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Ma vie bouleversée par l'arrivée d'Estelle

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Elle est tout le temps fauchée !Elle c’est Estelle, une brune de 40 ans, célibataire, pas moche, mais pas spécialement jolie. Environ 1m70 mince (presque trop), sympa et souriante.On bosse ensemble sur une ligne de production de biscuits, je suis régleur et elle agent de production.Au boulot, un bon élément, toujours dispo, ponctuel et efficace.
Lundi, je la trouve un peu fermée, ce qui n’est pas dans ses habitudes.
— Salut Estelle, ça a pas l’air d’aller, des ennuis ?
Et là elle s’effondre en larmes, au moins cinq minutes avant que je comprenne un mot.
— J’vais me retrouver à la rue, mon proprio va me virer, j’ai trois mois de retard et chui déjà dans le rouge, on est le 12 et j’ai déjà plus un rond, même pas pour manger.— Calme-toi, chut, calme-toi, on va aller prendre un café, tu vas aller t’asseoir cinq minutes pour te calmer et me raconter tout ça.
Et là rebelote, les chutes du Niagara, avec entre deux sanglots un « je peux même pas me payer un café »
— Le café je te l’offre et tu m’expliques tout, j’vais peut-être pouvoir t’aider.
Et là elle m’explique qu’elle est endettée jusqu’au cou, elle a fait un crédit pour réparer sa voiture, enfin son tas de ferraille devrais-je dire, plus des crédits à la consommation si faciles à faire, mais qui bout à bout l’ont mise dedans. Résultat, elle ne peut plus payer son loyer.
Du coup, j’ai eu un peu pitié, je me suis dit que je pourrais peut-être l’aider. Un genre d’accord donnant/donnant : je lui ai proposé de l’héberger le temps qu’elle se remette à flot, et en contrepartie elle fait mon ménage et la bouffe. Honnête non ?Par contre, je dis "je l’héberge", mais j’aurais dû dire "on". Parce que moi je suis en couple et je n’avais pas anticipé la réaction de madame avant d’ouvrir ma grande g...Madame a 42 ans, s’appelle Stéphanie, est petite, des belles formes et très jalouse.
Faut avouer que je m’y suis mal pris : je rentre et lui annonce que j’ai proposé à une collègue qu’elle ne connaît pas de l’héberger.J’avoue aussi avoir commis quelques écarts de fidélité conjugale dans le passé, chose qu’elle m’a pardonnée (ou du moins je le croyais), mais qu’elle n’a pas oubliée apparemment.Réaction de madame : — Non, mais ça va pas la tête, c’est qui cette pute, j’veux pas de cette traînée chez moi, et tu comptes la faire dormir où dans notre lit pour que t’en profites, salaud... Tout ça dans un mélange de cri, larmes, hystérie.
Forcément, je me suis retrouvé dans la chambre d’amis, avec dans la tête : comment je vais annoncer à Estelle que ma proposition ne tient plus ?
Le lendemain, journée intense au boulot, pas le temps de discuter avec Estelle, ça m’arrange, je n’ai pas le courage de l’affronter.On travaille en horaire du matin 6h 14h, ce qui fait que j’ai toujours du temps libre l’après-midi. Steph a des horaires de bureau 8h 17h avec une heure le midi pour manger.Mais quand je rentre, elle est assise dans le salon, elle me regarde et me dit :
— J’ai bien réfléchi et je suis d’accord, mais à une condition.
Là je me demande ce qu’elle va me sortir.
