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Ma vie avec Greg

Chapitre 1

Première nuit

Hétéro
Avant d’en arriver au sujet principal de ce récit, ma première sodomie, je me dois de vous raconter un peu ma vie et les circonstances qui m’ont amené à rencontrer Greg, mon amant.
Je suis née en 1995 dans une petite ville de province. J’ai reçu une éducation traditionnelle, voire même anachronique. Autant dire tout de suite que les petits copains n’étaient pas les bienvenus à la maison. Mon père dirigeait une usine et ma mère travaillait comme infirmière dans son propre cabinet.Greg est ingénieur. Mon père l’avait accueilli dans l’usine pour son stage de fin d’étude et ils avaient sympathisé, pour des raisons que je n’ai jamais vraiment réussi à élucider. Depuis cette époque, Greg, qui travaillait à Paris, venait régulièrement nous rendre visite, quand il retournait voir ses parents. Il a dix ans de plus que moi et je le considérais un peu comme un oncle par alliance. Jusqu’à cet été où tout a basculé.Mon père avait été muté à Bordeaux et je venais de passer le Bac. J’avais déjà eu des petits amis, rien de vraiment concret. Je me masturbais régulièrement mais les expériences avec les garçons étaient plutôt décevantes et inabouties : des pelotages de seins par-dessus le pull, des doigts qui s’égarent maladroitement et quelques pipes dans les toilettes résumaient ma vie sexuelle.Cette année-là, Greg ne vint pas seul, sa compagne, Sandrine, l’accompagnait. Lors de notre première rencontre, elle avait fait naître en moi un sentiment nouveau, inconnu jusqu’à présent. J’étais jalouse. Jalouse de ses fringues, de sa prestance, de sa longue chevelure blonde, de sa silhouette épanouie, de son gros cul et de la taille de ses soutiens-gorge qui comptait plus de bonnets que les miens. Elle était toujours d’humeur joyeuse, avec un mot gentil pour tout le monde. Son rire m’exaspérait. Et moi je devins maussade, une véritable petite vipère tout juste sortie de l’adolescence. Je ne ratais jamais une occasion de lui balancer des piques ou une méchanceté.Un jour que ma mère était partie faire des courses avec Sandrine et que mon père réglait un problème à l’usine, nous nous retrouvâmes seuls, Greg et moi. J’étais dans ma chambre en train de lire quand il me proposa de nous rafraîchir dans la piscine. Je lui dis que je le rejoindrai rapidement.Prise d’une sorte de coup de folie, ou d’un coup de chaud, comme vous voulez, je descendis vêtue d’un simple slip de bain et me jetai seins nus dans la piscine. Je nageai vers Greg et lui appuyai sur les épaules pour lui faire boire la tasse. Bientôt, en chahutant comme des gamins, je me retrouvai collée à lui et il comprit dans quel petit jeu je cherchais à l’entraîner. Si j’étais déterminée, il l’était également. Mais dans son cas, il ne se voyait pas baiser la fille de son ami. Il sortit de la piscine sans me toucher.A la suite de cet incident, nous n’allions plus nous voir pendant deux ans, Greg et moi. Je m’inscrivis en lettre modernes et rencontrai Quentin, un très gentil garçon, une véritable crème. Tout à fait lamentable au lit. Plutôt maladroit et surtout pas très endurant. Je restai avec lui plusieurs mois, plus par gentillesse et par habitude qu’autre chose. Mon père fut de nouveau muté, cette fois dans une plus petite ville, sans Université. Je réussis à convaincre mes parents que je devais m’inscrire en licence à Paris. Je profitais de ce changement pour rompre avec Quentin.Je me retrouvai dans une chambre de bonne, septième étage sans ascenseur mais libre, loin de la famille. Il ne me fallut pas attendre longtemps avant de recevoir un SMS de Greg. Il m’invitait à dîner dans un restaurant très chic. La soirée fût éblouissante, d’autant plus qu’il m’annonça, l’air de rien que tout était terminé entre Sandrine et lui. Greg en véritable gentleman, me raccompagna jusqu’à ma petite chambre.Le lendemain soir, je venais de finir de dîner quand mon téléphone sonna. Greg était en bas de chez moi. Il avait craqué. Nous avons passé toute la nuit à faire l’amour.Je dois vous avouer qu’à la suite de cette expérience, beaucoup plus réussie que mes précédents essais dans le domaine, je suis devenue complètement dingue de sexe. J’adorais baiser avec Greg (c’est toujours le cas, je vous rassure). Chez lui, chez moi, à l’hôtel, n’importe où. Nous allions souvent au cinéma ou à la piscine et à chaque fois, il me chauffait tellement que je finissais par le supplier de me prendre. Nous nous précipitions chez l’un ou chez l’autre pour faire furieusement l’amour. Il lui arrivait parfois de pimenter un peu le jeu. Au restaurant, il me chuchotait à l’oreille : « va aux