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Victime de ma passion

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Victime de ma passionJe m’appelle Violette, j’ai vingt-six ans. Certains hommes me trouvent belle. Un mètre soixante-cinq, brune, coupe au carré, les yeux vert émeraude, un quatre-vingt-cinq B, et un petit popotin qui ne laisse pas les hommes indifférents lorsque je marche en le tortillant un peu plus que nécessaire. Je porte un court top qui permet d’entrevoir le dessous de mes seins, ainsi qu’un legging. Je marche tranquillement vers la station de métro, sans me précipiter pour arriver au bureau. Mon activité, commerciale dans une imprimerie, un environnement professionnel où l’on trouve plus d’hommes que de femmes. Dans cette rame de métro bondée, j’ignore si l’on me tripote les fesses ou si c’est à cause de la foule de travailleurs qui se déplacent vers leur lieu de labeur, entassés comme des animaux. Quelques paluches frôlent mon postérieur, je n’y prête pas attention, je ne suis pas à une main aux fesses près.
Pas que je sois salope, mais dans le doute de l’intention ou non de mes collègues de transport de me peloter le cul, je ne vais pas faire un scandale. En arrivant à la station Ponchaillou, je descends, contente de ne plus être collée à la foule. Mon legging a un peu glissé en raison du frottement des voyageurs serrés contre moi, je le rajuste. À ce moment-là, une voix me dit.
— Il est regrettable qu’il ne soit pas descendu un peu plus, la vision doit être charmante.
Je me retourne prête à envoyé paitre ce goujat, mais je reste muette devant ce super beau mâle. Un homme d’une quarantaine d’années, brun, quelques cheveux blancs grisonnent ses tempes ajoutant à son charme, des yeux bleu océan, des lèvres ourlées qui appellent au baiser, un bon mètre quatre-vingt-cinq. Les muscles saillants sous un T-shirt noir moulant et un jean bien rempli attirent mon regard. Mon coup d’œil rapide sur lui n’échappe pas à mon interlocuteur.
— Pardonnez-moi si je me permets cette remarque, mais vous avez un certain charme qui ne me laisse pas indifférent. Je me présente Sam, c’est plus court que Samuel. Madame, comment ? est pressée au point de refuser de prendre un café en ma compagnie ?
Sans réfléchir davantage, je lui avoue mon prénom, Violette. Évidemment, il me fait le coup que je suis aussi jolie que cette fleur, que j’en ai le parfum. Ces mêmes mots, habituellement prononcés par d’autres, ont eu un impact sur moi quand il les dit. Je demande à mon interlocuteur un instant, m’éloigne un peu et appelle mon bureau. Josette me répond, je lui dis que je ne viendrai pas aujourd’hui, car je ne me sens pas bien, mes règles sont douloureuses. Je souris et rejoins Sam, lui disant que, si son invitation pour un café tient toujours, je suis ok. Sam, familièrement, prend ma main et m’entraîne vers un bar, ce qui me procure une sensation agréable au niveau de l’estomac. Après avoir bu deux cafés, il me propose de regarder un film au ciné et ensuite de m’offrir un repas. La séance qui a lieu à dix heures a déjà commencé. J’ignore si c’est une coïncidence, mais le film est « 50 nuances plus claires ». La salle est presque vide.
Alors, nous nous installons au fond, sous le regard de quelques personnes qui, à la lueur de l’écran, peuvent distinguer ma silhouette moulée dans mon legging. Sam prend ma main dès que je m’assois, la porte à ses lèvres pour y déposer un baiser, puis il se rapproche de mon visage. Je me tourne vers lui, sachant qu’il va m’embrasser. Sa bouche s’est jointe à la mienne, j’entrouvre les lèvres pour laisser sa langue s’immiscer et danser avec la mienne. Une main se saisit de mon sein droit, évidemment, il ne rencontre aucune résistance, car je ne porte pas de soutien-gorge. Alors, il passe sous mon top et me roule le téton. Le salaud, il m’excite grave. Je refuse d’être en reste, je pose ma main sur son jean et je sens une bosse appétissante. Un concours de pelotage commence. Il quitte mon sein et met sa main à mon abricot, je m’ouvre pour lui faciliter la tâche. Sam me chatouille la moule à travers le fin tissu.
