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Video de ma soeur

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Marc, j’ai 23 ans, je suis commercial, dans la région nord, pour une boîte de produits pharmaceutiques. Ma vie sentimentale se résume à quelques filles de temps en temps, rien de bien sérieux. Mon travail m’accapare énormément, beaucoup de kilomètres, des nuits dans des hôtels, des jours entiers sans rentrer chez moi. Mes loisirs se résument à des sorties en boîte avec mon pote Bruno, qui est aussi mon collègue, des soirées pizzas bières devant un jeu vidéo ou des matchs de foot au stade. L’autre jour Bruno me parle d’un site pornographique.
« Marc, hier, en matant un site porno, j’ai vu une superbe vidéo d’une fille qui fait un strip !– Je suis content pour toi !– Attends, elle est super bonne, tu devrais la regarder !– Ouais, on verra… ! »
Ma journée se résume à des déplacements et énormément de kilomètres. Vu ma fatigue et l’heure tardive, je préfère dormir à l’hôtel. En travaillant sur mes dossiers et en consultant mes mails, je tombe sur un message insistant de Bruno avec le lien de la vidéo. Je l’aime bien comme pote, mais par moments, il est bien lourd. Après trois heures de travail, je décide de me plonger dans des plaisirs solitaires. Je navigue de sites en sites et l’excitation montante, je suis le lien que m’a laissé Bruno. Un site étranger. Et là, je tombe des nues, je reconnais immédiatement la tâche de naissance sur sa hanche droite, c’est ma petite sœur, Véronique, 19 ans, première de sa classe, qui a suivi mes parents dans son éducation catholique, son pseudo, "Vero59", ne me laisse que très peu de doute.
Véronique est en string et porte un tee-shirt arraché, cachant à peine sa poitrine, la vidéo est cadrée pour que l’on ne puisse pas apercevoir son visage. Je suis subjugué par la vidéo. Son déhanché, ses mouvements de croupe, les caresses sur son corps. Au bout de 5 minutes de vidéo, elle retire son maillot. Au fond de moi et malgré mes certitudes, j’espère que ce ne soit pas elle sur cette vidéo. Deux piercings ornent ses tétons. En regardant l’arrière plan de la vidéo, cette chambre m’est de plus en plus familière. Mais, malgré que se soit ma sœur, Véronique, sur la vidéo, avec un sentiment de honte je ne débande pas. Je suis même de plus en plus excité. Son string disparaît, elle est maintenant nue, elle se doigte en gros plan, se pince les tétons, tout cela dans une danse érotique. Et, à quelques secondes de la fin, c’est bien elle, un petit mouvement de tête l’a trahie. Je reste quelques minutes, ma queue en main, à fixer la dernière image, floue, furtive, de son visage en gros plan. Je viens de me masturber sur une vidéo avec ma sœur. Je n’y crois pas, pourquoi fait-elle ça ?
En explorant la page internet, la vidéo a été postée il y a à peine 1 mois, je vois plus d’une soixantaine de commentaires, tous en anglais. Que des félicitations, des plus softs comme : des « putain de beaux seins ! », des « t’es super bonne ! », aux plus hards : des « j’aimerai bien te défoncer ! », des « ton cul est pour moi ! », des « t’es une bonne salope ! »...
Je quitte le site honteux, écœuré et vais me coucher, mais je n’arrête pas de repenser à ce que j’ai vu. Je revois ma sœur nue, danser devant moi ; mon excitation revient. Il faut que j’oublie cette vision. C’est quand même ma petite sœur, que je vois encore avec son appareil dentaire, cette petite sœur avec sa chambre pleines de posters de sa chanteuse préférée punaisés aux murs. Le lendemain après-midi je rentre au bureau, la dernière image de ma sœur, reste gravée dans ma mémoire.
« Alors Marc, la vidéo !– T’es lourd avec ta vidéo, tu sais !– Oh, de mauvais poil, aujourd’hui !– Excuse, je suis crevé, je n’ai pas arrêté de rouler hier et..., j’ai encore passé une nuit dans un hôtel miteux… !– Mince, je voulais d’inviter ce soir chez moi, j’ai un nouveau jeu !– Une autre fois, je vais rattraper mon retard de sommeil ! »
Une fois rentré chez moi et après avoir avalé vite fait un truc passé au micro-onde, je retourne sur cette vidéo qui me hante depuis hier soir. Une nouvelle est mise sur le site, cette fois-ci, son visage est un peu plus visible, c’est vraiment elle. Elle se lance encore dans ce même jeu de danse lascive et érotique, je la regarde encore et encore, de plus en plus excité. Que faire ?Je décide alors – et je me demande encore pourquoi – de m’inscrire sur le site pour pouvoir y poster un commentaire. Je tremble comme un petit garçon qui fait une chose interdite et qui a peur que ses parents le surprennent. Je poste enfin mon message : « tu es très jolie ! », le seul commentaire en français, très simple… Très bête.