toilettes et retire ta culotte ». Et je le faisais. Je mouillais tellement que j’avais peur que les clients voient une grosse tache sur ma robe. J’étais sa chienne. Sa petite chienne en chaleur. Il aurait pu me demander tout ce qu’il voulait, je l’aurais fait sans discuter. J’étais dans un état de soumission total. Nous n’en étions par ailleurs qu’au début de notre relation et je savais que mon initiation amoureuse ne faisait que commencer.Je fis un voyage d’étude d’une semaine à l’étranger. Très vite je me rendis compte que j’avais perdu l’habitude de dormir seule. Et surtout, le sexe avec Greg me manquait beaucoup. Le soir, nous allions boire des bières avec les autres étudiants. J’en intéressais quelques-uns mais, de mon côté, ils auraient pu tout aussi bien être les mannequins en plastique d’une devanture de magasin. J’imaginais Greg. La bite de Greg. Ma bouche autour de la bite de Greg. La langue de Greg dans ma chatte et Greg en train de me prendre dans toutes les positions. J’avais la chance d’avoir une chambre individuelle. Je m’esquivais avant que la soirée ne soit trop avancée et je retrouvais mon PC portable sur le lit. Je regardais du porno, qui me laissait insatisfaite. J’éteignais la lumière et je me masturbais dans le noir, en pensant à lui. Le même rituel se reproduisit chaque soir de cette semaine. Autant vous dire qu’à la fin du séjour, j’étais chauffée à blanc.L’avion atterrit en début d’après-midi. Greg m’attendait à l’aéroport. Il avait pris sa journée, rien que pour moi. Il portait un polo bleu et un pantalon léger. Rasé de frais, visite chez le coiffeur du matin même. Nous échangeâmes un long baiser, collés l’un à l’autre. Il me demanda comment s’était déroulé mon séjour. Je lui répondis : « le séjour était agréable mais tu m’as manqué. » Il sourit en prenant ma valise.— Tu as faim ?— Oui. De toi.Nous descendîmes dans le parking où il avait garé son coupé sport. Je demandai :— On va chez toi ?— Non, chez toi. C’est plus près.Tout en roulant, nous nous amusions à tourner autour de ce qui bien évidement nous trottait dans la tête en racontant par la menu tout ce que nous avions pu faire loin l’un de l’autre. Je savais que, contrairement à moi, Greg ne s’était pas branlé.Aussitôt arrivés dans mon minuscule studio nous commençâmes à éparpiller nos fringues un peu partout. J’eus bientôt sa queue dans la main, bien raide comme je m’y attendais. Je le poussais sur le lit.Je pensais qu’il ne mettrait pas longtemps à jouir alors je voulais le sucer, le sucer jusqu’au bout, le sucer comme il n’avait jamais été sucé, pour me faire pardonner de l’avoir abandonné pendant une semaine et aussi, passé le premier orgasme, une fois son foutre déversé au fond de ma gorge, pour que cela dure plus longtemps quand il me ferait l’amour.— Eh ! un peu de calme, me dit-il, tu vas me faire jouir tout de suite.Je relevai la tête pour le fixer droit dans les yeux. Tout en donnant de petits coups de langue de temps en temps sur sa verge et sur son gland, je demandai :— Pourras-tu me baiser encore, juste après ?
— Hmmm tu me connais non ?— Alors laisse-toi faire, j’en ai envie.Ce n’était pas la première fois. J’avais déjà eu de multiples occasions de le sucer, et les jours où j’étais indisposée, d’aller jusqu’au bout avant de cracher le résultat dans un mouchoir. Je ne suis pas une amatrice de sperme, je n’en trouve pas le goût très agréable mais, en me masturbant, pendant cette semaine loin de lui, je m’imaginais le faire, j’imaginais son sperme coulant dans ma bouche et sur mes lèvres, son goût sur la langue.Le sexe de Greg est imposant. Ce n’est pas un organe de compétition, comme on peut en voir sur les sites spécialisé mais considérez le tout de même largement au-dessus de la moyenne. Même en me forçant, je ne parviens pas à le prendre en entier. Là, je voulais l’enfoncer le plus loin possible, jusqu’à avoir des haut-le-cœur, reprendre une grande goulée d’air et l’enfoncer à nouveau, en apnée, bien au fond de ma gorge.Pour me reposer un peu, je me contentais d’aspirer son gland. J’aime sentir sa peau si douce entre mes lèvres. Je sais qu’il apprécie quand je chatouille son méat du bout de la langue.Sa verge luisante de salive glissait entre mes doigts. Elle vibrait, pulsait, prête à exploser. De nouveau j’ouvris les lèvres, j’enfouis son sexe dans ma bouche, contre le palais, toujours plus loin, enchaînant les va-et-vient, au plus vite, à me donner le vertige, les yeux fermés, concentrée.Soudain Greg se contracta tout en me saisissant par les cheveux. Une première saccade vint frapper mon palais. Je l’avalai très vite.Greg gueula : « oh putain, putain... » Je ne pensai pas qu’il parlait de moi et, pourtant, en cet instant, j’étais bien sa putain.Il gicla de nouveau dans ma bouche. Je le suçai et le léchai sans en perdre une goutte, jusqu’à ce que sa queue soit propre et vidée de tout son jus.Je calai ensuite ma tête sur son épaule, sans rien dire.