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Ma vie amoureuse

Chapitre 13

Hétéro
‒ Laissez-vous faire, les garçons !Et Margaux nous a descendu pantalon et slip jusque sur les chevilles. À tous les deux, Florian et moi. À tour de rôle.‒ Là !
Elle nous a posé, à chacun, une main au creux des reins, nous a fait avancer l’un vers l’autre. Rapprochés. Plus près. Encore plus près. Tout près. Elle m’a décalotté la queue. Et puis celle de Florian. Elle nous les abouchées. Gland contre gland. Elle les a doucement lissés l’un contre l’autre.‒ Vous aimez ?Oui. C’était loin d’être désagréable. Et même…
Elle a enserré nos deux queues dans sa main, les a pressées l’une contre l’autre. Et elle a branlé. Lentement d’abord. Et puis plus vite. De plus en plus vite.C’est Florian qui a giclé le premier. Et puis moi. Presque aussitôt après. Ça lui retombé sur sa main à Margaux. Ça lui a coulé le long du poignet. Et puis de l’avant-bras.
On lui a souri.‒ Merci.‒ Et merci à vous de m’avoir fait revivre ça.Lui avoir fait revivre ? Ah, il fallait qu’elle raconte, là ! Il fallait absolument qu’elle raconte.
Elle s’est assise au bord de son lit. Et nous aussi. À ses côtés. De chaque côté. Flanc contre flanc.‒ Comme je vous disais l’autre jour, après l’épisode du parc, j’étais devenue une inconditionnelle des mecs entre eux.‒ En virtuel.‒ En virtuel, oui. Jusqu’au jour où… Il y avait, à la fac, dans mon groupe de travaux pratiques, deux types, Manuel et Hervé, qui étaient homosexuels. Qui ne s’en cachaient pas. Alors, évidemment, je n’ai rien eu de plus pressé que d’essayer de me rapprocher d’eux. Ce qui n’a pas été bien difficile. On aimait les mêmes auteurs, les mêmes films, les mêmes musiques. On s’est prêté des livres. On est allés au cinéma ensemble. Au concert. Et, un soir, au sortir d’un récital qui avait lieu tout à côté du deux-pièces qu’ils occupaient ensemble, je me suis retrouvée à dormir chez eux. Sur le canapé de la salle de séjour. Dormir ? Pas vraiment. J’étais beaucoup trop intéressée par ce qui se passait dans la chambre, juste à côté. Parce que ça donnait ! Non, mais comment ça donnait !‒ Peut-être que ça les excitait de te savoir là…‒ Ah, ils en étaient de la comédie ! Tant et si bien que j’ai fini par me lever et par aller coller une oreille à la porte de leur chambre pour en profiter tout mon saoul. Je m’y suis appuyée. Plus fort. Encore plus fort. Sauf qu’elle avait été mal clenchée, cette porte, et qu’elle s’est brusquement ouverte.‒ Oh, la honte !‒ J’ai battu en retraite ! À vitesse grand V.‒ Et eux ? Ils ont réagi comment ?
‒ Ils ont continué. Comme si de rien n’était. La porte grande ouverte. Mais alors je vous dis pas comment, le lendemain, au petit déjeuner, j’étais dans mes petits souliers.
Ça, on imaginait bien.‒ En réalité, tout s’est très bien passé. On en a parlé. Joué cartes sur table. J’ai fini par leur raconter pour les types du parc. Ils ont parfaitement compris.‒ Et tu as pu assister tant que t’as voulu à leurs ébats. Sans te cacher cette fois. Qu’est-ce que t’as dû te régaler !‒ Ah, ça !‒ Tu te branlais ?‒ J’osais pas trop au début, mais après…‒ Fallait pas t’en promettre.‒ D’autant qu’ils appréciaient de me voir faire.
Florian a voulu savoir.‒ Vous avez fait des trucs ensemble ?‒ Oh, que oui ! La première fois…
Son regard s’est perdu dans ses souvenirs.‒ La première fois ?‒ La première fois je leur ai fait ce que je vous ai fait à vous tout à l’heure. Jamais, jusque-là, j’avais encore branlé un type. Jamais j’avais encore touché une queue.‒ Et t’étais toujours vierge.‒ Oui et non. Oui, parce que j’avais jamais couché. Et non parce qu’un soir, en me masturbant, dans le feu de l’action, je m’étais déflorée avec mes doigts. Toute seule. Comme une grande.‒ Et eux ? Ils étaient puceaux des femmes, je suis sûre.‒ Jusque-là, oui.‒ Jusque-là. Ce qui veut dire que c’est avec toi…‒ Tu es très perspicace, Alexandre.‒ Ils étaient bi en fait. Et c’est toi qui le leur as fait découvrir.‒ Comme je vous l’ai fait découvrir à vous…
* * *
Des coups de klaxon en bas. Juste en dessous. Répétés. Insistants. J’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre. C’était Élodie.Je suis descendu. Elle a baissé sa vitre.‒ Ah, ben quand même ! T’es sourd ?‒ Qu’est-ce tu fous là ?‒ Je viens te chercher. Qu’on aille à l’hôtel, là, comme l’autre jour. Ça te dit pas ?Si ! Bien sûr que ça me disait ! Si !‒ Eh ben alors ! Va chercher des affaires. Grouille !
