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Victime de ma passion

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Victime de ma passionEntièrement nue, attachée face à un arbre dont l’écorce m’amoche les tétons. Mon soutif sur les yeux, je suis aveugle, mon string dans la bouche, je suis muette. Un pas lourd fait craquer les brindilles et les feuilles mortes qui jonchent le sol. Je le devine près de moi. Il a la respiration rapide, il est essoufflé. Je sens son haleine avinée. Par ailleurs, j’ai beau me tortiller, les liens qui m’entravent les mains sont trop serrés pour que j’espère me libérer. Une voix rauque abimée par le tabac me dit.
— Que fais-tu là ma belle, je suis venu aux champignons, je trouve de la moule ? Par ailleurs, j’ignore qui t’a attachée à cet arbre, mais c’est Noël avant l’heure.
Simultanément, il me parle et une grosse patte se pose sur mes fesses pour s’assurer de leur fermeté. L’homme m’ôte mon string de la bouche, je lui demande de me libérer, il rigole, me renfonce le tissu dans la bouche et me dit.
— Tu rêves ma colombe, je trouve une belle pute ligotée à un arbre, j’ai une femme qui ne baise plus et n’est plus toute jeune. Et, tu souhaiterais que je laisse passer une occasion de te fourrer comme une dinde. Avec une telle silhouette, ce serait un crime de ne pas profiter de tes charmes.
Il me donne une grande claque sur les fesses en me demandant de me tendre en arrière et d’écarter les jambes. Alors que je tente m’opposer à son geste sans succès, j’entends qu’il fouille dans les feuilles mortes sur le sol. Puis je ressens un grand coup de branche au niveau de mes fesses, mon hurlement est étouffé par mon string.
— Écoute petite pouffe, je ne suis pas du genre violeur. En revanche, une femme aussi bien roulée nue attachée contre un arbre, j’ignore, par qui, mais c’est une provocation. Il y a des dizaines d’années que je n’ai pas mis popaul au chaud dans un petit lot comme toi. Vu la situation, tu n’es pas à un coup de bite près, c’est même peut-être le but de ce jeu ? Tu ne vas pas être déçue ma salope.
Tout en déblatérant ces cochonneries, il s’est débraguetté, je sens le contact de son membre en érection suivre le sillon de ma croupe. Deux grosses mains écartent mes globes, je tends mes fesses pour éviter de me faire frapper. Son gland se pose sur mon œillet, puis il se ravise et vient se nicher dans le nid douillet de mes grandes lèvres. Il le fait aller et venir afin de trouver l’entrée de mon sexe. Malgré l’absurdité de la situation, mon cerveau dit non, mais ma chatte indépendante dit oui en s’humidifiant. Le salaud le sent bien.
— Tu mouilles petite pute, ça te plait de sentir une vieille bite d’un soixantenaire dans la moule, tu m’as l’air d’être une sacrée salope.
Et, de concert, pendant qu’il me débite ces insanités, sa queue commence à s’enfoncer dans mon abricot. Le vieux salaud bande dur, bien que je mouille, son dard épais peine à écarter les chairs de mon vagin. Il me tient par les hanches et force sans se soucier de la douleur qu’il me provoque. Il est très virulent, je comprends que sa femme ait cessé de coucher avec lui, car il est très brutal. Lorsque tout son chibre est garé dans mon vagin, il continue de m’insulter, comme pour augmenter son excitation.
— Tu es vraiment une putain pour te faire fourrer par le premier venu, si personne ne te détache, tu vas prendre cher d’ici à ce soir, tu es trop bonne ma salope. Je suis bien dans ta moule.
Son gros zob commence à voyager en aller/retour dans ma minette, je me surprends à gémir. Bien entendu, elle est agréable sa queue qui abuse de ma position de prisonnière, c’est même peut-être le fait d’être sans défense que je suis excitée. L’homme grogne, se repait de ma chatte, sa grosse main me fesse sans vergogne, sans se soucier de moi, il tire son coup comme avec une pute, mais double plaisir, je suis une pute gratuite. Il met peu de temps à jouir, sa semence sans réellement gicler se répand en moi par petites saccades, je n’ai pas eu le temps de jouir, je suis frustrée.
— Hummm, c’était bon ma chérie, si tu es encore là ce soir, je ne dis pas que je prendrai bien ton adorable fessier. Je ne bande plus assez pour le faire maintenant. Cependant, je repasserai ce soir, une bonne sodomie au clair de lune rien de plus romantique.