— Je crois que j’ai une mauvaise influence sur toi, me dit-il. Tu es devenue une véritable furie, affamée de sexe.— Tout ce que j’ai vécu avant toi me parait fade, dis-je en le regardant. C’est tellement bon de baiser avec toi.— Parce que nous sommes sur la même longueur d’onde. C’est plutôt rare.— J’espère que tu as rechargé tes batteries...Je grimpai sur le lit, lui présentant mon sexe. Quand il me lèche, il bande à coups sûr. Cette fois encore, il ne dérogea pas à la règle. Tête-bêche, je recommençai à le sucer, plus lentement cette fois. Je récupérai un préservatif dans la table de nuit et l’enfilai sur sa queue avant d’enfourcher mon amant. Vingt centimètres de pur bonheur dans la chatte. Mes jambes se crispèrent aussitôt. Deux ou trois coups de reins suffirent à me faire jouir.Deux heures plus tard, Greg me faisait l’amour pour la cinquième fois. Des capotes usagées jonchaient la moquette. Il était couché sur moi, sa bouche tout près de mon oreille. Il chuchota : « Axelya, j’aimerais te demander quelque chose, quelque chose que nous n’avons pas encore fait ensemble ». Aussitôt une boule se forma dans mon estomac. Je savais que ce moment arriverait. Il poursuivit : « est-ce que je peux te sodomiser ? ». Un léger picotement se propagea dans ma nuque. Cela ne m’étonnait pas. Je dois même dire que j’attendais ce moment avec une certaine impatience. Je voulais tout essayer avec Greg. Pour lui faire plaisir, pour qu’il se dise que je lui appartiens, car, à ce que l’on dit, en la sodomisant un homme possède vraiment une femme mais aussi, par curiosité, pour connaître de nouvelles sensations. J’en avais déjà rêvé mais, là, je me retrouvais au pied du mur. Je pris mon temps avant de répondre : « je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait... et puis je voulais être sûre d’être propre le jour où... ».Il chassa mes protestations d’un geste de la main :— Je m’en fiche. Tu n’as pas à t’inquiéter, tu n’auras pas mal, je vais y aller progressivement, tout en douceur. Tu en as envie ou pas ?Les mots restaient bloqués dans ma gorge. Tout en mordant mes lèvres, j’hochai la tête pour donner mon assentiment.— Reste sur le dos et écarte bien les jambes.Dans un état second, j’obéis, comme si j’avais perdu tout contrôle sur mon corps. Il allait le faire et j’en avais envie. Je fermai les yeux. Quelque chose de doux et humide se posa sur ma chatte. Greg me léchait. Je me détendis peu à peu. Il faut dire que c’est un véritable expert dans ce domaine, sa langue est si agile. J’avais l’impression de fondre. Ma chatte dégoulinait, lubrifiant le sillon entre mes fesses, aussi n’eut-il aucun mal à introduire un doigt dans mon anus tout en continuant à me lécher. Il l’avait déjà fait, quand je le chevauchais, pour me faire jouir plus vite. Cette fois il en ajouta un deuxième et pivota doucement. Peu à peu, je m’ouvrais pour lui.Le plaisir pulsait de mon clitoris vers les lèvres de mon sexe et trouvait un écho dans l’excitation provoquée par ses doigts. Greg me retourna d’un geste ferme mais sans brutalité. Il explora la partie la plus impudique de mon anatomie avec sa langue. Je soupirai, c’était si dégradant et pourtant si doux à la fois.Je l’entendis fouiller dans la commode, sortir le tube de lubrifiant. Il en appliqua une bonne dose entre mes fesses et me dit de ramener une de mes jambes sous moi en me décalant légèrement sur le côté. J’avais encore quelques appréhensions mais Greg agissait avec beaucoup de douceur et de tendresse. Sa queue raide prit la place de ses doigts et franchit progressivement la barrière de mes reins. La sensation était gênante mais supportable. Greg s’allongea un peu plus et commença à bouger, lentement. Pour la première fois, il m’enculait.Je tournai la tête vers lui. Il se pencha vers moi et m’embrassa longuement. « Caresse-toi » me dit-il. Oui, j’avais envie de jouir. Ma main se faufila entre mes cuisses. Je calquai le rythme de mes doigts sur le battement de sa queue. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir. Mes muscles se contractèrent autour de sa verge dans un long spasme. Je criai mon plaisir. Greg ne put y résister, lâchant à son tour des jets de foutre dans mon cul.Nous soufflions encore, enfin repus de nos ébats, quand il me dit : « Que dirais-tu d’emménager chez moi ? » Seigneur ! Il n’avait pas fini de me surprendre.
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