Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 56 J'aime
  • 0 Commentaire

La vie de château

Chapitre 4

Agnès et moi, uni pour l'éternité

Divers
Cette première semaine prit fin, une fin qui me plut. Agnès avait loupé totalement un contrôle d’histoire en plus d’avoir parlé et juré en français. Margareth lui mit un collier à son cou, une laisse vint compléter son déguisement. Un gode dans son petit cul, je dus la promener dans tout le château, lui faire l’amour, et l’emmener Madame pour y faire son mea culpa. C’est moi qui fus obligé de la fesser. Je la martyrisais d’un martinet, mais dans l’unique but de la faire jouir en jouant de ce gode attaqué à son cul. Ma belle hurla son plaisir à Madame, lui clamant, dans sa folie, ne plus être que mon esclave et celle de Madame. Le soir, autorisé à dormir ensemble, je l’aimais encore plus tendrement que d’habitude.
Nos leçons d’amour étaient chaque soir, peu importent nos résultats de la journée. Parfois douces et jouissives, ces leçons pouvaient aussi devenir fétichistes, mêlant douleur et plaisir. Madame s’activait à nous enseigner tout avec ses complices. Je dus même boire l’urine de Madame et Lyse. Ma douce m’imitait. Nous étions réellement les jouets de Madame, des jouets consentants malgré notre jeune âge. Madame nous avoua, le soir de Noël, le cerveau embrumé par trop de whisky, aimer corrompre de jeunes gens. À l’entendre, nous n’étions pas les premiers, mais elle nous jura être les derniers en nous avouant son amour immodéré pour Agnès et moi. Parmi nos cadeaux, elle nous avait mis un extrait de son testament, nous dévoilant qu’à sa mort, nous serions ses légitimes héritiers. Avec Agnès, on se jura de ne jamais quitter Madame. Pour ma part, je reçus encore une tenue complète aux couleurs de la famille de Madame.
Je reçus encore un collier en or, une épaisse chaîne d’or pur avec un médaillon, le même que pour Agnès. Au dos, il était marqué que nous étions ses enfants qu’elle n’avait jamais eus avec son défunt mari. Nous l’avons aimée autant que nous le pouvions, près de ce grand feu. Lyse, Margareth et Alaine étaient dans leur famille respective pour cette nuit de noël. Pour avoir trop bu, nous l’avons aussi durement fessée et elle ne jouit que plus extraordinairement encore. Elle est tout pour nous, absolument tout.
Mais trois semaines de plaisirs, cela passe bien trop vite quand on aime. Dans l’avion, nous rentrions en Suisse. Dans la maison, chacune reprit son rôle, je devenais une partie intégrante de cette maisonnée. Si Madame n’avait aucun souci d’argent, elle n’en regardait pas moins à la dépense. Un sou est un sou, qu’elle aimait à nous répéter, petit clin d’œil à ses origines écossaises, très certainement.
Avec Agnès, peu à peu, on perdit un peu de ce contact avec nos parents sans ne jamais rompre ce précieux contact. Nous nous y rendions moins souvent au fil du temps. Nous préférions rester avec Madame. Je terminais l’école, second des classes terminales de la région avec une pluie de diplôme, dont celui de meilleur en algèbre. C’est mon allemand qui me fit monter que sur la seconde marche du podium. Agnès sortit première de sa volée. La seule tache à son superbe palmarès fut une cinquième place en histoire.
Deux ans passent encore. Madame, en grande tenue, devant nos familles, me conduit à l’autel, devant une prêtresse de l’Église anglicane. Agnès est conduite, juste derrière moi, par Lyse. Tous les deux, nous portons fièrement les couleurs de Madame. Si pour Agnès, c’est un tartan qui recouvre son épaule droite, dénudée par la robe immaculée de mariée qu’elle porte, pour moi, c’est la tenue complète qui est aux couleurs de Madame.
Dans son château, le banquet se déroule dans la joie et la bonne humeur. Il faut noter que Madame sait recevoir. Cela dit, Madame ne pensait pas nous voir arriver devant elle, nous agenouiller avec un profond respect en lui clamant notre amour éternel ainsi que notre soumission sans borne. Le tout devant nos familles respectives. Si mes parents semblèrent surpris, celle de mon épouse l’était nettement plus, pour ne pas dire outrée.
— Chères familles, ne vous offusquez pas de ce serment. Il ne dit que la vérité. Cela dit, comme soumis à ma seule volonté, n’y voyez pas que douleur, sadisme. Ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Leur amour l’un envers l’autre va bien au-delà. En me déclarant vouloir devenir mes soumis, ils ne font que me donner leur amour infini. Oui, je les aime comme vous aimez vos époux, Mesdames, comme vous aimez vos épouses, Messieurs. C’est cela que ce serment veut dire. Voyez mes suivantes, Lyse par exemple. Elle m’est dévouée corps et âme par amour. Elle pourrait, si les circonstances l’exigeaient, donner jusqu’à sa vie pour moi. Certes, ce n’est pas ce que je veux ou exige, loin de moi l’idée de la voir mourir. Seulement, cela m’amène à vous poser une seule question ; qui d’entre vous serait capable de donner sa vie pour sauver son conjoint sans même réfléchir ? Vos enfants, par amour, eux, le feraient, j’en suis plus que persuadée. Moi, par amour pour eux, mes suivantes, je le ferai sans prendre le temps de penser à la suite. Penchez-vous sur l’amour que vous portez à celui qui remplit votre cœur et demandez-vous seulement si vous seriez capable de sauver votre conjoint en vous sacrifiant pour lui. Cette question seule vous dira si vous aimez réellement l’amour de votre vie. Eux, je les aime. En perdre un ou une, me serait intenable. Si la loi me le permettait, je les épouserais tous. Oui Madame, même votre fils, oui Monsieur, même votre fille. Vous voyez, ce qui nous unit, c’est ce qu’il y a de plus fort au monde, l’amour. Merci de votre attention.

