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La vie de château

Chapitre 5

L'aventure est trop belle pour la quitter

Divers
— Bien, belle preuve de docilité. Mon cher ami, cette cousine ne manque pas de courage. Il me plairait de la voir cravachée, juste comme ça, pour la forme. Voulez-vous vous en occuper ?— Avec grand plaisir votre grâce.
Une longue cravache à la main, je demande à Agnès de positionner la cousine à quatre pattes, face à notre Amour de Madame. Derrière ma cousine, je tâte son postérieur en armant déjà mon bras. Je l’avertis que je vais la fouetter, elle creuse ses reins. Le premier coup s’abat durement. Elle ne crie pas, plisse ses yeux, serre ses dents tout en fixant Madame impassible. Les coups se succèdent, une bonne dizaine tout au plus avant que je n’arrête. Je relève ma cousine, la pousse devant Madame. Elle s’agenouille, écarte les cuisses merveilleuses de Madame, y glisse son visage.
— Punaise, cette demoiselle est plus douée que je ne le supposais. Agnès, darde son cul, elle le mérite, elle est comme toi, avide de me servir. Lèche ma puce, je te promets d’autres moments plus jouissifs encore.
Derrière moi, une femme nous regarde, ahurie par ce qu’elle découvre. Lyse pousse cette femme près de moi. Damned, c’est maman, elle n’est pas montée rejoindre mon père.
— Fils, de ta part, je m’attendais à mieux de toi.— Mère, j’aime ces femmes, j’aime Madame comme j’aime Agnès. Ce que je vis depuis que je les côtoie, c’est juste impossible à te décrire. Avec tout le respect que je te dois, à toi et père, je suis heureux de vivre comme un débauché. Je sais ce que tu penses au fond de toi. Seulement plus rien ne pourra me détourner de cette vie que j’ai librement choisie. Mère, je t’en prie, monte rejoindre mon père, ton époux.— Fils, je n’ai d’ordre à recevoir de personne. Je venais juste te dire que... tu avais raison sur toute la ligne. C’est moi qui suis dans le faux. Ma nièce, j’ose espérer que ta future vie est celle que tu veux vivre. — Elle l’est ma tante. Je suis comme Agnès, Lyse ou... Oui, j’aime mon cousin depuis longtemps et je me suis rendu compte que j’étais comme l’épouse merveilleuse de mon cousin. Si je viens de découvrir que j’aimais être asservie, je ne regrette rien de mes choix. Aussi, il me plairait que vous, ma tante, que je respecte, que n’en parliez à personne de ma nouvelle vie de soumise. Je me donne à votre fils comme je me donne à cette femme. Rémi, il me faut avouer que je sais tout depuis bien quelques mois. Une balade près de la demeure de Madame m’a tout appris et, depuis, je ne rêve plus que de vous appartenir corps et âme. — Mon fils, me dit ma mère. Il me plairait d’avoir une longue conversation avec toi un de ces jours prochains. — Pourquoi ne pas l’avoir maintenant ?— D’accord, mais entre vous et moi. — Ma mère, pourquoi ce ton si respectueux envers moi, votre fils ?— Parce que... venez, qu’on en parle en tête à tête.
Je crois avoir deviné. Aussi, je l’emmène près de sa chambre, dans un petit boudoir. Je fais un peu de bruit afin de réveiller mon père. Là, assise en face de moi, ma mère me déclare tout de go qu’elle aimerait être traitée de la même manière qu’Alice ou ma cousine, mais par mon père. D’un second coup de pied contre la paroi qui me sépare de mon père, j’ouvre une porte dérobée. Celui-ci est juste derrière et n’a rien perdu de la confession de son épouse. Aussi, sans un mot, tenant ma mère par ses bras, je la pousse vers mon père, l’obligeant à s’agenouiller à ses pieds. Je les quitte, non sans me savoir heureux de ce que je viens de faire pour mes parents. Seulement, je ne veux pas tous les pousser dans ce genre d’aventure, ce n’est pas toujours sans risque.