Moi, j’ai un mal fou à déboutonner son jeans, alors bon prince, il détache sa ceinture, descend la fermeture, puis prend ma main et la pose sur l’objet du délit. Whaou, ce n’est pas de la camelote son pieu. Du dur de dur et format familial. Je baisse son boxer pour faire connaissance direct avec sa verge, le gland pleure déjà, je passe le pouce pour étaler le lubrifiant naturel et le porte à ma bouche pour le sucer. Alors, nous nous fixons droit dans les yeux, nous défiant du regard. Sam me prend par la nuque et me place la bouche sur son membre. En murmurant, il me dit.
— Pompe-moi Violette, tu en meurs d’envie.
Sam a raison, j’ai très envie de le faire, voilà un mois que je n’ai plus fait l’amour. J’ai quitté un homme très jaloux et qui me collait trop. Avaler ce luxueux engin de chair chaude me parait un festin, après avoir mangé végétarien. Quel régal de sentir sa verge palpiter dans mon clapoir du nanan pour ma petite gueule ! Sam aime ce que je lui fais, un gémissement filtre entre ses lèvres. Je n’y avais pas prêté attention, mais l’homme devant nous se retourne souvent pour nous regarder, ce n’est qu’en prenant une profonde respiration que je m’en aperçois. Loin d’être embarrassée, je lui fais un clin d’œil et lève le pouce pour lui faire comprendre que je me régale. Puis, je retourne à mon ouvrage. Le fait que cet homme m’observe me motive encore plus pour donner le meilleur de moi-même. Je demande à Sam de lever les fesses, je baisse complètement son jeans et son boxer.
Ainsi, je lèche ses grosses couilles lisses, je les soupèse, les suce l’une après l’autre, en prenant une entière dans ma bouche chacune son tour. Soudain, je sens une main se poser sur mes fesses, au début, je pense que c’est Sam, puis je comprends qu’il ne peut pas avoir les mains sur ma tête et sur mes fesses conjointement. Je tourne la tête et aperçois l’homme qui se trouvait devant. Il est désormais à mes côtés, et me pelote le derrière. Prête à protester, Sam m’en empêche en exerçant une pression sur ma tête. Ainsi, mon nouveau flirt semble être une personne qui aime partager. Ayant déjà eu des relations avec plusieurs hommes, je considère cet instant comme étant une simple expérience qui ne durera pas plus que la durée du film. L’homme, ne voyant aucune réaction de ma part, se sent encouragé et tente de descendre mon legging. Vu ma position couchée sur la queue de Sam, cela paraît complexe. Sam me demande doucement.
— Aide-le, sinon il risque de déchirer ton legging, car il est extrêmement excité.
Sam prend les décisions à ma place, ce qui n’est pas désagréable, parce que c’est un homme qui sait ce qu’il désire et capable de l’exprimer franchement. Alors, je détourne mon attention de son appendice génital, me lève et baisse mon legging à mi-cuisses, laissant voir que je ne porte rien dessous. Puis je me remets sur ma mission première, sucer cette belle queue offerte par Sam. L’homme m’embrasse les fesses, promène un doigt dans le sillon, laisse le doigt glisser vers ma fente humide, et découvre mon clito, je me tends un peu plus, lui offrant bien mon intimité. Il exécute un mouvement circulaire avec son doigt de façon habile, il est doué le bougre. Un second doigt rejoint son frère à ma grande satisfaction. Je suis superbement masturbée, je ne regrette pas la demande de Sam de me laisser faire par cet inconnu. Sam doit percevoir mes gémissements sur son gland. Je le sens vibrer, en bonne joueuse de flûte, je sais qu’il va bientôt larguer les amarres le chéri.
En passant bien ma langue dans son méat, je griffe doucement ses couilles du bout des ongles, enfonce sa tige au fond de ma gorge, ses mains se crispent sur ma nuque. Par ailleurs, je suis aussi excitée que lui, l’autre me masturbe la chatte et me lèche ma petite rosace, je ne suis pas loin de jouir en accord avec Sam. En cet instant, si l’autre le voulait, il pourrait me prendre sans la moindre objection de ma part. Surtout que je le souhaite ardemment. Mais, il se contente de me bouffer le cul et me branler la chatte sans aller plus loin. Alors que j’expulse une belle marée de cyprine, Sam me remplit la bouche de gros jets de sperme épais comme de la crème fraîche non pasteurisée. C’est du yaourt qu’il a dans les roupettes, s’il y a du Bifidus en plus, ce sera parfait. Il se vide en se contractant à chaque giclée. L’autre homme fait dans ma chatte un bruit de succion qui fait penser à une marche dans un marécage avec des bottes.