Depuis ce jour, tous les soirs je retourne, honteux, sur sa page web. Espérant de nouvelles vidéos, mais aucune n’est postée. À chaque visionnage, je deviens de plus en plus un voyeur, je vais même jusqu’à la jouissance. Et un jour, sur mon mail, un message de Vero59 : « Un grand merci pour ton message, ça me fait vraiment plaisir, en plus un français ! Viens voir ma nouvelle vidéo, j’espère qu’elle te fera bien plaisir ! Bisou ! ».
Sans hésiter, comme un mec en manque, sans réfléchir, je la lance. Cette fois, il n’y aura pas de strip-tease, elle est totalement nue, allongée sur son lit. Et au lieu de m’offusquer, je déplore, je grogne sur la piètre qualité de l’image. Et tout en se massant, d’une main, la poitrine, de l’autre elle s’enfonce un énorme godemichet dans sa vulve adolescente. Ses va-et-vient sont rapides, presque violents. Avec ses jambes repliées, elle soulève son bassin. Ses gémissements sont forts, les simule-t-elle ? Je ne peux m’empêcher de prendre ma queue érigée en main et en quasi cadence, je me masturbe en même temps que ma sœur. Mon éjaculation est forte, je m’asperge le torse. Je lui laisse un commentaire indiquant que j’ai apprécié parmi les autres messages qui sont de plus en plus hards.
Le lendemain, Vero59 répond : « Tu as pris ton pied ? » et, oubliant que c’est avec ma sœur que je corresponds, je réponds : « Oui, comme jamais ! ». Une heure après : « J’en suis ravie, sur quoi tu fantasmes, qu’est-ce que tu voudrais que je fasse sur la prochaine ? »
Je suis de plus en plus surpris du comportement de ma petite sœur, mais aussi excité, toujours à l’affut d’une nouvelle vidéo, mais depuis quand est-elle comme ça ?
« Une danse avec une autre fille ! Pourquoi pas ! »
Pas de réponse et pas de nouveau poste durant deux semaines, le nombre de visionnage et commentaires augmentent, les notes de satisfactions sont proches du 100%. Et hier soir : « A ta demande ! ».
Ma sœur est avec une autre fille, dansant ensemble, habillées en jupette en tissu écossais, chaussettes blanches et un petit chemisier blanc. La longue chevelure blonde de sa partenaire, tranche avec celle, brune et courte de ma sœur. Sa copine a sous la lèvre un piercing, on peut deviner un tatouage sur le flan droit de son corps désirable. Sa poitrine est moins volumineuse que celle de Véronique, qui maintenant ne se cache plus le visage. Les deux filles se frottent l’une contre l’autre, Véronique se met accroupie pour passer ses mains sur les jambes de son amie. Elles se mettent, en se déhanchant au rythme d’une musique brésilienne, l’une en face de l’autre, de façon à ce que leurs poitrines, encore sous les chemisiers, se touchent, se frôlent. Les mains de la fille blonde parcourent le corps de ma sœur, elle lui retire son chemisier, le fait tourner au dessus de sa tête et le jette contre le mur de la chambre. Elle lui palpe les seins sous son soutien-gorge, tout en chevauchant sa cuisse et s’y frottant son sexe. Ma sœur se met derrière l’autre fille, lui déboutonne son chemisier et prend ses seins à pleine main, elle lèche la joue de la blonde, ses mains se plaquent sur son ventre, elle passe les doigts sous l’élastique de son amie pour faire tomber sa jupe. Elles continuent à se dévêtir mutuellement. Elles se penchent en avant pour montrer leurs superbes fesses à la caméra. De leurs mains, elles les écartent pour offrir aux spectateurs une vue imprenable sur leurs intimités. Ma masturbation est rapide et intense, simplement en dansant, se caressant, sans s’embrasser, elles ont réussi un numéro d’érotisme exceptionnel. Immédiatement, je laisse un message de satisfaction. Mais qu’est ce que je deviens, j’oublie totalement que je suis son frère.
Ce samedi matin, je reçois un mail de Vero59 : « Je vois que ça t’as plu ! Hihi ! J’imagine que tu aurais préféré que l’on aille plus loin ! ». Je réponds par l’affirmative. « Tu verras demain matin, alors ! ».
