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Ma vie d'agent immobilier

Chapitre 1

Hétéro
Dans le métier d’agent immobilier, nous accompagnons beaucoup de projets de vie.
Les achats en raison d’une naissance, les ventes en raison de divorce ou de départ des enfants...
La première qualité d’un agent immobilier selon moi, est l’empathie. Ressentir les besoins des clients pour trouver ce dont ils ont besoin, et réussir la transaction.
Je suis Maxime, j’ai 26 ans, je fais ce métier depuis mes 18 ans. Même si 90% de mes rencontres professionnelles se sont déroulés de manière classique, certaines ont apporté une note d’originalité à ma professionnelle.
Il y a quelques mois, à la fin du mois d’août 2020, je prépare la mise en vente d’un pavillon.
La famille n’est jamais revenu du confinement passé en Bretagne et s’y installe définitivement.
L’estimation se fait en début d’après-midi avec le couple 45-50 ans environ. Tour de la maison habituelle, (la pièce à vivre avec son double séjour et la cuisine ouverte, une suite parentale au rez de chaussée et 3 chambres à l’étage)avec les propriétaires puis compte rendu dans le salon, je m’installe sur le fauteuil et le couple sur le canapé face à moi.
Pendant que je discute avec Monsieur de la mise en place de la vente avec mon agence,sa compagne me propose un café, que j’accepte volontiers.
Je la vois s’éloigner derrière son mari vers l’espace cuisine. Je ne peux m’empêcher de regarder ses courbes se déhancher pendant sa marche.Elle se retourne pour me demander si je souhaite un sucre et remarque mon regard sur ses fesses.Je suis grillé, je commence à rougir mais je me ressaisis et garde mon sang-froid visuellement. Dans ma tête je m’insulte de tous les noms de ne pas regarder plutôt Monsieur qui me parle de sa future piscine.
Moi qui appréhendait sa réaction, je la vois rigoler et se mettre une petite tape sur son postérieur.Elle prépare le café en me fixant sourire aux lèvres. Je l’aperçois par dessus l’épaule de son mari avec qui je continue de discuter des papiers pour la vente.Je lui demande de me laisser les documents de la maison pour que je les imprime à l’agence, mais il insiste pour tout imprimer lui même.
Il part les préparer dans son bureau qu’il a installé à l’étage.
Je tourne les yeux vers sa femme qui m’apporte le café et s’assoit face à moi.
— Alors Monsieur l’agent immobilier, on relooke ses clientes ? Ce n’est pas sérieux ça tout en rigolant
— Je vous présente mes excuses, Madame, j’ai manqué de professionnalisme, veuillez accepter mes excuses. J’espère que vous n’en prendrez pas compte dans la décision de...
Elle me coupe la parole en rigolant à nouveau et me dit : — Tu as aimé ce que tu voyais je suppose, moi j’adore qu’on me matte. Tu n’as pas regardé mes seins ? Ils te plaisent pas ?
Je commence à rougir sérieusement et espère intérieurement que son mari va vite revenir.
— Alors ? Ils te plaisent ? Oh tu dois rien voir s’ils sont sous mon haut, regarde.
Elle soulève son haut et son soutien-gorge et me dévoile une belle paire de seins bien ferme.
— Madame, votre mari est à côté. Oui ils sont très jolis mais je ne veux pas de problème.
— Ne t’inquiète pas, il est encore dans le bureau, le plancher craque devant le bureau, on l’entendra revenir, tu vas voir dit-elle calmement.Chéri ! Tu t’en sors ? Tu as besoin d’aide.
— Non ! Je vais finir par trouver les diagnostics. offre un deuxième café à Monsieur s’il a déjà fini le sien, ou qu’il commence les photos, on va tout faire aujourd’hui.
— Tu as entendu ? Suis-moi. Dit-elle en remettant son haut.
Je prends mon appareil photo à la main, et la suit dans le couloir direction la suite parentale. Je reprends mon travail, commence mes photos de la suite qui se présente : entrée, dressing à gauche, salle de bains à droite et la chambre ensuite qui donne directement sur le jardin avec une petite terrasse.
Je suis en train de prendre en photo la salle de bains, je sens la présence de ma cliente derrière moi mais je n’ose pas me retourner pour ne pas passer pour un obsédé qui ne pense plus à son travail.Je met mon œil dans le viseur de l’appareil photo et je sens sa tête se poser sur mes épaules et sa main droite se poser sur mon entrejambe.
