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Victoire : victime de sa luxure

Chapitre 3

Comment nos pulsions ressurgissent doucement

SM / Fétichisme
18h45 ... Me voilà bientôt rentré du travail, prêt à retrouver ma belle. Quand je repense à ses photos, je suis fou ! Ma queue est toute serrée dans mon caleçon et j’ai eu une érection douloureuse toute la fin d’après-midi. Je me suis imaginé tellement de choses après les clichés, que je n’étais plus du tout à mes affaires professionnelles. Sarah, ma collègue que je trouve d’habitude si bandante dans son petit jean noir moulant ne m’a fait aucun effet aujourd’hui. Je dois dire que de recevoir ma Vic dans ces déshabillés, qui plus est exposée aux yeux du pervers de l’appartement d’en face ... !! Brrrr, je frissonne.
Je sais qu’elle a dû parler une bonne partie de la fin d’après-midi avec ces hommes qui aiment la mater derrière leur écran. J’ose espérer qu’elle a essayé le jouet que je lui ai acheté. Si seulement elle savait le panier que je viens de valider sur Adam et Eve ... elle ne sera pas déçue du voyage lorsque je le recevrai.
Mes idées bouillonnent depuis plusieurs semaines déjà. Nous baisons régulièrement et de façon plus osée qu’avant je dois l’admettre. Elle ose davantage se délurer et se dénuder, porter des bas, et toujours ses hauts talons, noirs, rouges, brillants, qu’importe, elle en porte tous les jours. Mais ce qu’elle fait dorénavant qu’elle ne faisait pas avant, c’est prendre soin de bien choisir sa lingerie du jour. Je lui ai gentiment proposé (bien qu’au fond de moi, cela ressemblait plus à une obligation qu’une proposition) de me faire partager chaque jour grâce aux MMS, la lingerie choisie pour le jour.
Depuis longtemps maintenant, je sens au fond de moi que j’ai besoin de plus dans un rapport sexuel, que j’ai besoin de dominer. Avec mes précédentes copines, cela n’était pas vraiment envisageable, elles étaient plutôt étoiles de mer ou mono position. Mais avec Vic, je sens que c’est différent, qu’elle a du potentiel, et je pense qu’elle le sait. Parfois, lorsque je la prends en levrette, mes coups de reins se font de plus en plus forts et profonds, elle gémit, mais ne me fait jamais sentir que c’est trop. Je reste néanmoins encore sage, les fessées sont rares et peu violentes et je n’ai jamais vraiment osé tirer ses cheveux en arrière.
Mais ce soir, c’est différent. Lors de notre dernière vraie discussion au sujet de son passe-temps cam, je lui ai fait promettre de ne jamais se faire jouir. Elle a accepté. Donc si elle a tenu sa promesse, elle doit être pleine de frustration et ne demandera qu’à prendre sa dose de sexe... J’ai bien évidemment très très envie de la baiser comme un fou, mais ce soir, je lui ai prévu quelque chose d’un peu différent, un jeu de rôle à part entière. Dans l’après-midi, j’ai réservé sur le site d’un sex-shop du coin une jolie tenue noire et blanche de soubrette. Classique, quelque peu cliché, mais fortement efficace. Nous n’avons jamais encore été dans la peau d’autres personnes lors de nos ébats, et la voir à mon service, un tantinet donc soumise, m’attire. Je veux voir quelles sont ses limites, et si cela lui convient ...
19h07, je passe la porte d’entrée et ne voit personne dans le salon, les lumières sont tamisées et je sens un doux effluve de bougie parfumée. Je descends les quelques marches qui mènent à la pièce de vie et aperçois ma douce, allongée lascivement sur le canapé, un peu somnolente qui scrolle son téléphone.
— « Wahou ! Tu es très belle, presque plus que cet après-midi ma chérie, comment vas-tu ? — Ça va, me dit-elle mollement, et toi ? Tu as passé une bonne journée ? — Dans l’ensemble oui, mais j’imagine que mon après-midi a été moins égayé que le tien, je me trompe ? » dis-je en me penchant pour l’embrasser.
Elle me lance un de ces regards que j’aime tant, tellement lubrique et sexy. Je lui souris et descends à la cuisine me laver les mains et me servir un rhum.
— « Alors, as-tu apprécié le cadeau que je t’ai laissé dans la salle de bain ? — Oh oui ! je suis vraiment flattée que tu aies pensé que ça pourrait me plaire, car je l’adore, je me suis permis de l’utiliser cet après-midi... j’espère que ça ne te gêne pas ? — Encore heureux ! Si je l’avais acheté pour qu’il reste dans sa boîte, aucun intérêt, je suis heureux que mon cadeau t’ait plu ! Mais attends, j’ai encore une petite surprise pour toi. » dis-je de mon air malicieux avec un large sourire.
Elle me regarde, un peu intriguée, se demandant certainement ce que j’avais bien pu acheter de nouveau. Je remonte près de la porte d’entrée et récupère le sac que j’avais laissé en retirant mes chaussures. Avant de redescendre, je retire la tenue noire et blanche du sac et la secoue pour qu’elle se défroisse avant de la maintenir bien en évidence devant moi. Comme je suis toujours dans l’escalier, Vic se trouve plus basse que moi et je la surplombe. Malgré la lumière sombre, je remarque qu’elle écarquille les yeux et esquisse un sourire, je crois même l’entendre légèrement glousser.
