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Vicieux et fier de l'être

Chapitre 3

Divers
La copine de ch’val :Le lend’main, un petit coup de fil à la belette. « Elle en est où, ta copine ? » Elle était ravie que j’l’appelle. Elle pensait à moi sans cesse, n’attendait que de me retrouver et patati et patata. Oh là ! Stop ! On arrête tout ! Mon ton a été sec. On n’est pas là pour papoter: « Ta copine ? Le reste, on s’en tape ! » Elle a soupiré : « C’est bon, elle va venir. Elle a les photos. Je lui ai servi de photographe. » « Et avec pépère? » Elle a soupiré : « J’ai fait comme vous avez commandé, monsieur ! » « Il était content ? » Nouveau soupir : « Oui, monsieur ! » « Parfait ! Ce soir, tu r’mets le couvert et tu t’appliques. Pigé ! » J’ai gueulé un coup. Un silence, puis : « Oui, monsieur ! »« T’as pris le rendez-vous chez Bramout ?» « Pas encore monsieur, mais je vais le faire de suite ! » Comme j’étais de mauvais poil, va savoir pourquoi, j’ai répondu : « Putain, t’as intérêt ! Tu t’fous d’ma gueule ? T’as déjà goûté au ceinturon ? » J’ai raccroché. Et merde ! A m’énerve ! Demain, Lucie, clerc de notaire. On va lui faire essayer les cravates à celle là. Ca doit bien lui aller ! Bon, c’est un coup d’enfer et elle vient de son plein gré. On va essayer d’être gentil, de pas trop la brusquer.Merde ! J’avais oublié, la logeuse vient toucher l’loyer dans 20 minutes. J’ai tout rangé vite fait et j’ai ouvert à Mme Duboissey, une jolie femme de 42 ans, du genre un peu ronde, que j’m’amuse à payer en partie en nature, une fois la semaine, un arrangement entre elle et moi, quand son mari est au foot. Elle a posé mon r’pas sur la table. J’l’ai attrapée et collée sur l’lit. Elle était ravie. Elle a été servie, comme d’hab. Elle a couiné pendant presque deux heures de temps et est r’partie épuisée. Une bonne séance de cardio, pas vrai ? Elle m’adore et j’l’aime bien, au fond. Elle a des seins lourds, une bouche qui sait comment faut faire et puis a s’épile le minou, (la tarte aux poils, je supporte pas !) ce qu’elle a toujours refusé à son bonhomme, un adepte de « France Football » et des films de cul. Suffit de savoir comment demander ! Lui, il est content, maintenant, et y lui fout la paix. Y baisent deux fois la s’maine et a veille à être efficace. Y z’ont jamais été aussi heureux. J’ai dévoré sa blanquette, un régal, et m’suis endormi d’vant la télé avec la satisfaction du devoir accompli. J’aime faire plaisir, c’est mon vice.Le lendemain, j’étais à l’hôtel à 13h45 et j’ai vu l’concierge. Je l’ai un peu mis au parfum, çui-là. « Dit momo, y a deux nanas qui vont v’nir, à tour de rôle. T’auras droit à ta petite gât’rie à chaque fois, mais faut être plus gentil qu’ça avec elles!» Il était content le Momo, et j’ai pu installer le matos rapidement. A moins 5, j’étais dans la chambre pour enfiler la cagoule. Ca assure l’ambiance, comme dit l’autre agitée des fesses. J’ai fumé ma clope en attendant Lucie, la blonde, une fine aux yeux bleus, les cheveux longs et bouclés, autant que j’m’en rappelle, mais encore une frustrée du cul apparemment. Comment ça s’peut ? Là, je pige pas tout. Faut qu’on m’explique ! On va faire c’qui faut pour rectifier l’tir. On est là pour ça. Elle est entrée à la réception à 14h piles et Momo l’a accueillie, tout sourire, le mégot au coin d’la lèvre. Il est même sorti d’l’aquarium pour mieux la mater. « La 307, vous êtes attendue ! Oui, c’est par là ! » Il a maté ses jambes et son cul pendant qu’elle allait vers l’escalier. Deux trois minutes après, elle était à la porte de la chambre. Elle a toqué d’une main légère. J’ai lancé : « Entrez ! » La porte s’est ouverte et je l’ai vue. Putain ! La meuf ! Une robe blanche, un joli décolleté, 1,70 pour 57 kgs, j’l’aurais parié, une peau d’blonde qui fait attention à son bronzage, de jolies jambes, pas comme celles d’la femme au patron. Et ça trouve pas de mec ? C’est pas possible ! Ils sont tarés ou quoi ? Elle s’est avancée vers moi pour me saluer. Je lui en ai serré cinq, en faisant doucement pour pas écraser. Elle a rougi d’émotion. Encore une grande timide ! Pas grave, ça se soigne !