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Ma vie amoureuse

Chapitre 16

Hétéro
Dans cet épisode, Margaux va d’abord entraîner nos deux jeunes compères, Alexandre et Florian, au gloryhole.Dans un second temps, Alexandre va faire plus ample connaissance avec Catherine, l’amie d’Isabelle avec laquelle il vit en colocation amoureuse.

Florian a ouvert de grands yeux stupéfaits.‒ Isabelle ? Isabelle Carmilet ? Bien sûr que je me rappelle ! Bien sûr ! Une fille qu’a un charme fou. Et tu dis qu’elle adorerait nous voir faire des trucs ensemble ? Tous les deux ? Oh, mais c’est quand elle veut, alors là ! Quand elle veut…‒ Ce sera bientôt. Je te dirai. Bon, mais il y a pas que ça. Il y a aussi que Margaux crève d’envie de jouer à la bête à trois dos avec nous.
Il a froncé les sourcils.‒ La bête à trois dos ?
Son visage s’est brusquement éclairé.‒ Ah, oui ! Ça y est, j’ai compris.Et aussitôt rembruni.‒ T’en penses quoi, toi ?
J’ai haussé les épaules.‒ La seule expérience que j’aie, dans ce domaine, c’est avec toi.‒ Moi aussi. Et on n’est pas allés jusque-là.‒ Ça te poserait problème ?‒ Je sais pas. Sans doute pas, si je sens qu’elle en a très très envie.‒ Ce qui sera le cas. Ce qui sera forcément le cas. Bon, mais en attendant, t’es libre ce soir ?‒ Je peux l’être. Pour faire quoi ?‒ Quelque chose avec Margaux justement.‒ Ça ?
‒ Non. Autre chose.‒ Quoi ?‒ Tu verras bien. Elle veut que t’aies la surprise.
* * *
Une petite ruelle discrète. Une porte qui ne payait pas de mine. Un type à cheveux blancs l’a entrebâillée, ouverte en grand quand il a reconnu Margaux. Elle lui a chuchoté quelque chose à l’oreille. Il a fait signe que oui. Oui.‒ La huit alors !
Et il nous a entraînés dans un dédale de couloirs mal éclairés, fait entrer dans une petite pièce aux murs nus.‒ Bonne soirée !Et il a refermé la porte sur nous.
Florian a regardé autour de lui, froncé les sourcils.‒ C’est quoi, ce truc ? Qu’est-ce qu’on fout ici ?
Elle l’a pris par la main, entraîné jusqu’au trou ménagé dans la cloison.‒ Enfile ta queue là-dedans…‒ Qu’est-ce que ?‒ Enfile, j’te dis ! T’as pas envie de te faire sucer ?
Son visage s’est éclairé.‒ Ah, si ! Oui. Bien sûr ! Si !
Et il s’est déculotté. S’est résolument engagé dans l’orifice.Margaux s’est emparée de ses couilles. Qu’elle a doucement modelées. Tout en commentant à mi-voix.‒ Alors ? Ça te plaît ? On te fait ça bien ? Oui, hein ! Rien qu’à voir ton air. Qui c’est ? Va savoir ! Peut-être une quinqua délaissée par son mari qui vient s’éclater ici en cachette. Tous les jours si ça tombe. Depuis qu’elle y a goûté aux queues, il lui faut impérativement sa dose. Elle peut plus s’en passer. Des queues ! Des grosses. Des petites. Des étroites. Des bien épaisses. N’importe, mais des queues ! Des queues qui lui éclatent dans la bouche.
Les fesses de Florian se sont crispées. Il s’est appuyé des deux mains à la paroi. Tendu contre elle.‒ Ah, ça y est ! Ça vient ! Lâche tout ! Elle va le boire, ton foutre. Elle le boit.
Il a renversé la tête en arrière, poussé deux ou trois gémissements de fond de gorge, s’est retiré. Reculotté. A soupiré.‒ En tout cas, elle sait y faire, la garce !
Margaux s’est tournée vers moi.‒ Allez ! À ton tour !
Je ne me suis pas fait prier. Des lèvres m’ont tout aussitôt picoré le bout du gland. L’ont agacé. Et puis une langue humide, soyeuse, l’a enveloppé. À moi aussi Margaux a malaxé les couilles.‒ Peut-être que c’est la même. Qui se fait une orgie de queues. À moins que c’en soit une autre. Une jeune mariée qui veut faire plaisir à son chéri. Mais qu’a pas d’expérience. Qui sait pas trop comment s’y prendre. Qu’a peur de le décevoir. Si bien qu’elle a décidé de venir se faire la main ici avant. Et c’est toi qui lui dépucelles la bouche. T’en as de la chance !