L’attente est trop longue, dès les premières heures de la matinée je me branche sur le site, espérant que la vidéo y soit déjà mise. Qu’est-ce qu’elle attend pour la poster ? Les heures passent et, en fin de matinée, la vidéo est enfin en ligne. Elle reprend là où elles s’étaient arrêtées, sur les fesses écartées. Cette fois, il n’y a pas de musique. Elles s’avancent toutes deux sur le lit. La blonde se met au-dessus de ma sœur. Elles s’embrassent, ses cheveux longs balayent délicatement le visage. Elle descend vers sa poitrine et suce les tétons de Véronique. J’assiste à un moment de tendresse, j’entends les gémissements de ma sœur, sa jouissance quand sa partenaire plonge le visage entre ses cuisses. La suite n’est que cunnilingus, baisers, caresses. Encore une fois, je me masturbe. Ma sœur est devenue une drogue pour moi.
La semaine passe, je suis continuellement sur la route, je retrouve mes chambres d’hôtel habituelles, pas de mise à jour sur son profil, pas de message de sa part sur mon mail, je m’impatiente. Vendredi, ma mère m’appelle pour me proposer de venir manger chez eux, dimanche. À mon arrivée, ma sœur m’ouvre la porte. Elle est habillée de vêtements stricts et ternes, une longue jupe grise, un chemisier blanc à manches longues, des souliers noirs et un diadème retient ses cheveux en arrière. Le cliché parfait de la petite fille bourgeoise catholique, le clone parfait de ma mère. Pour le repas, je suis en face de Véronique. Elle revient d’une semaine passée en Angleterre dans le lycée jumelé au sien.
Je comprends alors mieux son absence. J’essaie de lancer la discussion sur les garçons et, à chaque fois, ma mère répond à sa place par des : « Ce n’est pas le moment ! », des « D’abord ses études ! », ou « Ce n’est pas de son âge ! ». Quand je la contre, avec comme argument, qu’à 19 ans, on est en âge pour fréquenter des garçons, elle me raconte pour la centième fois que : « Ton père et moi, nous nous sommes connus à 25 ans, une fois nos études terminées et un travail trouvé et tout ce passe bien ! », je préfère laisser tomber, pour éviter de tourner en rond. Mais quand j’observe ma sœur et avec ce que je sais d’elle, je comprends vite que ces considérations religieuses lui passent au-dessus de la tête. À la fin du repas, Véronique me demande si je peux regarder sur son PC. Elle n’arrive pas à installer sa nouvelle webcam. Je l’accompagne dans sa chambre.
Ces murs, ce lit, tout m’est familier. Je commence à bander rien qu’en repensant à ce qu’elle à fait dans sa chambre. J’aperçois, dans sa penderie entrouverte, la petite jupe utilisée pour exciter ses voyeurs pervers dont je fais partie maintenant. Je me surprends à chercher le godemichet qu’elle a utilisé. Pendant que je lui explique l’installation, je la sens contre moi, je me retiens de lui sauter dessus.
« Pourquoi tu changes de caméra ?– Celle du PC est de mauvaise qualité, quand je tchate avec mes copines, c’est un enfer pour elles !– Avec celle-ci ça ira mieux, maintenant ! »
Je profite que maman ne soit pas là pour lui demander :
« Et les garçons, alors ?– Elle ne le sait pas, mais j’ai déjà eu quelques petits amis... !.. Mais rien de sérieux, ils me considèrent comme la petite religieuse du lycée !– C’est nul de penser ça, t’es super mignonne… !– Merci Marc, mais si je me pointe avec un mec demain..., je crois que maman va faire une attaque ! »
Nous partons, tous les deux, dans un fou rire, nous imaginant ma mère, tombée raide, les yeux exorbités, en voyant un garçon au bras de ma sœur.
En rentrant chez moi, je repense à ce qu’elle m’a dit concernant sa vie sentimentale ; elle joue bien la comédie cette petite !J’allume mon PC et un mail de Vero59 m’attend : « Excuses-moi pour mon absence, j’étais en Angleterre, pour rendre visite à nos charmants correspondants Anglais, quelle plaie ! Une bonne nouvelle, j’ai une nouvelle caméra, mon frère l’a installée aujourd’hui ! » (Je sais, je sais) « Je vois que tu as aimé, j’espère que tu t’es fait du bien en nous regardant. As-tu une adresse MSN ? On pourrait discuter ensemble ! ».
