’ai libérée et elle s’est rhabillée devant moi pour écouter c’que j’avais à lui dire.« Bon, on se r’voit la s’maine prochaine! Tu réserve et tu payes, comme d’hab ! Si le concierge veut s’amuser, tu l’laisse faire c’qu veut mais pas plus d’un quart d’heure, faut pas lui donner de mauvaises habitudes. Ce soir, partie de trous de balles avec pépère et j’veux l’film de l’année. T’as intérêt à assurer. Ta copine vient me voir après-demain même heure avec ses photos. A s’démerde comme elle veut, mais y m’faut ça. Pour la s’maine prochaine, voila ta rédaction : « Ma semaine d’amour avec pépère. » et pis une autre, tiens : « Ma visite chez Bramout. On est d’accord là d’ssus ?» Elle a hoché la tête. Elle a les yeux cernés. Tu m’étonnes ?Elle est sortie sans dire un mot. Elle a réservé, je l’ai vu. Le concierge l’a coincé derrière son bureau et comme y avait personne dans le hall, il en a profité pour ses mains sous la jupe, lui palper les nibards avant d’se faire tailler une petite pipe en la faisant passer sous l’bureau. Maintenant a connait bien l’coin.« Toi t’es un copain !» qui m’a dit quand j’suis passé le voir; je lui en ai serré cinq mais j’lui ai fait les gros yeux et la l’çon :« La prochaine fois que j’t’envoie une gonzesse, y faut prendre ton temps, la laisser te sucer tranquillos et pas lui baiser la gueule à la sauvage. Sinon on arrête tout ; faut pas m’gâcher la marchandise comme ça. Tu déconnes ou quoi ! Fais c’qui faut comme y faut, et un d’ces jours, t’auras le gros lot ; tu paries 25 tickets ? » Il était d’accord. Il allait se tenir correctement et pas faire n’importe quoi avec ces dames. Promis, juré. Je lui ai cligné de l’œil, il a hoché la tête et j’ suis parti au volant de la camionnette qui pue. (à suivre)
Joyeuses fêtes à tous et bonne bourre comme dit mon pote Gégé...
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