— Pour l’arrangement que tu as conclu avec elle, tu te débrouilles, si elle est d’accord pour faire la boniche, moi ça me va. Mais je n’ai pas confiance donc je vous veux sous clé tous les deux !— Hein ? Quoi ?? Comment ça, sous clé ? Tu veux nous enfermer à la cave ou quoi ? Faut bien qu’on aille bosser !— Non pas sous clé de cette manière, mais de façon plutôt médiévale, je pensais plutôt à la ceinture de chasteté.— Mais tu délires, jamais elle acceptera de porter un truc pareil !— C’est ça ou rien, et puis c’est pas que pour elle, c’est pour toi aussi. Sinon elle se débrouille toute seule.— Comment ça pour nous deux ?— Eh oui, mon p’tit bonhomme, ça existe aussi pour homme. Donc je mets sa chatte et ta queue en cage, ou elle reste chez elle. Et si tu tiens tant que ça à vivre avec elle, tu peux te barrer ! Tu as jusqu’à demain pour te décider, si c’est OK pour toi, rentre avec elle demain du boulot, je lui expliquerai ma proposition. Comme je te connais, ça doit bien t’arranger de ne pas avoir à le faire. — Et si je refuse, on oublie cette histoire et on fait comme avant ?— Si tu refuses ? Tu dégages de chez moi !
Elle se lève et me laisse en plan comme ça. Je l’entends partir avec sa voiture sans plus d’explication.Elle rentre tard, je suis déjà couché, dans la chambre d’amis ; vu l’ambiance, je n’ai pas osé aller dans notre lit.
Réveil difficile, mais le travail n’attend pas, je prends mon poste et Estelle vient vers moi avec un grand sourire.
— Salut, j’ai vu mon proprio et si je rends les clés avant le 25, il est d’accord pour échelonner ce que je lui dois sur un an. Donc si ton offre tient toujours, je serai ravie de faire ton ménage.
Moi j’ai du mal à sourire, je bafouille.
— Heuuu, écoute Estelle, je me suis peut-être un peu emballé.
Là, je vois le sourire s’effacer.
— Non me dis pas que t’étais pas sérieux, moi j’y ai cru !— Si si attends, bien sûr que j’étais sérieux, mais j’aurais dû en parler à Stéphanie d’abord.— Me dis pas qu’elle ne veut pas !— Bah... heuuu... en fait elle pose une condition. — Ha ! C’est-à-dire ?— En fait elle tient à te l’annoncer elle-même. On rentre chez moi en partant à 14h et elle te donnera sa condition.— OK ça me va.
Elle repart à son poste, l’air à moitié soulagé.A la pause, elle a retrouvé le sourire, pas l’air inquiète de ce que ma femme pourrait lui annoncer.
14h30, elle se gare sur le trottoir et moi dans la cour. On entre, Steph est dans la cuisine.
— Chérie, c’est nous !— Installez-vous dans la salle à manger, j’amène du café et des biscuits !
On s’assied face à face, je n’en mène pas large, le côté enjoué de Steph me fait limite flipper.Elle arrive avec un plateau, je fais les présentations :
— Stéphanie, je te présente Estelle, Estelle, je te présente Stéphanie, ma femme.— Bonjour Madame, je suis très heureuse de vous rencontrer et en même temps très gênée que ce soit dans cette circonstance.
Et là, Stéphanie l’interrompt avec un regard de carnassier :
— Toi la truie, ta gueule. Ici c’est moi qui parle. Tu écoutes et tu parleras quand on te le dira ! Est-ce que c’est clair pour toi ?— Heuu oui, pardon je ne voulais pas vous...— Ta gueule j’ai dit !!
Je n’avais jamais vu Stéphanie aussi dure. La pauvre Estelle s’est complètement écrasée.
— Bon cela étant réglé, passons au sujet du jour. Fred m’a expliqué ta situation et la proposition qu’il t’a faite. J’y ai bien réfléchi et c’est vrai qu’avoir une boniche à la maison ça doit être sympa. Mais si vous aviez prévu de vous envoyer en l’air tous les deux dans mon plumard, c’est raté. Je t’héberge le temps qu’il te faut, mais à une condition : vous porterez tous les deux une ceinture de chasteté ! 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 aussi longtemps que tu vivras sous mon toit.
