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La vie de château

Chapitre 6

Une vie pleine de plaisir

Divers
Cette première semaine prit fin, une fin qui me plut. Agnès avait loupé totalement un contrôle d’histoire en plus d’avoir parlé et juré en français. Margareth lui mit un collier à son cou, une laisse vint compléter son déguisement. Un gode dans son petit cul, je dus la promener dans tout le château, lui faire l’amour et l’emmener Madame pour y faire son mea culpa. C’est moi qui fus obligé de la fesser. Je la martyrisais d’un martinet, mais dans l’unique but de la faire jouir en jouant de ce gode attaqué à son cul. Ma belle hurla son plaisir à Madame, lui clamant, dans sa folie, ne plus être que mon esclave et celle de Madame. Le soir, autorisé à dormir ensemble, je l’aimais encore plus tendrement que d’habitude.
Nos leçons d’amour étaient chaque soir, peu importe nos résultats de la journée. Parfois douces et jouissives, ces leçons pouvaient aussi devenir fétichistes, mêlant douleur et plaisir. Madame s’activait à nous enseigner tout avec ses complices. Je dus même boire l’urine de Madame et Lyse. Ma douce m’imitait. Nous étions réellement les jouets de Madame, des jouets consentants malgré notre jeune âge. Madame nous avoua, le soir de Noël, le cerveau embrumé par trop de whisky, aimer corrompre de jeunes gens. À l’entendre, nous n’étions pas les premiers, mais elle nous jura être les dernières en nous avouant son amour immodéré pour Agnès et moi. Parmi nos cadeaux, elle nous avait mis un extrait de son testament, nous dévoilant qu’à sa mort, nous serions ses légitimes héritiers. Avec Agnès, on se jura de ne jamais quitter Madame. Pour ma part, je reçus encore une tenue complète aux couleurs de la famille de Madame.
Je reçus encore un collier en or, une épaisse chaîne d’or pur avec un médaillon, le même que pour Agnès. Au dos, il était marqué que nous étions ses enfants qu’elle n’avait jamais eus avec son défunt mari. Nous l’avons aimée autant que nous le pouvions, près de ce grand feu. Lyse, Margareth et Alaine étaient dans leur famille respective pour cette nuit de noël. Pour avoir trop bu, nous l’avons aussi durement fessée et elle ne jouit que plus extraordinairement encore. Elle était tout pour nous, absolument tout.
Mais trois semaines de plaisirs, cela passe bien trop vite quand on aime. Dans l’avion, nous rentrions en Suisse. Dans la maison de Madame, chacun reprit son rôle, je devenais une partie intégrante de cette maisonnée. Si Madame n’avait aucun souci d’argent, elle n’en regardait pas moins à la dépense. Un sou est un sou, qu’elle aimait à nous répéter, petit clin d’œil à ses origines écossaises, très certainement.
Avec Agnès, peu à peu, on perdit un peu de ce contact avec nos parents sans ne jamais rompre ce précieux contact. Nous nous y rendions moins souvent au fil du temps. Nous préférions rester avec Madame. Je terminais l’école, second des classes terminales de la région avec une pluie de récompense, dont celui de meilleur en algèbre. C’est mon allemand qui me fit monter que sur la seconde marche du podium. Agnès sortit première de sa volée. La seule tache à son superbe palmarès fut une cinquième place en histoire.
Deux ans passèrent encore. En ses terres, Madame, en grande tenue, devant nos familles réunies, me conduisait à l’autel, devant une prêtresse de l’église anglicane. Agnès était conduite, juste derrière moi, par Lyse. Tous les deux, nous arborions fièrement les couleurs de Madame. Si pour Agnès, c’était un tartan qui recouvre son épaule droite, dénudée par la robe immaculée de mariée qu’elle portait, pour moi, c’était la tenue complète qui est aux couleurs de Madame.
Dans son château, le banquet se déroula dans la joie et la bonne humeur. Il est à noter que Madame sait recevoir. Cela dit, Madame ne pensait pas nous voir arriver devant elle, nous agenouiller avec un profond respect en lui clamant notre amour éternel ainsi que notre soumission sans borne. Le tout devant nos familles respectives. Si mes parents semblèrent surpris, celle de mon épouse l’était nettement plus, pour ne pas dire outrée.
— Chères familles, ne vous offusquez pas de ce serment. Il ne dit que la vérité. Cela dit, comme soumis à ma seule volonté, n’y voyez pas que douleur et sadisme. Ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Leur amour l’un envers l’autre va bien au-delà. En me déclarant vouloir devenir mes soumis, ils ne font que me donner leur amour infini. Oui, je les aime comme vous aimez vos époux, mesdames, comme vous aimez vos épouses, messieurs. C’est cela que ce serment veut dire. Voyez mes suivantes, Lyse par exemple. Elle m’est dévouée corps et âme par amour. Elle pourrait, si les circonstances l’exigeaient, donner jusqu’à sa vie pour moi. Certes, ce n’est pas ce que je veux ou exige, loin de moi l’idée de la voir mourir. Seulement, cela m’amène à vous poser une seule question ; qui d’entre vous serait capable de donner sa vie pour sauver son conjoint sans même réfléchir ? Vos enfants, par amour, eux, le feraient, j’en suis plus que persuadée. Moi, par amour pour eux, mes suivantes, je le ferai sans prendre le temps de penser à la suite. Penchez-vous sur l’amour que vous portez à celui qui remplit votre cœur et demandez-vous seulement si vous seriez capable de sauver votre conjoint en vous sacrifiant pour lui. Cette question seule vous dira si vous aimez réellement l’amour de votre vie. Eux, je les aime. En perdre un ou une me serait insoutenable. Si la loi me le permettait, je les épouserais tous. Oui Madame, même votre fils, oui Monsieur, même votre fille. Vous voyez, ce qui nous unit, c’est ce qu’il y a de plus fort au monde, l’amour. Merci de votre attention.