— « Ça ne te plaît pas ? pourquoi ris-tu ?— Si ça me plaît, c’est juste que je ne m’attendais pas à un déguisement de femme de chambre, dit-elle en souriant de plus belle.— Une tenue de soubrette, ma belle, de soubrette, pas uniquement de femme de chambre. Tel que tu me vois là, je suis absolument rongé par le manque de toi durant tout l’après-midi. Tu as pu honorer les voyeurs qui aiment te mater, et moi ce soir, j’ai envie d’être honoré en te faisant endosser le rôle de soubrette, ou de bonne à tout faire si tu préfères. Repas, rhum, mise en place de la table, débarras, vaisselle... Je ne fais rien d’autre ce soir que me faire servir, sucer, te mater et te caresser. Et si l’envie m’en prend, si je t’ai trouvée assez bandante, éventuellement te baiser.— Euh... Oui d’accord, mais moi aussi j’ai envie de toi, je n’ai pas joui comme tu me l’as demandé, et je suis très frustrée, je ne me voyais pas attendre encore de longues heures, qui plus est déguisée !? dit-elle sur un ton un peu aigu et légèrement agacé. — Je sais, Vic, je sais, je te félicite d’avoir tenu parole, et si ma soirée se passe telle que je l’imagine, tu seras doublement récompensée. Mais tu sais, plus les semaines passent et plus l’envie d’avoir une certaine emprise me taraude... Ce jeu de rôle nous permettra de voir tes limites, et les miennes. Va enfiler ça ! » finis-je plus sèchement, mais toujours tendre, car je ne veux pas la bloquer ou la vexer. Je l’aime, je la désire, je la veux, mais je veux que son abandon soit sincère et non forcé, sinon je n’y vois pas d’intérêt.— Bien, j’y vais, je suppose que je ne conserve pas la lingerie si délicatement choisie pour toi ? reprend-elle de son air malicieux que j’aime tant, je pense que cela lui plaît.— En effet, conserve tes bas et tes talons, remets-toi du rouge vif sur les lèvres et souligne-moi tes yeux d’un eye-liner fin. Ensuite sers-moi un rhum, l’ambré 23 ans d’âge que j’aime tant. Merci. »
Je clos la conversation et la reluque partir vers le couloir et notre chambre. La coquine n’oublie pas de balancer du cul lorsqu’elle marche.
Lorsqu’elle revient, elle est maquillée comme exigé et absolument sublime dans sa robe noire, très très courte et ce tablier blanc. Elle n’a même pas oublié de se faire un joli chignon très serré sur lequel est posée la coiffe blanche. Pour ma part, je suis installé dans mon fauteuil de façon à conserver une vue à la fois sur le salon et le meuble dans lequel sont rangées mes bouteilles, et sur la cuisine. Elle défile devant moi, fière de me montrer sa jolie tenue, et s’affaire à ce que je lui ai demandé. Elle se baisse lentement vers l’avant, sans plier ses genoux pour attraper ma bouteille de rhum, de façon à ce que je constate bien qu’elle ne porte pas de quoi entraver sa chatte et son cul comme demandé. Elle va ensuite chercher un verre, y verse le liquide et me l’apporte dans un plateau, une serviette de table blanche à demi repliée sur le bras. Je suis impressionné, elle prend le jeu très à cœur ! peut-être sommes-nous réellement sur la même longueur d’onde... Je la remercie d’une caresse sur son joli derrière et lui suggère de préparer le repas. Sans un mot, juste un oui dans le regard, elle file à la cuisine. Je sirote mon rhum, et des milliers d’idées me viennent, je suis bouillant. Mais attention à ne pas aller trop vite ou brûler des étapes, je dois être certain qu’elle veut la même chose que moi.
Une demi-heure après, elle revient dans le salon, toujours avec le plateau et sa serviette sur l’avant-bras et installe le couvert sur la table basse. Perchée de son mètre 70 plus ses talons de 10 bons centimètres, elle se penche, toujours sans plier les genoux, pour pouvoir installer le nécessaire. La coquine balance ses fesses de gauche à droite, juste devant mon nez. Je décide donc de passer ma main droite sur ses cuisses, et la remonte jusqu’à ses fesses. Je sens sous mes doigts sa peau frissonner, et décide d’aller vérifier que la situation lui plaît. A peine j’arrive dans la zone de son entrejambe que déjà, je sens une vague de chaleur sur mes doigts. Je remonte encore jusqu’à caresser ses lèvres, vierges de tout poil, elles sont humides. Je caresse quelques instants et lui insère un premier doigt ; elle tressaille, mais continue sa tâche. Je fais quelques allers-retours avant d’en mettre un deuxième et y faire plusieurs allers-retours. Je l’entends respirer plus fort. Voyant le dernier couvert posé, je m’arrête et lui demande si on peut manger. Elle me répond que oui. J’ouvre le bouton de mon pantalon et ma braguette afin de laisser un peu de place à ma verge toute gonflée et m’installe sur le canapé, prêt à manger. Elle arrive avec le plat, le pose sur la table et me sert une assiette. A ma grande surprise, elle ne se sert pas, bien qu’elle ait prévu une assiette. Je l’invite à se servir également, ce qu’elle s’empresse de faire. Voyant son manège, je lui indique le coussin de sol et l’invite à s’asseoir par terre face à moi pour manger. Elle s’exécute, mais garde ses jambes repliées sous elle.
— « Voyons ! mets-toi à l’aise et écarte-moi ces jambes, tu vas être tout endolorie si tu restes ainsi positionnée ! Laisse-moi profiter du spectacle. »
Et elle applique mon conseil. Pendant le repas, je lui demande de me raconter son après-midi ; elle me le raconte sans omettre aucun détail. Je suis maintenant pressé d’essayer avec elle le rabbit, et je comprends à quel point elle doit avoir envie que je la saute...
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