Quand il a fini, je me redresse, ébouriffée, le sang aux joues, il est en train de se lécher les doigts luisants de mouille. Il me fixe et me demande la permission de m’embrasser. Après avoir examiné mes parties intimes, il a la courtoisie de me demander s’il peut m’embrasser, un véritable gentleman. J’incline la tête en signe d’affirmation pour lui faire comprendre qu’il peut. L’homme, qui a largement dépassé la cinquantaine, est venu pour regarder un film érotique et s’est retrouvé à toucher une jeune femme assez attirante, c’est sa chance. Ainsi, nous nous embrassons, je sens le goût de ma chatte dans sa bouche. Cette saveur, je la connais bien, car chaque fois que je me chatouille, je me suce les doigts, lui doit sentir le parfum du sperme de Sam, cela ne semble pas le déranger. Sa main agrippe fermement mon sein, le malaxe. Sam ne s’intéresse plus à moi, ce qui me vexe. Je me donne donc un peu plus à l’autre pour le rendre jaloux.
Ma main se pose sur le sexe de mon inconnu et lui malaxe la queue à travers son pantalon, je le déboutonne et sors sa bite demi-bandée de son slip. Il n’a rien d’extraordinaire, petit et rondouillard, chauve, mais il est expert pour ce qui est de chatouiller un minou. Je ne suis pas attirée par son physique, je souhaite juste rendre Sam jaloux et je suis toujours excitée. Sa queue de petite taille se redresse sous ma caresse, je me penche sur lui et entame ma seconde fellation de la matinée. Par ailleurs, elle est toute poisseuse de sperme, en me chatouillant, il a joui dans son slip. Cependant, je ne lui en tiens pas rigueur et lui nettoie avec soin la bite avec ma langue. Les quelques allers/retours de ma baveuse suffisent à le faire éjaculer, je n’ai aucune peine à avaler cette petite quantité de sperme, ma foi liquide, mais de bonne saveur. Le type se rhabille, il me tend une carte de visite que je prends pour ne pas le vexer, il me dit merci et s’en va.
Sam me fixe, amusé et me dit.
— Tu es une sacrée petite salope, bientôt, tu vas sucer à la sortie des EHPAD.
Que dois-je lui répondre ? Me mettre en colère et lui indiquer de se faire foutre ou bien rire avec lui ! Je choisis le parti d’en rire lui déclarant.
— J’ignore laquelle j’ai préféré sucer ?
Bien sûr, pas un instant, il ne me croit.
— Après ce que tu as consommé, as-tu encore faim ?
Alors, je confirme que oui, j’ai faim. Un léger repas chinois arrosé d’une bouteille et demie de rosé Tavel m’a donné très chaud, en raison du vin, mais aussi parce que j’ai très envie qu’il me fasse l’amour. Je ne suis pas du genre à coucher dès le premier soir, mais là, j’oublie mes principes. Sam devine que j’ai un besoin de sa queue dans ma chatte, il a deviné au cinéma que j’étais demandeuse. Il me propose de terminer la journée à son domicile, ce à quoi je réponds favorablement. Sam habite un appart près de l’hôpital de Rennes, un étage plus tard, il me met à poil, me jette sur le sol, sort sa queue et me pénètre sans préliminaires. Comme des animaux, nous baisons pendant plusieurs heures, entrecoupées de câlins, je ne lui ai même pas demandé de mettre un préservatif, pressée que j’étais de le sentir au naturel dans ma chatte. Il est inépuisable, à chaque fois, il me remplit à ras bord de foutre. Jamais, je n’ai eu d’amant aussi endurant. Comme une gamine ce mec que je ne connaissais pas le matin me rend amoureuse.
Un repas frugal le soir et l’on rejoue à la bête à deux dos, je ne m’oppose même pas à ce qu’il me sodomise, pourtant son gros gourdin effraie mon œillet. Dans la douleur, il prend possession de mon petit passage, enfin mon anus est dilaté et accepte cet encombrant visiteur. Le moment où il me remplit le boyau est divin, le jus part comme un suppositoire au plus profond de mon fondement. Nous restons ensemble un long moment, lorsque son sexe sort de mon anus, un bruit d’évier qui se débouche se fait entendre, on rigole de ce bruit incongru, son sperme coule le long de mes cuisses. Alors, il en prend avec les doigts et me barbouille le visage, pour répondre à cela, je l’embrasse le souillant de son sperme. Depuis six mois, nous nous fréquentons, nous faisons quotidiennement l’amour. Pendant mes règles, c’est sodomie et fellation. Puis vient le jour où après une partie de culs particulièrement chaude, il me demande.