Je n’ose pas regarder Estelle, un lourd silence s’installe. Cela dure une éternité, je n’ai qu’une envie, c’est de me barrer. Après un long moment, Steph reprend :
— Je te laisse la fin de la semaine pour te décider. Si tu as des questions ou des choses à dire, c’est maintenant ! Sinon tu te barres et tu reviens dimanche à 15 heures avec ta réponse !— Mais... heu... tu acceptes ça, Fred ?— J’ai pas trop le choix...— Mais où je vais trouver ça moi Stéphanie ? Je n’y connais rien.— Primo tu ne me tutoies pas et tu ne m’appelles pas Stéphanie, on n’est pas amies, pour toi c’est "Madame", compris ?— Oui bien, je suis désolée, Madame.— Pour ce qui est du matériel, j’ai trouvé, grâce à Internet, un artisan qui nous les fera sur mesure. Et en plus je paie. Si dimanche tu es d’accord, on va le voir directement, il prendra vos mesures et nous les fera pour le mercredi suivant. Tu pourras emménager dès le mercredi soir.— Et pour le reste, je dormirai où ? Comment prévoyez-vous les tâches que je devrais effectuer ?— Pour le couchage, nous avons une chambre d’amis. Fred peut te certifier que le lit est confortable, n’est-ce pas Fred ?— Heuu... oui oui, bien sûr, donc je vais reprendre ma place dans notre chambre ?— T’emballe pas, Ducon, on verra ça après !— Pour les corvées, chaque jour, tu auras une liste de choses à faire. Rien d’extraordinaire. Et le repas du soir. Tu cuisines bien ?— Je me débrouille, madame.— D’autres questions ?— Oui, pour l’hygiène avec la ceinture, comment cela se passe ?— Elles seront en inox, donc aucun problème pour se doucher avec. Si besoin, c’est moi qui aurai les clés, donc on trouvera les solutions qui s’imposent. Si tu n’as plus de questions, va t’en et reviens dimanche quel que soit ton choix.— Très bien, à dimanche, Madame.
Une fois Estelle partie, elle me regarde droit dans les yeux et me sort :
— Toi mon coco, t’es pas prêt de recoucher dans MON lit. Jusqu’à mercredi, tu as le droit à la chambre d’amis, après cela dépendra de ta pouffe. Soit la chambre d’amis si elle refuse, soit tu dormiras au sous-sol si elle accepte.— Au sous-sol ? Et tu vois ça comment ?— Ingrid m’a proposé un vieux matelas, on l’installera dans le coin entre la chaudière et la buanderie. — Si je comprends bien, si elle accepte, c’est pire pour moi ? — Exactement, tu t’es mis tout seul dans cette situation. Maintenant, laisse-moi tranquille jusqu’à dimanche.
J’ai passé le reste de la semaine à éviter ma femme à la maison et à éviter Estelle au travail.Ma femme a repris son petit train-train en m’ignorant consciencieusement. Quand je rentre, elle est au boulot. Elle rentre le soir, se fait à manger, ressort jusqu’à pas d’heure.Samedi, elle passe au moins deux heures dans la salle de bain avant de sortir, habillée et maquillée comme une bombe. Elle ne rentre que le dimanche vers midi.Une vraie vie de célibataire. Quant à Estelle, j’ai bien vu qu’elle était soucieuse toute la semaine. J’aurais pourtant cru qu’elle enverrait chier Steph, mais non, elle réfléchit sérieusement à l’offre de ma femme.
Le dimanche, Steph passe la porte plus aussi fraîche et pimpante que la veille. Quand je vois sa robe froissée et son maquillage à moitié effacé, je me fais des films sur sa soirée, mais je n’ose pas lui demander d’où elle vient.
— Bon, c’est le grand jour. Je vais me doucher et me changer avant l’arrivée de ta pute !
Là je craque, hurle presque :
— Arrête de l’appeler comme ça, c’est juste une gentille fille dont j’ai eu pitié. Elle ne mérite pas que tu la traites comme ça. Ni moi d’ailleurs.
