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La vidéo du scandale

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain je ne travaille pas, comme tous les week-ends. Mes parents sont allés rendre visite à une vieille tante du coté de Givors. Je suis donc seul dans l’appartement avec ma sœur pour toute la journée. C’est l’occasion idéale pour enfin réaliser le fantasme qui m’empêche de vivre sereinement depuis des jours. Rongé par l’appréhension, j’ose enfin sortir de ma tanière vers onze heures du matin. Je rode discrètement dans le couloir et j’aperçois Sofia par la porte entrouverte de sa chambre. Elle est sur son lit, allongée sur le ventre en train de lire un magazine. Elle ne peut pas me voir et j’en profite donc pour me rincer un peu l’œil. Elle porte un débardeur blanc, une jupe en jean et des sandales attachées autour de ses chevilles grâce à de petites lanières en cuir. Ses jambes sont relevées vers le haut et elle bat des pieds en fredonnant une chanson à la mode, j’ai donc tout loisir d’apercevoir sa petite culotte blanche par intermittence.
C’est un modèle similaire à celle que j’ai utilisé la veille pour assouvir mes fantasmes incestueux. Cette vision me colle immédiatement la gaule et je reste un long moment à parcourir son corps parfait du regard : ses cheveux magnifiquement bouclés, ses seins fermes comprimés contre le matelas, sa taille fine, ses longues jambes et surtout son cul de sportive. Mon excitation est à son comble, je n’en peux plus, il faut que je me la fasse ! Je me précipite dans ma chambre, prépare sa vidéo porno sur mon ordinateur. C’est le moment de vérité. Plus de retour en arrière possible après ça. Prenant mon courage à deux mains, je franchis le pas et j’appelle Sofia avec une voix aussi sérieuse et autoritaire que possible. Ma sœur arrive quelques instants plus tard avec cette attitude nonchalante qui m’énerve par-dessus tout. Elle s’appuie sur le montant de la porte et me lance un regard interrogateur.
Je ne peux m’empêcher de la déshabiller des yeux avec un regard qui n’a plus rien de fraternel.
— Qu’est-ce qu’il y a ?— Putain Sofia, tu pourrais te dépêcher quand je t’appelle !— Hé, je ne suis pas ton esclave ! Dit-elle en me lançant un regard noir.— Non, mais tu es ma petite sœur et tu me dois le respect.— Putain Slimane, tu fais chier ! T’as pas d’ordre à me donner. On est plus au moyen âge ! Répond-elle en se dirigeant vers la sortie.— Avant de partir, tu ferais mieux de regarder ce que j’ai trouvé sur le Net. Dis-je calmement en lançant le film pile sur la scène ou elle suce une bite en gros plan.
D’un seul coup, elle perd son attitude arrogante et lance un regard horrifié sur l’écran ou ses exploits passent en direct. Ses lèvres pulpeuses tremblent de surprise mais pas un mot n’arrive à sortir de sa bouche. Finalement elle se jette sur le clavier pour couper la vidéo mais je m’interpose en l’attrapant par le bras.
— Alors petite sœur, on tourne des films de cul ?— Coupe ça tout de suite !— Pourquoi je couperais ça, tu n’assumes pas de coucher avec des inconnus ?— Personne ne doit savoir !— Pourtant, ce serait dommage de priver le monde d’une telle œuvre. Dis-je en fixant l’écran où ma petite sœur se délecte d’une énorme verge.
Je ne peux m’empêcher d’effleurer doucement mon sexe à travers mon bermuda devant la vision de cette pipe magnifique devant laquelle j’ai tant de fois pris mon pied ces derniers jours. Sofia le remarque et me lance un regard à la fois choqué et surpris.
— T’as pas honte de mater ta propre sœur ?— Au contraire, ça m’excite pas mal.

Choquée, elle se retourne vers l’écran et réfléchit un long moment tout en fixant la scène dont elle est l’héroïne. Lorsqu’elle se retourne enfin vers moi, son attitude a complètement changé. Elle se fait plus douce et se colle un peu plus contre mon torse en me dévisageant avec ses yeux de biches dont elle sait si bien user.
— Écoute Slimane, on n’a pas besoin de parler de tout ça aux parents. J’ai bien vu comment tu me regardes depuis quelques jours. Je pense qu’on peut s’arranger entre nous.
Je sens alors sa paume se poser sur mon bermuda pile à l’endroit ou ma verge bandée fait jaillir le tissu. Elle commence à me palper doucement la bite en m’envoyant un regard fiévreux. Jamais je n’aurais pensé que ce serait si facile !