Quand je suis ressorti de ma chambre, Victoria m’attendait sur le palier.‒ Tu vas où ?‒ Je sors.‒ Avec cette fille, là, en bas ?‒ Avec elle, oui.‒ Si tu fais ça…‒ Eh bien ?‒ Tu peux te chercher quelque chose ailleurs.Je n’ai pas répondu, mais c’était bien ce que j’avais l’intention de faire.
* * *
Élodie avait une idée. Qu’elle s’étonnait de ne pas avoir eue avant.‒ Ce serait d’aller d’abord dîner à l’hôtel en face du nôtre. Histoire de voir la tête qu’ils ont ceux qui me materont après, dans la chambre. Non, t’as pas envie ?
C’était une grande salle, sans véritable cachet, très fonctionnelle. Avec des nappes à carreaux rouges et blancs. On nous a installés près d’une fenêtre. Donné les menus. Trois tables étaient occupées par des hommes seuls.‒ Alors ceux-là, tu peux être sûr que je vais y attraper. Avec les trois. À condition que leurs chambres soient du bon côté, mais c’est le cas. C’est forcément le cas. Ils se sont arrangés pour, tiens ! Ben, oui ! Un mec tout seul, le soir, à l’hôtel, qu’est-ce tu veux qu’il fasse d’autre à part se palucher. Et si, en plus, il y a quelque chose à reluquer dans les parages, alors là, c’est la fête du slip.
Elle s’est penchée vers moi.‒ C’est des représentants. Ou quelque chose comme ça. Sauf celui à droite, là. Lui, je te parie ce que tu veux que c’est un retraité qui passe son temps à écumer tous les hôtels de la région. Ceux du moins dont il sait qu’il peut espérer en tirer quelque chose. Le vrai cochon de base. Il en a la tête en plus. Oh, mais attends, pépé, attends ! Elle va te soigner, Élodie. Quelque chose de bien.
Et puis elle s’est intéressée aux couples. Il y en avait quatre. Tous entre quarante et cinquante ans.‒ Et tous, à mon avis, illégitimes. Ben oui, attends ! Qu’est-ce tu voudrais qu’un couple marié vienne foutre dans ce bled paumé ? C’est pas touristique. Il y a rien à voir. Non, c’est tous des amants. Qui racontent des salades à leurs conjoints et qui se retrouvent en cachette ici. Peut-être même que, pour certains d’entre eux, ça dure depuis des mois, voire des années. Ils sont, pour ainsi dire, en couple bis. Si bien que le mec, un mec restant toujours un mec, il profite de ce que sa maîtresse est dans la salle de bains pour essayer de se régaler les yeux avec ce qui se passe en face.‒ Et pourquoi pas elle ?‒ Quoi ?‒ Ben oui ! Pourquoi ce serait pas la nana qu’en profiterait, pendant qu’il a le dos tourné ?Elle a fait la moue.‒ Ça doit bien arriver, oui, sûrement ! Mais pas si souvent que ça… Moins souvent en tout cas.‒ Va savoir…
Quelque chose, d’un noir intense, a brillé dans ses yeux.‒ Non, mais par contre, ce qui doit aussi se passer quelquefois, c’est qu’il s’installe à la fenêtre, le couple, et qu’il s’excite en regardant.
Elle a parcouru, à plusieurs reprises, la salle des yeux. Et elle a soupiré.‒ C’est quand même râlant de pas savoir qui il y aura au juste. Et qui fera quoi. Bon, mais allez ! On retourne en face.
* * *
Dans la chambre, elle a pris tout son temps. Pour déballer ses affaires. Les ranger dans le placard. Emmener sa trousse de toilette dans la salle de bains. En revenir. Y retourner. Elle a fait durer. Une bonne dizaine de minutes.‒ C’est presque le meilleur moment, ça ! Quand, en face, ils sont en train de se demander s’ils vont avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Et quoi. Un peu ? Beaucoup ? Tout ?