Elle me répond d’une voix calme :
— T’es pas content, tu peux te barrer et aller vivre chez elle. Les règles sont claires : si tu restes, tu fermes ta gueule, tu acceptes et obéis à mes ordres !
Ça s’assimile littéralement, je ne sais plus quoi dire.
15 heures pétantes, la sonnette.Je fais entrer Estelle, je lui propose de s’asseoir lorsque j’entends :
— NON ! Restez debout. Soit c’est non et tu repars aussi vite, soit c’est oui et ton nouveau statut de boniche commence maintenant.
La tête baissée d’une petite voix, j’entends Estelle dire :
— J’accepte de vous obéir, madame.— Parfait, j’espère que tu t’es lavé le cul correctement pour ne pas me faire honte devant l’artisan qui va prendre vos mesures. Et toi t’as la bite propre au moins ?
Estelle est devenue rouge vif :
— Oui, Madame je suis propre.— Et toi tu ne réponds pas ?— Heuuuu... oui, je suis douché.— Oui qui ? Mon chien ?— Heuu... oui, Madame.— Très bien on y va alors. Fred tu conduis, nous montons derrière. L’adresse est dans le GPS.
Quinze minutes plus tard, je me gare devant une maison ; je m’attendais plutôt à un bâtiment industriel.Un homme d’au moins 60 ou 65 ans vient nous ouvrir.
— Salut Steph, comment tu vas ?— Salut Michel, ça va bien et toi ?— Impec, tu m’amènes tes deux esclaves ? Toujours décidée pour une ceinture chacun ?— Oui toujours décidée.— T’as réfléchi à ma proposition ? Le mâle, tu le fais castrer, il emmerdera plus les femelles, tu seras plus tranquille.— Un quoi ? De quoi il parle ?— Ta gueule Fred, tu parles si je l’ordonne ! Et si tu m’emmerdes trop, je pourrais envisager sa solution ! Non Michel, deux ceintures, ça ira.— Bon, entrez.
On le suit à l’intérieur, il nous fait descendre au sous-sol aménagé en atelier.
— Bon, on commence par qui ? — La pute.
Elle a dit ça d’un ton glacial.
— OK. Bon, bah, à poil.
Pâle comme un linge, Estelle se déshabille lentement. Trop pour Steph.
— Bon on va pas y passer la journée !
Elle l’empoigne, lui baisse son jeans et sa culotte d’un coup, soulève son chemisier et lui enlève son soutien-gorge.Elle se retrouve le cul à l’air devant Michel et son mètre à ruban.
— On avait dit un ensemble haut et bas pour la femelle c’est bien ça ?— Oui c’est bien ça, il pourrait être tenté même si ses mamelles sont petites.
Il la mesure dans tous les sens, prend des notes puis annonce :
— OK pour elle, au mâle maintenant. Allez, à poil.
Vu l’ambiance, je ne traîne pas et me retrouve rapidement à la place d’Estelle.
— OK c’est bon, j’ai tout ce qu’il me faut. Les deux seront prêtes mercredi. Tu viens vers quelle heure ?— Entre 14h30 et 15h, c’est bon pour toi ?— C’est parfait pour moi.
Le trajet de retour se fait dans un silence pesant. Arrivés chez nous, Steph nous ordonne de la suivre dans le salon. Elle s’assoit dans le canapé.
— Restez debout. Estelle c’est la dernière fois que je t’appelle par ton prénom, désormais je t’appellerai la truie, que ce soit ici ou en public. C’est compris ?— Oui, Madame.— Bien ! Mercredi après votre journée de travail, tu viens ici avec toutes les affaires dont tu as besoin. Pour tes meubles et le reste, tu te démerdes. Tu peux venir avec ta voiture ou avec Fred. De toute façon, tu n’en auras plus besoin, vous irez ensemble au travail. Maintenant, barre-toi, je veux plus te voir avant mercredi.— Bien madame.— Maintenant qu’elle est partie, à ton tour. Nous allons aller chez Ingrid chercher ton nouveau lit.