— J’en étais sûr, t’es vraiment une salope !— J’aime le sexe et je l’assume. Promets-moi juste que ça restera entre nous.
Les masques tombent ! Ma petite sœur admet enfin devant moi sa nature profonde de chienne en chaleur. J’accepte bien sûr sa proposition d’un hochement de tête. Elle glisse alors doucement le long de mon corps avec un sourire un peu nerveux, entraînant au passage mon bermuda et mon slip. Son visage est seulement à quelques centimètres de ma verge qui palpite d’excitation. Elle me pousse gentiment sur mon lit où je m’assois tandis qu’elle prend place entre mes jambes écartées. Elle reste ensuite un peu interdite devant la vision de sexe interdit et bouillant d’excitation. Je passe délicatement ma main derrière sa nuque et attire doucement son visage vers mon sexe. Je sens presque son souffle chaud sur mes testicules, c’est divin. Je l’attire encore un peu plus vers mon sexe et enfin le miracle se produit ! Elle commence par déposer un timide baiser sur ma bite en érection, me provoquant un frisson de plaisir instantané.
Après une longue pause ou elle me jette un regard interdit, elle approche à nouveau sa bouche et dépose des petits baisers le long de mon sexe, pour remonter jusqu’au gland. Après avoir embrassé la pointe de ma queue, elle redescend doucement et me lèche de bas en haut. Elle termine cette douce caresse en me prenant en bouche tendrement. Je l’encourage du regard tandis qu’elle commence à me branler tout suçant avec un niveau de professionnalisme impressionnant. Elle commence de lents va-et-vient sur ma queue, en prenant bien soin de faire tourner sa langue autour de mon gland. Ses doigts descendent le long de mon chibre pour venir caresser mes couilles en petits mouvements circulaires. Je ne peux m’empêcher de pousser un long râle de plaisir quand je sens sa langue aller et venir le long de mon sexe en érection. Elle se met également à me pomper par intermittence, sa petite bouche chaude m’aspirant à fond, ses lèvres pulpeuses délicieusement serrées sur ma bite.
Je me mets à lui caresser les cheveux de ma main gauche, pour l’encourager. Dans le même temps, je laisse traîner ma main droite sur son corps, pétrissant ses jolis seins à travers son fin débardeur blanc. Alors que je suis sur le point de jouir, elle interrompt son va-et-vient pour déposer des baisers sur mon gland, et me donner de petits coups de langue sur la queue. Elle lève alors les yeux vers moi, comme pour me défier. Quel changement ! Ce n’est plus ma timide petite sœur que j’ai devant moi, mais une vraie professionnelle du sexe qui met un point d’honneur à me démontrer son savoir-faire pour me donner un maximum de plaisir.
— J’en étais sûr... Tu suces comme une reine ! Pas étonnant avec touts les mecs que tu t’es fait !
Je continue de l’encourager et de l’insulter, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire vu les regards langoureux qu’elle m’envoie. Je décide alors d’en finir. Prenant ma bite d’une main et l’arrière de son crane de l’autre, je m’enfonce à nouveau dans sa petite bouche chaude. A l’aide de ma main droite qui agrippe maintenant ses cheveux bouclés, je lui impose une cadence de plus en plus élevée qu’elle supporte sans aucun problème. Je sens même qu’elle y prend du plaisir car elle me pompe plus fort. Elle monte et descend le long de ma bite suivant les indications de ma main, lèvres solidement serrées sur ma tige, et alternant les pompages digne d’un aspirateur avec des jeux de langue divins. J’atteins le point de non retour et je sens que mon orgasme est maintenant inéluctable. Elle le sent également car elle se met soudain à me pomper plus rapidement, et à me caresser délicatement les couilles pour me finir.
Je lui bloque alors la tête afin qu’elle ne puisse pas s’échapper, et je pousse un long râle de jouissance quand le foutre jaillit de ma queue directement dans sa petite bouche de suceuse. Elle a un léger mouvement de recul mais je la tiens fermement par les cheveux et lui ordonne dans un soupir de continuer à pomper.
— Sois une gentille fille et avale tout.
