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Ma vie avec Vesna

Chapitre 1

Présentation et situation

Erotique
Vesna adore être désirée, ce qui fait d’elle une exhibitionniste avérée, de plus, outre le fait d’être l’objet des désirs sexuels des hommes, elle aime se sentir accessible.Trop de femmes à son avis se veulent désirables et s’habillent de façon à être inaccessibles (collants fermés par exemple). A son âge, elle possède déjà une belle expérience sexuelle, mais a rencontré beaucoup plus d’hommes à la recherche de leur plaisir personnel plutôt qu’à la découverte du plaisir de l’autre.Et en fin de compte, savoir que la limite supérieure de ses bas et la limite inférieure de sa jupe flirtent la satisfait déjà.Son reflet dans les vitrines des magasins lui donne une première indication ; le regard des hommes, une confirmation sur l’intérêt qu’elle suscite ; et enfin le silence qui se fait à son entrée dans une boutique ou un restaurant lui fournit la preuve ultime de l’attrait qu’elle offre.
Bien sûr, elle a des lieux de prédilection pour exercer ses charmes ; elle aime bien les librairies, d’une part parce qu’une sélection naturelle de la clientèle s’y effectue spontanément, et d’autre part, parce qu’il y est normal de s’y pencher en avant, les jambes tendues pour pouvoir consacrer plus d’attention à la lecture des titres des ouvrages sur les rayons.Elle sent bien les lisières des bas et de la jupe se séparer l’une de l’autre, et la peau nue apparaître aux yeux des personnes attentives.Il y a surtout la librairie « Flammarion » avec son demi-étage en balustrade, et surtout l’escalier en bois ajouré qui y conduisait. Elle a affiné sa façon de gravir les marches de manière suffisamment lente, mais surtout en restant élégante ; elle sait que suivant où se situent les hommes qui la suivent, ils peuvent apercevoir beaucoup plus que la bande de chair au-dessus des bas.
Les vendeurs surtout ont repéré cette cliente qui vient trois à quatre fois par mois et qui achète régulièrement des ouvrages traitant d’ésotérisme.
Le fait est que lorsque Vesna porte une jupe courte, mais relativement ample, suivant les angles de vues, on aperçoit son string ou plutôt les choses qu’il dissimule, car elle est généralement sans slip, sans culotte, sans string.
Les vendeurs sont cantonnés à leur secteur, mais les hommes qu’elle avait pu « accrocher » à l’extérieur et qui l’avaient suivi à l’intérieur, eux pouvaient se déplacer librement, et il n’est pas rare pour Vesna de s’accroupir, genoux écartés, pour scruter les ouvrages des rayons les plus bas, et elle sait bien que celui qui se place dans l’axe devant elle, aune vue bien précise de son entrecuisse complètement lisse.
Bien sûr, il n’est pas rare qu’un de ses « suiveurs » ne lui frôle les fesses du dos de la main en passant derrière elle ; il arrive également que l’un d’eux passe derrière elle, entre des rayons relativement étroits, et que son bassin se frotte avec insistance contre ses fesses, le tout accompagné d’un hypocrite « excusez-moi ». Vesna profite de ces instants pour accentuer le contact en poussant ses fesses au maximum contre l’individu tout en ayant envie de dire « tout le plaisir est pour moi » et en se contentant d’affirmer « il n’y a pas de mal ».
L’autre lieu d’exhibition avérée est les brasseries avec leurs terrasses.
Elle les fréquente surtout au printemps et en automne lorsque la météo rend normal le port des bas sans imposer les cirés trop couvrants. Elle aime beaucoup y prendre le thé ; l’une de ces brasseries a un intérieur très « rétro » organisé avec des mini-coins-salons. Lorsque Vesna s’y installe en jupe moulante, elle laisse faire les choses et c’est le tissu qui décidait de la quantité de peau à découvrir ; par contre lorsqu’elle est en jupe plutôt ample, elle a un geste élégant de la main pour éviter que ses fesses ne se posent sur la jupe (risquant de la froisser) et pour faire en sorte que ses fesses soient en contact direct avec son siège.
Bien sûr à ceci s’ajoute la façon de croiser les jambes suivant les « regards » qu’elle capture.
Le piège le plus subtil est de croiser les jambes au niveau des chevilles, cela provoque l’écartement naturel des genoux, et ouvre des perspectives superbes pour ceux qui parviennent à s’installer dans le bon angle de vue.
Bien sûr, le sommet de la provocation avec les brasseries se fait en été, et plus particulièrement en terrasse.
L’été, il n’y a pas de limites, d’une part parce qu’il y avait la concurrence des jeunes femmes qui sont particulièrement avides de soleil et n’ont pas « froid aux yeux », et d’autre part parce que la libido des hommes semble plus exacerbée. La générosité des décolletés s’ajoute aux jupes fendues de façon excessive.
Vesna aime bien avoir un chemisier suffisamment déboutonné pour que l’on puisse constater l’absence de soutien-gorge, ensuite elle a une gestuelle suffisamment précise pour que l’aréole de l’un des deux seins soit visible.
Sa rencontre avec Patrice, mari de notre voisine de palier, qui est aussi mon « sex-friend » a été déterminante. Patrice, jeune quinquagénaire, adore l’exhibitionnisme. Il a recommandé rapidement l’absence de tout string, culotte, slip, soutien-gorge, et il ajoutait « ce n’est pas la peine d’être cul-nu si personne ne s’en aperçoit ! ». Lorsqu’on est en courses tous les trois, il appelle cela des — parties de pêche, dans lesquelles l’intérêt est « d’accrocher du poisson ». Et c’est ainsi qu’excitée par le fait d’être « cul nu », Vesna a le sexe mouillé de cyprine dès sa sortie de chez nous.