— Dis-moi, la première fois où nous sommes sortis ensemble, quand tu as sucé le vieux, ça t’a plu ?
J’avais oublié, je me suis mise à réfléchir en me méfiant de la réponse que je donnerais. Et, je joue la franchise et lui réponds.
— C’est la situation qui m’a intéressé, pas particulièrement sucer un ancien, mais je reconnais que dans le contexte, s’il avait voulu me baiser, certainement, je l’aurais laissé faire. As-tu apprécié de me voir faire cela ? — Oui, cela m’a réellement plu et j’aimerais le refaire avec d’autres personnes et dans d’autres lieux, est-ce que cela te conviendrait ?
J’ignore comment répondre, baiser à plusieurs, j’ai déjà fait, mais avec des inconnus dans n’importe quel endroit, cela me stresse un peu, même si j’ai envie de lui faire plaisir. Il fronce les sourcils en attendant ma réponse, ce qui lui donne un air séduisant. Alors, je me contrains et lui dis.
— Je suis d’accord pour essayer, mais si je te le demande, nous devrons cesser toute activité, et je te prierai de ne pas me choisir n’importe qui. Nous ferons cela avec préservatif.
Pour me remercier, c’est la fête du slip, le salaud qu’est-ce qu’il me met, tous mes trous sont au menu. Tard dans la nuit, nous signons l’armistice, j’imagine que les voisins ont été témoins du bruit d’après le regard qu’ils me lancent quand nous nous croisons. Un homme âgé m’a fait des propositions indécentes en me touchant les fesses dans l’escalier, je l’ai réprimandé en lui souriant et donné une petite tape sur la main.Un week-end, Sam me dit.
— Ma chérie, aurais-tu envie d’aller faire un tour dans les bois ?
L’idée d’un pique-nique en tête-à-tête pour passer un moment agréable ensemble me semble excellente. Une heure plus tard, nous nous trouvons dans la forêt. Nous flânons le long d’un petit chemin, main dans la main, quand il me guide hors du chemin, sous le soleil brillant. Arrivés dans le sous-bois, il m’embrasse et passe la main sous ma robe, vu la courtesse du vêtement, il est immédiatement à mon minou. Après avoir écarté mon string, il me doigte la chatte et je mouille vite. Ma robe a glissé sur le sol, suivie de mon soutien-gorge et de mon string.
— Prends garde Sam, on pourrait nous voir !
Son assurance quant à notre positionnement en dehors du circuit principal me rassure, je suis très excitée.Il prend mon soutien-gorge et me bande les yeux avec. Ensuite, il me fait mettre face au tronc, et me lie les mains avec une corde qu’il sort de, j’ignore où. Je suis un peu peureuse, mais le fait d’être surprise nue n’est pas ce qui me dérange. Beaucoup d’hommes m’ont vue nue. Ce qui me fait le plus peur, c’est de ne plus voir. Sam me rappelle ma promesse, ce qui a le don de me rassurer. Il vient de me faire une entourloupe le salaud. Alors, je le menace de crier, il rigole, prend mon string et me le met dans la bouche, puis il me tripote partout en me racontant ce qu’il risque de m’arriver.
— Tu imagines tous les gars qui risquent de passer et de te bourrer le cul et la chatte ma chérie ? Te rappelles-tu quand tu m’as dit que le vieux aurait pu te baiser ? Maintenant, tu vas être comblée, tu vas prendre de la queue, te faire remplir comme une pute. Tu vas apprécier. Ne t’inquiète pas, je vais me cacher un peu plus loin et te filmer, ma salope chérie, tu me fais un beau cadeau en donnant ton corps à des inconnus. Jouis bien mon amour et bonne bourre.
Sam m’octroie un baiser sur le front et je l’entends partir. À présent, je laisse les choses se dérouler. Je vais également envisager toutes les opportunités qui se présentent à moi, qu’elles soient favorables ou défavorables. Je ne peux qu’espérer que cela se passe bien, car tout est possible. La suite, je vous l’ai narrée précédemment. Sam, mon amour, est devenu mon époux, ce qui n’a pas apaisé ses fantasmes. Ainsi, j’ai cédé à ses désirs de plus en plus pervers et hard. Par conséquent, je suis ravie de cette rencontre, parce que je sais que c’est l’homme avec qui je souhaite passer le reste de ma vie.
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