« Restez debout que je vous r’garde un peu. Faut qu’on fasse connaissance avant d’attaquer le bois dur. J’vais vous demander de vous présenter. »
« Debout ? »« Ben, oui, debout, pourquoi ? Ca vous chiffonne ? Voilà, comme ça. »« Je dois mettre les mains dans le dos ? »« Ouais, si ça vous chante ! Ouais, comme une bonne élève, c’est ça! Voilà, c’est parfait ! Allez ! J’vais vous aider ! On commence. »J’ai sorti mon papelard en me disant que si elle est timide, elle sait causer quand même. On va gérer ! J’ai lu mon bout de papier. L’était un peu froissé, mais bon !« Vos mensurations ? Comment qu’vous vous êtes habillée ? C’que vous faites au lit ? Vos fantasmes cochons ! Que sais-je encore ? Enfin, tout quoi !... C’est clair ? » Elle a eu un sourire un peu nerveux, mais mignon comme tout. J’ai r’mis le papier dans ma poche. Les yeux écarquillés, (a porte des lentilles, c’est sûr !) la bouche entrouverte de surprise, mais vite fait, a s’est r’prise. Elle s’était attendue à ce p’tit interrogatoire. L’autre salope avait dû la mettre au courant. Elle a fait papillonner ses cils (des faux, comme les copines) et a commencé : « Bon, je me présente : Lucie S., Clerc de notaire, 28 ans, célibataire, sans enfant. Je suis seule et le regrette. Je pèse 56 kg pour 1 m 69. Je porte un 85 B et on me trouve jolie, je le sais, voilà. » J’ai failli lui dire : « moi c’est Gégé, boxeur professionnel depuis peu après une longue carrière chez les amateurs, poids mi-lourd, 4 fois champion d’Europe, vice champion du monde (un scandale !), vice champion olympique (la poisse, toujours les mêmes arbitres, la prochaine fois, l’autre con, je le mets en bouillie, comme ça y aura pas de discussion !) 192 combats, 185 victoires dont 158 par KO, et puis j’bosse à mi-temps aux abattoirs… » mais bon, on va attendre sinon ça va l’impressionner et faut savoir rester modeste, surtout au début! Elle a baissé sa tête. Une grande timide ! On va arranger ça. Elle a rougi et se tenait bien droite, parfaitement sage. Elle veut m’faire bonne impression. « Bon, je vois. Maintenant, dites-moi un peu c’que vous faites au lit ...avec les mecs, votre femme de ménage, vos joujoux crapuleux ! J’veux savoir tout ! ... » Elle a pouffé: « Ce que je fais au lit ? » dit-elle, en relevant le menton. « Ben oui ? »Elle souriait ! C’est parti mon Kiki ! « Et bien, tout ce que toutes les femmes font, je suppose et j’essaye de faire de mon mieux malgré un manque de pratique que je déplore.» J’ai bien aimé sa réponse. A m’a fait rigoler sur c’coup là : « Allons, faut être plus précise ....J’vais vous aider ! Ya combien d’mecs qui vous ont passé d’ssus? » Elle a baissé la tête. « Huit en tout, mais jamais de relations véritablement suivies et je n’ai personne actuellement. En plus, je dois admettre que ces liaisons ou rencontres n’ont pas été des réussites ! » J’ai décidé de m’amuser : « A cause de vous ?» Elle était devant moi, les mains croisées derrière le dos, la tête légèrement penchée sur le côté pour tenter de me regarder. « Non ! Enfin, peut-être, je ne sais pas, en fait ! » De la fille honnête, faut admettre. Voyons voir ! « Elle aime sucer ? » Elle a relevé la tête. « Oui, avec la plupart des hommes que j’ai connu, j’ai trouvé cette pratique assez sympa. » « Quand est-ce qu’elle a baisé, la