Ça, j’en doutais. J’en doutais fortement. Parce qu’il y avait, à l’évidence, du savoir-faire. Beaucoup de savoir-faire. Elle a fait durer. M’a libéré, deux fois, au moment où j’allais surgir. Avant de me reprendre et de me laisser me répandre en elle.‒ Bon, ben voilà, les garçons ! Alors ? Vous en avez pensé quoi ?
Pensé ? On n’avait pas pensé, non. On avait beaucoup mieux à faire.Elle a ri.‒ En tout cas, vous avez pris un de ces pieds ! Aussi bien l’un que l’autre. J’en serais presque jalouse.
Elle nous a regardés nous reculotter.‒ Cela étant, vous ne savez pas, et vous ne saurez jamais, qui s’est si gentiment occupé de vous. Peut-être des hommes, tout compte fait ? J’adore cette idée. Et si vous étiez un tant soit peu bien élevés, vous iriez leur rendre la pareille. À eux ou à d’autres. Dans la salle d’à côté. Oh, mais ce n’est que partie remise. On reviendra. Vous êtes en dette avec eux. Et avec moi.
* * *
Catherine Villain a tenu parole. Elle est passée, le mercredi juste après notre déménagement.‒ Ah, mais elle est pas là, Isabelle ?‒ Elle est pas là, non, mais elle devrait pas tarder. Mais assieds-toi ! Assieds-toi ! Je te fais un café.
Qu’on a siroté tous les deux, assis côte à côte sur le canapé.‒ Bon, mais alors, qu’est-ce tu deviens depuis le bahut ? Isabelle m’a dit que tu faisais des études d’informatique ? C’est ça ? Ça te plaît ?‒ J’ai cette chance, oui, d’avoir une passion dont je devrais pouvoir faire mon métier. Dont je peux déjà, parallèlement à mes études, faire mon métier.‒ T’as de la chance. Parce que moi, l’Histoire, j’ai bien peur d’avoir fait une connerie. Vu que, côté débouchés, à part l’enseignement… Mais bon, on verra bien. J’en suis pas encore là.
Le téléphone a sonné. Je suis allé décrocher.C’était Isabelle.‒ Qu’est-ce tu fais ? Tu bosses tes cours ?‒ Non. Il y a Catherine qu’est là. Alors on discute.‒ Dis-lui que j’arrive. Qu’elle m’attende ! J’en ai pas pour longtemps.
Je suis revenu m’asseoir sur le canapé.‒ Elle va pas tarder.‒ Vous êtes trop tous les deux, n’empêche dans votre genre.‒ Parce que ?‒ Oh, ben, parce que, attends ! Vous arrivez à être amis et à être ensemble. En même temps. Je crois pas qu’il y ait beaucoup de monde qui soit capable de ça. Généralement, dès qu’on est en couple, on est obligé de se cacher plein de choses. De ce qu’on fait, oui, souvent. Mais surtout de ce qu’on pense. Et vous, non. Vous vous dites tout. De ce que vous faites. De vos envies. Vous vous cachez rien. Comment ça fait rêver, un truc pareil !‒ Tu finiras par trouver. Par vivre la même chose.‒ Oui, oh, alors ça !
Elle s’est perdue dans ses pensées. M’est revenue.‒ Sentimentalement, j’ai le don de me mettre dans des situations impossibles. Mais vraiment impossibles. Et à chaque fois, hein !
Elle a haussé les épaules.‒ Le type avec qui je suis, là, en ce moment, je m’en vois, mais je m’en vois ! T’as pas idée comme je m’en vois. Pourtant c’était clair, hein, depuis le début, qu’il tenait pas la route. Je le savais, je le sentais que ça pouvait pas le faire. Tout le monde me le disait en plus. « Mais qu’est-ce que tu vas t’embarrasser de ça ? » Mais je me suis obstinée. J’ai rien voulu entendre. Ni personne. J’ai foncé, tête baissée. Et je me suis pas contentée de sortir avec. Oh, non. Ç’aurait été trop simple. Non. J’ai voulu qu’on s’installe ensemble. J’ai insisté. Et, très vite, je m’en suis mordu les doigts. D’abord parce que c’est un feignant professionnel. Ah, ça, en paroles, il est très fort. Il a tout fait. Il va tout faire. Mais, en réalité, il passe ses journées à paresser au lit. Ou à jouer à la console. S’il finit par consentir à chercher du travail et à supposer qu’il en trouve, ça dure deux jours. Il y a toujours quelque chose qui va pas. Le patron le prend de haut. Ou les collègues le regardent de travers. Ou bien ce boulot-là l’emmerde. Et il retourne se coucher.‒ Ah, ben, c’est gai !‒ Ça, tu l’as dit ! Trop, c’est trop. Je le supporte plus. Si bien que, les trois quarts du temps, je me réfugie chez mes parents. Ce qu’est complètement idiot. Parce que j’y suis pas à ma main, que j’y ai pas mes affaires et qu’il faut que je subisse leurs réflexions incessantes. « Mais enfin, Catherine, qu’est-ce que tu attends pour te débarrasser de ce type ? Une bonne fois pour toutes ? » Je le sais bien qu’il faudrait. C’est pas la peine qu’ils me le répètent sans arrêt. Je le sais bien. Surtout qu’il est à mon nom, le studio. Et que c’est moi qui le paye. Alors ce serait pas bien compliqué de le foutre dehors. Seulement…
Elle a poussé un profond soupir.‒ Tu me comprends pas, hein ?‒ Pas trop, non.‒ Moi non plus, la plupart du temps, je me comprends pas. Disons, pour faire bref, qu’il me fait pitié. Que je le connais assez pour savoir que, si je le mets à la porte, il va partir à la dérive. Faire n’importe quoi. Et il y a des choses que je n’ai pas du tout envie d’avoir sur la conscience.