Ingrid est la plus vieille amie de Steph, elles se connaissent depuis le lycée. On est partis en vacances ensemble plusieurs fois, fait des soirées et là elle ne me dit même pas bonjour.
— Steph ma chérie, alors comment ça s’est terminé hier soir ?— Génial ! Je te raconterai plus tard.— Si tu viens pour le matelas, il est dans le garage, ton connard n’a qu’à le mettre dans la voiture pendant qu’on boit un café toutes les deux !— Très bonne idée. Ducon, va le chercher et attends-moi dans la voiture.
Je vais dans le garage et trouve le fameux matelas. Vieux, c’est le terme exact, mais dégueulasse aussi, taché de partout ; il doit être là depuis un moment. J’espère qu’il n’a pas de puces.Je le roule, le sangle et le charge dans la voiture. Et j’attends. Elle me fait poiroter au moins une heure et demie.
Mercredi 14h45. On arrive chez Michel. Après un rapide bonjour à Steph (Estelle et moi ne semblons pas dignes d’être salués), ils nous emmènent au sous-sol.
— Allez à poil pour l’essayage tous les deux.
On se déshabille et il nous présente les deux ceintures.Les deux se ressemblent, une ceinture en inox avec une partie qui passe entre les cuisses, fixée de façon rigide à l’arrière, et qui vient se fixer devant sur un pion qui ferme la ceinture avec un cadenas. Un trou au niveau de l’anus, trop petit pour laisser un sexe passer, mais suffisant pour aller aux w.c.. A l’avant sur la mienne, une sorte de tube étroit pour glisser mon sexe et le forcer à rester vers le bas et empêcher tout début d’érection. Un petit trou me permet d’uriner.Sur celle d’Estelle, une grille perforée vient se plaquer contre son sexe.L’ensemble d’Estelle comprend également une sorte de soutien-gorge en inox.Elles sont ajustées parfaitement, des garnitures en caoutchouc assurent le confort et nous interdisent encore plus l’accès à notre intimité.Une fois en place, Michel et Steph testent « l’inviolabilité » des ceintures et semblent satisfaits.
— Tu as fait un boulot remarquable, félicitations.— Merci, ravi que ça te convienne.— Rhabillez-vous tous les deux.
Une fois rhabillés, les ceintures sont relativement discrètes, seule la partie du haut d’Estelle se distingue à travers son chemisier.
— Bon, pour le règlement, on se met où ?— Comme tu veux. Tu veux qu’ils restent ou ils attendent dehors ?— Non, ils vont rester regarder.— Alors dans le salon, il y a plus de place.
Mais de quoi ils parlent ? Pourquoi ils ont besoin de place ? Je dois faire une drôle de tête parce que Steph me balance :
— Eh oui, tu as bien compris, je vais m’offrir à Michel en paiement des deux ceintures.— Hein ? Quoi ? Non ! C’est hors de question, non, mais ça va plus, là c’était pas dans le deal.— Ta gueule, c’est trop tard pour pleurer. C’est ton tour d’être cocu, et moi j’ai l’honnêteté de le faire devant toi. Mais si tu préfères, tu t’y colles, Michel est bi et sera sûrement ravi de te déflorer hahaha.— Quoi ? Mais non, mais enfin !
Et là, elle me met un claque magistrale.
— Ferme-la. Soit tu te fous à poil et à quatre pattes et c’est toi qui prends la bite de Michel, soit tu te rends utile et tu me déshabilles et tu m’offres à Michel. Et autant te prévenir tout de suite, on a convenu d’un « paiement » en cinq fois pour chaque ceinture.— Tu me conduiras chaque mercredi ici, chaque fois qu’il jouira dans ma chatte et mon cul, ça comptera comme un versement.