dernière fois? » Même pas choquée. Elle a répondu sans malice, un bon point pour elle : » Je ne sais plus, il y a longtemps, peut-être dix mois, oui, dix mois ; Et un coup rapide, sans intérêt, pas un bon souvenir en tout cas. » J’ai souri en tapotant d’la main sur l’accoudoir. « Dommage !.... Eh bien, on va rattraper l’temps perdu, promis juré. Surtout si elle y met du sien !» A semblait apprécier ma façon d’causer. J’ai décidé d’en remettre une p’tite couche, pour voir. « Vous vous branlez devant les mecs? » Là, elle a rougi. «Oui, cela m’est arrivée de le faire, une fois, et, finalement, j’ai bien aimé. »« C’est bien, a va donc faire ça d’vant moi, alors ? » Elle n’était même pas surprise : « Oui! » Je l’ai tout de suite repris. Maintenant, on rigole plus, on passe aux choses sérieuses. J’ai des principes : « à partir de maint’nant, a va dire oui, monsieur ! » « Celle-là aussi, rênes courtes. », me suis-je dit. Si tu laisse le p’tit doigt a te bouffent le bras. Elle a baissé la tête avant de murmurer : « Oui, monsieur ! Je peux m’asseoir, s’il vous plait ?» « Non, reste debout, mains dans le dos. C’est mieux! Et puis t’auras l’occasion de t’détendre tout à l’heure. » Elle a obéi sans moufter. Je note. Elle aura sa sucette en récompense.« On continue. Quant tu baises, comment qu’ça se passe, en général? » A m’fait penser à une poupée. J’vais l’appeler p’tet l’app’ler comme ça ; ça lui va bien !Elle a vu la petite caméra et a jeté un œil, en douce, sur l’objectif, puis a poursuivi : «En général, mon ami du moment prend l’initiative et me demande, d’une manière ou d’une autre. Si j’accepte, nous allons dans la chambre, je me déshabille, m’allonge sur le lit, généralement nue ou en sous-vêtements sexy, selon son envie, ou la mienne, et il vient sur moi pour me caresser, je le suce un peu puis, il me pénètre et cela va toujours trop vite. Il jouit et se relève. Sauf exception, cela a toujours été comme cela ! Je n’ai jamais été comblée et je l’avoue, je n’ai jamais connu le plaisir avec un homme». Quelle misère ! Bande de tarés. Y gâchent la marchandise, comme Momo mais lui je vais l’avoir à l’œil! « Bon, a l’aime se faire enculer, la poupée? » Là, elle a un peu sursauté...à cause du côté brutal de la question, je crois. Pourtant, à mon avis faut mettre tout au clair dès l’début. « Jusqu’à maintenant, non monsieur, car les deux fois où j’ai accepté d’essayer, cela a été désagréable, un désastre. » a t’elle dit, ses jolis yeux baissés. Sa réponse m’a bien fait marrer « Mais la porte reste ouverte? » Elle a ri de bon cœur. Pas bégueule, la poupée ! : « Oui monsieur! Mais je n’aimerais être déçue encore une fois et j’ai peur que cela me fasse mal ! »« Ah tittittit ! Y faut juste savoir comment faire pour ouvrir la porte. On entre doucement, on défonce pas. C’est la méthode qui compte! Mais, on continue. Z’avez dit que vous n’avez jamais pris vot’ pied avec un mec, comment vous avez fait alors ? » Elle a eu l’air surprise par la question qui montre que j’écoute et qu’j’m’intéresse à son cas« Avec des accessoires, monsieur. Bon, des godes et un vibromasseur, pour être honnête ! » Elle était écarlate. J’ai rigolé un coup. « Des gros ? »« Non monsieur, enfin pas trop ! » A savait plus comment réagir, la honte !