En bas, ma cousine ne cesse de lécher Madame pour son plus grand plaisir. Derrière elle, mon Agnès, munie d’un gode ceinture, va-et-vient dans le cul de la cousine.
— Votre cousine Lucie est un délice. Elle vient juste de me signer un contrat d’embauche, un CDI qui me donne, vous donne, mon jeune ami, tous les droits sur sa petite personne.— Que voilà une prometteuse soumise, Madame.
— Oui, cependant, votre épouse a elle aussi émis un vœu. — Puis-je en connaître le teneur ?— J’allais y venir. Pour faire court, elle désire divorcer de vous afin que nous puissions, vous et moi, nous épouser. — Hein ?— Je comprends votre surprise, mon amour de Rémi. Notez quand même que l’idée est excellente. Agnès, un contrat idem à celui de votre cousine, de Lyse et de mes jumelles, nous permettrait d’avoir un pouvoir infini sur ces soumises tellement dociles. Mais là encore, il y a un hic. Vous, Agnès et vous, Rémi, vous vous êtes épousé sous le régime écossais. Dans nos lois, le divorce n’a pas sa place parmi la noblesse. — Il y a juste que je ne suis pas un noble comme vous, Comtesse.— Si, vous et Agnès, vous êtes, de par votre contrat de mariage, aussi mes enfants légitimes.
Là, Agnès se relève, me fixe, fixe Madame.
— Lyse, Alaine et sa sœur Margareth sont aussi mes filles légitimes. Certes, de par ma demande, je les ai adoptées tout comme vous deux. — Alors, ma mère n’est plus...— Si, elle l’est, et le restera toujours. Du reste, vos parents respectifs sont au courant de tout. Je ne me serais jamais permis de leur voler leurs enfants. Non, c’est plus pour une question d’héritage. À ma mort, car elle arrivera tôt ou tard, je veux faire de vous mes héritiers afin que jamais vous ne vous sépariez d’aucune manière. Il est une loi, en Écosse, qui dit que mes enfants, selon mon testament, ne pourront vivre autrement qu’ensemble. Si j’ai fait ça, c’est uniquement par amour pour vous, mes suivants, mes soumis. Rémi, il me plairait de plaire au vœu d’Agnès, seulement, cela changerait tellement de choses que c’est juste impossible. — Madame, je suis et je reste à vos ordres, que vous soyez ma Maîtresse, mon épouse, peu m’importe. De plus, je ne pense pas qu’Alaine, Margareth ou Lyse, vos fidèles amours, ne veuillent que cela change. Madame, si je devais encore vous donner une preuve, alors prenez ma vie. — De qui tu te moques jeune freluquet ?— De personne Madame. Je vous aime, c’est aussi simple que ça et je ne veux pas que cela change entre nous tous. — Tu es un fou dangereux quand tu me lances tes serments en pleine face. — Peut-être, mais comme elles, je suis fou de vous. — Et toi, la cousine, qu’en penses-tu ?— Moi, Maîtresse, le plus grand bien. — Mais encore ?— Madame, je ne peux que donner mon approbation aux paroles de mon cousin et Maître. Dire le contraire serait pieu mensonge de notre part à tous.
Le jour est levé. Huit coups sonnent à la grande horloge du salon de thé. Madame se désole que notre nuit de noces n’ait pas été une nuit de plaisir entre ma tendre soumise et moi. Je la rassure, ce n’est que partie remise. Aussi, avec la complicité de Madame, j’envoie Agnès porter le déjeuner de ses parents directement dans leur chambre. Pour ce faire, Madame ne lui donne qu’un fin peignoir largement transparent. Son plateau dans les mains, elle monte sans se retourner, fière de l’ordre reçu. Sur le plateau, il y a une courte missive qui indique, aux parents de mon aimée, qu’ils peuvent abuser de leur fille toute la journée si le cœur leur en dit. Agnès a reçu ordre de se donner sans compter. Le mot est signé de Madame et de moi.