Je ne sais plus quoi dire, je suis vaincu. Résigné, je déboutonne le chemisier de Steph pour découvrir ses seins magnifiques, pas de soutien-gorge. Elle me fait m’agenouiller devant elle pour lui ôter sa jupe, des bas, mais pas de culotte non plus. Et en plus, je découvre qu’elle s’est complètement épilée, chose qu’elle m’a toujours refusée. Je suis comme un fou, entre colère, désir, et frustration, ma queue me fait mal de ne pouvoir bander à sa guise.
— Ça doit commencer à le démanger, mais à force de ne pas pouvoir bander, sa queue deviendra moins réactive, elle deviendra « résignée » hahahaha. Peut-être même qu’il finira par ne plus pouvoir bander du tout.— Je vois que toi tu n’as pas ce problème.
Effectivement, Michel a une belle bosse à l’entrejambe. Elle s’approche de lui, lui caresse la queue à travers son pantalon tout en l’embrassant langoureusement. Elle s’interrompt.
— Qu’est-ce que t’attends, le connard ? Tu penses que Michel va me baiser tout habillé ? Déshabille-le et donne-moi sa queue à sucer.
Je ne me reconnais plus, j’exécute les ordres de ma femme, est-ce que je peux encore l’appeler comme ça ?J’enlève son t-shirt à Michel puis je m’agenouille derrière lui, je déboutonne son pantalon et le fais glisser avec son boxer. Il a une queue d’une belle taille déjà prête.Steph s’agenouille à son tour et ouvre la bouche. Je prends ce sexe et le place dans sa bouche, elle le gobe d’une traite puis le ressort pour jouer avec sa langue sur toute sa longueur.J’allais me relever quand j’entends Michel.
— Reste là, le cocu, et profite du spectacle en gros plan !
Steph continue de jouer avec sa langue en alternant avec des prises en bouche. Elle lui caresse les couilles, passe le bout de sa langue tout autour du gland puis fait de nouveau disparaître cette queue dans sa bouche. Jamais elle ne m’a sucé comme ça. Je suis à la fois jaloux et terriblement excité, ma queue prisonnière de sa cage me fait un mal de chien. Michel prend la tête de ma femme pour lui faire faire des va-et-vient. Il lui baise la bouche de plus en plus vite.
— T’as vu ça, le cocu, comme elle est douée ? Regarde bien ce que je lui mets.
Il se fige et décharge longuement dans sa bouche. Chose qu’elle ne m’a jamais autorisée et en plus elle avale tout, allant jusqu’à récupérer du bout des doigts ce qui a coulé sur son menton.
— Ça t’a plu, le cocu ? Ça c’était juste une mise en bouche pour le fun, ça compte pas. Maintenant il va me prendre vraiment.
Putain, je n’y crois pas, il n’a même pas débandé, il est déjà prêt à lui remettre ça. Elle se lève et place ses mains sur le dossier du canapé et se penche en avant, nous offrant une vue dégagée sur sa chatte. Michel se place derrière elle et la pénètre d’un coup sec.
— Humm oui... ça c’est une belle queue ! Vas-y défonce-moi !
Il commence des va-et-vient brutaux en lui mettant des claques sur les fesses.
— T’as vu, le cocu, comment elle aime ça ? C’est comme ça qu’on prend une femme !— HO OUIIIIII !— T’as vu ? Elle va jouir !
Il la pilonne de plus en plus vite, elle est déchaînée, une vraie furie en chaleur. Elle jouit comme une folle.Il s’arrête, la retourne et l’allonge sur la table basse.
— Le cocu, viens lui tenir les jambes bien écartées, et plus vite que ça !
Je me place au-dessus de ma femme et lui tiens les jambes écartées, Michel la pénètre à nouveau. J’ai une vue imprenable sur cette queue qui défonce la chatte de ma femme.Dans cette position et vu qu’il a les deux mains libres, Michel en profite pour torturer les tétons de Steph. Elle gémit comme une chienne.
— Humm oui...c’est bon, humm encore.