Là, son petit discours sur notre amour les uns pour les autres, il fait mouche. Pendant un long moment, il n’y a que les mouches pour faire du bruit. Madame coupe court aux pensées des convives. Elle se lève, s’approche d’Agnès, la relève, me relève, nous embrasse avec tout son amour et même bien plus.
Puis, au moment des desserts, un orchestre de chambre vient égayer cette soirée de noce. Là, ma mère s’approche de Madame qui lui prend le bras pour la prendre à part. Ce qui se dit entre elles, nous ne l’entendons pas. Personnellement, je suis occupé avec une cousine qui me mitraille de questions sur ma nouvelle vie. Je lui réponds sans détour. Seule la vérité sort de ma bouche, sans ne rien lui cacher. Elle m’attira derrière une tenture, posa sa main sous mon kilt. Sur mon pénis nu, sa main va-et-vient, je bande. Sans plus tarder, je me mets à masser son corps dans son entier. Ses seins répondent à mes attouchements pressants, ils durcissent. Son sexe devient rapidement humide, voire détrempé par les désirs violents de ma cousine. Très vite, d’une main, je relève sa robe, insinue mon sexe contre le sien encore caché par sa petite culotte. Écartée, mon sexe pénètre ma cousine que je découvre vierge. Un bon coup de reins, la voilà déflorée sans qu’elle ne me grimace de douleur.
Je vais et viens dans son sexe. Elle s’agrippe à moi, gémissant de plaisir. Elle me glisse que de me savoir l’esclave sexuel de Madame l’excite au plus haut point. Je lui avoue recevoir des châtiments et que je les aime parce que j’en jouis dans la plupart des cas. Je me mets alors à lui décrire mes sévices. Plus je détaille, plus je donne ce qu’elle veut, plus elle se rapproche du moment ultime. La sentant proche, tellement proche de l’orgasme, je lui pince et tords un mamelon de mes dents. Elle hurle son plaisir et tous peuvent l’entendre. Son orgasme est si puissant qu’il dévaste ma cousine qui en tombe sur le sol. Sans attendre, je l’abandonne en lui délaissant le numéro personnel de Madame.
En revenant, ma mère ne cesse de me fixer. Je ne sais si elle est fâchée ou heureuse de savoir que j’ai baisé sa nièce. Près de ma douce épouse si docilement soumise. Je baise sa bouche, attirant l’attention sur moi afin que ma cousine puisse revenir sans être vue que par Madame qui affiche un sourire carnassier. Ce sourire, je l’aime et elle le sait. Peu à peu, la salle du banquet se vide. Chacun rejoint la chambre qui lui a été attribuée par les jumelles. Alaine les guide avec l’aide de Margareth. Un oncle, vieux garçon, se penche sur l’oreille de Margareth. Je ne sais ce qu’il lui demande, mais Margareth lui prend la main pour le guider à sa chambre. Margareth ne va réapparaître que pour le repas de midi, le lendemain.
Notre nuit de noces est encore loin d’être terminée. La cousine ne cesse de nous fixer, Madame et moi. Agnès, en bonne soumise qu’elle est, vient la prendre par la main et la conduire devant nous. Là, appuyant sur les épaules de ma cousine, Agnès baise sa nuque.
— Madame, cette jeune femme, ma cousine, je viens d’en faire une femme qu’il me plairait de vous offrir en gage de ma soumission.— Mais est-elle d’accord ?— Sans trop me tromper, elle sait tout de nous, de nos jeux pervers. Je devine en elle, une soumise prête à tout pour devenir l’une de vos suivantes aguerries à toutes nos perversions. — Est-ce vrai, Mademoiselle...— Lucie, Madame, Lucie. Après ce que je viens de vivre, d’entendre, je crains que Monsieur mon cousin n’aille raison sur toute la ligne. — Comme ça, simplement après avoir perdu votre virginité ! Étranges les jeunes d’aujourd’hui. Enfin, si tel est votre désir, je ne peux aller contre. Mon jeune ami, je vous la confie. Vous et Agnès veillerez à l’éduquer afin qu’elle sache tout ce qui l’attend dorénavant. Sachez une chose, Mademoiselle Lucie, je ne tolère aucun manquement à la discipline que j’exige de mes suivantes. Toutes les punitions ne sont pas aussi jouissives que vous ne le pensez, ma jeune demoiselle. À propos, votre âge, je vous prie !— J’ai... J’ai dix-huit ans. — Quel bel âge ! Venez, passons à côté où elle nous dévoilera ses charmes. Agnès, mon enfant, guidez cette future soumise.
Dans le salon de thé, Agnès dévoile les charmes de ma cousine. Celle-ci ne fait rien pour empêcher Agnès dans sa tâche. Nue, Agnès l’oblige à écarter ses jambes et ses bras.
Diffuse en direct !
Regarder son live