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Ma vie avec Vesna

Chapitre 6

Soin de Richard, fils d'une cliente de notre salon

Erotique
Ce matin, nous avions un soin à préparer pour Richard, fils d’une cliente qu’on connaît bien. A 10 heures, il arrive accompagné de sa maman. Tout le monde s’embrasse, c’est une habitude à notre salon, même pour un premier contact. D’abord moi avec la maman de Richard. Etant une habituée, j’embrasse sa maman avec mon bras autour de son cou. Elle même ensuite embrasse Vesna d’un baiser sur la joue gauche puis sur la joue droite puis un au milieu, donc sur sa bouche. La maman me présente Richard, que je vois pour la première fois. Je lui fais un baiser sur la joue gauche puis je tourne la tête, mais pas complètement de sorte que mon baiser qui devait aller sur sa joue droite se dépose sur la commissure de ses lèvres. Je sens Richard fébrile. Je le vois fixer du regard notre tenue de travail : blouse blanche nylon fin obligatoire, dont la longueur est juste en dessous des fesses, boutonnage entièrement dans le dos, col officier, dessous la blouse talons compensés modèle médical en bois. Je vais vers le placard pour prendre le cahier de rendez-vous, je remarque dans la glace que Richard peut apercevoir la naissance de mon entrecuisses, de face grâce au miroir. Sous la blouse nous portons des talons compensés vinyl blanc, semelle en bois modèle médical.
Je demande à Richard et à sa maman de me suivre en salle de soins. Nous montons l’escalier en colimaçon, je passe la première suivi de Richard qui a une vue splendide sous ma blouse en montant, donc de mon entrefesses puisque je n’ai rien, ni slip, ni culotte. La salle de soins est assez étriquée, sombre, à cause d’une lumière tamisée.
Je commence par expliquer à Richard, novice chez nous, ce qui va se passer, à savoir un soin complet. Il ne comprend pas tout de suite ce que cela signifie. Sa maman, Madame Sabert, est une habituée, elle n’est pas lesbienne bien sûr, mais pour cette occasion, dans ces lieux, elle se laisse faire. Je dis à Richard de se mettre à l’aise en lui montrant le porte-manteau. Il comprend donc que c’est pour retirer sa veste. Il en a la confirmation en voyant sa maman retirant la sienne. Elle va l’accrocher au porte-manteau. Mais voilà que Madame Sabert retrousse sa jupe jusqu’en haut et se saisit de sa culotte pour la faire descendre jusqu’aux mollets et la retirer. Je lui montre un porte-manteau de libre pour pendre sa culotte puis je lui demande de passer en « salle d’attente ». Pour Richard, sans doute qu’il doit être impressionné par le fait que sa maman se défasse de sa culotte ainsi. En fait de salle d’attente, c’est un coin de la salle de soins au fond, derrière une rideau plastifié monté sur une tringle. Il y a un fauteuil, des revues (UNION, Lettres de femmes, revue de confessions, Jeanne Magazine, un magazine lesbien, etc.) et quelques objets. J’accompagne Madame Sabert pour la diriger derrière le rideau, ma main s’égare sur ses fesses en l’accompagnant, elle ne semble pas offusquée. Vesna a pris en mains Richard, elle lui demande de se défaire, il retire son pantalon, sa chemise et ses chaussettes. Le voyant en caleçon, je m’adresse à Vesna « tu ne lui a pas dit de retirer son caleçon ? », « je lui ai dit de se mettre à l’aise ! », je me tourne vers Richard et m’approchant de lui, tout en commençant à baisser son caleçon : « se mettre à l’aise chez nous, pour un soin, c’est être totalement nu », puis vers Vesna : « termine de le lui retirer s’il te plaît ». Vesna veut faire descendre son caleçon en le prenant par la ceinture, elle accroche son pénis déjà bien gonflé, je viens l’aider à dégager son sexe en disant « tu devrais te protéger, on ne sait jamais ». Richard ne comprend pas ce dont je parle évidemment. Vesna va chercher un tablier-bavette en caoutchouc bien enveloppant, elle passe la bavette autour du cou et les mains dans le dos pour faire le noeud. Ce genre de tablier est habituellement un uniforme dans certaines professions mais pas dans un institut de beauté. Richard ne comprend pas la fonction d’un vêtement de protection dans ce matériau. Et là, l’imagination produit son effet. C’est un vêtement de protection, donc il s’agit bien de se protéger contre des salissures extérieures, mais dans un salon comme le nôtre tout est impeccablement propre, donc à quoi peut servir un tablier caoutchouc par dessus la blouse impeccable ?
Pendant qu’elle termine son noeud, je me suis placée derrière Richard que j’enlace de dos. Je saisi son pénis à la limite de l’éjaculation, il est complètement raide, je le tiens en direction de Vesna. Il m’a suffit de trois allées et venues dans la paume de main pour provoquer l’éjaculation. Les jets de son foutre inondent la bavette de son tablier. La quantité émise est impressionnante. Il y en a sur toute la surface de la bavette. Une fois terminé, le résultat confirme, la bavette est souillée d’un liquide blanchâtre qui reste collé au caoutchouc tout en dégoulinant lentement. Je demande à Richard de s’allonger sur la table de soins. Pendant ce temps je viens enlacer Vesna de dos, muni d’une éponge pour nettoyer son tablier. Le caoutchouc se nettoie d’un coup d’éponge, c’est très pratique. Richard se repose.
Pendant ce temps, j’observe discrètement sa maman à travers le rideau. Elle a l’air radieuse, elle s’est installée confortablement, dans une pose détendue, sa main et ses doigts sont vers son pubis nu. Je monte sur la table de soins, pour m’assoir sur lui en « 69 », de sorte que je suis installée sur sa bouche comme le cycliste s’assied sur la selle de son vélo. Richard, les lèvres collées à mon sexe peut largement en profiter pour lécher, sucer, déguster de sa langue mon intimité. En voyant cela Madame Sabert ne peut manquer de laisser sa main s’égarer dans mon entrecuisses.Je suçote le pénis de Richard, il est bien gonflé mais reste mou comme une guimauve un peu. Son pénis va et vient dans ma bouche, il n’arrive pas encore à gonfler. Maintenant je suis plus assise sur sa bouche mais avachie, dans le sens où j’écrase sa bouche. Sa bouche et même son nez pénètre quasiment dans mon intimité, il sent mon odeur musquée et le goût de mon entrecuisses, un goût « chevalin », d’étable, ça fait très « fermier ». Bien sûr c’est une odeur très forte, l’odeur des vaches ou des pouliches en montagne.
Au bout de 45 mn environ, le pénis de Richard reprend de la vigueur, il gonfle bien, il bande correctement. Je le fais aller et venir vigoureusement dans ma bouche. Le résultat ne se fais pas attendre, son foutre remplit ma bouche abondamment. Je me redresse en restant assise sur la bouche de Richard. Vesna sait ce qu’il faut faire, elle m’apporte un bol pour recracher le foutre de Richard.
C’est fini, Vesna aide Richard à se rhabiller, sans oublier de caresser son torse, ses cuisses en remettant son caleçon. Nous nous retrouvons à l’accueil. Je demande à la maman de Richard si ça lui convient. Elle s’attarde sur le tablier-bavette en caoutchouc car elle trouve l’idée très intéressante. Une idée lui vient à l’esprit : s’acheter un tablier-bavette en caoutchouc lisse pour se protéger. Elle m’explique qu’elle connaît un jeune avec qui cela pourrait être très utile.
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