Il reprend ses va-et-vient rapides et brutaux. Plus il accélère plus elle crie. Elle jouit à nouveau en hurlant.
— OUIIIII OUI OUI !
Il s’arrête et je vois les spasmes de sa queue, cette espèce d’enfoiré est en train de se vider dans ma femme.
— Hummm oui... c’est bon ça, ma salope !
Il se retire, la chatte de Steph est inondée de sperme.
— Allez le cocu, nettoie-moi ça qu’on puisse passer à la suite.— Hein ? Quoi ? Comment ça ?— Eh bien oui, je te l’ai dit, pour un paiement, c’est une ejac dans chaque trou et tu penses pas que Michel va me prendre à nouveau avec une chatte dans cet état ? ALORS À GENOUX ET LÈCHE, CONNARD !
Je me positionne devant cette chatte gluante, j’hésite, je ne suis pas très emballé à l’idée de lécher le sperme de Michel. Quand je prends une grande claque derrière la tête.
— Bon alors tu te décides, je vais pas attendre toute la journée ! Et c’est pas pour la faire jouir, c’est pour la nettoyer. Désormais c’est plus à toi de la faire jouir, c’est bien compris ?
Avant que je puisse répondre, il me plaque la tête sur la chatte de Steph. Plus le choix, je lèche le sperme gluant de Michel. Quand il estime qu’elle est suffisamment propre, il relâche la pression sur ma tête.
— Maintenant, elle va se mettre à quatre pattes sur la table basse, et toi tu vas lui écarter les fesses, que je puisse l’enculer comme elle le mérite.
Steph se positionne, le cul bien relevé, j’attrape ses fesses et les écarte. Michel toujours la queue bien dressée se met derrière elle et place son gland sur la rosette de Steph.
— Le cocu, demande-moi d’enculer ta femme. Et poliment.— S’il vous plaît Monsieur, voulez-vous bien enculer ma femme ?— Mais avec plaisir petite merde, regarde bien.
Il fait couler un filet de salive sur sa rondelle et enfonce sa queue dans le cul de ma femme qui gémit de plus belle.Jamais elle ne m’a laissé ne serait ce que lui mettre un doigt à cet endroit. Lui il y a droit et en plus elle prend son pied allant à la rencontre de cette queue à chaque mouvement.Steph se caresse la chatte et se doigte comme une furie.
— HUMMM OUII.... ENCORE, HO MON DIEU...
Voir cette queue aller et venir dans le cul de ma femme me rend complètement fou. Je ne sais pas si je suis plus en colère ou plus excité par la situation. Entre l’envie de les séparer, les frapper et les envoyer se faire foutre et l’envie de prendre sa place dans ce cul qui me rend fou. Finalement, lâchement devant la menace de perdre ma femme et mon toit, je reste comme un gland à la regarder jouir de la bite d’un autre.Michel devient écarlate, il jouit longuement, Steph s’effondre dans un cri perçant.
— OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII.
Ils restent comme ça une ou deux minutes, elle effondrée sur la table basse, lui allongé dessus, la queue toujours entre ses fesses.Il se retire, l’aide à se relever.
— Merci ma belle, c’était vraiment génial, tu veux prendre une douche avant de rentrer ? Histoire de pas en foutre partout dans la voiture ?— Non t’inquiète, le cocu va me nettoyer tout ça ! Allez allonge-toi.
Je me retrouve allongé par terre, elle vient se positionner au-dessus de ma tête et s’accroupit.
— Allez, ouvre grand la bouche.
Elle finit par s’assoir sur ma tête, je peux à peine respirer, mais je suis tellement excité que je lui bouffe le cul comme un mort de faim.
— Mais c’est qu’il y prend du plaisir, ton cocu. Hahaha.— Allez ça suffit, je suis suffisamment propre.
Elle se relève et se rhabille.
— Merci Michel, je suis très contente des ceintures, très beau travail.— Tout le plaisir est pour moi. On se revoit mercredi ?— Oui j’espère que tu seras aussi en forme qu’aujourd’hui.
