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Ma vie bouleversée par l'arrivée d'Estelle

Chapitre 2

dixième semaine

SM / Fétichisme
Aujourd’hui c’est mercredi. Le dixième mercredi.En dix semaines ma vie a beaucoup évolué, mais pas vraiment dans le bon sens.Steph ne m’adresse la parole que rarement et pour me donner des ordres d’un ton sec. La maison m’est désormais interdite, je n’ai droit qu’au sous-sol, en rangeant un peu je me suis fait mon petit coin, dans la buanderie j’ai un lavabo et Estelle est chargée de me descendre mes repas. Heureusement je peux prendre ma douche au travail.
Steph a décidé que je n’étais plus digne de la voir nue, mais j’ai dû quand même la conduire chez Michel chaque semaine. Systématiquement le même rituel : on rentre, elle me fait asseoir sur une chaise, me menotte les mains aux accoudoirs et me met un bandeau noir sur les yeux, chaque mercredi, j’ai dû écouter les gémissements et les râles de plaisir de celle qui il y a peu était ma femme.
Donc aujourd’hui c’est mercredi, le dernier mercredi du deal entre Michel et Steph. J’espère secrètement que les choses vont reprendre un cours normal après ce dernier « versement » de Steph.Comme chaque mercredi, je l’attends dans la voiture, assis au volant.Elle arrive encore plus belle que d’habitude, tailleur jupe courte et chemisier blanc que laisse deviner un soutien-gorge en dentelle. Je la soupçonne d’avoir mis son porte-jarretelles avec les bas blancs dont je raffole.
Aujourd’hui, Estelle nous accompagne, chose qui n’était plus arrivée depuis la pose de nos ceintures.On arrive chez Michel, comme d’habitude ils s’embrassent à pleine bouche.
— Tu as emmené ta boniche aussi cette fois, dois-je préparer une deuxième chaise ?— Non pas la peine, elle peut rester debout pour assister au spectacle. Par contre le cocu lui comme d’hab sur la chaise, attaché et aveuglé !!
Et voilà, je me retrouve encore une fois « aveugle et enchaîné », le cerveau en ébullition et ma queue (en admettant que je puisse encore l’appeler comme ça) prisonnière de cette cage. Tous les bruits de chair qui claque, de sucions, les gémissements, les « baise-moi », « suce salope », « vas-y encule-moi plus fort », les hurlements de jouissance sont un supplice pour moi. Comme chaque mercredi, je donnerais tout pour me libérer et me soulager.Enfin ils ont fini. Steph m’enlève le bandeau et me détache. Elle est rhabillée, mais bizarrement pas Michel.
— Pour la dernière, j’ai décidé que Michel mérite un petit bonus ! Et ce petit bonus c’est ton pucelage Ducon !— Hein ? Quoi ? Mais non, mais ...
Vlan ! Une baffe, je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase.
— Tu ne trouves pas que vu le travail exceptionnel de Michel, il mérite un bonus ?
— Oui madame.— Ha ! Bah tu vois, même toi tu le dis. Allez désape-toi qu’on puisse te retirer la cage.
J’obéis ! Lâchement ! Mais en même temps je ressens une certaine excitation.
— La truie, prends cette clé et enlève-lui sa cage !
A peine libéré, ma queue durcit à m’en faire mal, je ne me rappelle pas avoir déjà bandé si fort.
— Et bah alors, petite fiote, on dirait que l’idée de te faire défoncer le cul te plaît. Michel va se faire une joie de te contenter. Aller va te mettre sur la table, présente ton cul bien ouvert avec tes mains.
Me voilà le torse posé sur la table, le cul à l’air avec une main qui écarte chaque fesse. Je sens un liquide froid coulé sur ma raie, et la queue de Michel juste à l’entrée de mon anus.
— Supplie-le !— Monsieur Michel, enculez-moi s’il vous plaît.
VLAN ! Je me prends une baffe énorme par Steph.
— C’est comme ça que tu supplies connard ? Supplie-le de te défoncer comme la grosse fiote que tu es ! Et applique-toi !— Je vous en supplie, monsieur Michel, défoncez-moi le cul comme la chienne que je suis, faites-moi l’honneur de rependre votre semence dans mes entrailles.
A peine j’ai fini ma phrase que d’une poussée violente, sa queue entre en moi en entier. La douleur est telle que ma vue se brouille, je sens mes jambes se dérober sous moi.Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits qu’il sort pour rentrer violemment.
— Regarde comme ça lui plaît, sa p’tite bite dégouline comme une fontaine !— J’vais lui en donner puisqu’il aime ça !
Et là, Michel commence à me baiser vraiment, brutalement, ressortant sa queue entièrement pour me la remettre au fond. Je sens à chaque fois ses couilles venir frapper les miennes.Et ça vient d’un coup, je jouis comme jamais avant. Ma bite semble ne pas vouloir s’arrêter de cracher mon sperme.
— HAHAHAHA ! Regardez-moi cette fiote jouir par le cul, allez Michel, continue, on va voir s’il peut jouir une deuxième fois !
Et Michel continue à me pilonner comme une brute, l’excitation qui était retombée après avoir joui commence à revenir, cela monte en moi plus progressivement. Michel accélère, puis il se plante au fond et je sens sa semence gicler en moi, la sensation de son sperme envahissant mes entrailles provoque une décharge en moi, une jouissance brutale, mes jambes se mettent à trembler, j’as l’impression de ne plus contrôler mon corps.Michel se retire, me laissant une sensation de vide.
— Serre les fesses, t’as déjà suffisamment dégueulassé mon carrelage avec ta bite alors ce que je t’ai mis dans le cul tu te le gardes pour toi !— Michel a raison, la truie mets-lui ça et remets-lui sa ceinture !
Steph sort une serviette hygiénique de son sac et la donne à Estelle.Je me laisse faire, je suis dans un état second, pas encore remis de cette expérience, mais je me sens quand même humilié de subir tout ça devant Estelle. C’est sûrement pour cette raison que Steph a décidé de l’emmener avec nous.
— Rhabille-toi connard et nettoie tes saloperies avec ta langue.
Une fois habillé, je me mets docilement à quatre pattes et je lèche tout le sperme que j’ai répandu au sol. Jamais je n’aurais pensé en avoir autant.
— Merci pour tout Michel.— C’est moi qui te remercie, t’es vraiment un bon coup et ta fiote a un cul d’enfer. J’en connais qui paieraient pour lui défoncer le cul, si ça t’intéresse, fais-moi signe !— Hummm ! Pourquoi pas, je vais y réfléchir.— La fiote si t’as fini va démarrer la voiture, la truie suis-le.
Cinq minutes plus tard, nous sommes en route. La position assise commence à être désagréable, j’ai l’impression d’être assis sur une planche à clous.
— Elle me plaît bien son idée à Michel, qu’est-ce que tu en penses la truie ? Il ferait une bonne gagneuse notre petit connard ?

Hein ? Quoi ? Non ? Mais j’ai bien entendu ???
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