« Allez, c’est pas méchant. Y a pas de honte à ça, et moi, ça m’choque pas. S’branler, c’est bon pour la santé. Faudra qu’a pense à amener ses joujoux qu’on voit comment ça fonctionne, le plastique ! A va mieux ! » Je lui ai souri, en la fixant dans les yeux. Elle a bien perçu le sourire car elle y a répondu et m’a dit en souriant et rougissant : « Oui, monsieur ! » « Comment a s’est habillée pour v’nir au rendez-vous ?.... » J’ai donné un peu de mou, histoire de la calmer un peu. Elle a soupiré et s’est redressée : «Voilà, j’ai choisi de mettre cette petite robe blanche cintrée et assez courte car elle me met en valeur, un soutien-gorge, un string et un porte-jarretelle blancs en dentelle, pour me sentir bien et vous plaire car mon amie m’a dit que vous aimez cela et j’ai mis des bas blancs à coutures et des escarpins blancs à fines lanières pour souligner mes jambes dont on dit qu’elles sont belles et fines. J’ai fait cela pour vous plaire monsieur et j’espère avoir atteint cet objectif. » Je lui ai souri: « Ouais, nickel, zéro faute ! Poursuivons. Vous vous branlez souvent ? » « Oui, parfois ! En fait, non, souvent, c’est vrai! Pour me détendre ! » Elle était plus calme mais elle a rougi et ses jolis cils ont papillonné. Elle en joue, la poupée ? Elle a bien raison. Ca excite !« C’est quoi ses fantasmes ? » Elle a soupiré en souriant. « En fait, je n’ai pas beaucoup de fantasmes, ma vie sexuelle est pauvre, même sur ce plan là !…Lorsque je me caresse, je pense à un film ou à des images érotiques ou pornographiques et cela m’excite bien puisque je jouis rapidement. » « Oui, j’vois, vous aimez mater du porno, mais encore? J’vais vous aider. » Elle était surprise et se tenait devant moi immobile, les mains croisées dans le dos comme une excellente élève. Je me suis un peu penché vers elle en souriant. « Tenez, on va tout passer en r’vue et vous répondez par oui ou non. Bien ! L’amour à trois ? Vous et deux hommes ? Un devant, un derrière ? Ou plus si vous voulez ? » « Oui monsieur, cela m’est arrivé de rêver de cela! » « Y en avait combien ? »Ecarlate à nouveau peut-être mais au moins elle est franche : « Plusieurs monsieur ! »« A trois, un homme, vous et une chatte à bouffer ? » « Oui monsieur, pareil ! »« Bien, et avec une femme, toute seul ? A l’a déjà fait ? » « Deux fois monsieur, il y a longtemps, avec une amie de ma mère. J’y pense parfois…sans plus ! Je n’ai jamais recommencé. » « Le coup de la prostitution ? A rêve qu’a fait la pute et ça l’excite un max!»« Oui monsieur, mais je n’ai jamais osé et je n’oserai jamais, je crois ! » « Ben voyons ! Et encore, au lit avec un vieux cochon ? » Elle a rougi. « Oui, cela me fait parfois fantasmer, à cause d’un film que j’ai vu, monsieur ! » Bingo ! LE cinoche, c’est son truc. J’ai souri. « Et les trucs SM, ça la tente? » « J’ai parfois l’envie d’essayer monsieur, mais je sais que cela peut-être dangereux ! Il faut savoir sur qui l’on tombe, j’imagine.» « L’exhib ? » « Oui monsieur, comme toute femme, je prends parfois plaisir à me montrer sur la plage, je ne le cache pas. »« Et avec un chien ? » Elle a pouffé. « Non monsieur, je ne l’ai jamais fait ! »« Une dernière précision ; y va s’passer quoi, maintenant ? » Là, a s’est tendue. Y faut passer aux choses sérieuses. On a fini l’entrée, a va passer à table, mais elle a répondu après avoir souri de manière appuyée: « Je vais faire ce que vous me direz de faire. Je ne veux que cela depuis que mon amie m’a parlé de votre relation et de ce qu’elle a ressenti. Une véritable explosion de sensualité et de plaisir, selon elle. Elle m’a parlé de votre force, de votre corps, de vos exigences, de votre sensualité, de votre sévérité et… » Elle a baissé ses jolis yeux : « et aussi de votre sexe et de votre endurance, de la manière dont vous la rendez folle, complètement folle, au point qu’elle accepte de faire ça avec son mari… » Elle a pouffé puis rigolé franchement. Je lui ai souri. « A vous a dit quoi encore? » Elle a piqué un nouveau fard. « Que vous lui avez demandé d’aller sucer le concierge, cet homme vilain au regard vicieux ! » « C’est exact, a y est allée et ça lui a pas déplu! A vous l’a