Là, son petit discours sur notre amour les uns pour les autres, il fit mouche. Pendant un long moment, il n’y eut que les mouches pour faire du bruit. Madame coupa court aux pensées des convives. Elle se leva, s’approcha d’Agnès, la relevait, me relevait et nous embrassa avec tout son amour et même bien plus.
Puis, au moment des desserts, un orchestre de chambre vint égayer cette soirée de noce. Là, ma mère s’approchait de Madame qui lui prit le bras pour la prendre à part. Ce qui fut dit entre elles, nous ne l’entendions pas. Personnellement, j’étais trop occupé avec une cousine qui me mitraillait de questions parfois idiotes, parfois intelligentes sur ma nouvelle vie. Je lui répondais sans détour. Seule la vérité sortait de ma bouche, sans ne rien lui cacher. Elle m’attira derrière une tenture, posa sa main sous mon kilt. Sur mon pénis nu, sa main fit des va-et-vient, je bande. Sans plus tarder, je me mis à masser son corps dans son entier. Ses seins répondaient à mes attouchements pressants, ils durcirent. Son sexe devint rapidement humide, voire détrempé par les désirs violents de ma cousine. Très vite, d’une main, je relevais sa robe, insinuant mon sexe contre le sien encore caché par sa petite culotte. Écartée, mon sexe pénétra ma cousine que je découvrais vierge.
Un bon coup de reins, la voilà déflorée sans qu’elle n’esquissât la moindre grimace de douleur.
J’allais et venais dans son sexe. Elle s’agrippait à moi, gémissante de plaisir. Elle me glissa que de me savoir l’esclave sexuel de Madame l’excitait au plus haut point. Je lui avouais recevoir des châtiments et que je les aimais parce que j’en jouissais dans la plupart de cas. Je me mis alors à lui décrire mes sévices. Plus je détaillais, plus je donnais ce qu’elle voulait, plus elle se rapprochait du moment ultime. La sentant proche, tellement proche de l’orgasme, je lui pinçais et tordais un mamelon de mes dents. Elle hurla son plaisir et tous purent l’entendre. Son orgasme fut si puissant qu’il dévastait ma cousine qui en tombait sur le sol. Sans attendre, je l’abandonnais en lui délaissant le numéro personnel de Madame.
En revenant, ma mère ne cessait de me fixer. Je ne sus si elle était fâchée ou heureuse de me savoir avoir baisé sa nièce. Près de ma douce épouse si docilement soumise, je baisais sa bouche, attirant l’attention sur moi afin que ma cousine puisse revenir sans être vue que par Madame qui affichait un sourire carnassier. Ce sourire, je l’aimais et elle le savait. Peu à peu, la salle du banquet se vida. Chacun rejoignant la chambre qui lui avait été attribuée par les jumelles. Alaine les guide avec l’aide de Margareth. Un oncle, vieux garçon, se penchait sur l’oreille de Margareth. Je ne sus ce qu’il lui demanda, mais Margareth lui prit la main pour le guider à sa chambre. Margareth n’allait réapparaitre que pour le repas de midi, le lendemain.
Notre nuit de noces était encore loin d’être terminée. La cousine ne cessait de nos fixer, Madame et moi. Agnès, en bonne soumise qu’elle fut, vint la prendre par la main et la conduire devant nous. Là, appuyant fortement sur les épaules de ma cousine, Agnès baisa sa nuque en l’obligeant à s’agenouiller. Je la rejoignis.
— Madame, cette jeune femme, ma cousine, je viens d’en faire une femme qu’il me plairait de vous offrir en gage de ma soumission.— Mais est-elle d’accord ?— Sans trop me tromper, elle sait tout de nous, de nos jeux pervers. Je devine en elle, une soumise prête à tout pour devenir l’une de vos suivantes aguerries à toutes nos perversions. — Est-ce vrai, Mademoiselle...— Lucie, Madame, Lucie. Après ce que je viens de vivre, d’entendre, je crains que Monsieur mon cousin n’aille raison sur toute la ligne. — Comme ça, simplement après avoir perdu votre virginité ! Étrange les jeunes d’aujourd’hui. Enfin, si tel est votre désir, je ne peux aller contre. Mon jeune ami, je vous la confie. Vous et Agnès, veillerez à l’éduquer afin qu’elle sache tout ce qui l’attend dorénavant. Sachez une chose, Mademoiselle Lucie, je ne tolère aucun manquement à la discipline que j’exige de mes suivantes. Toutes les punitions ne sont pas aussi jouissives que vous semblez le penser, ma jeune demoiselle. À propos, votre âge, je vous prie !— J’ai... J’ai dix-huit ans. — Quel bel âge ! Venez, passons à côté où elle nous dévoilera ses charmes. Agnès, mon enfant, guidez cette future soumise.