Elle s’exécute docilement, et boit mon sperme comme une vraie pro tout en me lançant des regards lubriques. J’envoie plusieurs giclées au fond de sa gorge tout en sentant toujours sa langue tourner autour de mon gland. Je n’ai pas beaucoup d’expérience en matière de sexe mais je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. J’ai l’impression de jouir pour la première fois. Elle accepte ensuite sans rechigner de me nettoyer la bite avec sa langue, pressant ma queue pour recueillir les dernières gouttes de sperme. La petite sœur timide et choquée est maintenant bien loin...
Vient alors le moment inévitable ou l’excitation redescend et ou les remords commencent à affluer dans les esprits de moins en moins embrumés. Nous restons un petit moment en silence, moi allongé sur le lit à moitié nu, elle accroupie entre mes jambes, en train de réaliser l’énorme tabou que nous venons de transgresser. Mais si la culpabilité m’assaille quelque peu, cela n’est rien par rapport à l’envie qui continue à affluer en moi devant la vision du corps sexy de ma petite sœur. Nous avons franchit le Rubicon, maintenant il faut aller jusqu’au bout. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, j’attrape Sofia par les épaules et l’oblige à se redresser tandis que je me lève du lit pour me retrouver face à elle. Son expression a complètement changée. Je vois dans son regard de l’hébètement, de la culpabilité... mais aussi du désir. J’attrape son visage encore maculé de quelques éclaboussures de sperme et me penche avidement vers elle pour l’embrasser.
Comme je m’y attendais elle ne résiste pas. Sa bouche s’ouvre et sa langue rejoint rapidement la mienne pour me rouler une pelle mémorable. Tout en l’embrassant, j’en profite pour faire tomber sa jupe et enlever son débardeur. Je retire fébrilement mes derniers vêtements tout en embrassant Sofia et en me délectant de la beauté de son jeune corps. Scène surréaliste : je me retrouve entièrement nu dans ma chambre en train d’embrasser ma petite sœur qui porte une petite culotte blanche comme dernier obstacle à mes envies libidineuses. Si on m’avait dit ça il y a une semaine ! Sans arrêter notre baiser, je repousse doucement Sofia vers le lit et l’a fait s’allonger. Le film continue de défiler sur mon ordinateur et les cris de plaisir de Sofia qui se fait maintenant prendre sans ménagement par son partenaire continuent d’emplir la pièce. Je quitte alors ses lèvres soyeuses pour me diriger vers ses sandales dont je défais méticuleusement les lanières.
J’en profite pour embrasser ses jolis pieds et lécher ses orteils. Je remonte ensuite doucement vers son entrejambe en déposant des baisers sur ses mollets et l’intérieur de ses cuisses Prenant son manque de réaction pour un encouragement, j’agrippe l’élastique de sa culotte de chaque côté de ses hanches et la fait rouler jusqu’à ses pieds en un lent mouvement sensuel. Je porte alors sa petite culotte à mes narines. Elle est chaude, inondée de cyprine et dégage un fumet enivrant. Je reconnais l’odeur familière que j’avais déjà sentie la veille, mais bien plus forte et entêtante. Nos regards se croisent et je vois dans ses yeux une grande incertitude liée au combat moral qui se joue dans son esprit entre son désir et le tabou de la situation. Pour moi, le choix est fait depuis longtemps.
— J’ai besoin d’un petit peu de temps pour me reprendre. Je vais en profiter pour m’occuper de toi.— Tu es sûr de ce que tu fais Slimane ? Te sucer c’est une chose, mais là je crois qu’on va trop loin...— Arrête un peu ton cinéma. Je vois bien que t’en as autant envie que moi. Regarde l’état de ta culotte !
Elle ne répond pas mais l’humidité de son sous-vêtement parle pour elle. Je m’allonge au-dessus d’elle, entre ses jambes écartées et commence par l’embrasser dans le cou avant de descendre vers ses deux magnifiques seins. Je mordille doucement ses tétons, embrasse ses nichons voluptueux puis laisse traîner ma langue sur son ventre, jusqu’à son pubis complètement glabre. J’insère un doigt puis rapidement un deuxième dans son vagin que je trouve, sans surprise, déjà passablement inondé de cyprine. Je fais coulisser mes doigts dans son conduit étroit, puis à l’aide de ma main gauche j’écarte ses chairs pour dévoiler son clitoris. Je commençai par le caresser doucement avec mon doigt avant de lui donner un léger coup de langue. J’entends la respiration de Sofia, déjà saccadée, qui s’accélère. Je pose alors ma langue sur son clitoris, d’abord par petites touches, puis par franches caresses. Sa chatte est douce et a un goût divin.