Lorsqu’il l’accompagne à la librairie, Patrice la conduit souvent au rayon « adultes » où elle n’ose pas aller toute seule.
Avec une apparente inadvertance, sa main posée sur le haut des fesses retrousse sa jupe « sans le faire exprès ». Vesna a tout de même fixé une limite : le pli inférieur des fesses, lorsqu’elle sent le tissu franchir cette limite, elle rabat le bas de la jupe jusqu’à la lisière des bas.
Lorsque l’ambiance s’y prête, elle laisse la moitié inférieure de ses fesses visible un petit moment, et l’absence de tout sous-vêtement la rend encore plus accessible.
Elle avait été enchantée la première fois où un inconnu passant derrière elle dans un rayon lui a non seulement caressé les fesses (cela arrivait régulièrement), mais lui avait enfoncé un doigt dans l’anus !
Elle s’était blottie contre mon amant Patrice en lui disant « il m’a doigtée ! », et Patrice lui caressant furtivement le clitoris avait constaté « et ça t’a fait plaisir, tu es toute chaude ! ».
Nous avons souvent l’habitude de sortir tous les trois ensemble. Moi, Sabine, 47 ans, je suis esthéticienne, patronne de mon salon, Vesna que j’ai eue par un amant d’un soir et Patrice, le mari de notre voisine d’en face sur le palier, il est mon « amant sex-friend ».
Le matin, chez nous, c’est toujours plus d’émotions pour le même rituel.
Patrice, mari de ma voisine de palier, il passe chez nous au moment du petit-déjeuner pour prendre un café avec nous. Nous sommes en tenue minimaliste. Quand il arrive, il me dit bonjour par un baiser « pleine bouche », il en fait autant avec Vesna en lui prodiguant aussi un baiser « pleine bouche » avec mélange des langues. Puis il se tient debout à côté de moi, assise à la table sur mon tabouret. Je fais pivoter le tabouret pour me retrouver devant lui, je défais sa ceinture, je baisse son pantalon et son caleçon et je lui fais une fellation.
Vesna porte un tablier « serveuse de bar », coupé au carré, ne couvre que le devant du haut des cuisses, elle le porte avec de hauts talons vernis aux pieds sans rien d’autre sur le corps, donc ni slip ni culotte, ni jupe et topless... Les talons produisent un déhanchement très particulier qui provoque un balancement du tablier de droite à gauche d’un érotisme extrêmement puissant.
Quand elle va ouvrir la porte, elle ne laisse personne indifférent : pour qui sonne et qui n’a pas l’habitude, cela surprend ! Et pour ceux qui ont l’habitude ou qu’ils l’ont déjà vu ainsi, l’effet est toujours garanti avec une très forte émotion palpable. Disons même que l’effet qu’elle produit est dévastateur. C’est un « objet de tentation », l’effet est vraiment ravageur. On a envie de passer la main dessus pour sentir la texture particulièrement sensuelle et tout ce qu’il suggère : à la fois attirance et repoussoir, invitation et refus, douceur et fermeté, femme au foyer et femme de ménage, protection et tenue d’intérieur, salissure et netteté, nettoyage et propreté, etc. Il ne laisse pas indifférent, loin de là. C’est un tablier dangereux par sa couleur, sa matière, sa longueur, surtout par sa charge érotique. Très court, ça laisse perplexe, car habituellement un tablier de protection couvre beaucoup en principe.
Comme dans les hôtels haut de gamme, les femmes de service ont ce tablier en guise d’uniforme, un tablier décor puisqu’il n’est jamais sali. Avec Vesna, l’ambiguïté est à son comble. Un tablier sur un corps est un appel au vice, alors salir son tablier, est-ce admissible ?
On s’installe le soir dans le canapé pour regarder une vidéo. On adopte une position très détendue, dans le genre « très lascive », nos corps quasi nus sont avachis l’un dans l’autre. On est en osmose. Nos mains se promènent sur nos cuisses, nos hanches, nos seins, en les effleurant de façon très douce. Une sensation érotique monte en nous. On en vient à des gestes de plus en plus caressants. Le choix de la vidéo incite aussi à ce genre de gestes, d’attitudes. Ensuite nos visages s’effleurent l’un l’autre. Hier soir, je contemplais Vesna de dos quand elle s’est levée du canapé, elle était habillée d’un pyjashort en soie beige, très fin, elle est vraiment belle ; il faut dire que Vesna est une vraie bombe : une magnifique brune aux cheveux lisses aussi belle que moi avec un corps parfait de 1m70 et une poitrine légèrement au-dessus de la moyenne pour son âge... et sans oublier de belles fesses ! Je la contemplais donc de haut en bas.
Mon regard s’arrêta sur ses pieds, elle était pieds nus. Je ne voyais que ses talons, mais je les trouvais magnifiques. Puis elle se mit sur la pointe des pieds pour ouvrir le placard situé tout en haut de l’armoire. J’étais complètement hypnotisée par les pieds de Vesna, je voyais la plante de ses pieds et j’étais sans voix, c’était absolument magnifique ! Rien de plus beau ! Je m’imaginais toucher et caresser ses pieds avec mes mains, et je m’imaginais même donner un petit coup de langue sur la plante de ses pieds. Cette imagination me donna un frisson qui parcourut mon corps et me donna une sensation de désir, je n’avais jamais ressenti cela, même pour les vidéos que j’avais vues sur Internet. Les pieds de Vesna surpassent tous les désirs et envies que j’avais eus jusqu’à présent. On a envie de commencer une masturbation au même moment, je veux dire que ce sont toujours les mêmes scènes, situations qui déclenchent notre envie de masturbation.
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