dit ou pas?» Elle avait la tête penchée sur le côté. « Elle m’a avoué que oui, à la réflexion ! » « Ca m’surprend pas ! Vous vous attendez que je vous l’d’mande, c’est ça? » Elle était gênée, très gênée : « Oui, peut-être ! En fait, je ne sais pas ! » Elle me regardait, l’air étonnée. « Ca vous dit ou pas? » Elle cherchait mon regard. « D’une certaine façon, peut-être, mais j’ai peur. Cela me fait vraiment peur.» « Alors, j’vais être clair: vous le f’rez si vous avez envie. Vous m’direz ça en cours d’après-midi, ça presse pas; Ca va ?» « Oui, monsieur, c’est très clair ; je vous remercie. » Si faut parier, les gars, on mise sur le oui. C’est sûr, la poupée va sucer la bite à Momo avant la fin de l’après-midi. Elle en meurt d’envie depuis que sa copine lui en a parlé, mais a l’ose pas s’l’avouer. « Bon, a sort les photos et a vient sur mes genoux ! On va r’garder ça !» « Oui, monsieur ! » Elle a soupiré de soulagement et a été chercher son sac à main pour en retirer une enveloppe de papier marron. Elle est venue vers moi, d’un air intimidé et j’ai pris sa main pour qu’elle vienne poser son cul sur mes genoux. Elle est légère, elle, pas comme la femme au patron, et son parfum est bandant comme tout, mais c’est le genre nerveuse. Ca tremble de partout. J’ai posé mon bras autour de sa taille et me suis penché pour voir les photos ; une trentaine. Un joli portrait, des poses de mannequin. Elle était bien sapée, avec des belles fringues. Je l’ai laissée sortir et me monter ses photos, sans la bousculer.Elle va se détendre, y faut, ma main caressait doucement sa hanche. Elle a frissonné. Ensuite, les photos étaient plus cochonnes : en sous-vêtements, puis nue sur son lit ou l’tapis de son salon. « Attention à pas tacher la moquette ! » qu’a dit Laurette. Laurette, c’est la femme au patron. Celle qu’aime la…. ? « Qui a pris les photos ? » J’ai palpé un peu un nichon par-dessus la veste pour voir où qu’elle en est. Elle m’a regardé. « Mon amie, monsieur, car je n’ai personne d’autre qui puisse m’aider à faire cela ! » Elle a gémi sous le poids de ma main. « La prochaine fois, c’st moi qui va prendre des photos! » Elle a souri : « Oui, monsieur ! » A va y aller, les gars, a va y aller.« Les dernières, maintenant ! » Elle a montré ça. Elle était à poil ou en nuisette et jambes écartées, elle se caressait la chatte. J’ai aimé et j’lui ai dit que c’était bien bandant tout ça. Elle était écarlate. « Merci monsieur, elles sont pour vous !» J’ai rangé les photos qu’elle venait de remettre soigneusement dans leur enveloppe et je l’ai remerciée en la pelotant de manière plus appuyée. Elle a gémi. Elle était à bout, excitée et fallait attaquer le morceau. Ma main gauche a passé sur son dos, ses hanches et la droite est v’nue sur ses jambes par-dessus le tissu de sa petite robe. J’ai fait glisser vers son genou puis, j’l’ai remontée le long de la cuisse, en passant par dessous le tissu. « Fais voir à Gégé comment tu roules une pelle! » Elle a passé sa main derrière ma nuque pour m’embrasser. J’ai relevé la tête au bout de quelques minutes, une ou deux pour être franc.« Bon, de l’enthousiasme mais ça manque de pratique. Faut qu’a s’mette au boulot! On a rien sans rien ! » Elle a hoché la tête. « T’inquiètes ça vient vite et y a pas de quoi paniquer! Y faut s’entrainer, c’est tout. »J’m’suis dit : « Une débutante, c’est bonnard, mais faut un minimum de patience! » Elle a laissé ma main remonter sous le tissu de sa robe. « Ecarte, faut faire plaisir à Gégé !» Elle a écarté ce qu’y faut et j’y ai touché le tissu de la p’tite culotte. Elle a gémi.« R’donne ta langue et applique toi, sinon panpan cucul! » Elle a fait ce qu’il faut. A fait d’son mieux, c’est déjà ça. J’y ai laissé le temps de s’entrainer un peu. Y avait déjà du mieux.