Une grande claque sur mon cul et je l’entends s’éloigner. Un bruit de voix, il parle avec une autre personne, aux mots prononcés, je me doute qu’il s’agit d’un homme.
— Ne laisse pas passer une occasion aussi facile. Cette pute est un excellent coup, en plus, elle a les yeux bandés, donc elle ne nous reconnaîtra pas. Je ne crois pas qu’elle serait fière de raconter ce qui lui est arrivé, à savoir se retrouver, nue, attachée à un arbre, et ce, parce que son conjoint en a eu envie. Sûrement, un couple de pervers ?
De nouveau, des pas approchent de moi, la pénétration inachevée précédente m’a mis le feu au cul, si je n’étais pas bâillonnée, j’implorerais même le nouveau venu de m’enfiler séance tenante. L’homme me retire le bâillon et me dit.
— Ne crie surtout pas, sinon je te remets ton slip dans le clapoir. Sur ce, sa bouche se colle à la mienne et sa langue explore mon moulin à paroles. Un peu de douceur, je n’ai rien contre. Nos salives se mélangent.— Je vais te détacher de l’arbre, si tu es bien docile, je fais mon affaire et ensuite, je te laisse libre, es-tu d’accord ?
J’opine du chef, trop heureuse de me sortir de cette situation gênante, et puis j’ai envie que cet homme éteigne l’incendie que l’autre a allumé dans mon ventre. L’homme prend ses précautions, il me délie de l’arbre, mais il me rattache aussitôt les mains dans le dos. Il me demande de me mettre à quatre pattes, les branches me font mal aux genoux, mais je suis plus à l’aise que contre le tronc. À ma grande surprise, il se met à me lécher la chatte dégoulinante du sperme de son prédécesseur. Il apprécie le goût du jus et de ma mouille vu sa façon d’aspirer et d’enfoncer son groin dans mon minou. La tête dans les feuilles, je lui laisse deviner qu’il me donne du plaisir en gémissant assez fort. En me mangeant l’abricot, il bafouille.
— Ça te plait petite garce, il avait raison le collègue, tu es une sacrée pute.
Il continue de me brouter au point de lui avouer que je jouis. Cela le rend fier, il se redresse et d’un seul coup de rein, il plonge son sabre dans mon fourreau. Les mains bien appuyées sur mes reins, il me fourre magistralement, sa queue est moins épaisse, mais plus longue que le premier. Mon utérus se fait cogner par son gland. Je l’encourage à y aller plus fort, Afin de prolonger ma jouissance.
— Va plus fort, défonce-moi la chatte, c’est trop bon.
Son éjaculation est puissante, les jets de foutre chauds et épais giclent au fond de ma chatte, inondant mon vagin au point de le faire déborder chaque fois qu’il ressort sa queue. Ce coup de bite champêtre est des plus plaisants. Son sperme s’écoule le long de mes cuisses quand il se retire de mon vagin, je suis le cul en l’air, le visage dans les feuilles, dégoulinante de semence et de mouille.
— Il est vraiment agréable de baiser une jeune femme comme toi, c’était génial. Je vais te détacher, n’enlève pas ton soutif de tes yeux avant que je sois parti, sinon je te rattache à ton arbre.— Auprès de mon arbre, je vivais heureux, je n’aurais jamais dû m’éloigner de mon arbre.
La situation me fait penser à la belle chanson de Brassens. Je dois rester tranquille le temps que mon amant de forêt s’éloigne. Ainsi, je ne tente pas le diable, pour rester libre, je me garde bien d’ôter mon soutif de mes yeux tant que les pas de l’homme qui s’éloigne sont audibles. Dix minutes plus tard, j’enlève mon bandeau improvisé, le soleil qui s’infiltre entre les branches m’éblouit un instant, mes yeux s’y habituent. Alors, je me lève courbaturée, prends quelques feuilles mortes, m’essuie les cuisses et la chatte, une toilette à l’ancienne, fruste, mais utile. Ma chatte regorge de foutre, les salauds m’ont bien remplie. Je remets mon soutif sur mes seins dont les tétons sont irrités par l’écorce, mon string rempli de ma salive, ramasse ma robe quelques mètres plus loin et l’enfile, me donnant un aspect moins exhibitionniste.
Si cela vous plait, je vais vous raconter dans un prochain épisode comment je me suis retrouvée dans cette situation scabreuse.
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