Dans le salon de thé, Agnès dévoila les charmes de ma cousine. Celle-ci ne fit rien pour empêcher Agnès dans sa tâche. Nue, Agnès l’oblige à écarter ses jambes et ses bras.
— Bien, belle preuve de docilité. Mon cher ami, cette cousine ne manque pas de courage. Il me plairait de la voir cravachée, juste comme ça, pour la forme. Voulez-vous vous en occuper ?— Avec grand plaisir votre grâce.
Une longue cravache à la main, je demandais à Agnès de positionner la cousine à quatre pattes, face à notre Amour de Madame. Derrière ma cousine, je tâtais son postérieur en armant déjà mon bras. Je l’avertis que je fus sur le point de la fouetter, elle creusa ses reins. Le premier coup s’abattit durement. Elle ne criait pas, plissant ses yeux, serrant ses dents tout en fixant Madame impassible. Les coups se succèdent, une bonne dizaine tout au plus avant que je n’arrête. Je relevais ma cousine, la poussais devant Madame. Elle s’agenouilla, écarta les cuisses merveilleuses de Madame, y glissa son visage.
— Punaise, cette demoiselle est plus douée que je ne le supposais. Agnès, darde son cul, elle le mérite, elle est comme toi, avide de me servir. Lèche ma puce, je te promets d’autres moments plus jouissifs encore.
Derrière moi, une femme nous espionnait de derrière une tenture, ahurie par ce qu’elle découvrait. Lyse poussa cette femme qui tombait à genoux près de moi. Damned, c’est maman, elle n’était pas montée rejoindre père.
— Fils, de ta part, je m’attendais à mieux de toi. — Mère, j’aime ces femmes, j’aime Madame comme j’aime Agnès. Ce que je vis depuis que je les côtoie, c’est juste impossible à te décrire. Avec tout le respect que je te dois, à toi et père, je suis heureux de vivre comme un débauché. Je sais ce que tu penses au fond de toi. Seulement plus rien ne pourra me détourner de cette vie que j’ai librement choisie. Mère, je t’en prie, monte rejoindre mon père, ton époux.— Fils, je n’ai d’ordre à recevoir de personne. Je venais juste te dire que... tu avais raison sur toute la ligne. C’est moi qui suis dans le faux. Ma nièce, j’ose espérer que ta future vie est celle que tu veux vivre. — Elle l’est déjà ma tante. Je suis comme Agnès, Lyse ou... Oui, j’aime mon cousin depuis longtemps et je me suis rendu compte que j’étais comme l’épouse merveilleuse de mon cousin. Si je viens de découvrir que j’aimais être asservie, je ne regrette rien de mes choix. Aussi, il me plairait que vous, ma tante, que je respecte, que n’en parliez à personne de ma nouvelle vie de soumise. Je me donne à votre fils comme je me donne à cette femme. Rémi, il me faut avouer que je sais tout depuis bien quelques mois. Une balade près de la demeure de Madame m’a tout appris et, depuis, je ne rêve plus que de vous appartenir corps et âme. — Mon fils, me dit ma mère. Il me plairait d’avoir une longue conversation avec toi un de ces jours prochains. — Pourquoi ne pas l’avoir maintenant ?— D’accord, mais entre vous et moi. — Ma mère, pourquoi ce ton si respectueux envers moi, votre fils ?— Parce que... venez, qu’on en parle en tête à tête.