« Bon, a va se lever pour faire tomber sa robe. On va jouer à aut’ chose! Ok ? »Elle s’est levée, rouge comme une pivoine : « Oui monsieur ! » Devant moi, a l’a fait glisser la longue fermeture clair et la jolie robe est tombée à ses pieds. Elle s’est penchée pour la récupérer et la poser sur la commode et j’ai pu mater son corps de nana bronzée et du genre qui doit être un peu sportive. Y a pas de gras, en tout cas.Elle est r’venue sur mes genoux au signal. Ma main a atteint la dentelle après avoir facilement écarté ses jambes. Elle gémissait.« T’aime ça qu’on’t’appelle Poupée ? Faut m’le dire ! »« Oui, monsieur, j’aime bien. Je trouve cela excitant ! Et puis, cela me rappelle un film !» « Tu passes ton temps à r’garder des films de cul toi ou bien? T’arrêtes pas de parler d’ça ! »Ecarlate. A savait plus quoi dire. « Dit, tu veux tourner un film de cul ou pas ? C’est ça ? » Elle était sur le point de chialer : « Je ne sais pas monsieur. » Ma main et mes doigts faisaient le boulot par en bas. « Comment ça tu sais pas ? C’est pas une réponse, ça ! Ca veut rien dire ! C’est oui ou c’est non ? » Elle a hésité un p’tit coup avant de répondre, en gémissant rapport à ce qui se passe en bas : « oui monsieur, j’en ai envie, mais j’ai peur pour mon travail, vous comprenez ? »« T’inquiètes, on s’comprend ! On peut toujours s’arranger ! C’est pas un problème ! Ecarte l’bord d’ton string, y m’gène ! » Pendant un p’tit moment, à cause de ce que je lui faisais, elle a plus rien dit. A pouvait pas. J’ai dégrafé son soutien gorge qui est tombé sur l’tapis pour attraper ses petits nichons bien fermes et bien dressés. Je les ai sucés un bon coup et elle a relevé la tête en gémissant, sa main sur ma nuque. Ma langue a joué avec les tétons et ma main était bien occupée. J’avais l’intention de la rendre folle, comme la copine. Y faut toujours bien faire l’entame, comme un combat. Si tu te rates au premier round, ça part en vrille et t’en prend plein la gueule !« Fait plaisir à Gégé, écarte tes guibolles, laisse toi faire ! » Elle a écarté encore un peu plus ses jambes sous la pression de ma main. J’ai dénoué les petits nœuds de son string, l’un après l’autre, pour avoir toute sa p’tite fente rose, épilée, à disposition. « Dit donc, c’est d’la fente qu’a pas trop servi, ça ! On va attendre un peu pour tourner des films car là, ça le f’ra pas. Faut s’entrainer un peu d’abord. ». J’ai ouvert sa fente et atteint le petit bouton. Elle a gémi plus fort.« Allez, a va sur l’lit ! » Elle est allée sur le lit et je me suis foutu à poil. A m’a pas quitté des yeux, la coquine. A plat ventre sur l’lit, j’ai écarté et relevé ses jambes pour m’occuper de sa fente avec la bouche. Avec une nouvelle, faut toujours démarrer en douceur, les gars. Elle a fermé les yeux. T’as pas r’marqué, quand t’appui sur le bouton, ça leur fait fermer les yeux. Marrant, non !« T’inquiètes, on va bien s’occuper de toi et après tu vas montrer ce que tu sais faire avec ta bouche, tu pourras jouer avec ma queue le temps qu’tu veux, pour apprendre, et tu pourras plus t’en passer. » Au début, on y va mollo, doucement. On fait pas le fou, on défonce pas, on casse pas. Après, on voit, au fur et à mesure, ce que ça donne. On peut essayer plus fort, pour voir jusqu’où elles aiment et toujours revenir à la douceur pour pas leur foutre les boules. Elle était allongée, jambes relevés ; j’ai r’gardé ses jambes, son petit ventre plat, ses seins offerts, et repoussé sa cuisse sur l’côté pour qu’ma bouche vienne sur sa fente. J’ai lissé le sillon du bout du doigt et de la langue. Putain elle aime ça aussi, celle-là ! Elle a gémi. Elle en veut encore, ses