J’hésite un moment avant de répondre. Jusqu’où va-t-on aller ? Je me crée une adresse et la lui envoie par mail. Le soir même, alors que je navigue sur internet, Véronique me contacte. Nous discutons de ses vidéos, elle essaie d’en savoir plus sur moi. En omettant pas mal de choses sur ma vie, je reste dans la vérité pour ce qui est de mes fantasmes et mes goûts. Elle est heureuse d’apprendre que je vis près de chez elle. Véronique, de son côté, se lâche lorsque je lui demande pourquoi elle se met en scène.
« J’en ai marre de cette éducation catho, tous les dimanches à la messe, j’peux pas avoir de mecs, mon frère a échappé à tout ça, quel veinard ! »
Dès que j’ai eu un boulot, j’ai pris mon appartement, c’est vrai que je ne supportais plus l’éducation étouffante de ma mère. J’essaie de calmer sa rancœur envers notre mère.
« D’un autre côté, ta mère t’aime surement et, moi aussi, j’ai une éducation catholique... !.. Et maintenant, avec le recul, ça m’a inculqué pas mal de valeurs... !.. Mais, depuis quand as-tu des relations avec des filles ?– D’abord, je me suis faite dépuceler, il y au moins 4 ans..., j’en avais trop envie, j’ai fait ça vite fait pendant une récré ! »
« La vache ! » Est la seule chose qui me vient à l’esprit, je ne m’en suis jamais douté.
« Et depuis, j’en suis accro, dès que je peux, je le fais, si ma mère savait… !.. Pour les filles, c’est avec une copine, un soir de révisions... !.. On regardait des trucs sur Internet et on est tombé sur un site porno... !.. Ça nous a excitées et on a essayé ! »
Depuis notre contact, elle ne diffuse plus de vidéos, tous les soirs nous nous donnons rendez-vous pour un tchat. Un jour, elle me propose, rien que pour moi, de s’exhiber en live et que je masturbe en la regardant. Sentant ma réticence, elle me laisse la possibilité que ne lui montre pas mon visage. Cette Vero59 me chauffe tellement, que l’homme que je suis accepte l’idée. Je cadre ma webcam sur mon bas-ventre. Et, doucement, elle se met nue pour ne garder que ses bas noirs et commence une danse impudique, composée d’attouchements, de palpations de poitrine, de léchages de doigts, sa rosette en gros plan. Elle m’encourage dans ma lente masturbation par des : « T’aimes bien ça... ! », « J’adore ta queue ! », « Je suis ta salope... ! ». Elle décuple mon plaisir, oui Vero59, tu es ma salope ! Je fais tout pour ne pas éjaculer, mais plus le live dure, plus elle accentue mon émoi. Et je finis par exploser, littéralement, comme jamais je n’ai éjaculé. Alors que mon sexe est encore atteint de soubresauts ma sœur lâche un : « Hummmm ! J’aimerais y goûter... ! ». Moi aussi, j’aimerais que tu y goûtes.
Le lendemain matin, à mon réveil, je me demande ce qui m’a pris de faire ça. Pourquoi j’ai pris autant de plaisir, mon absence de remords durant la nuit, ma plénitude totale. Elle m’enfièvre totalement. Mais bon dieu, c’est quand même ma sœur. Mais plus le temps passe, plus je la désire, je la veux, mes rêves sont envahis par elle. Et maintenant, deux à trois fois par semaine, on s’exhibe tout les deux, voir trois. Oui trois, à cette soirée où mes parents sont partis au théâtre et que sous prétexte de révision, elle est apparue avec sa partenaire blonde.
Ce petit jeu dure depuis trois mois maintenant. Mon envie sexuelle pour elle est totale, je la veux, par tous les moyens. Et un jour, mon souhait se concrétise. Elle me demande si on peut se rencontrer. Mes parents sont absents pour plusieurs jours, grâce à un voyage organisé par l’entreprise de mon père. Le temps étant clément, on se donne rendez-vous sur une terrasse de café à Lille. Sous le prétexte de lui faire la surprise, je ne lui montre pas mon visage. Est-ce que, ce qu’elle imagine de son voyeur, vaut la vérité. Mais quelle sera sa réaction ? Pour ce qui me concerne, c’est décidé, je veux assouvir mon envie.
Je m’approche de l’endroit de notre rendez-vous, la place est envahie de monde profitant du soleil malgré une température des plus douces. Je la vois assise, habillée comme elle l’a indiqué. Une robe rouge légère à fleurs qui, à la moindre brise, se soulève laissant voir la naissance de ses bas, de petites chaussure à petits talons, rouges elles aussi et de lunettes pour se protéger du soleil. Elle ne m’a pas aperçu, elle regarde discrètement sa montre. J’arrive par derrière.