— Mes seins t’ont plu, mais moi j’ai rien vu, en exerçant une pression sur mon sexe qui grossit à la suite de contact.
— Madame, je ne vais pas pouvoir rester longtemps professionnel si vous me torturez comme cela. Que voulez-vous ?
— Mets-la moi au fond de la gorge si tu oses.
— Et votre mari ? S’il rapplique, qu’est ce qu’on fait ?
— Avec tout ce que tu lui as demandé et sa maîtrise de l’ordinateur et de l’imprimante. Il en a encore pour 10 minutes facile. Alors tu oses ? Ou tu te dégonfles ? En se léchant les lèvres.
Pour moi le point de non-retour est passé, j’ouvre ma ceinture, fais glisser mon pantalon, et mon caleçon et prends appui sur le meuble lavabo.
J’attrape la main de ma cliente, l’attire vers moi, je l’embrasse avec fougue et lui dit :— A vous de jouer, vous osez ? Ou vous vous dégonflez ?
Elle s’accroupit et me dit : — Je me dégonfle jamais, et je m’appelle Rose, tu peux me tutoyer vu où on en est.
Elle commence à me faire une fellation incroyable, je suis totalement sous le charme. Elle me gobe les boules, me lèche mon sexe de bas en haut et le gobe.
Je me rappelle de sa provocation tout à l’heure et lui attrape l’arrière de sa tête et lui pousse contre mon sexe. Elle s’étouffe légèrement mais ne cherche pas à se retirer.
J’attrape mon téléphone, je veux immortaliser cet instant. Elle me voit faire et rigole en gardant mon sexe en bouche. Puis elle me dit : — Tu me les enverras par WhatsApp s’il te plaît.
Elle se met à poser, mon sexe en bouche et regard en direction de la caméra.
Je sens que ça monte, je la préviens, elle accélère le rythme et se met à me masser les testicules.
Le plancher craque à l’étage, puis les marches.
— Ça y est, j’ai enfin fini.
Je jouis dans sa bouche dans un râle silencieux, elle avale tout. Je remonte mon pantalon rapidement. Elle se relève et part dans la chambre.
J’ai à peine le temps de remettre ma ceinture, je rallume mon appareil photo, je prends 3-4 photos.
Monsieur arrive dans la pièce, souriant :
— Ça y est, j’ai enfin fini, vous m’en avez demandé des documents.
— Oh merci Monsieur, je suis navré, je ne voulais pas vous embêter. Je pouvais le faire à l’agence.
— Aucun problème Maxime. Vous permettez que je vous appelle par votre prénom. Vous pourriez être mon fils. C’est un plaisir d’aider. Vous avez pu faire les photos ?
— Madame m’a si gentiment proposé un deuxième café et m’a parlé du confinement et de vos vacances. Je viens à peine de commencer.
En même temps, Rose réapparaît dans la pièce, embrasse son mari tendrement devant moi et dit :
— J’ai réajusté la parure de lit et ouvert les rideaux. Merci d’avoir attendu Maxime. Vous pouvez faire les photos de la chambre.
J’ai fini par réaliser les photos, signer le mandat de vente.Madame a plaidé ma cause pour l’exclusivité du mandat au près de son mari.— Je ne vais pas m’amuser à jongler entre les différentes agences pour les visites. Toi tu es tranquille, tu repars demain en Bretagne.
Elle me fait un clin d’œil. Je vais la revoir.
Mandat signé, photos prises, papiers en main.
Je retourne à mon agence préparer la mise en vente du bien.
Je suis à mon bureau quand je reçois un message WhatsApp d’un +33 6 que je ne connais pas.
J’ouvre le message. C’est RoseElle s’était prise en selfie avec mon sperme en bouche dans la chambre quand son mari est arrivé dans la pièce.
Avec un message "n’oublie pas ma photo"
Je lui envoie directement la photo en la remerciant pour ce moment.
Nouveau message "Regarde dans quel état tu m’as mise" Elle est dans la salle de bains, où j’étais avec son mari il y a une heure en train de discuter.
Mais cette fois seins nus, dans une culotte trempée.
Je lui réponds à très vite et me remet à travailler avant de me faire engueuler par mon directeur.
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