mains se sont posées sur ma cagoule. J’ai entrepris ses hanches, ses fesses, son p’tit ventre, ses seins, les petits mamelons dressés et bien durs de désir puis, sans un mot, j’ai glissé un ou deux doigt dans son sexe bien mouillé. Elle a soulevé son bassin. J’en ai mis deux autres dans l’cul, une bonne fourchette. Il faut la faire jouir en lui suçant le bouton et en prenant le temps, tout le temps qu’y faut. Elle a bien ouvert ses jambes et les a relevées un peu plus. Elle gémissait avec des sortes de secousses. J’ai fait durer et parfois, j’quittais l’bouton pour lécher sa motte, le pli des aines, l’intérieur de ses cuisses et, comme ça, je l’ai maintenue au bord, le temps de bien la rendre dingo puis j’ai appuyé sur l’bouton, franco et elle a ouvert le capot pour me laisser faire et jouir comme une bête. J’ai attendu qu’elle émerge en caressant, du bout des lèvres, son petit ventre qui sent si bon. J’ai beaucoup aimé les odeurs de sa chatte, c’est pas toujours, le cas. Y a des fois, faut s’accrocher ou aimer bouffer du poisson pas frais, les gars. Pas vrai ? J’en ai connu une, va savoir pourquoi, fallait aérer la chambre, après. Pourtant côté hygiène, a l’était nickel et on prenait la douche ensemble.Quand j’ai senti que c’était le moment, j’ai passé mes bras sous ses jambes pour les poser de sur mes épaules, et l’ai pénétrée, à fond, doucement, tout doucement. Ma queue s’est bien fourrée au fond du trou et elle a arqué l’dos. C’était super de la voir cambrée et j’l’ai baisée, à coups de reins lents mais profonds. C’est un début. Faut qu’elle prenne le rythme et que son bassin s’habitue à v’nir au devant du mien. Attention aux bouts d’mou les gars ! T’as des meufs qui bougent pas. C’est pas bon. Faut rattraper ça tout d’suite et si a veut pas bosser un peu, tu largues la feignasse. Elle aimait ça, gémissait et ses bras enserraient mes reins. Alors, j’ai accéléré le rythme car elle en pouvait plus et elle a roulé la tête sur l’oreiller, les yeux révulsés. Dès qu’elle a récupéré, j’l’ai fait mettre à quatre pattes. « On y va ? On l’encule? » Elle s’est retournée pour me regarder: « Oui, oui, je veux bien essayer ! » « Oui qui ? »« Oui, monsieur ! » Ses doigts ont griffé les draps. J’ai profité de son état pour lui pénétrer l’anneau d’un, deux et enfin trois doigts, sans difficulté, des doigts bien mouillés de salive et d’un peu de gel (j’avais mis le pot sous l’oreiller) et a s’est laissé faire, totalement, je l’ai bien senti.Ma bite est entrée lentement et elle a soupiré en disant : « C’est trop bon monsieur, continuez! » « T’inquiètes, quand Gégé est parti comme ça on l’arrête pas ! » J’ai senti son anneau s’ouvrir, se dilater pour avaler le morceau et se refermer dessus tout de suite. Putain, son p’tit cul est serré, tout neuf ! Lentement, puis de plus en plus fermement, je l’ai tirée comme ça et j’ai senti qu’elle allait bientôt jouir par le cul. J’oublierai jamais comment ça l’a s’coué. Putain, ça l’a vraiment s’coué et quand, elle est rev’nue sur le dos, qu’elle a pu ouvrir les yeux, elle était toujours loin, très loin. Elle a pris un pied d’enfer !Bon, c’est pas tout, mais elle s’est mise à genoux sur le lit, pour sucer ma queue. Chacun son tour ! J’lui ai expliqué comment a doit s’y prendre, comment y faut lécher des couilles, et moi, c’est dans sa bouche que j’ai lâché la purée. Elle a avalé tout ce qu’elle a pu mais a l’a quand même du foncer à la salle d’eau. « Avec moi, elle a dit, « elle a pris du plaisir comme elle avait rêvée pouvoir le faire un jour et aimé cela. » traduction : « j’ai bien pris mon pied, mon Gégé ! » Elle est venue poser sa tête sur ma poitrine et a s’est endormie pour se réveiller une demi-heure après. J’ai pas