« Bonjour Vero59 ! »
Elle se retourne rapidement, avec hâte. Mais dès qu’elle me reconnaît son superbe sourire s’efface de son doux visage.
« Marc c’est toi ?– Oui, c’est moi !– Ce n’est pas possible, comment !? Qu’est-ce qu’on a fait ?– On s’est fait plaisir, simplement !– J’ai honte, putain, j’suis mal… ! Je t’ai vu te masturber !– Et moi, je t’ai vu prendre plaisir avec une fille ! Ecoute..., il fallait que tu saches qui je suis, ça ne pouvait plus durer !– Mais tu savais que c’était moi et tu as continué !?– Et j’y ai pris énormément de plaisir… !– Et nos parents, tu vas leur dire ?– Non, et de plus je ne suis pas tout blanc dans cette histoire... !.. Tu étais contente de me mater, non?– En fait oui, j’étais vraiment excitée… ! Et j’avais vraiment envie de m’envoyer en l’air !– Et moi aussi… ! »
Un long silence s’installe entre nous, on se regarde dans les yeux. Tendrement, je pose une main sur la sienne, elle ne la retire pas, penche la tête et me sourit. À quoi pense-t-elle ?
« Allez, viens, Marc ! »
Elle se lève brusquement en me tenant toujours la main. Nous allons jusqu’au parking souterrain où je suis garé. Arrivé à ma voiture, elle me saute dessus, violant quasiment ma bouche. Je soulève une de ses jambes, lui caresse la cuisse, je bande fortement, je passe ma main sur sa petite culotte qui est trempée, je suis prêt à la prendre là parmi les voitures, dans cet endroit plein de poussière, d’huile. C’est une voiture qui arrive qui nous stoppe dans nos ébats. Nous montons dans la voiture tout en essayant de reprendre notre respiration. Et sans un mot, je démarre en direction de mon appartement. Nous courrons dans l’escalier, à peine la porte fermée, nous reprenons là où nous avions été interrompus.
Je me débarrasse de sa robe, tout en avançant vers ma chambre. J’enlève mes vêtements, je plonge sur elle, je viens lécher cette fameuse tâche de naissance sur sa hanche, cette tâche qui a tout déclenché. Sa culotte blanche est totalement trempée. Elle se redresse et prend mon sexe en bouche. Elle me l’avale entièrement, elle l’enfouit au plus profond de sa bouche. Sous cette agréable torture, sentir la bouche de sa sœur sur son sexe, le goût de l’interdit, je ne vais pas résister longtemps. Elle me suce avec une énergie phénoménale, comme jamais mes partenaires ne m’ont sucé. Je presse sa tête contre mon ventre et dans un râle, j’inonde sa gorge de mon sperme chaud. Elle reste immobile est avale tant bien que mal ma semence qui coule aussi hors de sa bouche.
Je sors mon sexe encore tendu, je la penche en arrière, écarte ses jambes et j’arrache presque ce petit morceau de tissu blanc me séparant de sa grotte interdite. Je la pénètre avec ma langue, mes doigts avec la même intensité quelle pour sa fellation. Je la vois jouir sous mes doigts. Elle me demande de la prendre. Je pose ses jambes sur mes épaules, je prends mon membre tendu en main, le guide vers sa vulve et, sans ménagement, la pénètre sèchement. Mes coups de reins sont brutaux et amplifiés par ses mouvements de bassin. Elle ne gémit pas, elle crie. Je la besogne sans honte maintenant, savoir mon sexe dans le vagin de ma sœur me rend plus bestial. Je la voulais tellement, je n’attendais que cet instant. Je veux lui remplir le vagin de mon jus. Elle m’encourage, me demande de continuer, nous sommes des bêtes en rut. Et avec l’énergie qui me reste, j’éjacule dans son ventre.
Je me retire et m’allonge à côté de son corps couvert de sueur. Mon sexe a perdu de sa vigueur, mais elle en veut encore. Ma sœur est déchainée, avide de sexe, elle m’astique le sexe avec force, elle veut le revoir s’ériger le plus vite possible. Une fois satisfaite de son office, elle me demande de la sodomiser sans ménagement. Je m’enfouis dans son anus, je suis comme un de ces acteurs dans ces vidéos, je ne la ménage pas, elle m’approuve avec ses demandes. Véro59 tu es ma chose et je me lâche dans son intestin.
Nous avons profité de l’absence de nos parents pour continuer nos jeux sexuels. À ma demande, sa copine est venue y participer. Prochainement, nous allons poster une vidéo de nos ébats sur son site.
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