Je crus avoir deviné la raison. Aussi, je l’emmenais près de sa chambre, dans un petit boudoir. Je fis un peu de bruit afin de réveiller mon père. Là, assise en face de moi, ma mère me déclara tout de go qu’elle aimerait être traitée de la même manière qu’Alice ou ma cousine, mais par mon père. D’un second coup de pied contre la paroi qui me séparait de mon père, cela ouvrit une porte dérobée. Celui-ci était déjà juste derrière et n’avait rien perdu de la confession de son épouse. Aussi, sans un mot, tenant ma mère par ses bras, je la poussais vers mon père, l’obligeant à s’agenouiller à ses pieds. Je les quittais, non sans me savoir heureux de ce que je venais de faire pour mes parents. Seulement, je ne pouvais pas tous les pousser dans ce genre d’aventure, ce n’est pas toujours sans risque.
En bas, ma cousine ne cessait de lécher Madame pour son plus grand plaisir. Derrière elle, mon Agnès, munie d’un gode ceinture, allait et venait dans le cul de la cousine.
— Votre cousine Lucie est un délice. Elle vient juste de me signer un contrat d’embauche, un CDI qui me donne, vous donne, mon jeune ami, tous les droits sur sa petite personne.— Que voilà une prometteuse soumise, Madame.— Oui, cependant, votre épouse a elle aussi émis un vœu. — Puis-je en connaître le teneur ?— J’allais y venir. Pour faire court, elle désire divorcer de vous afin que nous puissions, vous et moi, nous épouser. — Hein ?— Je comprends votre surprise, mon amour de Rémi. Notez quand même que l’idée est excellente. Agnès, un contrat idem à celui de votre cousine, de Lyse et de mes jumelles, nous permettrait d’avoir un pouvoir infini sur ces soumises tellement dociles. Mais là encore, il y a un hic. Vous, Agnès et vous, Rémi, vous vous êtes épousés sous le régime écossais. Dans nos lois et nos traditions, le divorce n’a pas sa place parmi la noblesse. — Il y a juste que je ne suis pas un noble comme vous, Comtesse.— Si, vous et Agnès, vous êtes, de par votre contrat de mariage, aussi mes enfants légitimes.

Là, Agnès se relève, me fixe, fixe Madame.
— Lyse, Alaine et sa sœur Margareth sont aussi mes filles légitimes. Certes, de par ma demande, je les ai adoptées tout comme vous deux. — Alors, ma mère n’est plus...— Si Agnès, elle l’est et le restera toujours. Du reste, vos parents respectifs sont au courant de tout. Je ne me serais jamais permis de leur voler leurs enfants. Non, c’est plus pour une question d’héritage. À ma mort, car elle arrivera tôt ou tard, je veux faire de vous mes héritiers afin que jamais vous ne vous sépariez d’aucune manière. Il est une loi, en Écosse, qui dit que mes enfants, selon mon testament, ne pourront vivre autrement qu’ensemble. Si j’ai fait ça, c’est uniquement par amour pour vous, mes suivants, mes soumis. Rémi, il me plairait de plaire au vœu d’Agnès, seulement, cela changerait tellement de choses que c’est juste impossible. — Madame, je suis et je reste à vos ordres, que vous soyez ma Maîtresse, mon épouse, peu m’importe. De plus, je ne pense pas qu’Alaine, Margareth ou Lyse, vos fidèles amours, ne veuillent que cela change. Madame, si je devais encore vous donner une preuve, alors prenez ma vie. — De qui tu te moques jeune freluquet ?— De personne Madame. Je vous aime, c’est aussi simple que ça et je ne veux pas que cela change entre nous tous. — Tu es un fou dangereux quand tu me lances tes serments en pleine face. — Peut-être, mais comme elles, je suis fou de vous. — Et toi, la cousine, qu’en penses-tu ?— Moi, Maîtresse, le plus grand bien. — Mais encore ?— Madame, je ne peux que donner mon approbation aux paroles de mon cousin et Maître. Dire le contraire serait pieu mensonge de notre part à tous.