Je me suis allongé sur le lit, mains sous la nuque.Elle, elle a commencé à se déshabiller. Le haut. Qu’elle a passé par-dessus la tête. Tout en me parlant.‒ Faut pas les faire trop attendre non plus. Parce que le risque, c’est qu’ils aillent laisser traîner les yeux ailleurs, qu’ils y trouvent quelque chose à leur goût et que toi, ils te laissent pour compte.
Elle a retiré sa jupe. Est apparue en petite culotte blanche affriolante.‒ Comment ça doit déglutir ! Comment ça doit grimper dans les caleçons. Et supplier intérieurement. « Encore ! Enlève ! Encore ! »
Elle s’est débarrassée de son soutien-gorge. En prenant bien soin de rester tournée vers moi.‒ N’empêche que toi aussi, tu bandes, mon cochon. Et pas qu’un peu !
Elle a passé deux doigts sous l’élastique de sa culotte.‒ On peut pas te laisser dans un état pareil. Ce serait inhumain. Eux non plus d’ailleurs !
L’a lentement fait glisser. Très lentement.‒ Profitez-en ! Tous autant que vous êtes.
L’a laissée tomber.‒ Là ! Et maintenant à nous deux ! Je m’occupe de ton cas.
Elle m’a rejoint sur le lit. A déboutonné mon pantalon. Me l’a arraché. S’est installée sur moi.‒ Ah, ils vont voir ce qu’ils vont voir ! Non, mais comment je suis excitée ! C’est de la folie !
Elle m’a empoigné la queue, se l’est enfournée dans la chatte et s’est élancée contre moi à grands coups de bassin, ses seins ballottant dans tous les sens.‒ Comment c’est bon, une bite ! Non, mais comment c’est bon !Elle a eu très vite son plaisir. Qu’elle a éperdument feulé.
Et elle est retombée.‒ On bouge pas. On reste comme ça. On les laisse se rincer l’œil.
Elle s’est calée contre moi, a posé la tête sur mon épaule.‒ Tu sais ce que je me demande ? C’est si, dans le tas, il y en a qu’ont des jumelles.‒ Je sais pas. Peut-être.‒ Oh, sûrement, tu parles !
De l’autre côté de la cloison, il y a eu soudain des gémissements.Elle a ri.‒ Il y en a deux à qui, apparemment, on a donné des idées.
Des gémissements qui ont pris de l’ampleur. De plus en plus d’ampleur. Elle a grondé, la fille. Elle a hurlé son plaisir.‒ Elle a de la voix, ça, on peut pas dire.
Elle m’a effleuré les lèvres.‒ Et toi, ça te fait reprendre consistance. J’adore. J’adore ça, quand le mec, tu l’as tout rabougri, tout fripé en toi et que, d’un seul coup, elle se met à s’élancer, sa queue, elle s’élargit. On dirait que ça n’en finira jamais.
Elle s’est remise tout doucement en mouvement.‒ À notre tour…J’ai posé mes mains sur ses fesses. J’ai accompagné ses mouvements de va-et-vient. On a eu notre plaisir ensemble. Tous les deux.‒ Peut-être qu’ils vont recommencer, eux aussi.On a attendu, mais non. Non. Il ne s’est rien passé.‒ Ils en sont plus.
Elle m’a libéré, s’est étendue à mes côtés.‒ Bon, allez, on dort maintenant. Mais on reste sur le lit. Et on n’éteint pas la lumière. Qu’ils en aient pour leur argent.
* * *
Maman était en train de monter des blancs en neige.‒ Qu’est-ce t’as à me tourner comme ça autour ? T’as quelque chose à me dire ?J’avais, oui.‒ Je vais pas y rester à la colocation là-bas.‒ Hein ? Mais pourquoi ?
Elle a posé le fouet, s’est essuyé les mains à son sempiternel tablier à fleurs.‒ T’es pas mal là-bas. T’es même très bien. Pour trouver mieux…
Elle a froncé les sourcils.‒ T’as encore fait des tiennes !‒ Mais non, oh !‒ Eh bien alors !‒ C’est la propriétaire. Elle me court après.‒ Comment ça, elle te court après ? Tu te le seras imaginé.‒ Ah, non ! Non. Je me le suis pas imaginé, non. Elle est très explicite. Tant en gestes qu’en paroles.Elle me harcèle. Il y a pas d’autre mot.‒ Mais enfin qu’est-ce qu’elles ont toutes, ces bonnes femmes, à vouloir se taper des gamins qu’ont la moitié de leur âge. Elles ont le feu au cul, c’est pas possible ! D’abord la voisine, cette Margaux. Et maintenant… Ah, elle cache bien son jeu, elle aussi ! Je lui aurais donné le Bon Dieu sans confession, moi !
Elle a soupiré.‒ Bon, mais on va voir ça. Il va falloir te trouver autre chose.
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