Elle lui a dit ça sur le ton d’une adolescente amoureuse en se lovant dans ses bras pour l’embrasser.
— T’inquiète ma belle, pour un cul comme le tien, je suis toujours en forme.— La truie, le cocu, dites merci et au revoir.— Merci Michel, au revoir.— Tu peux faire mieux que ça, la truie !
Estelle, rouge pivoine, bégaye.
— Heu ! Merci monsieur Michel pour cette magnifique ceinture. Bonne fin de journée, au revoir.— Bien c’est mieux. À toi, connard.— Merci monsieur Michel pour cette magnifique ceinture. Au revoir.— Bah tu n’oublies rien ? Tu ne le remercies pas pour le spectacle qu’il t’a offert ? Tu ne penses pas qu’il mérite tes remerciements pour avoir si gentiment honoré ta femme ? Allez recommence.— Merci monsieur Michel pour cette magnifique ceinture, et pour avoir honoré ma femme, je vous souhaite une bonne fin de journée. Au revoir.— HA ! C’est mieux !
Elle embrasse encore une fois Michel.
— À mercredi.— À mercredi, ma belle.
Le trajet du retour est très calme. Steph s’est assoupie. Estelle assise à côté, raide comme un piquet, semble perdue dans ses pensées.Arrivés à la maison, Steph nous donne ses ordres :
— La truie pour ta première soirée chez moi, je te dispense de faire le dîner, j’ai commandé chez le traiteur à côté. Il nous livre à 19H30. Quand ça sonne, tu vas ouvrir. Fais en sorte que tout soit prêt quand il arrive. Je veux que tu me serves à la table de la salle à manger.Vous mangerez dans la cuisine quand j’aurais terminé.À partir de demain, tu me prépares mon repas du soir et tu me sers. Ensuite vous vous débrouillez, si tu refuses de faire à manger pour le cocu, ce n’est pas mon problème, tu es ma truie, pas la sienne !Pour tes corvées, c’est simple, je veux que la maison reste propre et rangée. Et que chaque soir avant de te coucher, la cuisine soit propre et en ordre. C’est compris ?— Oui Madame.— Quant à toi le connard, tu dors au sous-sol tant que la truie vit ici. Tu es désormais mon chauffeur et mon homme à tout faire. Rien de plus. Tu n’es plus mon mari, je suis célibataire et je compte en profiter. J’accepte de garder la truie chez moi pendant un an, ensuite on verra ce que je décide de faire de toi.Maintenant, dégagez de ma vue, je vais aller me reposer dans ma chambre. La truie, assure-toi que je sois réveillée à 19h.
Une fois seul avec Estelle, j’espérais pouvoir lui parler, mais elle est partie ranger ses affaires dans la chambre d’ami.Je la suis !
— Estelle, je m’excuse.— Pourquoi ? — Bah pour tout ça, pour Steph, la façon dont elle te traite. Je n’aurais pas dû t’entraîner là-dedans.— T’as rien à excuser, elle est formidable ta femme ! Elle m’accueille sous son toit alors qu’elle ne me connaît pas. Grâce à elle je vais enfin me sortir de la merde et reprendre des bonnes habitudes. Alors c’est normal qu’elle impose ses règles non ?— Mais t’as pas été choquée par son comportement ? La façon dont elle te parle ?— Son comportement ? Qu’elle te fasse payer tes infidélités ? C’est tes histoires de couple, mon grand, t’as joué, t’as perdu, moi ça ne me regarde pas. Et sa façon de me parler, j’ai peut-être besoin de ça, d’un peu d’autorité, parce que ça me plaît. Laisse-moi maintenant.
Alors celle-là !! J’n’l’ai pas vue venir : Steph en furie, dominatrice et dépravée. Et Estelle en boniche soumise. Merde alors, je suis dans la quatrième dimension ou quoi ?
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