Elle a hoché la tête.‒ C’est moche tout ça, tiens !
Et encore soupiré.‒ Non, mais en fait, c’est pas ça la vraie raison. La vraie raison, c’est que…
Elle a marqué un long temps d’arrêt.‒ C’est que ?‒ C’est qu’il me baise bien. Je te choque pas ?‒ Non. Bien sûr que non.‒ Oui, Isabelle m’a dit. On peut parler de tout avec toi. Ben, oui, qu’est-ce tu veux ! Il baise comme un dieu. À ce point-là, j’ai jamais connu ça. Avec personne. Et pourtant j’en ai eu des mecs. J’en ai encore. Ils lui arrivent pas à la cheville. Alors, ben j’y retourne. Je peux pas m’en passer. Je me fais pourtant la leçon à moi-même. « Mais enfin, Catherine, tu te rends compte de tout ce que tu t’obliges à supporter. Et tout ça pour des parties de jambes en l’air. » Mais ça sert à rien. J’y arrive pas. J’ai honte de moi. Tu peux pas savoir comment j’ai honte de moi des fois. Je suis nulle.‒ Mais non, tu n’es pas nulle.
Elle a éclaté en sanglots.‒ Oh, si, je suis nulle. Si !
Elle a fouillé dans son sac à la recherche d’un mouchoir.‒ Excuse-moi ! Qu’est-ce tu vas penser de moi maintenant ? En plus ! Ça fait des années qu’on s’est pas vus et je trouve rien de mieux à faire que de me donner en spectacle et de m’apitoyer sur mon sort.La porte s’est ouverte. Isabelle. Qui a vu ses larmes.‒ Oh, toi, t’es encore en train de parler de l’autre animal !
On a dîné tous les trois ensemble.Et Isabelle est ensuite venue me trouver dans la salle de bains pendant que je me brossais les dents.‒ Ça t’ennuierait que je dorme avec elle ? Non, parce que, comme t’as pu voir, elle va pas bien. Elle va pas bien du tout.Ça ne m’ennuyait pas, non. On en aurait des tas d’autres, des nuits à nous. Autant qu’on voudrait.
* * *
Quand Isabelle est sortie de la chambre, le jour s’était depuis longtemps levé.‒ Chut ! Fais pas de bruit. Elle dort. Elle est crevée. Des heures et des heures on a parlé toutes les deux.Ah, ça, je savais ! Presque toute la nuit ça avait chuchoté toutes les deux. Entrecoupé de fous rires étouffés.‒ Ça lui a fait le plus grand bien, je crois, qu’on puisse parler.
Elle s’est servi un grand bol de café noir.‒ En attendant, elle te plaît bien, hein, Catherine !‒ Franchement, elle est très séduisante.‒ Ben, tiens ! T’as pas arrêté de la bouffer des yeux pendant tout le repas. T’irais bien rendre une visite de courtoisie à son petit réduit d’amour, avoue ! Et plus si affinités.
J’ai souri.‒ Faut reconnaître…‒ De son côté, elle t’a à la bonne. Vraiment très très à la bonne.‒ Elle te l’a dit ?‒ Évidemment qu’elle me l’a dit. On parle entre filles, figure-toi ! Et c’est quand tu veux. Elle demande que ça.‒ Ça risque d’être très très bientôt alors !‒ Assure, hein ! Assure ! Baise-la comme un fou. Avec un peu de chance ça lui fera oublier son espèce de guignol d’Éric.
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