Elle ne peut retenir de petites plaintes qui se transforment progressivement en gémissements de plaisir. A mesure que je la sens prendre son pied, j’accélère mes caresses buccales jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment, se tendant comme un arc et attrapant ma tête de ses deux mains pour que je la dévore encore plus profondément.
Une fois le calme revenu, je continue mes caresses un petit moment, puis je me redresse. Sofia a les yeux fermés et ses jambes sont complètement écartées, comme si elle m’invitait à lui porter le coup de grâce. Je constate avec satisfaction que mon sexe a retrouver toute sa vigueur.
— Tes gémissements m’ont remis d’aplomb. On va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Je me repositionne à genoux sur le lit, entre ses cuisses et je joue un instant avec elle, massant l’entrée de sa chatte avec mon sexe, jusqu’à ce que l’excitation la gagne. Le résultat ne se fait pas attendre.
— Qu’est-ce que tu attends ? Baise-moi putain ! Tu ne vois pas que j’en peux plus ?
Libéré de tout remords, je me présente fermement devant l’antre des merveilles de Sofia. J’introduis mon gland, puis saisis ses jambes et pose ses mollets sur mes épaules. Je me penche alors un peu en avant, puis en agrippant ses hanches je la pénètre jusqu’à la garde. Elle ne peut retenir un petit cri, mélange subtil de douleur et de plaisir. Je commence mes va-et-vient dans sa délicieuse chatte humide et curieusement étroite au vus de ses prouesses cinématographiques qui passent encore à l’écran. Je la pilonne de plus en plus fort, en pesant de mon poids sur ses jambes, et en lui prodiguant de temps à autre quelques massages du clitoris.
— Putain Sofia ce que t’es bonne ! Ça te plaît de te faire limer par ton grand frère, pas vrai petite cochonne ?
Sa seule réponse consiste en une série de gémissements très expressifs. L’insulter et la dominer me procure une excitation monumentale. Ma bite est dure comme de la pierre, et elle ne met pas longtemps à jouir à nouveau sous mes coups de boutoir. Je dois alors faire une pause car les gémissements de ma petite sœur m’excitent terriblement et je ne suis pas loin de jouir moi-même.
Après avoir repris notre souffle, je la fait se mettre à quatre pattes, la croupe bien dressée, et je viens me positionner entre ses jambes. Excité comme jamais par la vision de son cul sublime, je m’introduis en elle d’un coup sec, ce qui lui arrache un nouveau cri de plaisir, et la défonce sans vergogne. Je la chevauche furieusement en agrippant ses deux petites fesses rebondies. Elle m’aide en allant à la rencontre de ma bite et en ondulant le bassin à chaque pénétration. Rendu fou par ses halètements de plus en plus marqués, je lui administre quelques fessées bien senties tout en la prenant à fond. Cela semble décupler encore son plaisir car elle tourne la tête vers moi pour me jeter un regard fiévreux. Sentant l’orgasme monter en moi, je me penche à son oreille et lui murmure des insanités tout en attrapant ses seins fermes avec mes mains avides. Visiblement mes paroles l’excitent aussi, car elle eu un nouvel orgasme foudroyant.
— Oh putain Slimane, ooouuuiii ! Défonce-moi !!!
L’érotisme de ces paroles et la contraction de son vagin autour de ma queue ont raison de mes dernières défenses. Je ne peux résister plus longtemps. Je me retire précipitamment de son conduit brûlant et inonde ses fesses et le bas de son dos de mon foutre dans un profond un râle de plaisir. Terrassé, je finis par m’écrouler sur elle, les mains toujours serrées autour de ses seins. Le film porno est fini lui aussi. Nous restons un long moment allongé dans le lit à nous embrasser dans le silence de ma chambre avant de nous endormir. Après une longue sieste nous nous rendons compte de l’heure tardive et rangeons tout le bazar juste avant le retour de nos parents.
A partir de ce jour, Sofia et moi sommes resté amant. Ce n’était pas évident puisque nous habitions toujours dans la maison familiale mais nous profitions de chaque absence des parents pour avoir des parties de jambes en l’air mémorables. Quelques mois plus tard je déménageais dans mon nouvel appartement. A partir de là les choses devinrent beaucoup plus faciles puisque ma sœur pouvait me rendre visite aussi souvent qu’elle le souhaitait sans créer d’histoire. Au contraire, nos parents étaient très content de se rapprochement soudain entre frère et sœur. S’ils savaient...
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