voulu la bousculer. Il était déjà 17h30 ou plus, j’sais pas quand elle a rel’vé sa tête. J’ai caressé ses cheveux. « Monsieur, je pourrais vous revoir ? » Comme j’avais encore envie d‘elle, j’ai répondu : « Chez toi, vendredi soir, 20h ; je travaille pas samedi matin mais à 11h, je décale ! » Elle m’a embrassé. Elle était folle de joie. Elle ne s’y attendait pas, m’a-t-elle dit en m’embrassant encore. « Monsieur ? » « Ouais ? Ya quoi encore ? » « J’ai réfléchi… » Elle était gênée, les joues bien rouges. « Voilà, si cela tient toujours, je veux bien essayer avec le concierge, pour vous faire plaisir ! » Je l’ai regardée en me marrant un coup : « T’es sûre que c’est pour ME faire plaisir ou pour TE faire plaisir ? » Elle était carrément écarlate. « En fait, les deux, monsieur, c’est vrai ! » « Alors vas-y, va faire une pipe Momo en r’partant. Tu m’raconteras. » Elle s’est levée et habillée dans la salle de bain. Elle est venue m’embrasser et m’a remis un morceau de papier sur lequel elle avait indiqué son n° de tél et son adresse. « Vendredi soir, je vais me faire belle pour vous ! » Elle était écarlate ! J’ai souri. « T’as intérêt à être en forme, j’te préviens ! » Un petit coucou du bout des doigts avant de sortir de la chambre. J’ai branché l’matos pour capter la scène. Faut pas rater ça. Je l’ai vue arriver au desk et parler à Momo qui l’a fait passer dans l’aquarium. Il a caressé ses seins par-dessus le tissu de la petite robe, a fourré ses paluches de branleur par en dessous puis il l’a fait mettre à g’noux pour qu’elle le pompe. Ca a duré un peu plus longtemps que d’habitude, signe qu’il a ret’nu la leçon, puis elle s’est levée en essuyant sa bouche avec un kleenex récupéré dans la boîte qu’est sur le classeur en ferraille du bureau et elle est partie, sans se retourner et oui : je rêve pas, elle souriait. J’ai repassé le petit film deux ou trois fois pour vérifier, mais c’était bien ça. « Elle va d’voir m’raconter cela ! Apparemment, elle a pris son pied à faire ça! » Avant de me rhabiller j’ai passé un coup de fil à la belette. « Alors ? »« Bonsoir monsieur ! J’ai appelé M. BRAMOUT. Je dois passer chez lui demain dans l’après-midi. » Elle a soupiré.« C’est bien ma poule ! Tu vois, Gégé est content d’toi ! T’assures ; tu nous fais pas honte ! Amuse toi bien ! On se r’voit bientôt et t’auras droit à la sucette magique. T’as mis les boules ? »« Oui monsieur, je les porte. » « Fais passer une photo tout de suite ! Et le gode, il est où ? »« Chez moi monsieur. »« Super, tu m’envoies une photo avec ça aussi dès que tu rentres. Pigé ? »« Oui monsieur ! » « La photo avec les boules c’est maintenant, pas dans deux plombes ! »« Oui monsieur ! » J’ai raccroché et 5 minutes après, j’avais la photo. Sympa ! J’ai rangé l’matos, me suis douché et rhabillé et je suis descendu. Momo était ravi. Il m’a filé 10 balles (il aime perdre les paris celui-là) et m’a serré la main. « Dit Momo, je laisse le matos ici dans ton bureau et dans la coursive, ça t’dérange pas ? » « Non, pas du tout! Tu r’viens quand ? » « Bientôt, et là tu pourras t’la faire et même l’enculer si tu d’mandes gentiment à la dame! » Je lui ai fait un clin d’œil et il était hilare! « Ca va aller, j’le sens bien ! T’es un chef et tu sais y faire avec les gonzesses ! Ca va aller! » Je lui en ai serré cinq et je suis r’parti jusqu’à chez moi pour me reposer un peu, me doucher et préparer mon sac pour l’entrainement. Un SMS de Poupée : « J’ai fait une fellation au concierge ! A bientôt, monsieur ! » Réponse : « C’est bien ! Faut continuer ! C’est bourré de vitamine, y parait ! Envoie une photo cochonne à Gégé ! Tout de suite ! » « à suivre »
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