Pour mes parents, j’envoie la cousine avec un mot identique. Madame savoure mon envie de débauche incestueuse. Me prenant, elle me couche sur cette table et nous baisons en donnant tout de nos corps.
Puis, dans la salle des banquets, Lyse, Margareth et Alaine servent les déjeuners à nos invités. Comme Agnès, elles ne portent qu’un très léger vêtement qui ne cache presque rien de leur anatomie. Devant eux, ce bristol qui leur indique qu’ils peuvent user et abuser des suivantes de Madame. Mais voilà, en présence des autres, aucun n’ose porter la main sur les suivantes de Madame. Il faut que Madame se lève, alors que Margareth se trouve près d’un des oncles de mon Agnès, pour lui arracher sa tenue et la pousser sur cet oncle. Gêné dans un premier temps, très vite, il entreprend Margareth pour sa plus grande joie. Les autres ne tardent pas à suivre l’exemple de cet oncle.
Sous la douche, Agnès me revient, me rejoint. Elle m’avoue, toute contente, avoir vidé les couilles de son père, épuisé de plaisir sa mère. Elle me donne une preuve de ses actes quand elle me dévoile son si joli cul tout rougi d’une cruelle, mais délicieuse fessée selon ses dires. Du coup, la sentant encore plus chaude, je la possède sous l’eau tiède qui nous coule dessus.
Pour la cousine, même scénario. Seulement, en plus, ma mère lui avoué ne plus être que l’humble soumise de mon père. Lucie, ma cousine, me montre son cul tout rouge d’une cinglante fessée jouissive. Elle ajoute que ma mère s’en prise une aussi et qu’elle en a joui pendant que mon père enculait ma cousine. Pour moi, tout va bien dans le meilleur des mondes, celui de Madame et ses vices.
Quelques jours plus tard, Lucie est punie pour un thé exécrable. Écartelée au sous-sol, Madame prend un malin plaisir à la fustiger de toutes les manières possibles et inimaginables. Lucie subit tous les vices de Madame, même l’épreuve très douloureuse des aiguilles dans son corps. Elle supporte au-delà de ce que je pourrais supporter. Elle nous surprend tous quand elle parvient à jour si fort avec toutes ces aiguilles plantées dans son si joli corps légèrement girond. Cela sera sa plus cruelle punition à ce jour.
De retour en Suisse, Lucie quitte son travail pour ne plus être qu’à notre service. Mon père vient même nous trouver avec une épouse, ma mère, resplendissante dans sa soumission. Jetée à mes pieds, elle n’a plus honte de me sucer mon pénis avec une ardeur non feinte. Sa langue s’aventure même dans mon anus. Seulement, je me refuse de jouir dans sa bouche. Couchée sur le dos, elle subit ma queue dans sa chatte béante et ruisselante sous le regard de Madame et de mon père.
— Monsieur, déclare Madame, il me serait agréable qu’en remerciement de nos services, vous me suciez ma chatte.— Mais demandez, Comtesse, demandez.

Devant ma mère, il s’agenouille, soulève la robe de Madame et lèche sa chatte avec la même ardeur que ma mère. Ma mère qui jouit une première fois de son fils. Une mère qui va jouir plusieurs fois avant de recevoir mon sperme dans son corps toujours aussi beau.
Quelque neuf mois plus tard, Agnès me donne un fils, notre fils.
Partagée entre l’Écosse et la Suisse, notre vie est toujours un paradis. Un paradis que peu pourrait connaître ou même admettre que cela existe.
Oh, une dernière chose concernant les parents de ma soumise et mère de notre enfant. Ce n’est pas Madame qui est devenue une soumise. C’est son époux, devenu l’esclave de sa femme. Comme mes parents, ils nous rendent souvent visite pour jouir du sous-sol, dans la salle des sévices du château sur la colline.
Je vous laisse, je dois mener notre fils chez le pédiatre.
Si j’ai un souhait ? J’en ai un, celui de vous voir rencontrer une femme extraordinaire comme Madame la Comtesse, une femme qui sera vous dévier de votre route faite d’une morne routine.
À bientôt peut-être.
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