Le jour était levé. Huit coups sonnèrent à la grande horloge du salon de thé. Madame se désolait que notre nuit de noces n’ait pas été une nuit de plaisir entre ma tendre soumise et moi. Je la rassure, ce n’était là que partie remise. Aussi, avec la complicité de Madame, j’envoyais Agnès porter le déjeuner de ses parents directement dans leur chambre. Pour ce faire, Madame ne lui donnait qu’un fin peignoir largement transparent. Son plateau dans les mains, elle monta sans se retourner, fière de l’ordre reçu. Sur le plateau, il y a une courte missive indiquant, aux parents de mon aimée, qu’ils pouvaient abuser de leur fille toute la journée si l’envie leur venait. Leur Agnès ayant reçu ordre de se donner sans compter. Le mot est signé de Madame et de moi.
Pour mes parents, j’envoyais la cousine avec un mot identique. Madame savoura mon envie de débauche incestueuse. Me prenant, elle me coucha sur cette table et nous baisions en donnant tout de nos corps.
Puis, dans la salle des banquets, Lyse, Margareth et Alaine servaient les déjeuners à nos invités. Comme Agnès, elles ne portaient qu’un très léger vêtement qui ne cachait presque rien de leur anatomie. Devant chacun des invités, un bristol qui indiquait qu’ils pouvaient user et abuser des suivantes de Madame. Mais voilà, en présence des autres, aucun n’osa porter la main sur les suivantes de Madame. Il fallut que Madame se lève alors que Margareth se trouvait près d’un des oncles de mon Agnès, pour lui arracher sa tenue et la pousser sur cet oncle. Gêné dans un premier temps, très vite, il entreprit Margareth pour sa plus grande joie. Les autres ne tardèrent pas à suivre l’exemple de cet oncle.
Sous la douche, Agnès me revint, me rejoignant. Elle m’avoua, toute contente, avoir vidé les couilles de son père, épuisé de plaisir sa mère. Elle me donna une preuve de ses actes quand elle me dévoila son si joli cul tout rougi d’une cruelle, mais délicieuse fessée selon ses dires. Du coup, la sentant encore plus chaude, je la possédais sous l’eau tiède qui nous coulait dessus.
Pour la cousine, même scénario. Seulement, en plus, ma mère lui avouait ne plus être que l’humble soumise de mon père. Lucie, ma cousine, me montra son cul tout rouge d’une cinglante fessée jouissive. Elle ajouta que ma mère s’en prit une aussi et qu’elle en avait joui pendant que mon père enculait ma cousine. Pour moi, tout allait bien dans le meilleur des mondes, celui de Madame et ses vices.
Quelques jours plus tard, Lucie fut punie pour un thé exécrable. Écartelée au sous-sol, Madame prit un malin plaisir à la fustiger de toutes les manières possibles et inimaginables. Lucie subissait tous les vices de Madame, même la terrible épreuve très douloureuse des aiguilles dans son corps. Elle supportait au-delà de ce que je pourrais supporter. Elle nous surprit tous quand elle parvint à jour si fort avec toutes ces aiguilles plantées dans son si joli corps légèrement girond. Cela restera sa plus cruelle punition à ce jour.
De retour en Suisse, Lucie quitta son travail pour ne plus être qu’à notre service. Mon père vint même nous trouver avec une épouse, ma mère, resplendissante dans sa soumission. Jetée à mes pieds, elle n’avait plus honte de me sucer mon pénis avec une ardeur non feinte. Sa langue s’aventurait même dans mon anus. Seulement, je me refusais de jouir dans sa bouche. Couchée sur le dos, elle subissait ma queue dans sa chatte béante et ruisselante sous le regard de Madame et de mon père.
— Monsieur, déclare Madame, il me serait agréable qu’en remerciement de nos services, vous me suciez ma chatte.— Mais demandez, Comtesse, demandez.

Devant ma mère, il s’agenouilla, soulève la robe de Madame et lécha sa chatte avec la même ardeur que ma mère. Ma mère qui jouissait une première fois de son fils. Une mère qui allait jouir plusieurs fois avant de recevoir mon sperme dans son corps toujours aussi beau.
Quelque neuf mois plus tard, Agnès me donne un fils, notre fils.
Partagée entre l’Écosse et la Suisse, notre vie est toujours un paradis. Un paradis que peu pourrait connaître ou même admettre que cela existe.
Oh, une dernière chose concernant les parents de ma soumise et mère de notre enfant. Ce n’est pas la mère qui est devenue une soumise. C’est son époux, devenu l’esclave de sa femme. Comme mes parents, ils nous rendirent souvent visite pour jouir du sous-sol, dans la salle des sévices du château sur la colline.
Je vous laisse, je dois mener notre fils chez le pédiatre.
Si j’ai un souhait ? J’en ai un, celui de vous voir rencontrer une femme ou un homme extraordinaire comme Madame la Comtesse, une femme qui sera vous dévier de votre route faite d’une morne routine.
À bientôt peut-être.
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